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élections - Page 356

  • Les Français n’ont pas ce genre de pudeur

    Il y avait la  foule des grands jours et une belle ambiance hier au Zénith de Lille pour accueillir Marine Le Pen. La candidate du FN  parachevait ainsi l’excellente  séquence de  la semaine dernière,  après  sa rencontre avec le président tchadien Idriss Déby (et  avec nos soldats luttant sur place contre les djihadistes) et le président  russe Vladimir Poutine, ce qui renforce sa stature internationale et sa crédibilité. « Nous savons que les sociétés multiculturelles par essence déculturées sont multiconflictuelles (…). Les Français veulent  vivre chez eux comme des Français » a notamment affirmé Marine à  Lille   qui,  comme ce matin invitée  d’Europe 1, s’est arrêtée sur la situation chaotique de la Guyane,  paralysée aujourd’hui  par une grève générale. Une collectivité territoriale et région française  qui, selon Emmanuel Macron interrogé cette fin de semaine, est « une île » ! Il n’est certes pas à une bourde près,  ayant déjà  suggéré en  décembre dernier sur les réseaux sociaux que la Guadeloupe n’était pas française, parlant d’expatriation  pour évoquer le cas d’une femme qui s’y était rendue !

    Marine  qui  s’est engagée  à  nommer « un ministre de l’Outre-Mer et de la Mer qui, en Guyane, luttera contre l’insécurité et pour le développement »,  une collectivité territoriale où  le taux de chômage dépasse officiellement les 22%,  à dit comprendre les grévistes. «  Ce sont a-t-elle dit,  des citoyens qui se sont constituées parce qu’ils n’en peuvent plus de voir que l’Etat ne remplit pas sa mission en Guyane. Je ne défends pas cette méthode mais je la comprends. Il faut que l’Etat reprenne son rôle en Guyane. Et qu’il arrête les pompes aspirantes de l’immigration. Il est temps, enfin, que l’Outre-mer soit traitée à la hauteur de la chance qu’elle représente pour notre pays ! »

    Bruno Golllnisch avait souligné  que  la présence ces dernières années  à la tête  du ministère des outre-mer de femmes de gauche comme la guyanaise Christiane Taubira ,  la guadeloupéenne George Pau-Langevin ou de la réunionnaise  Erika  Bareigts,  n’avaient pas été à l’évidence très concluante pour améliorer la vie quotidienne et défendre les intérêts de nos compatriotes ultra-marins.  Marine Le Pen  a noté pareillement  « que depuis dix ans, les gouvernements successifs se sont contentés pour l’outre-mer d’un service qui, à force d’être cruellement minimum, en est devenu coupablement insuffisant ».

    La Guyane, nous l’avons dit sur ce blogue  est un département emblématique de  l’impuissance des pouvoirs publics à assurer le maintien de l’ordre,  l’autorité de la loi et à juguler l’immigration. La population de ce territoire était estimée officiellement  à 115 000  personnes en 1990,  215 000 personnes en 2007, 262 000 en 2016… Chiffre en réalité bien plus important.  Le total de la population immigrée,  principalement des Brésiliens, des Surinamiens, des ressortissants du Guyana et des Haïtiens, légaux ou clandestins (environ 40 000 illégaux selon l’estimation  basse avancée par le ministère de l’Intérieur il y a cinq ans )  est estimé à environ 40 % de la population… Avec comme conséquence directe une criminalité qui bat de tristes  records. En 2015 au chapitre des coups et blessures volontaires, ceux-ci étalent  en moyenne  trois fois plus nombreux qu’en France métropolitaine, idem pour les cambriolages, quant aux  vols avec armes, ils sont treize fois 13 fois plus élevés que dans l’hexagone !

    Une réalité qui a conduit Jean-Luc Mélenchon, en déplacement dimanche à Rennes,  à dénoncer l’immigration et l’insécurité…en Guyane. Une nouvelle trahison pour une partie de ses soutiens qui comptabilisent, comme le font  beaucoup de ses alliés trotskystes et communistes,  ses dérives lepénistes dans l’espoir de de séduire une plus large fraction de l’électorat.  A tel point que le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) dénonce même le recours à la « rhétorique de l’extrême droite » !

    M. Mélenchon invoque désormais la nécessité de tarir les flux de l’immigration (en prenant grand soin de ne pas dire comment il compte y parvenir…), dénonce les travailleurs détachés qui « (volent) le pain des Français », évoque la possibilité  d’une « sortie unilatérale «  de la France de l’Europe de Bruxelles, a approuvé  en décembre  l’intervention russe en Syrie et les bombardements russes sur Alep pour libérer  la ville de  l’emprise djihadiste. Toutes choses qui ont perturbé également le premier cercle de ses proches. Nous somme ici très loin de son discours immigrationniste sur la plage du Prado lors de la présidentielle de 2012… et du  ton général de  ses   planches  au sein de la secte du Grand Orient.

    Un double langage et un opportunisme répandus au sein des écuries présidentielles qui combattent la candidature de Marine mais qui prend une saveur particulière au Front de Gauche. Celui-ci se pique en effet d’être le mieux  armé intellectuellement pour combattre « l’idéologie du FN ». A ce sujet,  l’entourage de M. Mélenchon a été atterré pareillement d’entendre leur champion affirmer lors du débat présidentiel sur TF1 lundi dernier, qu’il voulait « rendre la France aux Français »!  Courageux mais pas téméraire,  Alexis Corbière, porte-parole de M. Mélenchon et qui se veut un historien et un spécialiste du combat théorique contre l’opposition nationale,  a gardé un silence gêné  sur l’utilisation de ce  vieux slogan  qui rend  hystérique les mondialistes libéraux mais aussi l’extrême gauche mélenchoniste. Les Français n’ont  pas ce genre de pudeur.  

    https://gollnisch.com/2017/03/27/francais-nont-genre-de-pudeur/

  • Marine Le Pen, François Fillon et la « clause Molière »

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    A la une du quotidien l’Opinion de ce matin, ce dessin de Kak, sur Marine Le Pen et François Fillon conversant de la « clause Molière ». Le journal publie une étude de l’Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès indiquant que 43 % des ouvriers voteraient pour Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle !

    « La gauche, écrit Béatrice Houchard, qui atteignait 66 % des suffrages en 1981 lors de l’élection de François Mitterrand, a bel et bien perdu les ouvriers au profit du Front national : en 2017, près d’un ouvrier sur deux (43 %, selon les études de l’Ifop) est tenté par un vote en faveur de Marine Le Pen. Environ 17 % se tourneraient vers Emmanuel Macron, 15,5 % vers Jean-Luc Mélenchon, 12 % vers Benoît Hamon et seulement 8 % vers François Fillon. En 2012, l’année de sa défaite, Nicolas Sarkozy avait tout de même atteint 14 % au sein de cet électorat. »

    http://fr.novopress.info/

  • En Marche vers le suicide social !

    Alors qu’Emmanuel Macron est omniprésent dans le paysage médiatique français et semble bien être le candidat choisi par le système pour les prochaines élections présidentielles, certains citoyens refusent ce scénario et veulent révéler le « vrai visage » du banquier aux dents longues. Dans ce but, ils viennent de lancer le collectif « Tout sauf Macron ! ». Rencontre avec Pierre Charron, l’un des fondateurs de ce mouvement.

    Paris Vox : Vous êtes le fondateur du collectif « Tout sauf Macron », pouvez-vous nous présenter celui-ci ainsi que les motivations qui vous ont poussé à lui donner naissance ?

    Pierre Charron : Comme beaucoup de Français j’ai été stupéfait de la croissance politique et médiatique d’Emmanuel Macron, celui qui, encore hier, était le Judas de François Hollande est devenu le messie de la quasi-totalité de la classe médiatique, et le grand favori pour succéder au pire président de la Ve République. Seulement voilà, on ne devient pas le favori à la succession d’un président rejeté comme jamais, tout en étant son successeur idéologique et politique. Très vite, on s’est rendu compte que le personnage Macron était retravaillé par les médias, et qu’a l’aide d’un matraquage médiatique, beaucoup ont oublié qui il est. Pire, à en croire les journalistes, il n’a quasiment pas d’opposition et serait devenu le rempart à l’obscur duo Fillon-MLP ou au démagogique duo Hamon-JLM. Il était donc grand temps d’intervenir dans le débat public et d’apporter quelques rectificatifs… Notre succès sur les réseaux sociaux nous a montré que nous avions raison.

    « Tout Sauf Macron », ce sont des citoyens non-encartés et à l’origine en retrait de cette campagne qui sont résolus à ne pas laisser François Hollande (à travers son héritier) être réélu.

    PV : Pourquoi cibler plus particulièrement Emmanuel Macron ? Que lui reprochez-vous par rapport aux autres candidats ?

    PC : De ne pas avoir d’idées claires et fixes, de porter l’héritage de tout ce qui rate depuis des décennies dans ce pays, d’incarner le camp de ceux qui ont trahi et menti. La liste de ses soutiens est juste à pleurer de rire.

    PV : Quand vous dites « Tout » sauf Macron, c’est vraiment « tout », de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen ?

    PC : C’est assez clair. Tout sauf lui. L’immobilisme, n’est pas admissible, et la persévérance dans une voix qui nous enfonce est diabolique. Au moins avec Mélenchon, nous n’aurons pas l’air d’être soumis aux grandes puissances mondiales ou à l’Allemagne… Plus sérieusement, ce cas de figure parait peu probable. Mais il n’est pas question de se soumettre au “vote utile” ou au “vote de dépit” que le système cherche à imposer à travers Macron.

    PV : Quels sont les moyens d’action et les objectifs de votre collectif, comment comptez-vous peser dans la campagne ?

    PC : Prévention, sensibilisation, militantisme. Notre site internet toutsaufmacron.com propose une brochure, rédigée et argumentée par des contributions de qualité. Je vous invite vivement à la réclamer. De plus, nous publions des contenus, écrits et visuels, régulièrement sur les réseaux sociaux, et relayons une certaine actualité, que les médias (majoritairement acquis à la cause de Macron) ne mentionnent que très peu. La multitude des potentielles « affaires Macron » le démontre bien, au moment où Fillon et Marine Le Pen sont attaqués intensivement sur ce terrain alors que lui est préservé.

    PV : Un dernier mot pour nos lecteurs ?

    PC : Quelque chose de frappant : cette élection est capitale pour notre pays et son avenir, les sujets sont aussi nombreux qu’importants. Et pourtant on ne parle de rien, ne débat sur rien, et à 37 jours de la présidentielle, personne n’a le sentiment d’approcher d’une échéance politique importante. En 2005, les gens se sont emparés du sujet de l’UE, et un débat national a transcendé la population : le résultat de ce référendum a douché les attentes de la classe médiatico-politique. Peut-être que cette année, il est volontaire de ne parler de rien et de transformer la campagne en empoignade judiciaire violente. Ne vous y trompez pas…

    Source Paris Vox cliquez ici

  • [Avis aux immigrés africains] Marine Le Pen souhaite abolir le FRANC CFA [25/03/2017]

  • Marion Maréchal-Le Pen : « Marine Le Pen a un projet conservateur »

    Marion-Maréchal-Le-Pen-1-600x317.jpg

    Benjamine de l’Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen est souvent considérée comme l’incarnation du courant conservateur du Front national. A 30 jours du premier tour de l’élection présidentielle, le député du Vaucluse a accepté de répondre aux questions de TVLibertés

    Interrogée par Elise Blaise et Martial Bild, elle revient sur son engagement total dans la campagne de Marine Le Pen et évoque son avenir en cas de possible victoire du FN en mai prochain.

    Marion Maréchal-Le Pen répond aussi sur ses relations avec Florian Philippot et sur les accusations de Christian Estrosi sur ses sympathies pour le mouvement identitaire et sur sa prétendue attitude « non-républicaine ».

    La nièce de Marine Le Pen nous livre également ses impressions et ses attentes dans cette campagne troublée par les accointances politico-judiciaires. Elle se tient prête à occuper la place où elle sera jugée la plus utile. Un entretien en totale liberté avec celle qui inspire désormais une grande partie de la jeunesse patriote.

    Marion Maréchal Le Pen consacre une grande partie de l’entretien, d’une durée totale de quarante-cinq minutes, à l’évocation de  trois grands thèmes de la campagne de Marine Le Pen : les réformes institutionnelles et sociétales, les réformes économiques et la très controversée politique de sortie de l’euro, les questions essentielles de politique internationale.