élections - Page 357
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Maurice Gendre sur Trump et les élections françaises - Meta TV 2/3
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Maurice Gendre sur Trump et les élections françaises - Meta TV 1/3
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Marine domine le débat…au nom du peuple!
Le débat présidentiel qui a réuni hier soir sur TF1 les cinq candidats crédités selon différentes enquêtes de plus de 10% des suffrages a été un véritable succès d’audience. Certes, l’heure tardive à laquelle il s’est achevé a logiquement conduit à une érosion du nombre des téléspectateurs au fil de la soirée mais selon les chiffres de Médiamétrie publiés ce matin, 9,8 millions de téléspectateurs (47% de part d’audience) l’ont suivi, avec même un pic à 11,5 millions. Ce qui place cet événement au niveau d’un grand événement sportif du type finale de coupe d’Europe de football. Une preuve de l’intérêt croissant de nos compatriotes pour les argumentaires politiques déployés par ceux qui concourent à leurs suffrages dans une campagne présidentielle, ô combien importante pour notre avenir. Le signe aussi certainement de la curiosité pour ce duel annoncé entre grands fauves se faisant face, qui devaient lâcher leurs coups sur ce plateau mixant dans son décor et l’organisation de l’espace les codes de l’arène, des jeux du cirque et des jeux tout court…
En fait de champions, il est clairement évident que Marine, mais aussi soyons honnêtes François Fillon et Jean-Luc Mélenchon, ont su imposer leur stature, un certain charisme, un discours qu’on l’approuve ou pas, structuré, tranchant, tandis que MM. Hamon et Macron ont donné l’impression qu’ils boxaient dans une catégorie bien inférieure, accusant une nette rupture de niveau.
Il faut tout l’art du mensonge d’un ancien militant de l‘OCI et actuel patron du PS comme Jean-Christophe Cambadélis pour affirmer ce matin sur RTL que Benoit Hamon a été bon et Marine mauvaise. Il faut aussi beaucoup de bidonnage ou à tout le moins, soyons gentils, des sondages bâclés pour faire d’Emmanuel Macron le grand gagnant des débats d’hier soir. En tentant de s’extraire de toute subjectivité et parti-pris, ce qui n’est jamais facile, force est de constater que Marine a dominé de bout en bout cet affrontement programme contre programme, par la clarté de ses propositions et la force du cap qu’elle a tracé. Il fallait d’ailleurs voir l’agacement de M. Fillon, notamment quand M. Macron s’empressait dés qu’il le pouvait de souligner ses convergences avec le candidat de LR, pour comprendre que Marine a encore marqué des points…
Toutes choses, constate Bruno Gollnisch, qui ont révélé par contre-coup la faiblesse, la fragilité,la fébrilité, dans le fond comme dans la forme d’un Emmanuel Macron, souvent acculé dans les cordes par la candidate du FN, lequel a manié comme à son habitude phraséologie europrogressiste, formules toutes faites, songes creux, lieux communs… et phrases n’ayant strictement aucun sens!
La « coqueluche Macron », c’est l’homme de « la campagne du vide » comme le résumait la semaine dernière Michel Geoffroy sur Polemia : « Macron n’est ni de gauche ni de droite. Mais Abracadabra : toute la gauche, de Robert Hue à Pierre Bergé, se rallie à lui. L’immigration ? Abracadabra : pas de problème puisque c’est aussi une opportunité économique car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables . Le chômage ? Abracadabra : le point-clé c’est de sécuriser la rupture et l’après-rupture », donc, en clair, de faciliter… les licenciements. La durée du travail ? Abracadabra : Il faut s’adapter aux individus . Les retraites ? Abracadabra : Il faut pouvoir moduler selon les individus et les situations. La sécurité ? Abracadabra : Je poursuivrai les bonnes décisions de Jean-Jacques Urvoas . L’Europe ? Abracadabra : Nous avons besoin de l’Europe parce que l’Europe nous rend plus grands, parce que l’Europe nous fait plus forts ».
Nous pourrions ajouter que même de vieilles gloires de la droite libérale faillie comme Alain Madelin se sont joints à M. Macron qui se retrouvera certes en bonne compagnie aux côtés d’un Robert Hue mais aussi du gratin mondialiste symbolisé en France par les BHL, Xavier Niel, Mathieu Pigasse, Patrick Drahi, Alain Minc, Jacques Attali qui roulent pour le candidat d‘En marche!, de Goldman Sachs , de Bruxelles, de la banque Rotschild et de Bilderbeg.
Cénacles mondialistes qui ont aussi adoubé, en partie, la candidature Fillon, ce qui renforce la très gênante ambiguïté du candidat de LR dans sa tentative d’incarner la défense de la nation dans la mondialisation… sans vouloir vraiment reprendre les commandes, le contrôle de notre souveraineté, sans sortir des griffes de nos maîtres bruxellois, et qui manie l’oxymore en se définissant libéral-conservateur. Un Fillon sur lequel a misé l’homme d’affaires Henri de Castries, le président de Bilderberg, qui comparait le 9 mars sur Europe 1 le programme de Marine à un« poison ». Bilderberg au sujet duquel, interrogé par Philippe de Villiers qui rapporte l’anecdote, M Fillon confiait: « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent ! ». Et bien avec Marine et le FN ce seront les Français qui gouverneront et cela fera toute la différence, au nom du peuple!
https://gollnisch.com/2017/03/21/marine-domine-debat-nom-peuple/
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Stoppons Macron ! #05
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Appel à témoins : quelqu’un peut-il nous dire ce qu’a dit Emmanuel Macron ?
C’est un appel à témoins essentiel que lance ce matin Novopress, au lendemain du débat qui, sur TF1, a opposé les cinq principaux candidats à l’élection présidentielle : quelqu’un aurait-il compris ce qu’a dit Emmanuel Macron tout au long de la soirée ? Ce qu’il a proposé ? « Je suis incapable de résumer votre pensée, vous n’avez rien dit », lui a lancé Marine Le Pen. Selon Médiamétrie, ce débat a réuni 9,8 millions de téléspectateurs. S’il s’en trouve un qui a compris sa pensée, qu’il n’hésite pas à nous contacter…
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Têtes à Clash #1 : Têtes à Clash #1 – Présidentielles 2017, voile & Brexit
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Jean-Pierre Mignard donne raison à Marine Le Pen
L’avocat et homme politique Jean-Pierre Mignard est un soutien enthousiaste d’Emmanuel Macron. Il veut, d’ailleurs, saisir la justice à propos des « caricatures odieuses » contre son protégé, dans lesquelles certains ont vu leurs obsessions à défaut de la réalité.
Ainsi, dans un entretien accordé à L’Opinion, Mignard nous vend le produit en comparant la situation actuelle à 1958 et son poulain au « général de Gaulle [qui] installe au départ une majorité qui ressemblera un peu à ce que devra faire Emmanuel Macron ».
De Gaulle a, certes, lui aussi réuni en 1958 une majorité plurielle, mais il avait le cuir tanné par deux guerres mondiales et une expérience de président du Gouvernement provisoire de la République française. L’autre a simplement usé ses culottes dans la finance ; c’est peu pour diriger un pays !
Ce parallèle discutable permet au moins à l’intéressé de placer ça : « L’extrême droite était alors menaçante, elle est de nouveau aux portes du pouvoir, avec les mêmes ou les enfants des mêmes. » Lutter contre l’extrême droite, ou l’alibi de la politique du pire, que nous subissons depuis plus de quarante ans.
Au fait, le chantre de la France « diverse et multiple » est-il d’accord sur ces propos de De Gaulle, rapportés par Alain Peyrefitte : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » ?
Pour justifier l’abandon de la Ve République, Mignard déclare que le « système politique français est à bout de souffle ». Il apparaît que ce sont plutôt les acteurs de ce système qui fatiguent, ceux que Macron recycle à l’envi pour former son équipe.
« Ce n’est pas l’économie ou le social, même s’il y a d’immenses efforts à faire, qui sont en crise.
C’est la politique qui tient le reste », dit encore le VRP de Macron. La politique française, qui déteste la préférence nationale, défend surtout une économie apatride, et le social semble préférer l’exotisme aux « soutiens » !
Mignard rappelle qu’il a jadis, avec son copain Hollande, fondé les « transcourants », sorte d’embryon d’En Marche !, où les membres se demandaient déjà « comment des personnalités de la droite pro-européenne pourraient converger avec nous ». Car pour faire définitivement passer le mondialisme, il faut briser toutes les barrières identitaires : culturelles, cultuelles, politiques, etc. Sont donc exclus du ralliement les anti-européens !
Et pour qui douterait encore que Macron est le favori de Hollande, en renonçant à se représenter, Mignard salue ce dernier, qui « a fait la preuve qu’il est plus attaché à un dépassement du système qu’à son propre avenir. […] Dans la future majorité, le Président jouera évidemment un rôle important. »
Mignard fait enfin l’aveu que l’UMPS a échoué car il n’a pas été convergent, ce qui « eût été la force et l’efficacité ». C’est une voie royale pour Marine Le Pen, qui n’a eu de cesse de montrer cette connivence souterraine.
Moralité : à trop parler, on finit par dire la vérité !
http://www.bvoltaire.fr/charlesdemassieux/jean-pierre-mignard-donne-raison-a-marine-pen,319202
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Stoppons Macron ! #04
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Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine
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Christian Estrosi tente de tirer François Fillon vers la gauche
Christian Estrosi, qui a battu Marion Maréchal-Le Pen aux dernières régionales grâce au renfort de la gauche, alerte François Fillon :
"je regrette que parfois, dans mon propre camp politique, on finisse aussi par banaliser ce FN si haut. On assiste plus dans cette campagne à des règlements de comptes entre la droite et la gauche pour tenter de décrocher la deuxième place derrière elle. Or, tout devrait être fait pour qu'elle ne soit même pas au second tour. Le pire, c'est que je pense même qu'elle est sous-évaluée dans les intentions de vote pour le premier tour.
C'est-à-dire ?
On la crédite à 25 % en moyenne, je pense qu'elle pourrait dépasser les 30 % voire même gagner l'élection présidentielle. C'est pour cela qu'il faut la combattre dès le premier tour, en ne lui laissant aucun terrain et en s'adressant notamment aux classes moyennes et populaires. Le mot social n'est pas un gros mot.
Pourtant, on ne sent pas que le social, les classes moyennes et populaires, soit la priorité de François Fillon dans son programme...
S'il est vrai que la part du social a évolué dans le programme de François Fillon, ça ne sert à rien de faire la course à l'échalote sur le terrain du FN en faisant une surenchère excessive en matière de sécurité et d'immigration. [...]
Sens commun a pris une part importante dans la campagne de votre candidat. Qu'en pensez-vous ?
Cela m'inquiète et j'ai eu l'occasion de le dire à François Fillon. Il ne peut pas confier l'organisation de la campagne à la frange la plus radicale de notre famille politique s'il veut rassembler plus d'un Français sur deux. Je respecte cette frange, mais elle est minoritaire. Face au FN, il ne faut pas ressembler, il faut rassembler."
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