Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 353

  • «On nous bassine avec le Front Républicain contre le FN, mais ni Poutou ni Arthaud ne sont Républicains!»

    VIDEO: Coup de Gueule de @JSFerjou «On ns bassine avec le Front Républicain contre le ,mais ni ni ne sont Républicains!»

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Têtes à clash #3 : le débat de BFM, Florian Philippot et construction de prisons

  • Pourquoi Marine Le Pen peut l’emporter

    95b791e2-8d5a-11e1-b0a5-27a13017d311-800x532.jpg

    L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.

    L’évolution des sondages, depuis un mois, ne laisse entrevoir aucune modification substantielle des rapports de force : au-delà de la polémique sur les marges d’erreur ou la sincérité des publications, il y a une analyse possible, différente de celles présentées par les médias. Rappelons les chiffres OpinionWay des 3 et 4 avril : Le Pen 25-26, Macron 24-24, Fillon 19-20, Mélenchon 15-15, Hamon 11-10, Dupont-Aignan 4-3, Lassalle 1-1, Poutou 1-1. Les autres candidats étant considérés à 0 du fait de la non-prise en compte des décimales.

    La première observation est que Macron fait le plein des voix de la gauche bobo-atlantiste et de celles des centristes libéraux-européistes, ce qui, néanmoins, ne devrait pas le mettre à ce niveau. Ce score de Macron est d’autant plus étonnant que Hamon et Mélenchon totalisent le quart de l’électorat, avec l’apport, il est vrai, des écolos-gauchistes de EELV et des communistes. 50-51 % pour la gauche et le centre anti-Fillon : cela paraît tout de même beaucoup ; à moins que l’on ne considère que le vote Macron est déjà majoritairement celui du centre, et que le dégoût de Hollande a provoqué une cristallisation précoce et bicéphale – Mélenchon, Hamon – de la gauche.

    La seconde observation tient à la relative faiblesse du vote souverainiste, Le Pen et Dupont-Aignan (+ UPR) à 29 %, alors qu’au premier tour des régionales en 2015, il s’approchait des 33 %.

    Dans un contexte de moindre abstention avec une situation économique et politique dégradée, Marine Le Pen ferait moins que le FN ? Cela semble improbable.

    De ces observations, ne peut-on pas conclure que les 19-20 % de Fillon correspondent réellement et intégralement au fonds UMP : droite sociétale, droite gaulliste (peu mondiale-libérale économiquement), droite des rentiers, droite provincialiste ?

    La sûreté de choix des électeurs pour les différents candidats conforte cette analyse : à gauche, le repli sectaire a eu lieu avec la montée du choix certain, de même pour le bloc des convaincus du FN ou de NDA, lequel mord peu sur la partie de l’électorat de Fillon orpheline du gaullisme. Ce dernier bénéficie aussi d’une forte stabilité des électeurs l’ayant choisi. Seule l’intention « Macron » laisse paraître un doute des centristes et, probablement, un regret de certains socialistes.

    En fait personne n’a, pour l’instant, déplacé de voix en sa faveur, à part un centre devenu indépendant et un peu hypertrophié par le ralliement d’urbains peu politisés et persuadés que la mondialisation est indépassable. L’affrontement Le Pen/Macron, c’est celui de De Gaulle contre Lecanuet revu à la sauce Internet.

    Quel sera le second tour ? La présence de Mélenchon serait le signe du double effondrement à gauche de la mystique européiste et du paradigme social-démocrate. L’incertitude des putatifs électeurs de Macron pourrait le reléguer à la troisième place et permettre l’élection de Fillon, qui ne peut perdre face à Marine Le Pen.

    Mais l’hypothèse Le Pen/Macron reste la plus probable et, au fond, la plus juste sur un plan politique. Marine Le Pen dit juste en parlant d’un choix de civilisation, et c’est sans doute pour cela que les média ne répercutent pas ses propos en ce sens.

    Macron, centriste étendu, ne bénéficiera pas d’un report parfait des électeurs de Mélenchon, dont une part majeure se réfugiera dans l’abstention, la lepénisation de sa position sur l’Union européenne et l’euro permettant ce soutien indirect à Marine Le Pen.

    Déjà délesté de la part centriste, l’électorat de Fillon, au contraire, franchira le cap d’un vote « à droite » persuadé que les législatives lui redonneront le pouvoir confisqué par les manigances. De même, des abstentionnistes ordinaires pourraient être tentés par un bouleversement politique.

    Dans ces conditions, et si cette analyse est juste, Marine Le Pensera la première femme président de la République française.

    http://www.bvoltaire.fr/marine-pen-lemporter/

  • Luc Chatel, porte-parole de François Fillon, se réjouirait de l'élection de Macron

    C8tK5DSXoAAETfn

    Source : Le Canard enchaîné.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jovanovic : « Les élections présidentielles sont manipulées et Macron détruira la France »

    Pierre Jovanovic commente les élections présidentielles et explique le danger de voir Emmanuel Macron devenir président de la république pour le compte des banques internationales.

  • Si ça, c’est pas une télévision aux ordres !

    C5NTbStWQAEtq9g.jpg

    Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision…

    Quatre heures dix du matin à l’île Maurice. N’ayant pas eu le courage d’affronter les quatre heures du débat prolongé tard dans notre nuit de l’hémisphère sud, je me précipite sur mon ordinateur pour essayer d’en comprendre les grands moments.

    Rachid M’barki, qui officie ce matin sur BFM TV, finit de passer en revue la performance des différents candidats et enchaîne dans la foulée : « Une enquête a été ouverte à l’encontre du Front national pour cause d’emplois fictifs dans le Pas-de-Calais… »

    Si cet enchaînement n’est pas cousu de fil blanc, alors moi, je suis champion du monde de tir aux pigeons ! Le ton monocorde du présentateur de la chaîne macronisée n’a pas changé d’un iota quand il est passé du sujet du jour à une « information » qu’on aurait pu décaler vers la fin du journal si on s’en tenait aux strictes règles déontologiques du métier de journaliste présentateur objectif. Mais on en est loin. Et, quelques minutes plus tard, que voit-on défiler au bas de l’écran ? La déclaration d’un certain monsieur Griveaux, conseiller d’Emmanuel Macronqui, deux jours plus tôt, au cours d’une rencontre avec Marine Le Pen, lui avait reproché d’être « la mère Noël qui distribue des cadeaux à tout le monde ».

    Discrètement, comme si de rien n’était, cette reprise d’information réchauffée défilait de la manière la plus anodine du monde, comme si elle venait de sortir du four de l’actualité immédiate… C’est ce qu’on appelle du pilonnage en boucle et du journalisme de pacotille.

    C’est à ces petits détails qu’on reconnaît une télévision aux ordres. Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision en alléguant je ne sais quel antirépublicanisme, fascisme ou quelque autre isme de circonstance aggravante. À part Michel Drucker, qui a dit qu’il n’inviterait aucun Le Pen à s’asseoir sur son divan du dimanche et qui s’enfonce chaque jour un peu plus dans le grotesque du parti pris (infantile ou sénile, je n’en sais rien), l’intox est aujourd’hui plus subtile.

    Aviez-vous remarqué que, juste après le premier débat télévisé, les commentateurs présents sur le plateau de BFM TV avaient été unanimes à penser que Marine Le Pen avait été la plus convaincante ? Eh bien, quelques heures plus tard, la même chaîne balançait des commentaires totalement contraires, comme si une bonne âme était passée par là pour les ramener dans le bon chemin de la désinformation…

    http://www.bvoltaire.fr/ca-cest-television-aux-ordres/

  • T. de la Tocnaye : « Marine Le Pen baissera fortement la fiscalité des TPE/PME et des ETI » #05