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élections - Page 596

  • François Hollande relance la polémique sur le droit de vote des étrangers

    « Je suis favorable au droit de vote des étrangers », c’est ce que a nous rappelé François Hollande, hier après midi durant son discours d’inauguration au musée de l’Histoire de l’immigration ouvert en 2007. Alors que sa côte de popularité est au plus bas et que le fameux collectif des « frondeurs » prend de l’ampleur, François Hollande souhaite unifier la gauche en reprenant un de ses thèmes favoris : l’accueil des étrangers. « Il faut que la France soit représentée par toutes les couleurs, toutes les forces vives du pays »  a‑t‑il expliqué avant de comparer l’arrivée des 200 000 immigrés par an sur le sol français à une accumulation de« talents » et de « chances ».

    Dans cet éloge de l’immigration, François Hollande évoque tout de même la poussée du Front National

    Tout à fait. Si il attaque le Front National en les traitant de démagogues, mais il dénonce aussi la poussée des nationalismes en Europe dont on a vu l’illustration aux dernières élections européenne, en les comparant, je cite : « A des vents mauvais qui soufflent de plus en plus ». Quant à la montée de l’islam radical en France, il assure que l’islam est tout à fait compatible avec les lois de la République.

    Le président qui voulait rassembler les Français, ignore une fois de plus les Français de souche

    Eh oui ! Le président refuse toujours de prendre en compte l’avis des Français sur le sujet. Pourtant, dans un récent sondage Odoxa, 60 % des Français, seraient opposés au droit de vote des étrangers.

    L’immigration n’est pas une fatalité ? 

    Eh non ! Contrairement à l’idéologie bien pensante qui sévit en France depuis près de 40 ans. En Espagne par exemple, une loi de sécurité citoyenne a été adoptée jeudi dernier par le congrès des députés qui prévoit une reconduite immédiate des immigrés clandestins à la frontière.

  • Qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ?

    Lu dans Minute :

    "La stratégie de reconquête arrêtée par Sarkozy est claire. Les nominations de Laurent Wauquiez au poste de secrétaire général ou de Madeleine Bazin de Jessé, fondatrice du mouvement des Veilleurs et de Sens commun, dans l’esprit de la Manif pour tous, sont clairement des signaux envoyés à la droite conservatrice, celle qui va à la messe. Mais qu’est-ce que la base de l’UMP aujourd’hui ? En majorité des sexagénaires et septuagénaires retraités, souvent éligibles à l’ISF, acquis à la droite pour des raisons financières et accessoi - rement par un réflexe de « common decency », ce concept cher à George Orwell qui rejette le paraître et l’artificiel au profit des éléments structurants de notre société. Laurent Wauquiez, sorte de gendre idéal, coïncide parfaitement avec ce moule et assume sa proximité idéologique avec Patrick Buisson. Nathalie Kosciusko-Morizet, première vice-présidente est évidemment en décalage."

    Michel Janva

  • L'UMP démet de ses fonctions sa secrétaire nationale passée par l'extrême droite

    Cette élue du Languedoc-Roussillon avait adhéré au Siel, un parti affilié au Rassemblement Bleu Marine, et tenté de se rapprocher de Robert Ménard en espérant une investiture gagnante pour les prochaines élections départementales.

     

    « Je n’aime pas les fascistes ». Selon le Canard Enchaîné de la semaine dernière, c’est l’argument massue qu’aurait lancé Nathalie Kosciusko-Morizet à Nicolas Sarkozy pour s’opposer à l’intégration de Guillaume Peltier, ex-frontiste, au nouvel organigramme de l’UMP. Une animosité contre l’extrême droite à géométrie variable ? Selon le journal Libération, c’est pourtant bien la numéro 2 de l’UMP qui aurait soufflé à l’ancien président le nom de la nouvelle secrétaire nationale du parti en charge de la formation professionnelle dont le parcours fait aujourd’hui polémique.

    Fatima Allaoui, a d’abord été nommée par Nicolas Sarkozy vendredi 12 décembre, est certes une ancienne de l’UMP. Mais au moment de son recrutement, cette conseillère régionale du Languedoc-Roussillon avait quitté le parti d’opposition pour rejoindre le SIEL (Souveraineté, indépendance et liberté). Or cette petite formation d’extrême droite, créée par Paul-Marie Coûteaux en 2011, est membre du Rassemblement Bleu Marine, nébuleuse qui agrège les partis satellites du Front National. Une adhésion qui lui vaut aujourd’hui d’être démise de ses fonctions. « Mme Allaoui, conseillère régionale UMP de Languedoc-Roussillon (...) a admis avoir adhéré il y a un mois, à un parti d’extrême droite. Dans ces conditions, sa responsabilité de secrétaire nationale lui est retirée », indique l’UMP dans un communiqué. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-UMP-demet-de-ses-fonctions-sa

  • François Hollande et l’immigration : non, non, rien n’a changé…

    Il a la trouille, François Hollande, car les sondages le révèlent : les immigrés « intégrés » se tournent aujourd’hui vers Marine Le Pen !

    C’est une histoire peu commune : celle d’un musée que le président issu de la majorité qui l’avait décidé a refusé d’inaugurer et qui l’est, aujourd’hui, par son successeur, sept ans après son ouverture !

    Soucieux de récupérer des voix auprès d’une gauche qui se débine de jour en jour, François Hollande est donc allé lundi inaugurer la Cité nationale de l’histoire de l’immigration. Sur le papier, une « institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à reconnaître et mettre en valeur la place des immigrés dans la construction de la France ». Dans les faits, un machin informe qui n’a jamais trouvé ni sa destination ni son public, sauf celui des élèves de banlieue qu’on y traîne de force et en rangs par deux.

    Car à quoi se résume l’histoire de l’immigration dans cette Cité qui lui est prétendument consacrée ? À des clichés éculés. À un bric-à-brac chiné aux puces du tiers monde, sorte de dépotoir dont on ne voudrait pas dans un vide-greniers de quartier. En quoi, en effet, une théière marocaine voisinant dans une vitrine avec une valise en carton font-ils un musée ? En quoi un couscoussier pendu à un fil à côté d’une statue nègre et d’un masque chinois en papier mâché parlent-ils aux immigrés de leur histoire et de leur culture ? Pas plus que ces vidéos de pauvres gens débarquant valise à la main, ces photos de “Pigeots” chargées jusqu’au ciel de matelas et de gazinières, ou les affiches d’Aznavour et d’Enrico Macias…

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  • Comment gagner

    Hier sur Radio Courtoisie, Henry de Lesquen s’inquiétait de la nomination à la tête du Collectif Culture au sein du RBM de Sébastien Chenu, y voyant un malencontreux signal susceptible de braquer le peuple de droite, de brouiller le message de l’opposition patriotique. Or affirme-t-il, c’est en captant pleinement les thématiques de droite, en réaffirmant notamment, comme il l’a toujours fait dans le passé, sa  volonté de défendre résolument la famille, les valeurs traditionnelles, que le FN, partie prenante dans les manifs contre la loi Taubira,  parviendra à rallier des électeurs UMP. Sympathisants de droite de plus en plus sensibles aux idées défendues par Marine et le FN  en matière d’insécurité, d’immigration, de défense de notre identité et du refus du communautarisme. M. de Lesquen notait encore que cette capacité  de la présidente du Front à prendre des voix au futur candidat de l’UMP à la présidentielle de 2017 est d’autant plus importante que la bonne stratégie n’est pas de son point de vue de trop affaiblir le PS;  notamment par la promotion par le FN d’un programme économique et social qu’il juge  de gauche. Car c’est en éliminant le candidat de l’UMP au premier tour, et en se retrouvant de facto  face au candidat du PS et de  ses alliés  au second,   que Marine est dans la configuration de loin la plus favorable pour l’emporter,  affirme le patron de Radio Courtoisie.

    De son côté, le Lab d’europe 1 rapportait également lundi que « Bruno Gollnisch a appelé Sébastien Chenu. Et l’échange a été plus que cordial, selon le nouveau rallié. Contacté par le Lab, Sébastien Chenu explique que l’eurodéputé avait des doutes sur son engagement. Il voulait une vérification d’information sur mes opinions, notamment concernant l’Europe ».

    Si Bruno Gollnisch aura certainement l’occasion d’y revenir, rappelons  au délà des questions européennes  qu’il rejette fermement les « avancées sociétales » que sont la loi Taubira,  la PMA, la GPA pour les paires homosexuelles ou  la théorie du genre. Pour autant, il ne  condamne pas les homosexuels en tant que personnes, n’entend pas s’immiscer dans la vie privée des Français, ne prône pas une police de la braguette. Il estime simplement que  « la société se doit de  favoriser le mariage entre un homme et une femme parce que c’est le mariage qui assure la transmission de la Vie, la perpétuation de la société, l’éducation et l’équilibre des enfants ».

    Un précision  nécessaire car comme nous le notions il y a déjà quelques années, ce positionnement est partagé par la  majorité des homosexuels, même si  les médias préfèrent  braquer les projecteurs sur les communautaristes ayant compris les règles du lobbying à l’anglo-saxonne, les fameux « gays »,    forcément « progressistes »….

    Or, s’il  y a à l’évidence  des homosexuels au FN, les gays n’ont rien à y faire. Florian Philippot a affirmé hier sur France Inter  que le communautarisme gay n’a pas sa place au FN et  rejeté toute « optique communautariste ». «Le FN n’est pas gay-friendly, ni l’inverse. Il est french-friendly » a-t-il expliqué. Un rappel  implicite du principe de la préférence nationale, clé de voute du programme frontiste, d’une volonté de défendre  l’identité de notre pays,  considérée  comme la  pire des tares par les gauleiters  de la très totalitaire Europe bruxelloise.

    Pourtant, dans la ville martyre  de Dresde, emblématique de la barbarie sanglante qui s’est déchaînée sur  la vieille Europe il y a soixante dix ans, 15 000 Allemands ont défilé hier pour dire leur ras-le-bol de l’immigration. Une Allemagne championne  en Europe de l’ouverture aux flux migratoires, qui accueille officiellement 400 000 immigrés chaque année.

    Une Allemagne qui est  «un  cercueil en or » selon l’expression de Jean-Marie Le Pen, car  condamnée à terme à la disparation de son peuple  du fait  d’une démographie anémique. Tout embryon de politique de soutien, même a minima, à la natalité autochtone est largement impossible outre-Rhin car immédiatement taxée de réminiscence national-socialiste. Pudeur que n’avait pas feu la RDA, une Allemagne de l’Est communiste qui avait réussi à enrayer assez largement   sur son terrritoire ce déclin démographique.

    Angela Merkel a bien évidemment dénoncé ce raidissement de ses compatriotes devant l’immigration de peuplement, dont au même moment, François Hollande vantait les charmes au sein de l’ex Musée des colonies, transformé par Jacques Chirac en 2007  en celui de  l’immigration.

    Le président de la République  a pris le ton incantatoire classique d’un grand prêtre de la religion antiraciste et xénomaniaque pour conspuer dans son sermon,  le racisme, la xénophobie, les peurs. Une mise en perspective des mauvaises pulsions pour mieux célébrer les « richesses » incomparables de l’ouverture, du métissage, de la dilution de la France dans le grand tout mondial(isé). Une France d’après  où repères, frontières, identités, autant de verrous à faire sauter, de symboles honnis de fermeture, de repli, ne seront plus qu’histoire ancienne… Du passé faisons table rase, éternel slogan du messianisme mondialiste  et de son avatar, la gauche internationaliste.

    François Hollande a redit son souhait d’accorder le droit de vote aux immigrés pour les élections locales, vœu qui n’engage à rien puisqu’il sait que cela est dans l’immédiat rigoureusement impossible. Cela nécessiterait de réunir les suffrages des trois cinquième du parlement, ce qui est proprement inenvisageable à obtenir avant la présidentielle de 2017. On voit mal en effet les nombreuses figures progressistes de l’UMP qui y sont favorables, prendre le risque de voter pour, au risque évident de conforter aux yeux de nos compatriotes qui y sont résolument hostiles, le discours du FN  et de Marine sur « l’UMPS ».

    En évoquant la question symbolique du  droit de vote des immigrés, François Hollande entend plus prosaïquement rassembler, remobiliser ses clientèles électorales dans la perspective de la prochaine présidentielle. Selon le tout récent sondage Odoxa, petite embellie qui touche aussi Manuel Valls avec 45% de bonnes opinions,  21% des personnes interrogées jugent que M. Hollande est un bon président… 78% sont d’un avis contraire.

    Un peuple de gauche, dont celui issu de l’immigration qui avait voté Hollande de manière écrasante en 2012, mais  qui a déserté, qui s’est réfugié dans l’abstention.

    Abstentionnistes qui sont la grande inconnue des prochains scrutins et dont la grève du vote conforte la mainmise du Système en place. Nous l’avons vu encore dimanche avec le résultat de la législative partielle dans l’Aube. Malgré le très bon résultat obtenu par Bruno Subtil qui a su capter les voix de plus d’un électeur sur trois,  trois inscrits sur les listes électorales  sur quatre ont boudé ce scrutin.

    Or, selon un sondage OpinionWay pour Metronews, Marine Le Pen est désignée par 42% des Français  comme  la personnalité qui a le plus marqué l’actualité politique récente – devant Manuel Valls  à 39%, et Nicolas Sarkozy,  36%. Surtout, la présidente du FN  est aussi appréhendée par les Français comme la meilleure opposante à François Hollande, par 30% des sondés, loi devant  Nicolas Sarkozy (18%) et Alain Juppé (15%).

    Tout aussi encourageant, selon l’enquête Odoxa-Orange/Presse régionale/France inter/L’Express publiée aujourd’hui, 58% des personnes interrogées (dont 31% des sympathisants de gauche et  77% des sympathisants de droite incluant ceux du FN) sont d’accord avec l’idée que  le Front National devrait être à présent considéré comme un parti comme les autres . Ils étaient 42% à le penser en septembre 2010 et 53% en mars 2014 .

    Mieux encore, à quatre mois des élections départementales, 28% des Français compteraient voter FN, devant l’UMP (25%), le PS et ses petites formations alliés (17%), le  Front de Gauche  (9%) , l’UDI et Europe Ecologie-Les Verts (7% chacun), ou encore le MoDem (5%)…

    Alors, ces chiffres annoncés ne doivent pas  une nouvelle fois nous faire perdre de vue l’essentiel : la question de la  mobilisation des abstentionnistes, des déçus de la gauche et de la droite qui n’ont pas franchi le pas du vote FN et Marine et que Henry de Lesquen ne prend peut être pas suffisamment en compte dans ses analyses évoquées plus haut.

    Il faut être conscient du poids déterminant de l’abstention. À titre d’exemple, si l’on prend  le résultat des élections européennes de cette année qui ont vu le FN se hisser en tête, avec près de six abstentionnistes pour quatre électeurs,  le score des listes PS (13,98 %) se situe à environ 6% des électeurs inscrits, les 20,81% des listes UMP à 8% des inscrits , les  25% des listes FN à 10% des inscrits… On voit ici l’étendue du champ des possibles qui s’offre à la formation politique qui saura  réveiller de leur  torpeur les grévistes du vote.

    http://gollnisch.com/2014/12/16/comment-gagner/

  • Quand Rachida Dati défend Marine Le Pen…

    Nicolas Sarkozy commence les petites mutations politiques, dont certains de ses anciens lieutenants (et ministres) font déjà les frais.

     

    Après chaque parti(e) politique, les cartes sont redistribuées. De retour à la tête de l’UMP (sans le triomphe espéré), Nicolas Sarkozy commence les petites mutations politiques, dont certains de ses anciens lieutenants (et ministres) font déjà les frais. Des voix discordantes se font de plus en plus entendre.

    Après la ridicule polémique sur l’utilisation de la torture, Rachida Dati, ex-lieutenant de Nicolas Sarkozy, a défendu Marine le Pen : « Il y a des responsables pour lesquels on accepte les précisions ou même les rectifications, et puis il y en a d’autres pour lesquels on ne l’accepte pas. Et Marine le Pen, souvent, c’est un peu facile de pouvoir polémiquer avec elle. »

    Le jeu des petites phrases ressemble plus, à défaut d’une vraie stratégie politique (donc sur le long terme), à des tactiques (court-termistes) que l’on voit se mettre en place. En juin 2014, sur le plateau d’« On n’est pas couché », avec Jean-François Kahn pour son livre « Marine le Pen vous dit merci », l’équipe s’est engueulée sur la manière de combattre le Front national.

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  • L'UMP en voie de NKM-isation

    Un point de vue de Vivien Hoch, dans les 4 Vérités :

    "[...] NKM contrôle à ce point Sarkozy quelle semble faire la pluie et le beau temps dans le parti. [...] Nicolas Sarkozy a dû notamment arracher la nomination de Guillaume Peltier à un poste minime, malgré la pression de NKM, qui le considère tout bonnement comme un « facho ». Ce facho qui, pendant la semi-absence de Sarkozy, était à la tête de toutes les actions prônant absolument son retour. Faut-il le rappeler ? D’ailleurs, sur quelles bases peut-elle critiquer celui qui était, encore récemment, le chef du principal courant de l’UMP, élu par les militants ? [...]

    Celui qu’on appelle, à l’UMP, le « Buisson junior », Laurent Wauquiez, n’est pas non plus en odeur de sainteté dans les couloirs du parti « républicain », et fait même les frais d’un calcul politique à la limite du placement de pion. « Évidemment, il sera parfait [en secrétaire général, place du soit-disant n°3]. Un secrétaire général de parti n’est pas fait pour être aimé, et comme tout le monde le hait, il ne pourra pas durablement comploter contre moi. », aurait affirmé Sarkozy, selon le Canard Enchainé. Et qui entretient, en coulisse, cette haine de Wauquiez : encore et toujours NKM…

    Elle s’offusque récemment de la nomination – qu’elle avait voulu elle-même – d’une ancienne militante du SIEL, parti d’ « extrême droite » pour Le Monde et Libé. Refus absolu, donc, d’accepter toute « ouverture à droite » de l’UMP. [...]

    D’où vient donc cette omniprésence de la gauchière NKM dans un parti dit de droite ? Parce qu’au fond, Sarkozy n’est obnubilé par qu’une seule chose : le second tour de la présidentielle 2017. [...] Il faut, à ce dernier, des gages médiatiques et politiques pour récolter les voix du Centre et de la gauche, face à une probable présence du FN face à lui. Au risque de trahir la grande majorité de ses militants. Pas grave : un militant à l’UMP, c’est comme un « soldat » (discours de Sarkozy devant les cadres de l’UMP, 13 décembre 2014) : il n’a qu’à obéir, sans discuter…"

    Louise Tudy http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 2ème tour de la législative partielle dans l'Aube : Le Front National amplifie sa progression

    Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

    Alors que l’alliance électorale de l’UMPS s’étalait au grand jour, les résultats du deuxième tour de l’élection législative partielle dans la troisième circonscription de l’Aube témoignent d’une poussée supplémentaire du Front National, alors même que les possibilités de progression semblaient limitées dans la mesure où cette circonscription constitue un bastion de l’UMP et n’est donc pas parfaitement représentative.

    En effet, avec plus de 36% des voix, le candidat du Front National progresse de 10 points par rapport au premier tour sur l’ensemble de la circonscription. Cette amplification du vote patriote est remarquable dans la ville de Troyes, où Bruno Subtil obtient 30,44% (22,3% des suffrages au premier tour).

    Si cette forte dynamique démontre la caducité de l’effet balancier entre l’UMP et le PS, elle signe aussi une recomposition concrète du paysage politique français. Face à un système coalisé UMPS qui s’assume ouvertement, s’organise et se développe la seule et réelle alternative qu’attendent les Français, représentée par le Front National.

    L’excellente performance de Bruno Subtil et de sa suppléante Marie-Pierre Amilhau ne fait que renforcer la détermination du Front National à poursuivre son combat pour le redressement de la France et la défense du peuple. Plus que jamais, notre mouvement est rassemblé et mobilisé dans la perspective, notamment, des élections départementales de mars 2015 et régionales de décembre 2015.

    http://nicolasbay.fr/

     

  • Le FN est-il devenu une auberge espagnole ?

    A chaque jour une révélation ou une prise de guerre au FN. Après Sébastien Chenu (ex-UMP) ce week-end et aujourd'hui le controversé Fabien Odoul (ex-UDI), Florian Philippot propose désormais à Fatima Allaoui, de rejoindre le FN :

    "Bah écoutez, elle a qu'à venir au Front national à ce moment-là. Pourquoi pas, elle peut venir au Front national. Si elle est patriote, sincèrement patriote, je pense qu'elle l'est d'après ce qu'on m'a dit, alors elle a sa place au Front national"

    Fatima Allaoui était à l'UMP qu'elle a quitté à la suite de divergences de fond puis a adhéré au SIEL avant de revenir à l'UMP... Autant dire que son engagement politique a l'air solide et fortement ancré dans des convictions stables...

    Le FN de Florian Philippot va-t-il donc proposer également aux patriotes sincères que sont Jacques Bompard, Carl Lang, Martial Bild, Bernard Antony ou encore Bruno Mégret de rejoindre le FN, Bruno Mégret étant probablement le dernier mégrétiste non réintégré ?  

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Elections professionnelles : la FPIP en tête au commissariat du Mans

    Parmi les élections professionnelles qui ont lieu début décembre, il est un résultat détonnant pourtant non mis en avant par les médias. Au commissariat du Mans (Sarthe), c’est la FPIP qui est arrivée en tête. Or la FPIP est réputée proche de l’extrême droite. Il faut dire que la préfecture de la Sarthe cumule depuis un certain temps tous les travers qui font du Mans une quasi zone de non-droit.

    France Bleu Maine revient sur ce résultat :

    Déjà, entre 2001 et 2003, la FPIP avait été majoritaire au Mans. A l’époque, son secrétaire national s’appelait Claude Choplin. C’est désormais lui qui gère le syndicat au niveau national.

    Onze ans plus tard, rebelote puisque les policiers manceaux ont voté à 45 % pour cette organisation réputée proche de l’extrême droite. A la tête de la section départementale cette fois, Jean-François Duchene. Un policier très à l’écoute de ses collègues, et qui reconnaît lui même que cette élection est aussi une question de personne.

    La FPIP occupera donc trois des six sièges alloués aux policiers au sein du comité technique de proximité, qui s’occupe des conditions de travail et du fonctionnement du commissariat au quotidien. C’est un cas unique en France puisqu’au niveau national, le score de la FPIP reste faible et stable : environ 5 %. Au niveau régional, la FPIP rafle également deux sièges (15 %) dans l’instance qui suit l’avancement des Majors.

    >> Pour lire l’intégralité de l’article.

    http://fr.novopress.info/179928/elections-professionnelles-fpip-en-tete-au-commissariat-du-mans/