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élections - Page 598

  • Diana Johnstone: Hillary Clinton, une va-t-en guerre en course pour la Maison Blanche.

    Entretien réalisé par l’ agence info libre avec la journaliste Diana Johnstone, à propos de l’implication d’Hillary Clinton dans la guerre de Libye, le soutien financier qu’elle reçoit de l’oligarchie américaine et du lobby pro-israélien pour sa course à la Maison Blanche, le système « démocratique » américain…

    Suite de l’entretien avec Diana Johnstone, avec comme thématiques abordées l’influence américaine sur les pays européens via des fausses ONG comme la Nation Endorsment for Democracy ou encore la construction de l’Union Européenne, le chaos régnant en Libye depuis l’assassinat de Mouammar Kadhafi, le soutien d’Israël à des factions djihadistes se battant contre la Syrie de Bachar Al-Assad…

    Source: Agence Info Libre

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • UMP/PS/FN : un fauteuil pour trois

    Pour Guillaume Bernard, la législative partielle du Doubs témoigne de la nouvelle organisation tripartite de la vie politique française.

    Derrière le dilemme des consignes de vote pour une élection dont un parti est éliminé du second tour, se profile un enjeu national crucial: avec qui cette formation est-elle potentiellement prête à gouverner? En effet, les élections redessinent depuis 2012 le paysage politique français; il devient tripolaire: gauches et écologistes, centre et droite modérée, droite radicale. L'ambition des deux actuels partis de gouvernement (PS et UMP) est donc d'être présents au second tour de la prochaine présidentielle contre le FN. Ils partent du principe que cela leur assurera automatiquement la victoire. Vraisemblable, ce scénario n'est pour autant pas certain. En outre, il élude commodément l'étape suivante: les législatives. Si un président nouvellement élu a toujours obtenu, sous la Ve République, une majorité parlementaire, la chose devient plus aléatoire avec la transformation du système partisan. 

    Car si aucun des trois camps n'obtenait de majorité stable à l'Assemblée nationale, il faudra constituer un gouvernement de coalition. En supposant que la droite modérée gagne la présidentielle, acceptera-t-elle de gouverner avec certaines composantes de la gauche? C'est ce qu'anticipent des dirigeants de l'UMP en préconisant toujours le «Front républicain» contre le FN. Quant à ceux qui avancent la thèse du «ni-ni», leur position confine au nihilisme. Serait-ce l'aveu de leur incapacité à déterminer ceux dont ils sont -bien que ne s'accordant pas sur tout- les moins éloignés? C'est en tout cas le témoignage sinon du vide du moins de l'écartèlement idéologique interne.

    Le spectre politique fonctionne par interactions. La progression du FN (due en partie à l'abandon de l'espace idéologique de droite) est telle qu'il n'est pas certain que l'UMP demeure le parti dominant à droite. Cela l'oblige à clarifier ses positions sur des sujets comme le multiculturalisme, le protectionnisme ou encore la fédéralisation européenne. De ces précisions découleront naturellement ses stratégies électorales et alliances gouvernementales, mais également l'endiguement ou l'hémorragie de son électorat de plus en plus séduit par le FN ou à défaut par des alliances avec lui.

    Guillaume Bernard 

    Guillaume Bernard est maître de conférence à l'Institut catholique d'études supérieures. Il a également enseigné à Sciences Po, ainsi qu'à l'Institut catholique de Paris et à l'IPC.

    Source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukFuypAlkQeQpHkaj.shtml

  • Nomination de Pécresse : Guaino dénonce la politique politicienne de l'UMP

    Henri Guaino regrette la désignation de Valérie Pécresse comme tête de liste pour les régionales en Ile-de-France, par la Commission nationale d’investiture de l’UMP, jeudi 5 février, rapporte Le Monde  :

    Images-4« J’avais posé ma candidature en demandant qu’il y ait une primaire, c’est-à-dire que les adhérents, les militants, soient consultés. J’en ai assez de ces petites combinaisons entre amis, où les notables se réunissent, font leurs petites affaires. (…) La règle, c’est on t’aime bien, mais laisse-nous faire nos petites affaires entre nous. »

    « Quand vous voyez que vous êtes entourés par des personnes quise battent ni pour des convictions ni pour des idées, ça vous fait réfléchir. Donc, oui, je me suis posé la question [de quitter l’UMP] et je me la pose toujours. Et je pense que je vais me la poser encore. » 

    « Si on ne pratiquait pas la politique politicienne dans notre parti et dans tous les partis, les Français seraient peut-être moins dégoûtés, on s’occuperait un peu plus des affaires du pays ».

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Législatives dans le Doubs. Le candidat du système l’emporte mais de justesse face au FN

     

    Le socialiste Frédéric Barbier a remporté du justesse ce dimanche l’élection législative partielle dans le Doubs face à Sophie Montel du FN, avec un score compris “entre 51 et 52%” des voix.

    Le nouveau député du PS a tenu à remercier, tout particulièrment, Alain Juppé et NKM : “Je serai le député de l’ensemble de la population de la 4e circonscription”, a déclaré Frédéric Barbier qui a remercié les électeurs et les responsables de l’UDI, l’UMP et le MoDem. Et de saluer “Alain Juppé, Nathalie Kosciuszko-Morizet, Gérard Larcher qui se sont affranchis des consignes de leurs partis”.

    Florian Philippot, vice-président du FN, y voit “un excellent score” de la candidate du Front national : “C’est un excellent score car nous étions face au PS + l’UMP + le Front de Gauche + le centre + les Verts”.

    Pour Sophie Montel, le Front National reste – malgré la défaite – le grand vainqueur de ce scrutin, tout en ajoutant :

    Le Parti socialiste n’a pas à fanfaronner. Nous avons fait voler en éclat le tripartisme. Nous sommes dans un bipartisme avec la caste d’un côté et le FN de l’autre

     

    Certains voix à gauche ont toutefois fait part de leurs vives inquiétudes devant cette courte victoire du PS.

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  • Faible victoire du PS face au FN dans le Doubs

    La candidate du FN Sophie Montel a reconnu sa défaite ce soir dans le 2e tour de la législative partielle de la 4e circonscription du Doubs, face au socialiste Frédéric Barbier. Enfin, "PS"... le candidat a évité d'afficher son appartenance au au parti au pouvoir :

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    « Ensemble pour la République » est un parti inconnu.

    La candidate du FN assure avoir obtenu plus de 49%, comme quoi un bon nombre d'électeurs UMP se sont ralliés au candidat FN.

    Michel Janva

  • UMPS, la fin de l’entre-soi ?

    Avec le scrutin majoritaire, un parti en perte de vitesse est condamné à une mort plus ou moins rapide.

    M. Philippe Bas, ancien ministre et sénateur UMP, vient de déclarer dans les colonnes du Monde que s’il est en désaccord fondamental avec la politique du gouvernement socialiste – hors quelques points mineurs -, il l’est encore davantage avec les options du FN.

    Il les résume ainsi, forçant grossièrement le trait : rejet de l’étranger entraînant la division des Français et l’affaiblissement de la France, fermeture des frontières, autarcie, causes d’appauvrissement, de chômage et d’absence de croissance, contrainte sur des groupes de population, etc.

    Ce que M. Bas décrit, c’est finalement la situation dont les Français souffrent déjà. Or, il propose de voter pour les socialistes quand ils sont opposés au FN. Il y a tout de même un hiatus formidable dans cette prise de position.

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  • « SYRIZA ne partage pas le sectarisme de certaines autres « gauches » européennes… »

    Sans surprise, SYRIZA, parti de la gauche radicale, vient de gagner les élections législatives en Grèce. Vous êtes de ceux qui s’en affligent ou de ceux qui s’en réjouissent ?
    Je ne vais certainement pas bouder mon plaisir à voir pour la première fois un parti anti-austérité arriver au pouvoir en Europe. Comme l’a dit Jacques Sapir, « c’est à la fois le refus d’une austérité meurtrière qui ravage la population grecque depuis 2010 et le refus de la soumission aux injonctions de Bruxelles et de la Commission européenne », c’est-à-dire une gifle aux prêteurs usuriers de l’oligarchie libérale. Sur le plan de la politique intérieure, SYRIZA s’impose par ailleurs au détriment des deux grands partis gouvernementaux de droite (Nouvelle Démocratie) et surtout de gauche (le PASOK, tombé à moins de 5 % des voix), ce qui confirme la tendance à l’effondrement du bipartisme sous la poussée des mouvements anti-système qu’on appelle généralement « populistes ».
    L’alliance conclue par SYRIZA, non avec le parti communiste (KKE), qui lui est hostile, mais avec les souverainistes de droite, le parti des Grecs indépendants (ANEL) de Panos Kammenos, nouveau ministre de la Défense, en dépit de tout ce qui les sépare, montre que Tsípras a le sens des priorités et qu’il ne partage pas le sectarisme de certaines autres « gauches » européennes. Sa décision de se désolidariser des condamnations de la Russie par l’Union européenne est également un fait notable quand on sait que la Grèce appartient à l’OTAN (la première personnalité que Tsípras a rencontrée après son investiture a été l’ambassadeur de Russie en Grèce).
    Mais comment sortir de l’impasse, avec une dette manifestement impossible à rembourser ?
    Après la crise financière de 2008, la « troïka » (Commission européenne, FMI et Banque centrale européenne) a affirmé que les États surendettés devaient s’engager dans la voie de l’austérité et des privatisations, seule conforme aux dogmes de l’économie néoclassique, c’est-à-dire libérale. Or, les politiques d’austérité sont nécessairement vouées à l’échec, puisqu’en généralisant la précarisation et en comprimant le pouvoir d’achat, donc la demande, elles pèsent à la baisse sur la production et l’emploi comme sur les rentrées fiscales. Leur seul résultat est de faire exploser la pauvreté et le chômage. La Grèce représente à cet égard un cas d’école. Depuis 2010, le peuple grec a été pressuré de toutes les façons possibles, l’État grec a commencé à brader son patrimoine, sans aucun résultat positif. Après cinq années d’une purge sociale d’une violence inouïe, deux millions de Grecs (sur onze millions) vivent en dessous du seuil de pauvreté, les salaires et les retraites ont chuté de 40 %, les PME font faillite les unes après les autres, et le taux de chômage atteint 25,5 % (60 % chez les jeunes !).
    Censées faire baisser la dette publique, les mesures d’austérité l’ont en réalité fait passer de 120 % du PIB en 2010 à 177 % aujourd’hui, tandis que l’effet combiné de la dérégulation et des privatisations concentrait plus que jamais revenus et capitaux entre les mains de quelques-uns. Résultat : la dette grecque (321,7 milliards d’euros), qui est détenue à 70,5 % par les créanciers internationaux, ne peut tout simplement plus être payée : pour la ramener à 60 % du PIB comme l’exigent ses créanciers, il lui faudrait dégager des excédents budgétaires primaires compris en 8,4 % et 14,5 %, ce dont aucun pays n’a été capable au XXe siècle !

    sourceBoulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukFkAyZkZjutCugHy.shtml

  • L’ancien maire PS de Carbon-Blanc (Gironde) jugé coupable “d’abus de confiance”

    Franck Maurras, l’ancien maire socialiste de la commune de Carbon-Blanc (près de Bordeaux), a été condamné hier à deux ans d’emprisonnement avec sursis, interdiction des droits civiques, civils et familiaux et interdiction de gérer durant 3 ans. Il devra aussi rembourser 150.000 euros à l’association Initiative Gironde.

    franck-maurras

    Il avait choisi de démissionner de son poste de maire en septembre 2013, après les révélations sur son vol de plusieurs dizaines de milliers d’euros dans les caisses de l’association Gironde Initiative (188.000 euros).
    Maire de Carbon-Blanc et Vice-président de la Communauté Urbaine de Bordeaux (délégué à l’économie sociale et solidaire !) Franck Maurras était un proche de l’actuel président du conseil général, le socialiste Philippe Madrelle.

    En mars 2014, c’est le sans étiquette Alain Turby qui mettait fin à la présence de la gauche à la tête de cette commune (7 000 habitants) depuis plusieurs dizaines d’années.

    Ce n’est pas la première fois que le Parti socialiste de Gironde se retrouve dans les rubriques judiciaires des médias. En novembre 2014, l’ancien secrétaire départemental du PS, Ludovic Freygefond, était condamné à 18 mois de prison avec sursis et cinq ans d’inéligibilité, pour « prise illégale d’intérêt et corruption passive ».

    http://fr.novopress.info/182129/lancien-maire-ps-carbon-blanc-gironde-juge-coupable-dabus-confiance/

  • L’UMP préfère redonner la majorité au PS qu’un petit troisième siège au FN…

    Le PS risque fort de conserver le siège du Doubs.

    À la supercherie non dénoncée de la « marche » des chefs d’État isolés de la « populace », ajoutons la mise au ban du FN, et le PS risque fort de conserver le siège du Doubs. Alors que, stratégiquement, l’UMP aurait dû préférer faire perdre un siège au parti dominant et se moquer d’un siège en sus à une aile ultra-minoritaire de l’Assemblée nationale.

    Dans le Doubs, si le candidat PS, Frédéric Barbier, s’est qualifié pour le second tour alors que celui de l’UMP, Charles Demouge, s’est fait jeter, c’est incontestablement en raison de la remontée de l’image de M. Hollande et donc du PS après les attentats de janvier. Le chef de l’État n’a-t-il pas placé sa conférence de presse de jeudi sous « l’esprit de janvier 2015″ ? Tiens, tiens ! Le même mot « esprit » que l’un des derniers choisis par François Mitterrand lors de son ultime déclaration de vœux aux Français…

    Lors du premier tour dans le Doubs, parmi les 592 voix que le PS a recueillies en plus de l’UMP, une majorité devaient venir d’électeurs influencés par la « magnifique » remontée dans les sondages du chef de l’État. Une remontée qui aurait été nettement écornée si la grande presse avait dénoncé — comme elle aurait dû s’empresser de le faire — la mise en scène, disons plutôt la supercherie, la tromperie, l’escroquerie de la « marche des chefs d’État » transformée en promenade clandestine hors de la « marche d’union nationale ».

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  • Nathalie Kosciusko-Morizet est-elle suicidaire ?

    Nathalie Kosciusko-Morizet a déclaré lundi matin qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste.

    Nathalie Kosciusko-Morizet – ce n’est pas une première – a déclaré lundi matin sur BFM qu’entre le Front national et le Parti socialiste, elle choisit le Parti socialiste. C’est du moins la position qu’elle entend défendre mardi devant le bureau politique de l’UMP, réuni pour décider de l’attitude à adopter lors du second tour de l’élection législative partielle dans le Doubs. C’est son droit. En a-t-elle mesuré toutes les conséquences ?

    Tout d’abord, un tel choix renforcerait chez les électeurs du Front national le sentiment que l’UMPS n’est pas une lubie : point de différence notable entre l’UMP et le PS. De leur côté, une majorité des sympathisants UMP, qui souhaitent des accords avec le FN lors des élections locales, ne le comprendraient pas. 

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