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élections - Page 617

  • Ils ont tout essayé, sauf le FN…

    Sur un plan politique, le système français n'est sans doute pas à bout de souffle mais surtout à court d'inspiration.   

    [...] Ayant acheté Le Monde – ce quotidien à la fois irremplaçable et, pour certaines de ses pages et rubriques, énervant -, j’ai pu lire qu’il allait être publié une enquête en six volets sur cette interrogation : « Pourquoi le système politique français est à bout de souffle ».

    [...] Il me semble évident qu’il y a toujours eu ce hiatus, ce sentiment d’étrangeté entre le peuple et ses représentants. Les moments où la démocratie n’a pas été écartelée ont été infiniment rares. Cette distance préoccupante est devenue un gouffre, la droite et la gauche paraissent toutes deux victimes de cette morosité républicaine qui dépasse le champ politique pour toucher aux racines même du lien collectif et du vivre ensemble.

    C’est l’espérance et la confiance en demain qui battent de l’aile. Et l’humanité qui attend un sens pour son existence. Les programmes, devant un tel délitement, ne constituent plus un remède suffisant. On les sait provisoires et voués à être, dans le meilleur des cas, trahis par le réel, dans le pire, des illusions de campagne.

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  • Ah, si le peuple voulait bien la fermer!

    «L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest pourrait prendre des proportions majeures», le «terrorisme islamiste» pourrait frapper massivement notre continent, « la situation politique et financière de la Chine, de plus en plus instable pourrait y entraîner une crise économique majeure»; «la formidable fuite en avant des Etats-Unis par l’endettement et la planche à billets pourrait ne pas réussir à sauver un système financier totalement déséquilibré, avec, là aussi, des conséquences vertigineuses sur l’Europe»; «l’Europe (qui) s’enfonce dans la déflation rend probable une faillite d’un des Etats européens » et «pourrait conduire (l’Allemagne) à sortir, la première, de la zone euro »…Dans un billet récent paru dans L’Express et repris  sur son site slate.fr,  Jacques Attali affirme qu’ « il faut vraiment se voiler la face, comme le font trop de dirigeants politiques, pour ne pas voir que quelque chose de majeur va se passer en Europe, dans les mois qui viennent: l’une ou l’autre des multiples épées de Damoclès suspendues au ciel de l’Histoire tombera sur nos têtes». Certes, mais contrairement à ce grand gourou mondialiste, le FN estime que c’est par le retour au bon sens national, le recouvrement de nos libertés et de nos marges de manœuvre,  que la France pourra surmonter, avec le plus de chance d’y survivre et avec le moins de dégâts, les crises majeures qui se profilent à l’horizon.  Et même d’en  triompher pour en ressortir plus forte.

     Signe de la déchéance incroyable de notre souveraineté, d’une France livrée pieds et poings liés par l’UMPS au moloch Bruxellois, ce gouvernement humble et tremblant dans la crainte de ne pas être dans les clous, a envoyé mercredi à la Commission européenne son projet de budget 2015. Il anticipe un énième dérapage du déficit public en dehors des règles imposées par l’Europe.

    Pour donner le change, le ministre du Budget, Michel Sapin, a juré la main sur le cœur dans entretien accordé aux Echos du 14 octobre que « la Commission, n’a absolument pas le pouvoir de rejeter, retoquer ou censurer un budget. (…) (En matière budgétaire) comme ailleurs, la souveraineté appartient au Parlement français». Oui en effet, le dévoiement de nos élites est encore pire que cela  puisque c’est la classe politique euromondialiste dans son ensemble qui se soumet de son plein gré aux diktats bruxellois. Quant à  l’Assemblée dite nationale, elle n’est plus depuis longtemps  que la simple chambre d’enregistrement de lois émanant très majoritairement  des instances européistes.

      La France, l’Europe, le monde  entre dans une ère que beaucoup d’observateurs prédisent comme chaotique, lourde de menaces multiformes. Est-ce le moment  de baisser la garde ? Soucieux paraît-il de réaliser des économies et encore plus de complaire là aussi  aux diktats austéritaires de Bruxelles, ce gouvernement n’a rien trouvé de mieux que de continuer à s’attaquer une nouvelle fois à notre outil de Défense.

    En témoigne la nouvelle annonce d’une dissolution d’un régiment d’artillerie en Champagne-Ardenne –avec les conséquences dramatiques que l ’on sait sur l’économie locale-  et le départ des activités médicales du Val-de-Grâce à Paris. Non affirme Bruno Gollnisch,  notre armée, bouclier des Français, gardienne de nos intérêts vitaux,  ne devrait pas  être considérée comme une simple variable d’ajustement !

     Pourtant sollicitée comme jamais, mais paupérisée, affaiblie par les coupes sombres opérées sous l’ère Sarkozy -54 000 suppressions de postes issues de la Loi de Programmation Militaire (PLM) 2008-2014 votée par l’UMP-, l’armée française se verra de nouveau amputée de 23 500 postes supplémentaires d’ici 2019… si le candidat de l’UMP ou du PS est élu en 2017. Une politique criminelle menée avec un cynisme assez écœurant puisque cela n’empêche pas le président de la République et le ministre de la Défense de multiplier les mâles déclarations…et  aux  campagnes de publicité de s’étaler dans les médias  pour le recrutement de futurs soldats…De qui se moque-t-on ?

     Autre attaque directe contre les Français, ce gouvernement et sa majorité s’en prennent aux allocations familiales en les soumettant à une modulation. Les familles déjà pressurées, délaissées, méprisées par la droite précédemment au pouvoir n’ont décidemment aucun moment de répit -la branche famille n’est pourtant pas déficitaire…

     Comme l’a noté le FN, «il faut rompre avec l’austérité imposée par Bruxelles et recréer les conditions d’une relance de l’économie; seule la création de richesse permettra de pérenniser les allocations familiales et d’en garantir l’universalité ». Et de préciser que « la seule modulation urgente et juste à mettre en œuvre, serait celle qui consiste à réserver les allocations familiales aux Français ».

     Selon un sondage Odoxa pour I télé et Le Parisien que nous évoquions sur ce blogue le 15 septembre dernier, ce vœu d’une reprise en main nationale de notre destin, de nos ressources est largement partagée par nos compatriotes. 65 %  des personnes interrogées souhaitent  le rétablissement  des contrôles aux frontières intérieures de l’UE (+ 19 points depuis 2011) ; 67 % se disent favorables à ce que les aides sociales et les allocations familiales soient réservées aux seuls Français au nom du principe de priorité/préférence nationale (+ 27 points) ;68%  se prononcent pour la suppression du regroupement familial  (+24 points).

     Mais il n’est pas question d’écouter la vox populi. Invité de la matinale de Patrick Cohen sur France Inter le 9 octobre, le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a avoué ce décalage grandissant entre les politiciens du Système et les Français. «Dans l’opinion, si vous voyez les positions dominantes, on rétablirait la peine de mort et on virerait tous les immigrés. Donc, soyons attentifs…» a mis en garde ce dirigeant socialiste…

     Sans aller jusque là, rappelons avec Bruno Gollnisch, les études sérieuses et convergentes pointant le coût terrible pour nos finances publiques et  la prospérité des Français d’une immigration débridée. Selon les différentes hypothèses,  les définitions retenues pour les populations étudiées et  le périmètre des dépenses et des recettes analysé, ce  surcoût  budgétaire dû à l’immigration est annuellement  de 17 milliards dans la dernière étude de Jean-Paul Gourévitch (2012), de 42 milliards pour  Pierre Milloz (1997), de 73 milliards pour Yves-Marie Laulan (2012), de 84 milliards dans l’étude toute aussi pointue et fouillée d’ André Posokhow (2014).

     Plutôt que de dépouiller les familles françaises et de réduire comme peau de chagrin les moyens de notre Défense nationale voilà une piste sérieuse d’économie. Elle recevrait l’assentiment d’au moins deux Français sur trois, mais elle est farouchement  refusée par l’UMPS… .

     Mais depuis quand  les souhaits des Français sont-ils pris en considération par ce Systéme, la caste  bruxelloise et autres autorités morales? Jules Renard disait « Oui, le peuple. Mais il ne faudrait pas voir sa gueule ».  Et même idéalement l’empêcher de s’exprimer  sur les sujets sérieux  ajouteraient  aujourd’hui  les amis de MM. Bartolone et Attali.

    http://gollnisch.com/2014/10/17/ah-si-le-peuple-voulait-bien-la-fermer/

  • Dissolution du groupe dirigé par Nigel Farage au Parlement européen

    Un groupe dirigé par Marine Le Pen pourrait voir le jour

     Le groupe eurosceptique « Europe de la liberté et de la démocratie directe », créé à l’initiative du président du parti britannique UKIP, a été dissous.

    Formé en juin 2014 à la suite des élections européennes, il regroupait 48 députés de 6 partis, issus de 7 pays :

    24 de l’UKIP (Royaume-Uni) 
    17 du Mouvement 5 étoiles (Italie) 
    2 Démocrates suédois (Suède) 
    1 de l’Union des paysans de Lettonie (Lettonie) 
    1 du Parti des citoyens libres (République tchèque) 
    1 indépendant (Joëlle Bergeron, ex-FN) 
    2 de Ordre et justice (Lituanie)

    La défection d’un seul de ces membres, la lettone Iveta Grigule de l’Union des paysans de Lettonie, a suffit à la désintégration du groupe (la règle d’avoir des représentants venant de 7 pays différents n’étant plus respectée).

    Europe de la liberté et de la démocratie directe accuse le président du groupe PPE, Manfred Weber, et le président du Parlement européen, Martin Schulz, d’avoir proposé un arrangement à Mme Grigule : son départ du groupe eurosceptique en échangé de la présidence de la délégation parlementaire pour l’Asie mineure (Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Tadjikistan, Turkménistan et Mongolie).

    Nigel Farage n’a pas tardé à faire connaître son mécontentement :

    « Mme Gridule a signé sa lettre de démission ce matin dans le bureau de M. Schulz. Si nous comprenons bien ce qui s’est passé, M. Schulz serait plus à sa place comme président d’un Parlement dans une République bananière ! »

    Le dirigeant du UKIP et Beppe Grillo, le chef du Mouvement 5 Étoiles, avaient réussi leur pari de constituer un groupe au Parlement européen, contrairement au Front national avec lequel ils avaient refuser de négocier. Désormais M. Farage et les autres membres de son groupe devront siéger aux côtés de Marine le Pen et des 23 eurodéputés frontistes au sein des non-inscrits (100 élus), devront partager le temps de parole avec eux et dire adieu à 4 millions d’euros de budget.

    Le PPE (dont fait partie notamment l’UMP et l’UDI) s’est rejoui du succès de sa petite manipulation en tweetant :

    « Première défaite pour les Eurosceptiques ! Le groupe EFDD disparaît avec le départ de la lettone Iveta Grigule »

    Dans ce contexte et afin que leur présence ne relève pas du témoignage, certains éléments du groupe dissout pourraient être tentés de rejoindre une alliance composée du Vlaams Belang belge, de la Ligue du Nord italienne, du FPÖ autrichien, du Parti de la liberté néerlandais et du Front national français. Ainsi, les conditions pour la création d’un groupe seraient respectées et ce nouveau groupe, probablement dirigé par Marine Le Pen, confirmerait le pronostic de l’eurodéputé et vice-président du FN, Florian Philippot, qui ne donnait pas longtemps au groupe de M. Farage pour disparaître car « fait dans la précipitation » et « ne tenant pas à grand-chose ». Il avait également assuré : « Nous aurons un groupe avant la fin de l’année. »

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    Le Parlement européen avant le départ d’Iveta Grigule

     

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    Le Parlement européen après le départ d’Iveta Grigule
  • Brigitte Bardot réaffirme son soutien à Marine Le Pen

    Entre Brigitte Bardot et la famille Le Pen, il y a une longue et fidèle amitié. Les plus anciens se souviendront des photos en noir et blanc de Brigitte Bardot avec Jean-Marie Le Pen lorsque celui-ci organisait les caravanes de soutien à l’Algérie Française.

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    Hier, dans l’émission « Un jour, une histoire », Brigitte Bardot accordait une interview exclusive à Laurent Delahousse. Elle y redit son soutien à Marine Le Pen.


    Brigitte Bardot : « J’aime beaucoup Marine Le Pen » par puremedias

    http://medias-presse.info/brigitte-bardot-reaffirme-son-soutien-a-marine-le-pen/15557

  • Pourquoi Juppé est le deuxième candidat du PS

    Juppé a toutes les chances d’être élu et il écrasera Marine Le Pen au deuxième tour.   

    Juppé est déjà le candidat de la gauche en 2017. La gauche a compris que le candidat socialiste ne ferait rien et elle ne veut pas de Sarkozy. Elle a donc déjà gagné les présidentielles.

    Juppé a toutes les chances d’être élu et il écrasera Marine Le Pen au deuxième tour. On a donné cette dernière en tête au premier tour, mais les choses peuvent changer (et elle-même reculer). Au second tour, Marine prendrait 64 % contre elle et on aurait le jeune premier bordelais comme énième président.

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  • Les eurodéputés arrondissent leurs fins de mois

    Non seulement les députés qui sont censés gouverner l’UE n’y consacrent pas l’intégralité de leur temps, mais de plus, c’est souvent en conflit d’intérêt avec leur activité professionnelle.
    C’est pas beau la démocratie ?

  • La gauche morale : hégémonique et minoritaire

    A l'occasion de la sortie du dernier numéro de Causeur intitulé «Gauche : mourir dans la dignité ?», Elisabeth Lévy a accordé un long entretien à FigaroVox. Extraits :

    "Certes, il existe toujours un camp politique qui s'appelle «la gauche», quoi qu'il ne soit pas très en forme. Mais il est intellectuellement et idéologiquement moribond: quel référent peut bien désigner un signifiant revendiqué par Najat Vallaud-Belkacem et Jean-Pierre Chevènement, Bernard-Henri Lévy et Emmanuel Todd, Jean-Luc Mélenchon et Michel Sapin ? Le mot «gauche» est devenu une sorte de mantra, un totem qu'on s'arrache en jouant à «plus à gauche que moi tu meurs», d'où la traque permanente des imposteurs et hérétiques qui trahissent la «vraie gauche». Mais le mot «chien» ne mord pas et le mot «gauche» ne crée pas de justice. [...]

    Si je m'intéresse à ce que vous appelez la «gauche morale», c'est parce que son pouvoir culturel, et plus encore médiatique, est sans commune mesure avec son poids réel. Le peuple de gauche ou ce qu'il en reste n'aime pas plus que celui de droite les fanfreluches sociétales qui enchantent le bobo de gauche et de droite - qui est conforté par les protestations des ploucs.Hégémonique et minoritaire : la gauche morale a accouché de la gauche rebelle, mot remis au goût du par cesRendez-vous de l'Histoire de Blois. La rébellion, c'est précisément ce qui reste de la révolution à l'âge de l'individu et de Canal +. Ce qui donne le sentiment de vivre dans un asile de fous, c'est qu'aujourd'hui, le rebelle est au pouvoir. Plus il est minoritaire, plus il se sent légitime pour décider ce qu'il convient de penser, plus il est hargneux avec ceux qui ne pensent pas comme lui. Ce rebelle dominant, oxymore qui rappelle les «anarchistes couronnés» d'Antonin Artaud ou les délicieux «mutins de Panurge» de Philippe Muray (upgradés ensuite en «matons de Panurge) - résume le mensonge dans lequel la gauche est engluée : elle cumule les gratifications de la subversion et le confort de l'institution. Ainsi parvient-elle, en dépit de son discrédit croissant, à rester l'arbitre des élégances morales, décider de quels sujets on peut parler et qui peut en parler. Hégémonique et minoritaire, cela finit par poser un problème démocratique, non ? [...]

    En réalité,la gauche d'aujourd'hui n'aime pas les pauvres, elle aime l'Autre, et elle l'aime d'autant mieux qu'elle le croise peu.Résultat: abandon de la nation, abandon du peuple. [...]

    [J]e ne me détermine certainement pas sur les programmes économiques que séparent surtout des différences rhétoriques- même si la rhétorique de gauche («mon ennemi c'est la finance», «qu'ils s'en aillent tous») m'exaspère particulièrement. Mais je ne me sens pas particulièrement «de droite». Tout d'abord, on ne peut pas dire que la santé doctrinale, intellectuelle et politique de la droite soit plus brillante que celle de la gauche. Et elle est, comme elle, un foutoir idéologique. Cependant, il y a une différence fondamentale. Dans le fond, être de gauche, c'est avoir raison. Pour des raisons essentiellement historiques, la droite ne prétend pas incarner le Bien, au contraire, elle a en quelque sorte intégré son infériorité morale. Aussi, quelles que soient ses tares et ses turpitudes, la droite est-elle - spontanément plus pluraliste, moins sectaire, moins fanatique que la gauche."

    Michel Janva

  • Pas assez à droite : Sarkozy déçoit et chute

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Nicolas Sarkozy refuse de se positionner à droite, le voilà qui chute dans plusieurs sondages. Il enregistre 64% d’opinions négatives et perd neuf points de popularité chez les Français, son score le plus bas depuis qu’il a quitté l’Elysée. Même scénario à l’UMP : l’ancien chef de l’Etat perd onze points auprès des sympathisants et est détrôné pour la première fois par Alain Juppé. Selon ce sondage Ipsos, le retour de Nicolas Sarkozy profiterait même à François Hollande puisqu’il gagne trois points et passe à 16% de bonnes opinions…"

    Michel Janva

  • Le « Mariage pour tous » fera exploser l’UMP

    La question de l’abrogation de la loi Taubira, elle, n’est que le premier maillon du déchirement.   

    500.000 personnes dans les rues de Paris et 25.000 à Bordeaux, le 5 octobre 2014, contre la politique anti-famille du gouvernement. L’UMP tente de récupérer le mouvement, et pourtant, aucun communiqué d’appel à la manifestation n’a été reçu en provenance de la rue de Vaugirard.

    Seuls Hervé Mariton (qui recueille 1 % d’intentions de vote chez les sympathisants UMP pour la présidence), Guillaume Peltier (qui roule pour Nicolas Sarkozy, très ambigu sur le sujet) et Henri Guaino se sont prononcés en faveur de l’abrogation de la loi Taubira (même si Henri Guaino a précisé que cela serait très difficile).

    Dernière en date à avoir révélé le vrai visage de l’UMP, Valérie Pécresse : « Abroger la loi Taubira, humainement, ça n’est plus possible. »

    En extrapolant un peu les arguments de Valerie Pécresse, pourra-t-on en déduire aussi qu’abroger la réforme pénale de Taubira sera aussi humainement impossible ? Renverser les flux migratoires, réserver les allocations familiales aux seuls Français, supprimer le droit du sol, supprimer le regroupement familial, supprimer l’Aide médicale d’État, « humainement impossible » ?

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  • Espagne :La moitié des électeurs du PP ne revoteront pas pour le PP

    ... en raison de son refus de restreindre l'avortement :

    "Ainsi, le Parti populaire est parvenu en cédant à toutes les révolutions sociétales socialistes (« mariage gay », avortement…) à descendre presque aussi bas que le PS français alors qu’il fait nettement mieux sur le terrain économique : réduction des déficits publics, légère baisse du chômage (qui reste malgré tout très élevé), retour à une croissance modérée après plusieurs années de récession… Tout ceci après avoir hérité d’une situation catastrophique causée par plusieurs années de gestion socialiste calamiteuse (immigration de masse, bulle immobilière gigantesque…). [...]

    De leur côté, les associations pro-vie appellent les Espagnols à ne plus voter pour le PP et à venir manifester massivement contre l’avortement le 22 novembre prochain. Cet appel a été lancé par une quarantaine d’associations qui représentent plus de 4 millions de familles espagnoles."

    Michel Janva