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élections - Page 614

  • L’éternel retour des vieux-battus

    La chronique de Philippe Randa

    Nicolas Sarkozy, évincé de la Fonction Suprême en 2012, veut prendre sa revanche. Mais pour Alain Juppé, ex-Premier ministre chassé de Matignon par la rue en 1997, puis condamné à 10 années d'inéligibilité en 2004 (ramené en appel à 1 année seulement), c’est dans deux ans ou jamais. Il ira donc jusqu’au bout pour faire don de sa personne aux ors de la République… à 71 ans ! Mieux vaut tard que jamais !

    François Fillon aussi entend en découdre à cette occasion, bien qu’il n’ait même pas été capable d’emporter la direction de l’UMP, ses partisans ayant sans doute moins trichés que ceux de son rival… Au moins, cette défaite lui aura-t-elle permis d’échapper au « scandale Bygmalion » qui obligera justement Jean-François Copé à abandonner la fonction.

    Mais qu’à cela ne tienne : trois dirigeants de la fabrique à fausses factures sont désormais mis en examen, et alors ? L’Ex-président de l’UMP vient de réactiver son club Génération France pour « faire vivre les débats au niveau local ». Et préparer sa candidature en 1917 ? « Pourquoi pas ! », a-t-il « lâché à un proche », selon le site L’Opinion.

    Nous aurions tord de moquer tant d’obstination de la part des uns et des autres : voyez Gérard Larcher ! Ex-président du Sénat, il vient de retrouver le « plateau » du Sénat, après avoir à nouveau battu son rival Jean-Pierre Raffarin. Celui-ci devra donc attendre trois ans de plus, sans doute ! pour concourir à nouveau. Pourquoi pas !

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuEkZEEpFkdvBaUspV.shtml

  • Alain Juppé va-t-il battre Nicolas Sarkozy ?

    Plus le temps passe, plus l’ancien premier ministre semble devoir devenir un challenger sérieux à la présidence de l’UMP – et donc à la présidentielle de 2017 -, et plus l’ancien président de la République semble devoir se fondre dans la masse des candidats de l’UMP.

    Juppé a raison de faire une campagne longue, son impopularité d’alors et sa médiocrité à la tête du gouvernement n’ayant pas marqué les esprits. C’est un chiraquien pur jus, bon en rien, mou en tout, soumis à la machine mondialiste et formaté par les loges. Un petit soldat béni-oui-oui de l’utopie européenne ayant par ailleurs des qualités indéniables pour ce qui est de l’administration locale.

    Sarkozy a fasciné, il a concentré sur sa personne beaucoup de passion : aimé ou détesté, il n’a pas laissé indifférent. Son absence visuelle a élargi son audience médiatique depuis son échec de 2012, se faisant passer pour le sauveur que personne ne voit mais que tout le monde attend. Trépignant, Sarkozy s’est lancé lui aussi dans une campagne longue, s’abaissant au niveau des autres candidats. La longue campagne risque de tout lui faire perdre, toutes les promesses qu’il fait rappelant cruellement toutes celles qu’il n’a pas tenues, puisque ce sont les mêmes !

    Tous les sondages semblent confirmer ce constat : dans un sondage paru jeudi de l’institut LH2 pour Le Nouvel Observateur, Alain Juppé (47%) devance Nicolas Sarkozy (35%) pour la primaire UMP,  investiture pour l’élection présidentielle de 2017, même si l’ancien Président reste le favori chez les sympathisants UMP (51%) ; néanmoins Alain Juppé gagne 8 points en trois mois (de 29% à 37%). Henri Guaino, ami et conseiller de Nicolas Sarkozy en est bien conscient : « C’est difficile, c’était prévisible. Je l’ai toujours dit, je n’étais pas favorable à ce qu’il revienne par le parti ».

    Reste que l’un et l’autre sont les deux faces d’une même pièce, celle d’une fausse droite à la remorque idéologique de la gauche. Si Hollande a été élu en 2012 par défaut, le candidat de la droite le sera également face à Marine Le Pen en 2017, et encore s’ il gagne face à elle, de quoi renforcer un peu plus le véritable engouement que provoque le Front-National.

    Xavier Celtillos

    http://medias-presse.info/alain-juppe-va-t-il-battre-nicolas-sarkozy/16327

  • On ne lâche rien, vraiment ? (Présent 8207)

    La réaction exclusive de Béatrice Bourges à la manif du 5 octobre

    C’est à Présent que Béatrice Bourges (photo) cofondatrice en 2012 de la Manif pour tous puis fondatrice du Printemps français, a réservé sa première réaction à la grande manif de dimanche dernier. Notre quotidien lui ouvrira par la suite régulièrement ses colonnes pour des tribunes libres et sans concession, à la manière courageuse de celle que Manuel Valls a qualifiée de « femme la plus dangereuse de France ».

    On ne lâche rien, vraiment ? (Présent 8207)Dimanche 5 octobre, j’étais à la manifestation organisée par LMPT.

    J’en suis revenue, non pas galvanisée comme je l’espérais, non pas pleine de l’énergie d’une foule combattant pour des idéaux communs, comme je l’attendais. Non, je suis revenue triste et mal à l’aise.

    Et pourtant, les commentaires sont quasi unanimes : ce fut une grande réussite.

    Mais tout dépend de ce que l’on attend de ce type de manifestation et où l’on place le curseur.

    Si le critère de réussite est le nombre de manifestants et le fait qu’il n’y ait pas eu de débordements, alors oui, vu sous cet angle, la manifestation était une réussite. C’était même parfait. Il n’y avait pas un cheveu qui dépassait, pas un slogan autre que ceux autorisés par LMPT. Oui, vraiment, tout était impeccable. Chacun est rentré sagement chez soi. LMPT pouvait être fière de ses gentils manifestants, dont j’étais.

     

    Alors, pourquoi ce malaise persistant ? Et bien, tout simplement parce que mes critères de réussite ne sont pas les mêmes.

    Je dirai donc tout ce qui fonde mon malaise.

    Il tient d’abord à la vidéo qui appelait à la mobilisation. Non, contrairement à ce qui est dit dans cette vidéo qui ne parle que de succès, nous n’avons rien gagné. La vérité oblige même à dire que nous avons tout perdu et que l’agenda « sociétal » s’accélère. Nous le savons tous et c’est pour cela que nous étions si nombreux dans la rue ce 5 octobre. Pas pour fêter les victoires, bien au contraire. Alors pourquoi travestir la vérité dans cette vidéo ?

    De plus, que veulent dire les propos tenus par la présidente de LMPT (interview dans Direct Matin du 1er octobre 2014) ? « Il faut trouver une alternative d’union pour les couples homosexuels »solution à imaginer par les politiques. Frigide Barjot a été évincée parce qu’elle prônait un contrat d’union civile. Mais qu’y a-t-il de différent entre « une alternative d’union » et un CUC ? C’est à force de petits renoncements que notre société se meurt.

    C’est sans condition qu’il faut revenir sur la loi Taubira, et pas seulement parce que le « mariage » homosexuel conduit à la PMA et à la GPA. Pourquoi ? Tout simplement, parce que le mariage est fondé sur la distinction anthropologique de l’homme et de la femme. Parce que le mariage, ce n’est pas la reconnaissance sociale du couple, parce que le mariage, même sans enfant, c’est l’institution qui crée la famille, fondée sur l’altérité sexuelle.

    Nos adversaires idéologues peuvent se réjouir. Ils ont fait passer la loi Taubira. Presque plus aucune personnalité politique ne réclame son abrogation sans condition. C’est ce que l’on appelle la politique des petits pas. C’est ainsi que cela fonctionne depuis plus de deux siècles. Et ça marche.

    Je dirai aussi le malaise que j’ai ressenti dans cette ambiance festive, comme si l’heure était à la fête, pendant que le monde est en guerre et que nos frères chrétiens se font massacrer par les islamistes. Pourquoi tant de bruit, comme si le silence faisait peur ?

    Enfin, je dirai encore le malaise que j’ai ressenti lorsque, passant devant les écrans géants, j’ai vu et entendu des députés s’exprimer, tous UMP, comme d’habitude. Comme si l’UMP n’avait pas suffisamment trahi et n’était pas en grande partie responsable du chaos dans lequel se trouve la France. Comme un message subliminal nous demandant d’oublier que c’est sous la présidence d’un Nicolas Sarkozy, bien silencieux sur ces sujets, que l’idéologie du genre a fait son entrée par la grande porte dans les manuels scolaires. « Qui ne dit mot consent », dit le dicton. CQFD.

    Alors, oui, je suis revenue triste et mal à l’aise, comme beaucoup de manifestants qui sont rentrés chez eux avec un goût amer dans la bouche et qui me l’ont fait savoir. Dès lors que l’on commence à lâcher un peu, on perd tout. Alors, surtout, qu’ONLR ne devienne pas juste un slogan !

    Béatrice Bourges

    http://fr.novopress.info/176525/on-lache-rien-vraiment-present-8207/#more-176525

  • Nicolas Sarkozy, la grande illusion

    Nicolas Sarkozy n’a ni Austerlitz ni 18 Juin derrière lui, seulement un quinquennat dont les résultats n’ont guère été brillants.   

    Beaucoup de militants et de sympathisants de l’UMP espèrent le retour de Nicolas Sarkozy. Sarkozyste de la première heure, je les comprends. Comme eux, j’ai été séduit par son énergie, ses discours volontaristes cernant les problèmes essentiels et annonçant les réformes nécessaires. Malheureusement, je l’ai trop bien connu et suivi, pour ne pas les mettre en garde contre un triple danger.

    Le premier risque est de succomber à une double illusion. D’abord celle de l’homme providentiel, en réserve de la République et qu’on appelle en des temps difficiles. Nicolas Sarkozy n’a ni Austerlitz ni 18 Juin derrière lui, seulement un quinquennat dont les résultats n’ont guère été brillants, même si la confrontation avec celui en cours ne peut lui être que très favorable.

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  • Bartolone avoue qu’il ne faut pas écouter les Français…

    Invité de la matinale sur France Inter il y a quelques jours, Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale, nous a donné une magnifique leçon de démocratie en direct.

    Sans trembler, il a affirmé que si l’on écoutait la majorité des français « on rétablirait la peine de mort et on virerait tous les immigrés ».

    L’aveu est incroyable mais à le mérite de clarifier les choses : la démocratie moderne consiste à écouter le peuple uniquement s’il est d’accord avec ses élites. Pour le reste, n’y pensez pas.

    On pourrait parfois confondre avec un système totalitaire n’est-ce pas ?

     

  • Zemmour : "je vois venir des jacqueries, des jours de colère"

    Eric Zemmour répond à Présent à propos de son dernier ouvrage. Extrait :

    Z"Si je suis ma raison, l’état dans lequel est la France est irréversible. Si je suis mon espoir et si je considère l’histoire de France, faite de chutes et de sommets, je me dis qu’on va toucher le fond si durement qu’il s’ensuivra un rebond. Raisonnablement je ne crois pas à un relèvement, mais la raison n’a pas toujours raison.

    Voyez-vous un précédent au suicide que vous décrivez ?

    La chute de l’Empire romain. Il y a, au cœur du suicide français, une haine de soi très caractéristique. Les Romains n’ont peut-être pas ressenti cela – c’est difficile à savoir – mais ils apparaissent emplis d’une lassitude de soiLa grande bourgeoisie romaine, particulièrement, s’est comme laissé massacrer par les barbares. Elle était lasse d’elle-même, comme le préfet de Lutèce dans Astérix et La Serpe d’or : « Je suis las, las, las… » Les Romains de la fin sont passifs. Nous aussi. C’est cela que j’appelle suicide. [...]

    Selon Jules Monnerot, quand les élites deviennent imperméables et déconnectées du peuple, cela provoque à terme une révolution. Sommes-nous dans ce cas de figure ?

    Pour qu’il y ait une révolution, une prise de conscience est nécessaire. Nous n’y sommes pas encore. Le but de mon livre est de déconstruire les déconstructeurs, pour accélérer la prise de conscience. Plutôt qu’une révolution, je vois venir des jacqueries, des « jours de colère ». Avec les Bonnets rouges, on voit de nouvelles alliances : petits patrons et ouvriers. Cela met Mélenchon hors de lui, car il a compris ce qui se passe : cette alliance est celle des victimes de la mondialisation.

    Je vois venir aussi l’affrontement de trois jeunesses. D’une partla jeunesse des grandes écoles, supérieures, faite des bons petits soldats de la mondialisation, élevés dans le multiculturalisme chic et la théorie du genre au point qu’ils ne se rendent pas compte combien tout cela est factice. D’autre part la jeunesse populaire, délaissée, « périphérique » pour reprendre l’expression de Christophe Guilluy. Enfin la jeunesse immigrée. Ces trois jeunesses sont étrangères les unes aux autres, elles finiront par s’affronter. [...]"

    Michel Janva

  • L'Ukip entre au Parlement britannique

    Le parti souverainiste Ukip entre pour la première fois au Parlement britanniqueaprès la victoire de son représentant Douglas Carswell dans une législative partielle, avec 60% des voix. M. Carswell, député sortant, avait lui-même provoqué cette partielle en claquant la porte du parti conservateur.

    La victoire de cet eurosceptique permet à l'Ukip de décrocher son premier siège de député à Westminster depuis sa création en 1993. Elle valide le succès des élections européennes, où le parti est arrivé en tête en mai, et permet à son leader Nigel Farage de prendre date pour les élections générales de 2015.

    Michel Janva

  • Roselyne Bachelot : Nicolas Sarkozy est le Cyril Hanouna de la politique !

    Dans son marathon de retour, Nicolas Sarkozy n’en finit plus de pédaler. Jouant à la victime expiatoire, façon saint Sébastien.   

    Nicolas Sarkozy à la reconquête de l’UMP, ça ressemble un peu à une réunion des Alcooliques anonymes. « Bonjour, je m’appelle Nicolas. » Comme le disait assez justement Winston Churchill à une « lady » lui reprochant son ivresse, un soir de sortie mondaine : « Certes, je suis mal en point, mais demain, je serai en pleine forme. Alors que vous, vous êtes moche ce soir et serez toujours aussi vilaine demain matin ».  Nicolas Sarkozy changera peut-être demain. Le problème, c’est que la France s’en fout.

    Par élémentaire charité chrétienne, nous ne reviendrons pas plus longtemps sur la batterie de casseroles accablant monsieur Bruni, à tel point que l’ex-couineuse élyséenne pourrait bientôt revendre ses guitares pour ouvrir une quincaillerie de quartier. La dernière trouvaille en date, après Bygmalion, consisterait donc en une nouvelle affaire d’hélicoptères vendus au Kazakhstan. Bientôt, Nicolas Sarkozy se fera poisser pour avoir vendu un surf à un véliplanchiste d’Hossegor ; ou pour un vol de scooter, c’est au choix. Bref, la France de droite est de retour.

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  • Le Sénat et les mères porteuses

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal, à propos de Sens Commun :

    "[...] Voilà qu’ils « s’étonnent vivement de la nomination du sénateur Alain Milon au poste de président de la commission des Affaires sociales du Sénat ». Une élection « totalement consternante », disent-ils : parce que le sénateur Milon, quoique UMP, est favorable à la loi Taubira, à la PMA et à la GPA.

    On a l’impression qu’ils tombent de la lune.Ils ne s’étonnent pas que la socialiste Michèle André soit élue (par la droite) présidente de la commission des Finances. Ni que le questeur soit, bien sûr, l’UMP Bernard Saugey… président d’honneur de la Fraternelle parlementaire… Car c’est par là qu’il faut commencer. La politique, au Sénat, est réglée par la franc-maçonnerie.

    C’est pourquoi je n’ai pas bondi d’enthousiasme en apprenant que Bruno Retailleau devenait président du groupe UMP. Pour accéder à ce poste, il lui a fallu donner des gages. Ou pire. En tout cas, parmi les gages, il y a précisément Alain Milon aux affaires sociales. Aux côtés de Michèle André aux Finances. Michèle André, vice-présidente de la Fraternelle parlementaire. Ces deux-là, en janvier 2010, avaient signé conjointement (suivis par bien d’autres naturellement, dont Bernard Saugey) une proposition de loi légalisant la GPA.

    C’est un combat de longue date.En 2008, déjà, Michèle André, avec Alain Milon (et Henri de Richemont) avaient pondu un « rapport d’information » favorable à la légalisation de la gestation pour autrui. En octobre 2008, à l’assemblée générale de la Fraternelle parlementaire, la seule intervention, en dehors des allocutions d’usage, avait été l’exposé de la « Sœur Michèle André » sur la GPA.Qui commençait ainsi : « La maternité pour autrui constitue une pratique séculaire permettant de remédier à l’infertilité d’une femme. » Et donc il faut mettre fin à la loi de « prohibition ».

    Sur les questions « sociétales », il n’y a aucune différence, dans les instances dirigeantes du Sénat, entre la droite et la gauche. Le programme unique est celui de la franc-maçonnerie. N’en déplaise à Bruno Retailleau et autres leurres (les francs-maçons ayant oublié, hélas, d’être idiots)."

    suite et fin

  • Un "pro-GPA" va présider la commission des affaires sociales du Sénat : à quoi joue l'UMP ?

    Lu dans le Figaro :

    "Sénateur du Vaucluse, Alain Milon a été désigné ce mardi par ses collègues du groupe UMP pour présider la commission des affaires sociales du Sénat. Mais ses idées sont atypiques."

    [...]Alain Milon, 67 ans, a été réélu aux dernières élections sénatoriales dans le Vaucluse. Ce mardi, il a été désigné par ses collègues du groupe UMP pour devenir le futur président de la commission des affaires sociales de la Chambre haute, qui sera élu demain par les parlementaires de la dite commission.

    Or, sur les questions sociales justement, ce sénateur n'est pas tout à fait sur la ligne officielle de l'UMP. À plusieurs reprises, ce parlementaire s'est prononcé en faveur du mariage des homosexuels, mais aussi de l'ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à tous les couples et de l'autorisation de la gestation pour autrui (GPA). En 2010, il a d'ailleurs rédigé une proposition de loi pour autoriser la GPA. L'idée était à l'époque de modifier «le code de la santé publique afin d'inscrire la gestation pour autrui dans le cadre de l'assistance médicale à la procréation». «Elle deviendrait un instrument supplémentaire au service de la lutte contre l'infertilité, sans que soit reconnu pour autant un ‘droit à l'enfant'», expliquait son texte de loi." [...]

    Donc ce sénateur ne serait pas "sur la ligne officielle de l'UMP". Quelle ligne officielle ? L'UMP n'a pas de ligne officielle; ce parti-patchwork rassemble autant d'idées différentes que d'élus, ce qui permet ce choix d'un sénateur favorable à tous les désastres sociétaux imposés ces deux dernières années par la gauche. A quoi joue donc l'UMP ? Ce parti n'a donc toujours pas compris que sa dernière chance était de se caler sur la ligne LMPT ? S'ils hésitaient encore, les électeurs sauront désormais à quoi s'en tenir.

    Marie Bethanie