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entretiens et videos - Page 549

  • Jean-Yves Le Gallou : « Éric Zemmour a frappé juste ! »

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    Levée de boucliers après le discours d’Éric Zemmour à la Convention de la droite, samedi dernier. Ses propos sur l’immigration n’ont pas plu, notamment à la Société des journalistes du Figaro, qui demandent son exclusion.

    Réaction de Jean-Yves Le Gallou au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion, pour lui, de tirer le bilan de cette Convention de la droite.

    Le discours d’Eric Zemmour à la Convention de la droite a tellement marqué les esprits que le syndicat des journalistes du Figaro a demandé qu’Eric Zemmour soit banni du Figaro.
    Suite à cela, les journalistes de LCI se sont opposés à la diffusion en direct du discours d’un des plus célèbres polémistes de France.
    Qu’avez-vous pensé de l’intervention d’Eric Zemmour et de cette levée de boucliers ?

    Je crois qu’il a frappé juste. Il a dit des choses absolument essentielles.
    Il a posé la question aux Français : « êtes-vous prêts à devenir minoritaires dans votre pays et à être remplacés ? » C’est une question fondamentale.
    Il a aussi dit que l’immigration était une catastrophe dans un certain nombre de domaines, notamment dans les domaines de la sécurité, de l’éducation et des transports. Il a dit qu’il y a avait avec cette immigration une double peine avec l’islamisation.
    Ces propos ne sont peut-être pas politiquement correct, mais ils sont exacts. C’est précisément parce que ces propos sont exacts qu’il est interdit de les dire. C’est la réalité !
    Le job des grands médias et surtout des journalistes conformistes n’est pas de dire la réalité, mais précisément de la cacher.

    Le Figaro est-il encore un média de droite ?

    Le Figaro n’est plus un média de droite depuis longtemps. On le présente comme cela pour faire croire à un faux pluralisme. L’immense majorité des journalistes du Figaro sont des conformistes bêlants.
    Cela ne s’invente pas. Le Figaro a deux syndicats de journalistes. Le premier est le syndicat national des journalistes représenté par Patrick Bèle. Ce dernier a tenu des propos particulièrement graves à l’égard de Zemmour. Il a demandé son licenciement en parlant d’élucubrations abjectes. Il avait simplement des opinions dissidentes. Il expliquait que Zemmour était sorti du champ de l’acceptable. Quel est l’acceptable pour eux, si ce n’est le conformisme ? Le second syndicat est le syndicat des journalistes représenté par monsieur Durand-Souffland, journaliste judiciaire. Il est très ami de monsieur Dupond-Moretti. Durand-Souffland n’est pas n’importe qui. C’est l’homme qui a obtenu en 2010 le premier Bobard d’or. Il avait couvert l’affaire de l’homme qui avait été tué en photographiant des lampadaires en 2005. Il avait couvert cette affaire en expliquant que ces meurtriers étaient tous des Européens. Il avait osé dire cela au moment de son procès, alors que les Européens en question étaient un Congolais, un antillais et deux maghrébins. Voilà l’homme qui a obtenu le premier bobard d’or en 2010 et qui aujourd’hui, demande le départ de Zemmour. Ces gens-là sont des professionnels du mensonge. Quand quelqu’un dit des vérités dures comme Zemmour, ils crient au scandale.Qu’avez-vous pensé de cette Convention ? A-t-elle été utile ?

    Cette convention a servi à dépasser les frontières, et notamment les frontières du politiquement correct. La France et l’Europe sont en train de mourir de la tiédeur, de la volonté de ne pas voir la réalité en mettant la tête dans le sable…
    Cette convention a dit un certain nombre de choses. Je ne crois pas que ce sont les discours tièdes qui réveilleront les électeurs, notamment les électeurs de droite, mais les discours mobilisateurs qui prennent en compte les faits.
    La principale réserve électorale à droite n’est pas à gauche. La principale réserve électorale est chez les abstentionnistes. Les abstentionnistes sont dégoûtés d’aller voter. Ils trouvent que voter ne sert à rien. Ils entendent en permanence un robinet d’eau tiède. Je crois que cette Convention de la droite a bien fait le travail, quitte à choquer les petits esprits conformistes.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-yves-le-gallou-eric-zemmour-a-frappe-juste/

  • « Que l’on soit d’accord ou pas avec Eric Zemmour, il doit avoir le droit de s’exprimer » – Jordan Bardella

    « Que l’on soit d’accord ou pas avec Eric Zemmour, il doit avoir le droit de s’exprimer et d’exprimer une pensée politique. Que l’on soit d’accord ou non, c’est un fait. Je préfèrerais, que dans ce pays où nous étions tous Charlie il y a quelques années, que ceux qui sont en désaccord avec lui lui apportent une contradiction sur le fond, plutôt que d’appeler à la censure dans tous les sens ! »
    Jordan Bardella (RN) sur LCI à propos du discours d’Eric Zemmour à la Convention de la droite

  • Marine Le Pen appelle à la mobilisation pour les Municipales 2020 !

  • Jean-Paul Gourévitch : « Ce qui frappe, dans le traitement de l’immigration, ce sont les omissions »

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    Le Président Macron ayant programmé un débat sans vote sur l’immigration à l’Assemblée nationale le 30 septembre et au Sénat le 2 octobre, l’hebdomadaire L’Express de cette semaine a opportunément fait sa une sur un dossier intitulé « Immigration : vérités et balivernes » et sous-titré : « Les chiffres qui cadrent le débat. » Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique et les migrations, et auteur du récent Le Grand Remplacement : réalité ou intox ? (Pierre-Guillaume de Roux, 2019), réagit. Pour lui, les vérités sont moins nombreuses que les balivernes.

    Le magazine L’Express vient de publier un dossier sur l’immigration. Pour vous, les chiffres et les affirmations que l’on y trouve sont très contestables. Pouvez-vous nous expliquer ?

    Le terme de « dossier » est inadéquat. Réalisé sous la direction d’Agnès Laurent, il se réduit à cinq articles, soit treize pages du magazine sur 103. C’est peu – mais on a vu pire. Les thématiques évoquées – les motivations des demandeurs d’asile, le retour au pays, les conflits entre démographes, la situation à l’étranger – ne sont pas traitées en profondeur. Et, surtout, les chiffres censés « cadrer le débat » sont (volontairement ?) truqués. Deux exemples de cet enfumage.

    Sur le nombre d’immigrés en France, la rédactrice a frappé à la bonne porte, celle de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII). Elle en conclut qu’il intègre « les personnes nées en France mais avec un ou deux parents immigrés, soit 7,3 millions de personnes (11 % de la population) ». Ce n’est pas ce qu’a écrit son directeur, Didier Leschi (Migrations : la France singulière, Fondapol, octobre 2018). « Aux alentours de 11 % de la population résidente est immigrée au sens de l’INSEE, c’est-à-dire composée de personnes nées étrangères à l’étranger… Si l’on ajoute les enfants d’immigrés nés sur le territoire français, c’est près du quart de la population française qui a un lien direct avec l’étranger. » De 11 % à 25 %, il y a plus qu’une marge.

    Ces chiffres sont confirmés par les statistiques de l’INSEE. Sur 758.000 enfants nés en 2018, 125.347 avaient deux parents nés à l’étranger et 116.670 un parent né en France et l’autre à l’étranger, soit 24 à 32 % de naissances d’origine étrangère selon qu’un enfant d’un couple mixte est considéré comme d’origine étrangère à 50 % ou à 100 %.

    Sur le calcul du solde migratoire par l’INSEE (58.000 personnes en 2018), le magazine s’est planté. Selon lui, il s’agit d’une « opération complexe qui consiste à déduire le solde naturel (naissances moins décès) de l’évolution totale de la population pour obtenir un solde lié aux migrations ». La réalité est plus crue, comme nous l’avons montré en 2015.

    L’INSEE calcule mathématiquement le solde migratoire en comptabilisant les entrées (de migrants pour la quasi-totalité) et en retranchant les sorties (essentiellement d’autochtones). L’approche scientifique serait de calculer séparément le solde migratoire de l’immigration (migrants entrants moins migrants repartis) et le solde migratoire de l’expatriation (expatriés partis moins expatriés revenus). Avec des résultats très différents.

    En 2018, la France a délivré 255.956 visas de long séjour, auxquels il faut ajouter 123.625 demandes d’asile reçues à l’OFPRA, environ 20.000 migrants entrés irrégulièrement sans demander l’asile, 43.000 « mineurs » non accompagnés (MNA) et 14.700 « étrangers malades » acceptés (mais seulement 4.187 encartés), soit un total de 457.281 entrées. Les trois dernières catégories sont ignorées par le magazine.

    Faute de registres de populations, il est plus difficile de décompter les sorties. L’INSEE s’est contenté de reprendre les chiffres de 2017. Mais si l’on part de son estimation 2013 en pourcentage, on obtient environ 103.000 départs de migrants en 2018, auxquelles il faut ajouter 30.276 retours « forcés » ou « aidés », plus environ 40.000 migrants irréguliers ou MNA. Total : plus de 173.000 sorties. Le solde migratoire de l’immigration 2018 est donc positif d’environ 284.000 personnes, soit 0,4 % de la population résidente et près de cinq fois les chiffres de l’INSEE.

    Présenter un dossier « objectif » (guillemets indispensables) sur les chiffres de l’immigration est un long chemin de croix. Encore un effort, Madame la rédactrice !

    Ce dossier est-il représentatif, selon vous, du traitement général du sujet de l’immigration par la presse?

    Il est aussi tendancieux que ceux de l’ensemble de la presse mainstream. Les divergences entre démographes y sont réduites au match Hervé Le Bras-Michèle Tribalat, arbitré par François Héran et Stéphane Smith. Les autres sont ignorés, Gérard-François Dumont ou André Posokhow, parce qu’ils rouleraient trop à droite, votre serviteur parce qu’il ne roule pour personne. Au vrai, ce qui frappe, dans le traitement de l’immigration, ce sont les omissions.

    Ainsi, on débat des quotas, qui ne concernent au mieux que l’immigration de travail ou les réfugiés politiques (moins d’un quart des flux migratoires). Chacun est invité à se mobiliser sur l’accueil des migrants au nom des valeurs de l’Église ou de la République mais pas sur leur parcours ultérieur. Les enquêtes menées par l’OCDE et l’OFII sont décourageantes en matière d’accès à l’emploi. Dans l’article de L’Express, on découvre qu’un quart des personnes arrivées en Allemagne en 2015 ont trouvé du travail. Qui paye pour les 75 % restants ? Devinez !

    La question des coûts, si sensible, est en général évacuée. La grande presse s’était gobergée, en 2010, d’une étude conduite par Xavier Chojnicki, auquel on faisait dire que l’immigration rapportait annuellement 12 milliards d’euros à la France. Las ! l’auteur, dans un ouvrage de 2012, ramenait ce chiffre à 3,9 milliards et, dans un ouvrage collectif publié – en anglais – par le CEPII en 2018, il admet que la contribution de l’immigration « est négative pour toute la période de 1979 à 2011 ». Aveu ignoré par la grande presse qui l’avait encensé. Aucun expert de droite ou de gauche n’avance, aujourd’hui, que l’immigration, en France, a un bilan financier positif. Question de bon sens. Un immigré qui travaille dans l’économie formelle (10 à 18 % des migrants) rapporte plus qu’il ne coûte. Un immigré qui travaille dans l’économie informelle ou qui ne travaille pas coûte plus qu’il ne rapporte. Une vérité qui n’est pas bonne à dire.

    Les récentes déclarations en la matière d’Emmanuel Macron n’ont-elles pas, pourtant, libéré la parole ? 

    Macron est, sans conteste, un homme de parole(s). Ce que l’opinion attend, ce sont des actes forts, sur les abus de l’AME, sur les reconduites, sur l’intégration. L’Express titre qu’il est « seul contre les siens ». C’est justement la grandeur de la fonction présidentielle de ne pas céder au courant dans lequel la pensée dominante croit se rafraîchir.

    https://www.bvoltaire.fr/jean-paul-gourevitch-ce-qui-frappe-dans-le-traitement-de-limmigration-ce-sont-les-omissions/

  • Convention de la droite : une première pierre… – Journal du lundi 30 septembre 2019

    1) Convention de la droite : une première pierre…
    Pari réussi pour la convention de la droite. Avec plus de 2 000 personnes et une trentaine d’intervenants, la nouvelle initiative pour l’union des conservateurs a été couronnée d’un véritable succès médiatique… reste à trouver la tête à couronner.

    2) Autriche : le retour en force de Sebastian Kurz
    Sebastian Kurz bientôt de retour à la chancellerie. Quatre mois après avoir été renversé par le Parlement suite à l’Ibizagate, le jeune chancelier remporte haut la main les législatives et reprend un billet pour le pouvoir. Toutefois, la question de ses alliances reste en suspens après un véritable revers infligé au FPÖ.

    3) Mondiaux d’athlétisme : voyage au bout de l’enfer
    Depuis l’ouverture des mondiaux d’athlétisme vendredi à Doha au Qatar, la compétition prend des airs d’enfer pour les athlètes. Sous près de 40 degrés, les conditions sont extrêmes et l’événement tourne à la catastrophe.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/convention-de-la-droite-une-premiere-pierre-journal-du-lundi-30-septembre-2019

  • La Russie dit adieu au dollar ? – Politique-Eco avec O. Delamarche et P. Béchade

    Olivier Delamarche et Philippe Béchade du think-tank « Les Econoclastes » étaient les invités de l’association Dialogue franco-russe pour donner une conférence intitulée « Dédollarisation : Jusqu’où la Russie peut-elle se passer de l’actif le plus liquide au monde ? ». Ils ont répondu aux questions de Pierre Bergerault.

    https://www.tvlibertes.com/la-russie-dit-adieu-au-dollar-politique-eco-avec-o-delamarche-et-p-bechade

  • Même le fondateur de Greenpeace dénonce l’escroquerie du climat !

    Le fondateur de Greenpeace dénonce le canular mondial du réchauffement climatique anthropique !
     Patrick Moore, cofondateur et ancien président de Greenpeace Canada, a décrit les machinations cyniques et corrompues des gouvernements en manque de projets politiques qui alimentent l’escroquerie intellectuelle et fiscaliste du réchauffement climatique d’origine humaine dans une interview au magazine Breitbart News.
    Moore a expliqué comment les partisans du changement climatique ont su tirer parti et avantages de l’instrumentalisation de la peur et du mythe de la culpabilité artificielle de la propagande anti-diesel anti-CO2.
    De tous temps, la stratégie de la peur a été utilisée pour contrôler les populations.
    Le coup foireux de Macron incompétent en politique, c’est le chantage des incapables : Moi ou la barbarie, Moi ou le chaos !
    Pour faire accepter l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans a besoin de la propagande alarmiste pour créer la confusion dans les esprits et légitimer le racket fiscal anti-CO2. Le mythe de la catastrophe climatique est mis en scène par des campagnes médiatiques basées sur la peur.
    C’est ce qu’on appelle le terrorisme climatique en guerre contre un produit naturel indispensable à la vie : le CO2 !
    Moore rapporte que les scientifiques sont cooptés et corrompus par les politiciens et les bureaucraties investies dans la propagande du changement climatique afin de centraliser davantage le pouvoir et le contrôle politiques.
    Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange », les entreprises opportunistes soi-disant vertes parasitent les contribuables grâce à l’effet d’aubaine des réglementations absurdes et des subventions injustifiées si ce n’est par les menaces alléguées du changement climatique des propagandistes des médias.
    Ainsi, les activistes du mouvement écolo-gauchiste révolutionnaire suscitent la peur dans le public et répandent des fausses nouvelles que rediffusent les médias.
    Tout ce petit monde vit grassement de la rente dorée que représentent les subventions massives au profit des politiciens verts et des scientifiques avec de l’argent du gouvernement pour créer la peur chez les gens.
    Moore rapporte que des scientifiques participent de leur plein gré au dogme réchauffiste, car ils vivent essentiellement des subventions gouvernementales.
    Le mensonge du consensus de 99 % [parmi les scientifiques] qui partagent des convictions au sujet du changement climatique, c’est la meilleure explication de l’absence de toute preuve indiscutable. La science ne repose pas sur des opinions qui voudraient justifier des erreurs unanimement partagées.
    Moore cite après bien d’autres (Claude Allègre et Serge Galam en France) la croyance générale que la Terre était au centre de l’univers.
    Quand Galileo a découvert que le soleil était au centre du système solaire et que la Terre tournait autour de lui, il a été condamné par la science des réchauffistes de l’époque.
    Moore a conclu : Quand la superstition et une combinaison toxique de religion et d’idéologie politique prennent le dessus sur la science, il n’y a pas de vérité scientifique.
    C’est un canular absolu et une arnaque.
    Régis Crépet : Non, le réchauffement climatique n’est pas évident pour une partie des scientifiques.
    Il a même marqué une pause depuis une quinzaine d’années.
    Dans ces conditions, le redémarrage à la hausse du réchauffement n’est pas plus probable que la poursuite quelques années encore d’un état stationnaire.
    Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), ne doute pas que le réchauffement climatique contemporain est directement lié aux activités humaines et aux émissions de gaz à effet de serre.
    C’est un raisonnement qui ne se vérifie pas systématiquement à travers les chiffres.
    Dans ses différents rapports rendus publics, le Giec se base sur la corrélation des courbes d’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère depuis le début du XXe siècle et la hausse des températures planétaires mais sans jamais apporter la preuve du lien de cause à effet.
    Si la communauté scientifique admet que le réchauffement climatique « a été exacerbé par l’effet de serre d’origine anthropique », elle reconnaît que ce réchauffement a pu avoir une origine cyclique naturelle.
    Pour expliquer la pause du réchauffement climatique, des hypothèses sont émises telles la capacité des océans à absorber davantage de chaleur que prévu, le rôle des multiples éruptions volcaniques qui diffusent des aérosols dans la haute atmosphère et qui filtrent un pourcentage du rayonnement solaire ou la baisse d’activité du cycle solaire en cours depuis 10 ans.
    « N’oublions pas la variabilité naturelle du climat par cycles depuis bien avant notre ère contemporaine », rappelle Régis Crépet.
    Malgré la version officielle émise dans les conclusions du Giec, il subsiste de grandes inconnues.
    Et si tout cela reposait sur une énorme erreur d’interprétation de cause à effet ?
    Si le réchauffement climatique n’était en définitive qu’un cycle naturel tel que la planète en a connu bien avant notre époque industrielle ?
    Régis Crépet souligne que les cycles naturels de la planète liés aux phénomènes extérieurs (cycles solaires notamment, ou encore variation de l’orbite terrestre) auraient sur les changements climatiques une influence nettement supérieure à celle d‘origine anthropique.
    Depuis Al Gore et son grand « Mensonge qui dérange » et ses 6 mètres d’élévation du niveau de la mer : réalité 1,7 mm par an !
    Les relevés altimétriques par satellite (projet Topex-Poséïdon) révèlent que l’élévation globale fut quasi nulle au cours du XXe siècle.
    L’élévation du niveau des océans serait ainsi comprise entre 17 cm et 59 cm (Giec) à l’horizon 2100. Selon la NOAA-GISS, la hausse des températures mondiales serait proche de +0,2°C seulement à l’horizon 2100.
    L’alarmisme climatique est la plus grande fraude scientifique.
    Walter Cunningham, astronaute d’Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques.
    L’alarmisme climatique est la plus grande fraude dans le domaine de la science et la revendication d’un consensus à 97 % est absurde !
    Je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Si on s’en tient à l’hypothèse réchauffiste, pas une théorie, mais une hypothèse, ils dénoncent des niveaux de CO2 anormalement élevés pour faire peur aux gens par de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus à se faire de l’argent sur le dos des contribuables.
    Il faut savoir qu’en ce moment, le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas des derniers 600 à 800 millions d’années.
    C’est pourquoi, il dénonce l’alarmisme climatique comme la plus grande fraude du domaine scientifique !
    Marc Mennessier : Le Giec n’est pas le garant de la vérité scientifique.
    Le géophysicien Vincent Courtillot répond à la pétition des climatologues (grassement subventionnés).
    400 chercheurs spécialistes du climat se sont plaints des accusations mensongères portées contre eux par les climato-sceptiques !
    Le professeur Vincent Courtillot, directeur de l’Institut de physique du globe à Paris, nommément mis en cause, a accepté de répondre à ces accusations.
    Je suis attaqué de manière profondément fausse et choquante.
    Je partage cet honneur avec Claude Allègre qui n’a pas besoin de moi pour défendre son point de vue.
    Si une partie de nos conclusions sur la question de l’origine du réchauffement climatique sont proches, il a ses arguments et ses méthodes et moi les miens.
    Je me bornerai à répondre aux accusations explicitement portées contre moi comme celle de porter des accusations mensongères à l’encontre de la communauté des climatologues !
    Il faudrait d’abord définir qui sont ces climatologues !
    Jean Jouzel et Hervé Le Treut sont des spécialistes de géochimie et de modélisation numérique.
    Ils confondent (volontairement ?) leur communauté avec le Giec.
    C’est lui dont je critique le mécanisme.
    Je maintiens que même avec les scientifiques les plus nombreux, un système de ce type ne garantit en rien de dire, à un moment donné, la vérité scientifique.
    Celle-ci ne peut pas être le résultat d’un vote démocratique !
    Un seul avis contraire peut être exact.
    Le Giec ne peut décréter la vérité officielle soi-disant scientifique qu’avec un consensus illusoire d’opinions sans preuve scientifique.
    Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’y a pas de censure idéologique en sciences !
    La meilleure manière de critiquer nos résultats scientifiques n’est pas d’envoyer une pétition (aux généreux dispensateurs de riches subventions) mais de soumettre par les mêmes voies des articles pour publication.
    Comme l’écrit mon collègue physicien Jean-Marc Lévy-Leblond, le fait que les signataires jugent nécessaire de faire appel aux pouvoirs politiques et administratifs pour étayer (justifier) leurs positions revient à reconnaître le manque d’indépendance qui leur est reproché par leurs adversaires, ce qui obère la fiabilité des travaux du Giec !
    Moralité, avec l’escroquerie du réchauffement climatique, le temps des charlatans est de retour !
    Thierry Michaud-Nérard