
Connaissez-vous Vincent Van Quickenborne ? Non ? C’est bien dommage, car cet homme, dont le nom sonne indubitablement belge, est le ministre de la Justice de son pays. Il est, ou plutôt il était, car monsieur Van Quickenborne a remis sa démission au roi, vendredi 19 octobre, soit quatre jours après qu’un terroriste musulman, aux cris de « Allahu Akbar » (ce chant de paix entendu place de la République, il y a quelques jours), eut abattu deux Suédois qui n’avaient commis pour tout crime que d’aller encourager leur équipe de football au stade de Bruxelles.