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Europe et Union européenne - Page 295

  • Le progressisme contre le peuple : le cas Raoult

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    Mme Merkel a bénéficié des bons résultats allemands face au Covid-19, qui font oublier son aveuglement sur le risque migratoire. La situation est très différente en France, car l’épreuve, mal « gérée », loin de favoriser l’unanimité, a renforcé un clivage mondial vécu avec plus d’intensité dans notre pays.

    Ce clivage est celui qui oppose une « élite » progressiste à des peuples conservateurs, le progressisme à ce que les progressistes qui dominent les médias appellent dédaigneusement le populisme. La concentration des pouvoirs politiques, économiques et médiatiques dans notre vieux pays d’hypercentralisation jacobine a toujours renforcé le poids de l’idéologie dominante, inoculée par l’Éducation nationale, l’enseignement supérieur et la presse de « référence ». L’élection de M. Macron, en 2017, a placé à la tête du pays une caricature de ce progressisme, réunissant l’ENA, la haute fonction publique, les « cabinets » et la banque d’affaires. Impossible de dire mieux !  souligne que l’un des ouvrages placés en exergue sur une photo du chef de l’État, celui d’André Gide, contenait L’Immoraliste.

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  • En finir avec la mondialisation, l’immigration, l’assistanat et l’Union européenne

    Chronique de Paysan Savoyard (n°234 – mai 2020)

    La crise sanitaire n’est manifestement pas terminée : elle aura un impact important sur la vie économique et sociale sans doute pendant des mois. Même si la fin de l’histoire n’est donc pas écrite, on peut d’ores et déjà en tirer différentes leçons. Concernant la façon dont la crise a été gérée en France, tout d’abord, nous avons consacré les dernières chroniques à ce sujet. Mais la crise du virus a mis en évidence des enseignements plus fondamentaux, qui ne sont pas nés avec elle mais dont elle souligne la portée.

    • En finir avec la mondialisation 

    Il faudrait en finir avec la mondialisation et ses différents aspects. La mondialisation économique et les délocalisations, tout d’abord. Un système fondé sur un marché mondial est synonyme d’affaiblissement et de déstabilisation des sociétés européennes : le virus a montré les conséquences d’une situation où nous sommes devenus dépendants pour tout, du plus simple, les masques, au plus complexe, les médicaments. Chaque grande zone du monde devrait plutôt évoluer désormais de façon autonome, en fonction de ses caractéristiques sociales, historiques et civilisationnelles.

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  • Plan de relance de l'UE : qui paye commande !

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée  bruxelloise.
    C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.
    D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.
    Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.
    Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme  moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.
    Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif. 
  • Quel avenir pour l’Europe ?, par Jean Viansson-Ponté.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    L’Union européenne est nocive, et la crise du coronavirus révèle à quel point ses règles empêchent la France d’agir pour son bien.

    L’Europe est une réalité géographique et historique dont l’empreinte fut et reste majeure dans l’équilibre du monde. Les pays qui la composent sont autant d’entités qui ont conservé leur nature propre au-delà des normalisations communes à tous les États dans notre univers mondialisé.

    Il suffit de sortir des aéroports et des avenues éclairées des villes-capitales pour mesurer la richesse et la diversité des modes de vie, des rythmes, des regards. Et pour percevoir en même temps ce qui identifie les peuples européens, leur proximité, à force d’échanges entre des générations qui ont, tour à tour, partagé l’affrontement et la concorde au fil des siècles.

    L’Union Européenne, c’est tout autre chose. Du noyau de l’Europe des six, on est passé par étapes à une superstructure qui prétend se substituer aux États, les reléguant à un rôle mineur dans la conduite de leurs affaires, y parvenant dans certains domaines, mais ayant échoué dans la mise en place d’un modèle politique, économique, social et stratégique indépendant.

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  • Economie, finance, le jour d’après avec Pierre Jovanovic

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    Pierre Jovanovic : "Le Mossad s’en donne à cœur joie en France"

    Au sommaire de cette seconde partie du numéro 255 de Politique & Eco :

    - À qui profite le crime de la pandémie ? Bill Gates, prémonition ou prévision ?
    - Deux mois de prison à domicile et 400 000 commerces et PME au tapis
    - Un collaborateur de Véran véreux
    - Corruption, assassinat de personnes âgées, mensonges publics, mise en danger de la vie d’autrui, dissimulation de preuves...
    - Les banques centrales rachètent l’or qu’elles avaient vendu !
    - La France comme le Liban.
    - La Macronie est-elle en train de couler ?
    - Les fonds de pension en question
    - Adieu à l’épargne

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Politique migratoire italienne : Salvini a-t-il été visé par une manoeuvre politique de magistrats ?

    Laissant supposer une manigance politique à l’encontre du chef de la Ligue, un échange privé entre deux hauts magistrats italiens a été divulgué par voie de presse. L’affaire remonte à 2018, quand Matteo Salvini était ministre de l’Intérieur.
    Révélée le 21 mai dans la presse italienne, une conversation polémique aurait eu lieu sur WhatsApp en 2018. Elle impliquerait l’ex-membre du Conseil supérieur de la magistrature Luca Palamara – actuellement suspecté dans des affaires de corruption – et Paolo Auriemma, actuel procureur en chef de la ville de Viterbe.

    En savoir plus sur RT France

    https://www.tvlibertes.com/actus/politique-migratoire-italienne-salvini-a-t-il-ete-vise-par-une-manoeuvre-politique-de-magistrats

  • Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Máire Lea-Wilson, mère d’un garçon trisomique, Aidan, âgé de 11 mois, a décidé de saisir la Haute Cour contre le gouvernement du Royaume-Uni parce qu’il permet l’avortement des fœtus « porteurs d’une anomalie fœtale sévère ». Alors qu’elle était à 34 semaines de grossesse, les médecins ont tout fait pour la persuader d’avorter.

    Comme en France où 96% des enfants détectés trisomiques sont éliminés avant leur naissance.

    Máire Lea-Wilson « n’imagine pas de vivre sans » Aidan, ni qu’on puisse penser que la vie d’Aidan ait moins de valeur que celle de son grand frère. Elle demande donc que la loi soit la même pour les uns et les autres.

    Une jeune femme trisomique, Heidi Crowter, s’est jointe à elle, parce qu’il s’agit d’une « véritable discrimination ».

    https://www.lesalonbeige.fr/eugenisme-des-enfants-trisomiques-une-mere-porte-plainte-contre-le-gouvernement-britannique/

  • « Si un projet échoue, il faut oser y mettre fin » : un ancien ministre néerlandais prône la fin de l’euro

    Dans un entretien au journal « Trouw », le chrétien-démocrate Bert de Vries dresse un bilan très négatif de la monnaie unique européenne et préconise un retour du florin aux Pays-Bas. Ministre des Affaires sociales de 1989 à 1994, il affirme regretter la mise en place de l’euro.

    Marianne

    https://www.tvlibertes.com/actus/%e2%80%8bsi-un-projet-echoue-il-faut-oser-y-mettre-fin-un-ancien-ministre-neerlandais-prone-la-fin-de-leuro

  • Ljubljana, Athènes, Madrid : avec le déconfinement, la contestation ressurgit en Europe

    Avec le déconfinement, la contestation sociale ressurgit un peu partout en Europe. Plusieurs manifestations se sont déroulées ces derniers jours sur le Vieux Continent. Des rassemblements qui visent à dénoncer la gestion de la crise sanitaire.

    Plus de détails en images.

  • Coups de sonde vers le monde d'après

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    photo Le film Contagion de Steven Soderbergh avec Matt Damon (2011) explorait déjà les ressorts d'une pandémie mondiale. Une peur réelle, sous-jacente, qui accompagne la mondialisation, révélée de façon récurrente par le cinéma.

    Perdus dans les tracasseries d’un quotidien confiné, nombre d’entre nous n’y ont sans doute pas réfléchi plus loin que l’idée du déconfinement dont ils pensent ressortir pour retrouver leur quotidien d’antan.

    Ce n'est pourtant pas exactement la logique des confineurs. Il n'est que d'avoir entendu Emmanuel Macron pour savoir que notre vie d'après sera autre. Le fait - que l'on parle de coronavirus, de covid 19, de pandémie ou autre - a engendré de multiples questions. Par la grâce d'internet et des réseaux sociaux, même les plus confinés ne peuvent aujourd'hui les ignorer. Certaines, faute de connaissance précise du sujet, sont aléatoires. Ainsi en est-il de la question du confinement. Le fait est que les pays parmi les plus riches ont été les plus confinés, mais aussi les plus touchés. Ce qui, évidemment, ne laisse pas que de poser des questions quant aux capacités de prévoyance de nos gouvernants - ou, pire encore, et nous y reviendrons, quant à leurs motivations.

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