Il s’appelait Adriano Trevisan et habitait la commune de Vo, dans la province de Padoue en Vénétie.
Ce fut selon la version officielle le premier mort de l’épidémie de Covid-19 en Italie, le 21 février de cette année, à l’âge de 78 ans.
Une autopsie demandée par le parquet et effectuée ces jours derniers a montré qu’il souffrait déjà de graves troubles dégénératifs chroniques et que son décès ne serait donc pas relié directement au virus. Le site affaritaliani.it, qui s’était engagé dès le début pour lever l’interdiction des autopsies décidée par le gouvernement Conte, cite l'organe de réinformation La Bussola quotidiana, qui sous le titre « Les morts ne mentent pas » critique cette décision et estime par ailleurs que le traitement intensif par ventilation pratiqué dans les hôpitaux a augmenté le risque de décès par thrombose.
Europe et Union européenne - Page 297
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Ce que révèle l’autopsie du « premier mort italien de la Covid-19 »
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Belgique : Des policiers finissent au sol agressés par une foule haineuse à Anderlecht
Dans les colonnes de Het Nieuwsblad, le vice-président national du Syndicat Libre de la Fonction publique (SLFP) Police, Vincent Houssin, explique qu’il s’agissait d’une arrestation d’un suspect pour faits graves. « Nous partageons ces images pour attirer l’attention : cela ne peut pas continuer de la sorte », met-il en garde.
Dans la vidéo en question, des policiers, en train de procéder à l’arrestation, sont pris à parti par des passants, insultés et violentés. « Comment nos collègues font leur travail à Anderlecht (Chaussée de Mons).
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Edouard Philippe estime que l’Union européenne n’a pas « été à la hauteur de la crise » sanitaire
Edouard Philippe estime que l’Union européenne n’a pas « été à la hauteur de la crise » du coronavirus. Le Premier ministre s’exprime lors de la séance de questions au gouvernement au Sénat.
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Une Allemagne solidaire
Le billet de Patrick Parment
Depuis la fin de la Seconde guerre mondiale et le spectaculaire redressement économique des Allemands – qui n’ont pas touché au moindre dollar alloué par le plan Marshall – ceux-ci n’ont cessé d’être rackettés par Israël, le lobby juif américain et l’Europe qui, sans elle, n’existerait vraisemblablement pas. On peut comprendre que soixante-dix ans après, les Allemands se soient montrés réticents de continuer à jouer les vaches à lait. Eux, à qui on ne cesse de rappeler leur passé nazi quand l’occasion se fait sentir. Au point que l’on a fini par se demander si le peuple allemand n’avait pas été lobotomisé. Fort heureusement, la montée en puissance des partis populistes (nationalistes en fait) vient nous rappeler qu’il est des Allemands qui ont digéré leur passé et en ont marre de n’être pas payés en retour des efforts consentis pour redevenir respectables.
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La France et l’Allemagne proposent un plan de relance européen de 500 milliards d’euros
Après des semaines de discussions entre leurs équipes et de nombreuses visioconférences, Emmanuel Macron et Angela Merkel ont présenté, lors d’une conférence de presse commune lundi 18 mai dans l’après-midi, l’accord auquel ils sont parvenus sur un plan de relance européen. Celui-ci prévoit que la Commission s’endette à hauteur de 500 milliards d’euros et transfère cet argent aux Etats, régions et secteurs qui ont été le plus abîmés par la pandémie due au coronavirus.
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Les Allemands se rebiffent contre les lois liberticides
La réaction contre le politiquement correct, qui s’exprime ces derniers temps via la gestion quasi-mondialement uniforme de la crise du coronavirus, viendrait-elle d’Allemagne ?
Samedi 16 mai, mais le phénomène perdure depuis quelques jours déjà, des milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes d’Allemagne contre les mesures de restriction des déplacements et des interactions visant à réduire la propagation du coronavirus Covid-19. Elles les accusent d’être liberticides et dénoncent une dictature.
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Suède : un jeune patriote tué par un migrant en sauvant d’un viol une jeune fille de 14 ans
Dimanche 10 mai, à Härnösand en Suède, Tommie Lindh, un jeune homme de 19 ans surprend une scène glaçante : une jeune fille (14 ans) est en train de se faire violer par un Africain. Il sent le sol se dérober sous ses pieds mais ne réfléchit pas, il fonce. Une bagarre éclate. Tommie ne pense qu’à protéger celle qui pourrait être sa sœur. Malgré la différence d’âge (le migrant a 22 ans), Tommie ne recule pas et tente de repousser le violeur.
Face au courage de ce jeune Suédois, le migrant voit rouge. Il sort un couteau. Tommie refuse de s’écarter. Il est alors poignardé à plusieurs reprises. L’adolescent s’effondre sur le sol. Quelques heures plus tard, il décèdera à l’hôpital. -
Sur Sud Radio avec André bercoff, Yves Laisné : "En Allemagne, il n'y a pas eu d'assignation à résidence".
Yves Laisné auteur de "Le Ve Empire ou la face obscure de l'exception française" aux éditions VA Press au micro d'André Bercoff.
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/05/19/sur-sud-radio-avec-andre-bercoff-yves-laisne-en-allemagne-il-6239383.html -
Gestion de la crise du coronavirus par l'UE : les technocrates en action !
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ON A TOUCHÉ LE FOND... (CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DU COVID-19)