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Europe et Union européenne - Page 324

  • Le président a signé une « charte pour la famille », s’engageant à protéger les enfants contre l’idéologie LGBT

    Le président a signé une « charte pour la famille », s’engageant à protéger les enfants contre l’idéologie LGBT 

    Le président polonais, pas celui qui intervient au journal de 20h pour annoncer la rentrée scolaire pour la fin du mois de juin…

    Le président polonais Andrzej Duda, en campagne pour sa réélection, a signé mercredi une « charte pour la famille », s’engageant à défendre la famille traditionnelle, et à protéger les enfants « contre l’idéologie LGBT », notamment dans les écoles.

    Lors d’un rassemblement, il a déclaré, faisant clairement allusion à la lettre de la Commission européenne :

    « Pendant toute l’époque communiste on imposait aux enfants l’idéologie communiste. C’était du bolchévisme. Aujourd’hui on tente de leur inculquer une nouvelle idéologie, c’est une sorte de néo-bolchévisme… On essaie de nous faire croire que LGBT ce sont des gens alors que c’est seulement une idéologie, et même plus destructrice de l’être humain. »

    https://www.lesalonbeige.fr/le-president-a-signe-une-charte-pour-la-famille-sengageant-a-proteger-les-enfants-contre-lideologie-lgbt/

  • Retour au Franc : est-ce raisonnable ? (article de 2011)

    Le fonds monétaire international (FMI) est en première ligne dans la recherche d'une solution pour sortir la Grèce, l'Irlande et le Portugal du surendettement dans lequel l'utilisation de l'euro et des imprudences budgétaires les ont plongées. Il n'est pas inutile de se référer à l'ouvrage L'économique (1972, 8e édition en français) de Paul A. Samuelson, professeur d'économie au Massachusetts Institute of Technology, prix Nobel de Sciences économiques en 1970, pour constater le piège dans lequel ces pays, et ceux de la zone euro sont volontairement, et en toute incompétence, tombés.

    Bien qu'ils aient évolué au début des années 1980, les motifs et les mécanismes d'intervention du FMI sont très clairement expliqués. L'objectif n° 1 : « empêcher un pays de s'enfoncer toujours davantage, d'année en année, dans l'endettement. » Le FMI intervient en conditionnant l'octroi de prêts à la mise en œuvre de mesures visant à remédier au déséquilibre persistant. « Toutefois, peut-on lire, aucun pays n'est, en pareille occurrence, invité à créer chez lui un état de dépression aux fins de comprimer son revenu national à un niveau tellement bas que ses importations finiraient par correspondre à ses disponibilités en devises. Au contraire, le pays en question est autorisé à déprécier de son propre chef, une première fois (sic) sa monnaie à raison de 10%, une telle mesure visant à restaurer l'équilibre des changes extérieurs en développant les exportations et en contractant les importations de ce pays. Si toutefois une telle mesure ne suffit pas à corriger la "surévaluation" (sic) de la monnaie du pays débiteur, les autorités du Fonds peuvent, après s'être dûment concertées, autoriser une dépréciation encore plus accentuée de cette monnaie [...] Cependant des clauses de flexibilité permettent, en cas de besoin, de procéder aux ajustements requis, plutôt que d'attendre passivement (resic) un effondrement financier international. » Nous commenterons brièvement un peu plus loin.

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  • Tous surveillés : 7 milliards de suspects

    Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l'obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain. 


    Aujourd'hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l'incroyable perfectionnement de l'intelligence artificielle valide l'idée d'un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l'attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s'est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l'avant-garde de l'expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l'idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d'une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ? 

    Documentaire de Sylvain Louvet (France, 2019, 1 h 30 mn)

    Disponible jusqu'au 20 juin 2020 !

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    Source : Arte

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’endettement et la création monétaire ne pourront pas durer indéfiniment

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    Marc Rousset

    Le CAC 40 remonte à la verticale à 5 198, ce vendredi 5 juin, soit 40% de hausse depuis le plus bas de 3 755 du mois de mars et 20% de hausse depuis le début du déconfinement, et une baisse qui n’est plus que de 14% depuis début janvier 2020. Wall Street se sent également pousser des ailes avec un NASDAQ en progression de 12% depuis le début de l’année et un S&P 500 au plus haut. Le recul de la pandémie, conjugué à la folle création monétaire des banques centrales et aux relances budgétaires gouvernementales dans le monde, galvanise les boursiers, avec une hausse spectaculaire de Renault de 47% en un mois, de 40% pour Airbus, de 38% pour la BNP, de 30% environ pour les foncières Klépierre et Unibail-Rodamco. Les investisseurs parient sur une reprise en V.

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  • Un tribunal espagnol condamne des cliniques pour « publicité mensongère » sur l’avortement

    Un tribunal espagnol condamne des cliniques pour « publicité mensongère » sur l’avortement

    « L’interruption de grossesse est une intervention chirurgicale qui ne laisse aucune séquelle. Par conséquent, lorsque vous serez enceinte, ce sera comme si vous n’aviez jamais avorté auparavant. Il n’y a pas non plus de risque de stérilité si vous avortez une ou plusieurs fois. L’avortement est l’opération la plus courante en Espagne. Il ne laisse aucune séquelle et le taux de complications est très faible ».

    Ces phrases pouvaient être lues en 2017 dans la section FAQ du site web de l’association espagnole des cliniques d’avortement ACAI (« Asociación Española de clínicas acreditadas para la interrupción voluntaria del embarazo »). Il s’agissait d’une réponse aux questions « Combien de fois puis-je avorter ? Quels sont les risques associés ? Est-ce que cela rend stérile ? »

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  • Les 750 milliards de l’Union européenne : plus de dettes et de fédéralisme technocratique pour la France

    1624555301.3.JPGMarc Rousset

    Les 750 milliards du plan de relance (Le Monde) empruntés par l’Union européenne devront être remboursés un jour par les États au prorata de leur richesse respective ou par de nouveaux impôts européens. Si les États doivent rembourser, la France sera alors amenée à emprunter davantage.

    La France devrait donc bénéficier exclusivement de « dons » de 38,8 milliards d’euros sans aucun prêt de la part de l’UE, mais emprunter environ 127 milliards d’euros pour rembourser les emprunts de l’UE, si l’on tient compte de sa participation dans le PIB de l’UE d’environ 17 % après la sortie du Royaume-Uni. Quel serait l’intérêt de l’opération pour le coq gaulois, si ce n’est un cadeau fédéraliste de Macron à l’UE par une France ruinée, exsangue, hyperendettée, avec un taux de chômage très élevé, en progression accélérée ?

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  • Europe : le temps joue pour le populisme 2/2

    Ailleurs :

    Dans le Sud de l'Europe, l'Espagne n'a pas connu jusqu'ici de mouvements populistes les clivages gauche/droite et régionalistes/unitaires suffisent pour structurer le débat politique. Au Portugal, un « Parti national rénové » a entrepris de se positionner contre l'excès d'immigration (en reprenant les images de campagne de l’UDC suisse) sans qu'il soit encore possible d'apprécier quel succès il sera susceptible de remporter. En Grèce, l'Alarme orthodoxe (LAOS) a dépassé à deux reprises aux élections européennes de 2004 et aux élections législatives de 2007 le score de 4 %. En Grande-Bretagne, les faits majeurs sont l'émergence du Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (UKIP), qui a atteint 16 % aux élections européennes de 2004, et la persistance du Parti national britannique (BNP) qui obtient régulièrement plus de 10 % des suffrages dans un certain nombre de circonscriptions et compte un élu au Conseil du grand Londres. Le BNP qui a réalisé en 2008, lors d'élections législatives partielles, des percées inquiétantes pour le parti travailliste, semble en mesure d'entrer au Parlement européen en juin 2009.

    Le cas de l'Allemagne est bien évidemment à part. Les Republikaner qui avaient obtenu des sièges au Parlement européen en 1989 ont, comme toutes les formations réputées d’"extrême droite" été victimes de manipulations politiques, médiatiques et policières. Compte tenu de l'absence de vrai pluralisme en Allemagne fédérale, les courants dissidents semblent désormais s'exprimer à travers le Mouvement des citoyens libres, les Freie Wàhler, tenant d'un populisme paisible, à base d'enracinement local, de traditions folkloriques et de grande prudence verbale sur tout ce qui touche à l'immigration. Une liberté limitée donc mais qui a permis aux Freie Wàhler de rassembler 10 % des suffrages aux élections bavaroises de septembre 2008.

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  • Europe : le temps joue pour le populisme 1/2

    par Jean-Yves LE GALLOU

    1. Le populisme : une dissidence politique populaire

    Le populisme est une attitude politique et électorale qui conduit les électeurs à se recentrer sur des notions sous-jacentes à l'identité et aux libertés nationales et à se détacher des « partis de gouvernement » qui se partagent le pouvoir en Europe ; pouvoir que ces partis exercent dans le sens des intérêts de l'hyperclasse mondiale et de son idéologie dominante, l'idéologie mondialiste et antiraciste qui la conforte.

    En ce sens et contrairement à certaines interprétations sommaires, au-delà des attitudes verbales, il n’y a guère de populisme de gauche ou d'extrême gauche en Europe, car ces partis ne contestent pas l'ordre idéologique dominant ; bien au contraire, ils en sont souvent les chiens de garde, ce qui explique d'ailleurs la bienveillance des grands média à leur égard. Les populistes, eux, ne croient pas aux bienfaits de la mondialisation ; a contrario, ils jugent que les frontières sont utiles pour protéger l'économie et l'emploi des excès du libre-échange mondial et de l'immigration. Les populistes refusent la culpabilisation des peuples européens et des sentiments patriotiques tout autant que l'antiracisme officiel qui impose une immigration toujours plus nombreuse et de moins en moins bien intégrée.

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  • Dix ans de gouvernements Orbán en Hongrie

    Il y a dix ans, le 29 mai 2010, Viktor Orbán et son parti, le Fidesz, formaient un gouvernement après huit ans passés dans l’opposition. Auparavant, Orbán avait déjà occupé le poste de Premier ministre pendant quatre ans, de 1998 à 2002. Le tournant qui conduisit à la victoire éclatante du Fidesz en 2010 s’opéra en 2006, quand, un mois après les élections à nouveau remportées par la gauche et les libéraux, un enregistrement du Premier ministre hongrois Ferenc Gyurcsány fut diffusé à la radio dans lequel on entendait cet ex-communiste devenu oligarque dire : « Nous n’avons rien fait pendant quatre ans. Rien. Vous ne pouvez pas me citer un seul exemple d’une action sérieuse du gouvernement dont nous pourrions être fiers, si ce n’est que nous avons repris le pouvoir avec de la merde. […] Depuis un an et demi, nous mentons matin, midi et soir. » S’ensuivirent des manifestations qui furent brutalement réprimées par les autorités et tournèrent à l’émeute, conduisant même à l’assaut d’une foule excédée contre le siège de la télévision publique. Puis vint la crise financière de 2007 alors que la Hongrie affichait déjà un déficit budgétaire de 9,6 % du PIB en 2006, année électorale oblige, et ensuite les plans de rigueur sous la coupe du FMI.

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  • Trump pourrait préparer une guerre nucléaire contre la Russie en s'appuyant sur la Pologne

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    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Durant la guerre froide, l'Allemagne, principale de membre l'Otan (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord) s'était vu imposer le stationnement d'une vingtaine de bombes nucléaires tactiques B-61 visant à équiper sous contrôle américain des avions d'attaque allemands en vue de préparer une frappe nucléaire de l'Otan contre la Russie.

    Cette frappe avait été présentée comme dissuasive (deterrent ou de seconde frappe) mais aucun membre de l'Otan n'ignorait qu'elle pouvait être offensive (première frappe) si le Pentagone décidait de s'appuyer sur ses bases au sein de l'Otan, notamment en Allemagne, pour attaquer la Russie. Cette possibilité avait été implicitement acceptée par les membres européens de l'Otan. Ce fut la raison pour laquelle en son temps le président De Gaulle avait refusé la présence de la France au sein de l'Organisation. L'Allemagne ancienne puissance vaincue et sous contrôle américain, n'avait pas refusé de jouer ce rôle de première ligne contre la Russie, en n'ignorant pas cependant qu'elle serait la première victime d'une telle guerre.

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