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Europe et Union européenne - Page 326

  • LA BOMBE EUROPÉENNE

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    Ce vendredi 7 février, le Président de la République a prononcé un grand discours sur la stratégie de défense et de dissuasion devant les stagiaires de la 27ème promotion de l'Ecole de Guerre. Le texte est sur le site de l'Elysée. Dans cette longue adresse polémologique à la Nation, qui a le mérite de cadrer la politique de défense française, M. Macron explique que la protection des citoyens, des territoires et l'existence même de la nation sont les objectifs de notre force de frappe dotée du strict nécessaire, Forces aériennes stratégiques et sous-marins lanceurs d'engins. Sauf que dans un protocole de dissuasion nucléaire, ce ne sont pas les ogives qui comptent ! L'arme n°1 c'est le Président lui-même.

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  • La soumission de l’Allemagne à la repentance coloniale

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    Par Bernard Lugan

    Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.

     En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques, comme si la ville n’avait pas de problèmes plus urgents et plus concrets à régler… Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.

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  • Hongrie d’abord: le gouvernement d’Orbán prouve que la propriété de l’État peut être une formule gagnante

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    La Hongrie prouve qu’une gestion intelligente des actifs de l’État peut être une formule gagnante pour la croissance économique.

    De nombreux Hongrois se souviennent encore du slogan politique de gauche libérale selon lequel «l’État est un mauvais propriétaire», mais comme le gouvernement de Viktor Orbán l’a toujours prouvé, un tel slogan ne s’applique qu’à ceux qui ne sont pas assez intelligents pour diriger un État.

    Vendre les actifs de l’État sans souci partout dans le monde était la politique des gouvernements socialistes-libéraux qui ont régné entre 2002 et 2010, et qui ont envoyé près de 200 entreprises précédemment détenues par l’État en mains privées. C’était essentiellement une continuation de ce que le gouvernement socialiste de Gyula Horn a fait entre 1994 et 1998, période pendant laquelle 65% des participations de l’État ont été privatisées.

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  • Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe

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    Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?

    Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.

    Démocratie en Thuringe

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  • Migrants : la frontière hongroise prise d’assaut – Journal du jeudi 13 février 2020

     

    Migrants : la frontière hongroise prise d’assaut

    Cinq ans après la grande crise migratoire qui frappa l’Europe, les frontières hongroises sont encore mises à rude épreuve. Une guerre d’usure semble engagée… un reportage exclusif de nos correspondants en Europe Centrale.

    Macron : un président

    Après avoir fait mine de s’intéresser au handicap, Emmanuel Macron tente de se faire passer pour un écologiste. Un nouveau coup de com’ qui ne trompe personne à quelques semaines des élections municipales.

    Décathlon : à fond les ventes !

    Après un exercice 2018 compliqué, l’enseigne de sport, Decathlon a redressé la barre l’année dernière. Avec un chiffre d’affaires en augmentation de 3%, la stratégie des marques propres de ce groupe français semble porter ses fruits.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/migrants-la-frontiere-hongroise-prise-dassaut-journal-du-jeudi-13-fevrier-2020

  • RÉFÉRENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE : LA DROITE HELVETIQUE VICTIME D’UN « COUP DE BOOMERANG » !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Dimanche 12 janvier, la loi condamnant l’homophobie a été adoptée par référendum avec 62% des électeurs suisses qui avaient fait le déplacement. Mais, paradoxe et pas des moindres, ce sont les partis conservateurs qui l’avaient provoqué, - et qui espéraient, bien sûr, un tout autre résultat -, qui en ont été pour leurs frais.

    En effet, il s’agissait d’un référendum d’initiative populaire au résultat ayant abouti à l’inverse de  celui qu’espéraient ses promoteurs. Il y avait un petit parti chrétien, l’UDF emmené par Marc Frueh allié pour la circonstance à l’UDC, Union démocratique du Centre, premier parti de Suisse, - on pourrait dire qu’il est de nos amis en dépit de son appellation centriste -, comme initiateurs de cette consultation électorale. La question était d’approuver oui ou non, la réforme du code pénal suisse interdisant la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et, surtout, désormais, la pénalisant. Il s’est trouvé une majorité d’Helvètes, - rappelons le pourcentage : 62% -, pour l’approuver. La nouvelle loi ainsi  sanctifiée, élargit un dispositif déjà copieux, comme en France, qui sanctionne les appels à la haine raciale.

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  • Face à l'expansionnisme turc, la Russie réagit, l'UE se couche.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Prête à intervenir en Libye, de plus en plus présente auprès du régime algérien et du gouvernement tunisien, maniant le chantage et l'intimidation sur les questions migratoires, se substituant allègrement aux pays arabes pour maintenir un soutien actif au terrorisme islamique, la Turquie lance une nouvelle offensive contre le régime syrien.
    Une offensive que Vladimir Poutine pour qui la Syrie demeure une priorité stratégique et qui, malgré ses tentatives diplomatiques vers Erdogan, sait la dangerosité des ambitions proche-orientales, balkaniques, maghrébines et européennes d'Ankara, n'a évidemment pas l'intention de laisser se développer sans réagir. Panique des pleutres de Bruxelles que n'inquiète pas la perspective d'un nouveau Califat mais qu'angoisse celle d'une possible intervention armée d'endiguement.
    Tremblante devant le moindre froncement de sourcils d'Erdogan et en état de pré-dhimmitude vis à vis de l'Empire ottoman en reconstruction, l'Union européenne met donc en garde Moscou contre le risque d'affrontement en Syrie entre les armées russes et turques, les premières étant, dans le délabrement européen, les seules à pouvoir stopper l'offensive politique, économique et militaire tous azimuts que mène Ankara contre nos intérêts et notre civilisation. 
    La position de Bruxelles est claire : surtout ne rien faire et tout accepter du Grand Turc avant de se prosterner devant lui.
  • L’AfD plonge la fausse droite allemande dans la crise, par Olivier Bault

    9553-20200214.jpgD’abord un petit rappel utile : l’Alternative pour l’Allemagne (Alternative für Deutschland, AfD) est le premier parti d’opposition au Bundestag, la chambre basse du parlement fédéral allemand, face à la grande coalition gouvernementale réunissant la CDU-CSU (la fausse droite libérale-libertaire héritière de la démocratie chrétienne) et le SPD (la fausse gauche libérale-libertaire héritière de la démocratie sociale). Créé en 2013, le parti modérément conservateur et modérément souverainiste AfD est aujourd’hui représenté au parlement de chacun des seize Länder. En ex-Allemagne de l’Est, il a été le parti recueillant le plus de votes en 2019, année où il y a eu trois élections régionales : en Saxe, au Brandebourg et en Thuringe. Officiellement, la CDU dirigée par Angela Merkel et, depuis décembre 2018, par Annegret Kramp-Karrenbauer, l’actuelle ministre de la Défense, a toujours refusé toute alliance avec l’AfD, un parti qui subit en Allemagne l’équivalent du très mal nommé « front républicain » visant le RN en France.

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  • Les médias de grand chemin nous imposent leurs propagande

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    Samedi, les journaux titrent, scandalisés :
    Tout juste acquitté, Donald Trump congédie deux membres de son administration qui avaient témoigné contre lui
    Des élus démocrates ont aussitôt dénoncé ces "représailles" de la part du président américain.
    Le même jour, les mêmes journalistes titrent en applaudissant :
    Merkel congédie un membre de son gouvernement jugé trop proche de l’extrême-droite
    Christian Hirte s’était félicité de l’élection d’un nouveau dirigeant de la région de Thuringe grâce aux voix du parti démocrate-chrétien CDU et du parti AfD.
  • Olivier Piacentini - L'euro, ce poison qui tue la France et vos finances

    Dans les années 90 on nous a expliqué comment l'euro nous apporterait la prospérité. 
    Plus de deux décennies après, qu'en reste-t-il ? 
    L'euro a de moins en moins de supporteurs et néanmoins il reste imposé au Peuple français. 
    Dans cette vidéo, j'explique pourquoi l'euro est un poison et comment il tue la France et vos finances.