géopolitique - Page 239
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UN BLOC EUROPEEN ? Réponses aux questions des auditeur du forum du Parti de la France
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Vérité contre mensonge ? L’heure des comptes !

Ceux (et celles) qui mettent en doute notre propagande sont des traîtres, exige la défense du narratif des médias occidentaux.
Oui, sauf que depuis deux ans, depuis deux ans, il apparaît que la propagande russe est moins mensongère que celle pratiquée dans les soi-disant démocraties occidentales.
Choquant non ? Ouvrons le match !
Il paraît que les Russes mentent et que notre « information » d’origine démocratique serait Infiniment plus fiable. Vérité reçue, mais celles-ci sont souvent dignes du dictionnaire desdites idées qui fut juste une somme des préjugés de son temps.
Il convient donc de se méfier de ces vérités d’évidence souvent révélatrices soit d’un préjugé soit d’une manipulation, mais ceci reste loin de toute méthode scientifique.
Alors, pratiquons justement cette dernière, si les Russes sont désinformés et nous ne le sommes pas, nous recevons une information parfaitement fiable ? Nicht Wahr ?
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La France a armé le régiment ukrainien néo-nazi Azov

Alors que les États-Unis refusent officiellement d’armer ou de financer le régiment ukrainien néo-nazi Azov, il s’avère que la France lui a fourni des canons TRF1 de 155 mm, peu importe l’idéologie de cette unité et ses nombreux crimes de guerre.
C’est suite à la lecture d’un article écrit par le commandant du régiment ukrainien néo-nazi Azov, que j’ai découvert ces liens sulfureux avec la France. Dans cet article publié sur le site d’Ukraïnskaya Pravda, Denis Prokopenko, se plaint longuement que les États-Unis n’autorisent pas l’utilisation des fonds qu’ils donnent à l’Ukraine pour armer ou entraîner le régiment néo-nazi Azov. Pourquoi cette interdiction ? Eh bien justement parce que ce régiment est néo-nazi. Un fait que Prokopenko essaye de contester.
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Washington débloque l’aide du désespoir à Kiev

par Vincent Gouysse
Washington ne pouvait pas faire plus plaisir hier aux nazis de carnaval bandéristes en débloquant l’enveloppe de 61 milliards de dollars d’aide à Kiev le jour anniversaire de la naissance d’Hitler !…
Les trois quarts des membres de la Chambre des représentants américaine ont sans surprise voté en faveur de la poursuite de la guerre par procuration livrée par l’OTAN à la Russie, répondant à l’appel de détresse lancé par l’ex-tenancier de pub londonien Boris Johnson qui venait d’avertir :
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Le Samedi Politique avec Alain Juillet - L'Occident perdu dans le désordre mondial ?

Avec la guerre en Ukraine et l’explosion des tensions sur la planète, l’ordre mondial est en constante transformation depuis plusieurs années… Le monde bipolaire du XXème siècle vole en éclat pour donner lieu à de nouvelles convergences et divergences. L’Occident, rangé derrière les Etats-Unis pour le meilleur et surtout le pire, semble assister impuissant aux transformations des équilibres et des centres de gravité. Campé sur ses références et son moralisme à géométrie variable, le Nord s’épuise. Alors que Washington poursuit son chemin pour défendre ses intérêts en s’astreignant à affaiblir ses alliés, les pays des BRICS s’organisent et tissent des partenariats sans asservissement. Dans ce monde en train de basculer, le dollar s’affaiblit, entraînant d’abord ceux qu’il a soumis à son diktat.
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L’Amérique n’a pas de plan B pour l’Ukraine, si ce n’est plus de guerre

Le week-end dernier, quelques dizaines d’anciens membres du cabinet, d’officiers supérieurs, d’universitaires et d’analystes de groupes de réflexion se sont réunis pour évaluer la situation militaire mondiale.
Je peux vous dire que je n’ai pas ressenti une telle peur depuis l’automne 1983, lorsque j’étais chercheur contractuel junior et que je faisais des petits boulots pour Norman A. Bailey, alors assistant spécial du président, au Conseil de sécurité nationale. C’était l’apogée de la guerre froide et l’exercice militaire trop réaliste Able Archer 83 avait failli déclencher une guerre nucléaire.
Aujourd’hui, l’establishment de la politique étrangère américaine a mis en jeu sa crédibilité en humiliant la Russie en repoussant les frontières de l’OTAN à quelques centaines de kilomètres de Moscou, tout en cherchant à écraser l’économie moscovite par des sanctions.
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La propagande ukrainienne est reprise par nos médias

Le site d’information en ligne Omerta reçoit Eric Denécé, le patron du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) pour un état des lieux du conflit en Ukraine (30 minutes)
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VILLAGE RUSSIE - J'AI VU LES ENTREPRISES US REMPLACER LES FRANCAISES EN 2014
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Réflexions géopolitiques sur la guerre en cours
A lire et écouter assidument ce qui se passe depuis février 2022, je suis assez surpris de découvrir qu’aucun constat n’a encore été fait sur l’un des enseignements majeurs de la guerre en Ukraine, à savoir que les marines de guerre n’étaient plus aujourd’hui une composante essentielle des conflits du XXIème siècle. En effet, cet affrontement a prouvé que la flotte russe de la Mer Noire avait perdu – au moins provisoirement -sa suprématie dans ce lac intérieur face à une marine ukrainienne désormais inexistante depuis sa disparition quasi-totale dès le début des hostilités. En revanche, les armes anti-navires, missiles et drones navals, ont prouvé leur extrême efficacité pour réduire de manière très efficace le danger et les capacités de frappe (ou de débarquement) des flottes de surface. -
Thierry Breton parle de paix. « Quand Zelensky et Poutine s’assiéront à une table de discussions »
Thierry Breton parle de paix. Enfin de paix. C’est dire si la situation sur le front ukrainien doit être mauvaise.
Je suis mauvaise langue, mais depuis le début de la guerre en Ukraine nos camarades commissaires et autres europathes n’ont que des mots guerriers et une volonté belliciste.
La présidente de la grosse Commission, la terrible cruelle Von der Leyen, a d’ailleurs toujours dit que ce n’était pas le temps de parler de paix.
Elle incarne l’Europe de la guerre.
