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Dans un communiqué, Steven Cheung, directeur de la communication de la campagne de Donald Trump, a indiqué ce dimanche 15 septembre que l’ancien président des États-Unis, qui se trouvait dans son club de golf en Floride, est “sain et sauf après des coups de feu à proximité de lui“, ajoutant qu’il n’y avait “pas plus de détails pour le moment“. Les tirs ont eu lieu un peu avant de 14 heures
Un rapport sur la manière dont le président des États-Unis envisage de mettre fin au conflit russo-ukrainien vient d'être finalisé. Bien que tardivement, la Maison Blanche a satisfait à la demande des républicains, permettant ainsi le passage d’un volet d’aide à l'Ukraine au Congrès, en fournissant aux législateurs un rapport expliquant la stratégie américaine dans le cadre de ce conflit. Le document est classifié.
L'armée russe a continué ses opérations dans la région de Koursk, repoussant des tentatives ukrainiennes de forcer la frontière et détruisant 22 blindés, selon la Défense russe.
La situation internationale connaît un tournant critique avec les dernières déclarations de Joe Biden sur l’Ukraine. En envisageant l’utilisation par l’Ukraine de missiles de longue portée livrés par les États-Unis pour frapper en profondeur le territoire russe, Biden place les relations internationales sur un terrain de plus en plus glissant. Saluée par les Pays-Bas, cette option belliciste risque d’entraîner l’ensemble des alliés de l’OTAN dans une escalade militaire sans précédent. Avec des tensions qui ne cessent de croître, cette décision pourrait ouvrir la voie à une confrontation directe avec la Russie, menaçant sérieusement la stabilité mondiale.
Un document de la base américaine de Fort Irving a été découvert dans un Bradley capturé en Ukraine, rapporte un correspondant de Sputnik. Des annonces sur Internet montrent que la base cherche à embaucher des russophones.
Il y a quelques mois, un appel téléphonique entre des officiers allemands de haut rang a fuité. Ils discutaient de l’éventuel déploiement d’un missile de croisière allemand Taurus en Ukraine pour l’utiliser contre des cibles russes.
Il est apparu clairement dans cette fuite que le déploiement, le pointage et le tir d’une telle arme ne peuvent se faire sans la participation du personnel du pays qui a fait don de l’arme. Cela s’applique aux missiles ATAMCS américains, aux missiles SCALP/Storm Shadow français et britanniques, tout comme cela s’appliquerait au missile de croisière allemand Taurus :
Les unités russes continuent de débarrasser la région de Koursk des militants ukrainiens. Les forces armées russes libèrent un nombre croissant de colonies. La ligne de défense des forces armées ukrainiennes près de Pokrovsky et Tolstoï Lug s’est pratiquement effondrée.
Les Ukrainiens font tout leur possible pour conserver Lyubimovka, qui constitue un point logistique important. Sa perte marquera en réalité l’échec de l’aventure de Koursk pour Kiev.
Depuis environ un mois, l’Occident politique menace l’Iran de « conséquences rapides et graves » s’il livre des missiles sol-sol à la Russie. Divers rapports ont fait état de missiles balistiques iraniens à courte portée (SRBM) qui seraient en route vers Moscou, notamment des missiles « Fath-360 », « Fateh-110 » et « Zolfaghar ». Certaines sources, comme The Duran, rapportent que des parlementaires iraniens ont confirmé que l’accord est déjà en cours, bien qu’il n’y ait aucune confirmation officielle sur les types exacts de missiles livrés. Cependant, l’UE/OTAN semblent particulièrement préoccupées par cette perspective. Téhéran a réussi à développer une pléthore de missiles balistiques, allant des SRBM aux IRBM (missiles balistiques à portée intermédiaire), offrant au pays une couverture qui va au-delà du Moyen-Orient.
Il ne faut pas se tromper, la décision en suspens de permettre à l’Ukraine, au motif de faire face à l’avancée russe, de frapper des cibles en Russie à l’aide des missiles longue portée fournis par les Occidentaux, signifie bien la possibilité d’une guerre de l’Otan contre la Russie et de facto, la possibilité que nos capitales européennes soient des cibles potentielles pour les Russes, qui disposent d’un armement équivalent à celui que nous autoriserions et en plus grand nombre. A la manœuvre, évidemment, le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique Keir Starmer discuteraient de la question et on se demande s’ils mesurent bien la signification d’une telle autorisation, qui équivaut à un début de guerre mondiale si on fait entrer en jeu les alliances, des deux côtés.