Ils se proclament « résistants ». Dans leur panoplie de va-t-en-guerre, ils disent de Vladimir Poutine qu’il est le nouvel Adolf Hitler, et de Volodymyr Zelensky qu’il incarne Winston Churchill. Leur univers est celui des faussaires. Pour eux, ceux qui dénoncent cette guerre inutile entre l’Ukraine et la Russie sont des « munichois », des « collabos », des « vichystes », des « capitulards ». Derrière un courage déclamé, les bellicistes encouragent de loin ceux qui montent au front, pour s’y faire tuer par dizaines de milliers.
géopolitique - Page 33
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La défaite de l’Ukraine est aussi celle des européistes
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«Le régime de Kiev refuse de régler le conflit par la négociation» dit Dmitri Peskov
par Faouzi Oki
Ukraine/Russie : Si les Européens poussent Zelensky vers la paix, bravo à eux
«Les déclarations de Vladimir Zelensky à la Maison Blanche ont montré que Kiev ne veut pas la paix et n’est pas prêt pour les négociations, tandis que les efforts de la Russie et des États-Unis ne suffisent pas à eux seuls pour un règlement» a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors d’un briefing en réponse à une question aux médias Russes. «Le régime de Kiev et Zelensky ne veulent pas la paix. Ils veulent que la guerre continue. Donc, dans cette situation, bien sûr, seuls les efforts de Washington et la volonté de Moscou ne seront évidemment pas suffisant», a souligné le porte-parole.
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"Il n'y a plus d'Ukraine", pointe le petit-fils du général de Gaulle
"Zelensky a vendu déjà depuis très longtemps son propre pays", fustige Pierre de Gaulle dans une interview à Sputnik AfriqueLien permanent Catégories : actualité, géopolitique, international, magouille et compagnie 0 commentaire -
« La guerre, c’est avant tout un chef et des objectifs politiques ! »
À l’occasion de la sortie de son ouvrage consacré au grand théoricien prussien de la guerre, Carl von Clausewitz, paru aux éditions de la Nouvelle Librairie en collaboration avec l’Institut Iliade, notre collaborateur Laurent Schang est invité par Sylvain Durain, directeur des éditions du Verbe Haut, à présenter cette haute figure de la polémologie, dont le nom est bien plus connu que la vie et l’œuvre, souvent résumée à l’adage « la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens ».
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L’épouvantail de l’expansion russe : un fantasme occidental
Thomas Joly, président du Parti de la France
Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
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Le château de cartes de l’«agression russe de l’Ukraine» s’écroule
par Manlio Dinucci
La nouvelle, donnée par le New York Times, est explosive : «Les États-Unis s’opposent à définir la Russie comme agresseur dans la Déclaration du G7 sur l’invasion. L’opposition américaine à l’ébauche d’une Déclaration du Groupe des 7 pour le troisième anniversaire de l’attaque russe contre l’Ukraine arrive après que le Président Trump a accusé Kiev d’avoir commencé la guerre. Le positionnement de Trump vers la Russie de Poutine bouleverse des générations de politique étasunienne. À l’ouverture des entretiens de paix en Arabie Saoudite, le Président Trump a déclaré que les jours de l’isolement de la Russie sont finis et a suggéré que l’Ukraine est coupable d’avoir été envahie. Zelensky et Trump échangent les coups tandis que se durcit la querelle sur les entretiens de paix. Le président Trump a défini Volodymyr Zelensky comme un dictateur sans élections après que le président ukrainien a dit que Trump était un réseau de désinformation.»
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Emmenés par les militaires de Kiev en Ukraine, 33 civils russes sont enfin rentrés chez eux
"Ils sont sur leur terre natale", a annoncé ce 3 mars, sur Telegram la Commissaire russe aux droits de l'homme, Tatiana Moskalkova. -
L'arrêt de l'aide militaire américaine à l'Ukraine pourrait pousser Kiev vers le processus de paix
Le volume principal des livraisons militaires a été fourni par Washington, a rappelé ve 4 mars le porte-parole de la présidence russe. Retrouvez ci-dessous les autres points clés du discours de Dmitri Peskov. -
Les Européens après le passage à tabac de Washington : «ça fait tout drôle d’être à poil»
par Régis de Castelnau
Au-delà de la schadenfreude qu’il a procuré à ceux qui essaient de résister depuis trois ans à l’inepte propagande russophobe et aux conséquences de l’aveuglement des élites à la réalité du monde, le traquenard tendu à Zelensky dans le bureau ovale appelle quelques observations.
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L’Europe humiliée et déshonorée face à Trump et Poutine
Il y a quelques mois Glenn Diesen parlait de cet occident qui vivait sans honte et sans humiliation. A ce jeu il ne reste que l’Europe : comme à l’époque nazie, mais toujours dirigée par des Allemands (Schwab, Leyen, BCE-Francfort, Scholz, en attendant Merz que Vance va essayer de briefer cette semaine), l’Europe se retrouve contre l’Amérique et la Russie, et dans une position matérielle et surtout morale toujours aussi inadmissible : elle est criminellement liée aux nazis de Kiev depuis son non-respect des accords de Minsk, et comme les nazis elle cherche à détruire ses propres populations avec une dictature bureaucratique abominable, des vers et des cafards dans les assiettes, une presse de propagande comme au temps de Goebbels (et ce dans tous les pays), des vaccins meurtriers obligatoires, un racisme à rebours pratiqué contre des populations blanches vieillies, avilies et avachies, et un pataquès de mesures wokistes qui évoquent les personnages nazis sexuellement détraqués des films de Luchino Visconti. Fermez le ban ou plutôt ne le fermez pas, car on n’est pas sortis de l’auberge.