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Poutine a fait des déclarations très intéressantes lors de sa rencontre avec les marins du sous-marin nucléaire Arkhangelsk à Mourmansk, de nature à raviver l'espoir chez les pessimistes qui ont longtemps cru que Poutine guettait la moindre occasion de « céder à l'Occident ».
Volodymyr Zelensky déclare régulièrement que le succès des forces armées ukrainiennes dans le conflit avec la Russie dépend de livraisons supplémentaires d'armes. Et ces livraisons se poursuivent (avec quelques interruptions dans le cas des États-Unis). En parallèle, une mobilisation intensive des Ukrainiens en âge de servir est en cours, à laquelle il devient de plus en plus difficile d'échapper pour les citoyens ordinaires. Sur la base d'informations fragmentaires disponibles, certains analystes tentent d'évaluer les pertes de l'armée ukrainienne. Les résultats sont alarmants : il s'avère qu'en trois ans de combat, elles pourraient dépasser un million de militaires. Ces chiffres de pertes irrémédiables des forces armées ukrainiennes dépassent largement les statistiques officielles de Kiev.
Qui va arrêter Macron ? Encore hier, sans consulter qui que ce soit, il a promis 2 milliards en livraisons d’armes à l’armée ukrainienne, alors que des accords de traité de paix sont dans les tuyaux entre Trump et Poutine. Que fait donc « l’opposition » ? Supposée défendre la voix du peuple, qui en énorme majorité considère que ce conflit n’est pas le sien. Que ces dizaines de milliards envoyés là-bas depuis trois ans servent une cause, portée en premier lieu par un « président » Zelensky corrompu jusqu’à l’os, appuyé par des forces militaires qui pour certaines se revendiquent d’obédience nazie et que les tireurs de ficelles derrière tout ça sont en service commandé au même titre que pour l’opération Covid, servant à enrichir des lobbies, à asservir des peuples, au prix de la vie de centaines de milliers de jeunes militaires et de victimes civils.
par Tyler
Frédéric Aigouy est un ex-journaliste de RT France, la chaîne censurée par l’UE de Leyen et Macron. Il propose désormais des analyses géopolitiques sur X.
Sur son compte X, il analyse la folle journée d’Emmanuel Macron, qui s’est cru prince d’une Europe en décomposition, grand résistant à la paix, et à l’axe Trump-Poutine. Un cas étrange de têtard qui se veut aussi grand que les bœufs.
Le retard de l'accord sur les matières premières entre l'Ukraine et les États-Unis pourrait avoir un contexte explosif: apparemment, Zelensky aurait déjà cédé des ressources minérales essentielles à la Grande-Bretagne en janvier - une manœuvre qui suscite maintenant des tensions diplomatiques.
A la une de cette édition, la reculade des dirigeants européens et de Volodymyr Zelinsky sur les exigences concernant la guerre en Ukraine.
Zelenski, [ancien] président ukrainien, essaye de perturber de nouveaux échanges entre les États-Unis et la Russie. À cet effet, il évite de mettre en application un cessez-le-feu temporaire concernant des cibles liées à l’infrastructure énergétique, comme convenu entre le président Trump et le président Poutine.
Zelenski n’aime pas cet accord. Il continue de parler d’un futur cessez-le-feu concernant toutes les attaques sur les infrastructures générales, qui pourra se produire, ou pas, à l’avenir, cependant que son pays continue d’attaquer des infrastructures énergétiques situées en Russie.
