L'Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ?
L'essayiste Nikola Mirkovic publie L'Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu'il qualifie d'impérialiste et de belliqueuse des États-Unis ; il évoque son Histoire et son avenir...
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L'Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ?
L'essayiste Nikola Mirkovic publie L'Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu'il qualifie d'impérialiste et de belliqueuse des États-Unis ; il évoque son Histoire et son avenir...
Avec l'âge les souvenirs se fixent et se trient selon des logiques, des algorithmes dira-t-on, que nous comprenons mal.
Ainsi, en 1963, au sortir d'un débat où j'étais intervenu au nom des étudiants qui osaient se dire nationalistes face à la meute hurlante des marxistes de tous poils, j'avais sympathisé avec un personnage aujourd'hui disparu.
Le 4 février à Pékin, en marge des cérémonies artificielles, décalées et complètement contradictoires de l'esprit olympique, on aura pu constater les convergences des deux modèles de pouvoir autoritaire : celui du Chinois communiste Xi Jinping, et celui de Vladimir Poutine.
L'axe anti-occidental, ou antiaméricain, semblait scellé.
A la Une ce soir, retour sur les rêves de grandeur d’Emmanuel Macron. En visite en Russie lundi, le président français a reçu un accueil aussi frais que l’intérêt qu’il revêtait pour son homologue Vladimir Poutine. Un nouveau fiasco diplomatique.
Nous reviendrons ensuite sur le bilan sécuritaire du quinquennat alors que 69 % des Français le jugent négatif. Le ministre de l’Intérieur a enfilé son costume de pompier de service mais s’est montré très irritable.
Et puis pour terminer, nous reviendrons sur cette nouvelle affaire louche qui vient éclabousser le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti.
https://www.tvlibertes.com/macron-poutine-la-lecon-de-diplomatie-russe-jt-du-mardi-8-fevrier-2022
Plus de 8 ans après la crise ukrainienne, la situation dans le Donbass semble toujours explosive. Depuis quelques jours, les voix américaines et la presse occidentale reprennent en cœur une hypothétique volonté russe d’envahir le voisin ukrainien. Une intention que réfute Moscou, exhortant l’OTAN à ne plus chercher l’élargissement à l’Est. Mais si le conflit est localisé aux frontières russo-ukrainiennes, Kiev et Moscou sont bien loin d’être les deux seuls acteurs de ce conflit.
Le président hongrois doit rencontrer ce lundi 1er février, son homologue russe à Moscou.
Coopération commerciale, économique et énergétique, mais aussi sécurité européenne, voilà les sujets qui seront mis sur la table lors de la visite ce 1er février du premier ministre Viktor Orban à Vladimir Poutine.
Le philosophe engagé a accordé un entretien sur Fox News, où il déclare lui même la guerre à la Russie.
Jeudi 27 janvier, sur la chaîne américaine Fox News, Bernard-Henri Lévy a sommé les États-Unis de rentrer en guerre avec la Russie : « Nous n’avons pas le choix, nous ne vivons pas dans un monde d’anges […] Si [Vladimir] Poutine décide d’envahir, ce sera [une guerre] vraiment sanglante et sale […] Les Ukrainiens, aujourd’hui, sont aptes à se battre, aptes à se défendre. J’ai vu leurs tranchées, j’ai vu leurs armes. Ils n’ont pas les moyens de vaincre, mais ils ont de quoi se défendre eux-mêmes. »
Si les USA ne font rien, BHL en est certain : « Nous vivrons dans un autre monde dominé par les Chinois, dominé par les Russes […] Si nous voulons la paix, nous devons accepter la guerre froide.»
En février-mars 2014, la Russie de Poutine envahissait « en douceur » la région autonome de Crimée après un référendum auprès de la population locale plébiscitant le rattachement de leur région à la Russie. Il justifia son acte par l’enjeu géopolitique, notamment ses accès directs à la mer Noire qui auraient été compromis avec le nouveau pouvoir ukrainien à la suite de la révolution de Maïdan. A cela, les Américains et l’OTAN voulaient se montrer ferme pour la réponse à apporter en soutien du nouveau pouvoir pro occidental dans la crise de la Crimée et du Donbass qui commençait à s’enflammer.
Les points de tensions et de crises se multiplient dans le monde. Leur nombre grandissant mériterait de faire passer au second rang des préoccupations citoyennes aussi bien les enjeux du scrutin présidentiel qui se dessine, et plus encore les législatives qui suivront – ceci sans parler de la prétendue guerre que M. Macron prétend conduire contre le virus.