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géopolitique - Page 365

  • Qui dirige l’Empire ?

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    On ne peut rien comprendre à la politique américaine et à sa volonté d'hégémonie planétaire si l'on ne connaît pas le fait suivant : il existe certes un gouvernement-vitrine légal aux États-Unis, mais ce n'est pas là que se décide la « grande politique ». Elle se pense et se décide par le biais d'un « supra-monde » niché au cœur de l'État américain, formant ce que certains dénomment un État profond, un gouvernement parallèle, secret, invisible voire occulte...

    Selon le journaliste Webster Tarpley, ce gouvernement parallèle serait composé de hauts fonctionnaires de la Maison Blanche, des ministères, de l'armée et des services secrets, tous faisant preuve de loyauté envers un réseau privé (doté d’un centre de commandement privatisé en cas de crise majeure par le décret présidentiel n°12333) ayant pénétré tous les services et tous les points focaux.

    Qui sont-ils ?

    Lorsqu'on observe les hommes de ce réseau occulte, leurs intérêts, les structures qu'ils dirigent et les choix qu'ils opèrent, on se rend compte qu'ils appartiennent majoritairement à quatre grands domaines

    - les entreprises pétrolières.

    - les entreprises du lobby militaro-industriel.

    - le monde de la Banque, de la finance et de Wall Street.

    - le lobby pro-israélien.

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  • Wuhan, passé & présent

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    La construction éclair d’un hôpital à Wuhan

    Bruno Gollnisch cliquez ici

    Jusqu’ici peu de Français avaient entendu parler de Wu-Han, l’ancienne Han- Kéou, maintenant connue de tous, à cause de l’épidémie de coronavirus dont elle est l’épicentre.

    Elle est au cœur de la Chine profonde. Tirez une ligne du nord au sud : de la Mandchourie à Canton, et une autre d’est en ouest : du Tibet À l’océan Pacifique, Wu-Han est à l’intersection, sur les rives de l’immense Yang-Tsé-Kiang.

    Langues multiples.

    J’ai connu Wu-Han il y a environ 35 ans, dans des conditions curieuses. Fraîchement nommé professeur à l’université de Lyon pour y créer la chaire de japonais, j’étais auparavant maître de conférences à la faculté de droit de Metz. Mes collègues linguistes s’étaient dit que, comme juriste, j’étais sans doute capable de lire un arrêté ministériel, et m’avaient fait l’honneur de me demander d’être l’assesseur, c’est-à-dire l’adjoint du doyen de la faculté. Ce dernier, professeur de russe, avait démissionné peu de temps après pour raisons de santé, et j’avais dans la foulée été élu pour lui succéder. Je dirigeais donc une faculté où l’on enseignait plus de 25 langues étrangères à de nombreux étudiants. Les gros bataillons étaient bien sûr à l’époque pour l’anglais, l’espagnol, l’allemand, etc., mais les autres langues: latines, slaves, l’arabe, l’hébreu, le chinois, le japonais, y étaient aussi pratiquées.

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  • Coronavirus : attention, danger

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    Le 30 janvier, l’OMS, soupçonnée d’être influencée par le pouvoir chinois, a finalement décidé de déclarer l’épidémie à coronavirus 2019 n-CoV « urgence de santé publique internationale » et son directeur a ajouté que leur plus grand souci était d’éviter que le virus ne se propage dans des pays dont le système de santé est faible – l’Afrique, par exemple.

    Cette épidémie est partie d’un marché de Wuhan où sont proposés des animaux vivants ou morts (de la viande de bœuf au serpent et à la chauve-souris) dont la traçabilité sur l’origine laisse à désirer.

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  • Coronavirus : à qui profite cette épidémie ?

    Qui profite de l’épidémie de coronavirus de Wuhan ? 

    Le 9 janvier 2020, l’ONU a annoncé que le coronavirus de Wuhan présentait de nombreuses similitudes avec le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) et le MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient) ( 1).) ( 2).

    3)

    Un coronavirus est un virus qui provoque une infection du nez, des sinus ou du haut de la gorge. Elle peut entraîner une pneumonie ( 4 ) ( 5 ). La plupart des coronavirus ne sont pas dangereux. Certains types d’entre eux sont graves, comme le MERS et le SRAS ( 6 ). Le nom vient de l’apparence de couronne que le virus affiche.

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  • LE « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » DANS LA CONSTITUTION ? (2) (L’Imprécateur)

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    Cet article de l’Imprécateur est lié à celui de Jean Goychman et le complète. 
    Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
    Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire. 
    Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…

    Marc Le Stahler


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  • LE « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » DANS LA CONSTITUTION ? (1) (Jean Goychman)

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    Cet article de Jean Goychman est complété par celui de L’Imprécateur.
    Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
    Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire. 
    Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…

    Marc Le Stahler

    Le réchauffement climatique sera-t-il prochainement gravé dans le marbre de la constitution de 1958 pour permettre à Macron de gagner un référendum – peu en importe le contenu -, ce qui constituerait la clé de sa réélection en 2022 ?

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  • L’Empire US et les peuples autochtones : un contentieux historique

    L’Empire US et les peuples autochtones : un contentieux historique

    Faut-il encore rappeler que les Etats-Unis se sont d’abord construits contre des peuples autochtones (les Indiens d’Amérique) et que cette entité a mené de véritables guerres d’extermination à des gens qui ne lui demandaient rien, si ce n’est de vivre tranquillement selon leurs lois et sur la terre de leurs ancêtres. Mais c’était déjà trop apparemment, sans compter que cela constituait un obstacle insupportable à la « mission providentielle » des Etats-Unis, à la « destinée manifeste » de cette nation choisie pour être le législateur de l’humanité, de toute l’humanité il va sans dire.

    Les Etats-Unis se sont construits sur une base vétérotestamentaire. C’est pourquoi la psychologie américaniste est prisonnière d’une trame biblique : l’Amérique est la terre promise, le peuple américain est le peuple élu, les autochtones du pays sont des Cananéens – on peut donc légitimement les exterminer – et les autres nations ont un choix binaire à faire : soit s’incliner devant la Nouvelle Jérusalem, soit disparaître.

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  • Russie : la fin pour les Intégrationnistes atlantistes … peut-être ?

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    Source Unz Review via thesaker.is

    À présent, nous avons tous entendu la nouvelle, tout le gouvernement russe a démissionné et un nouveau Premier ministre, Mikhail Mishustin, a été nommé. Et nous savons aussi qu’Internet a été submergé par toutes sortes de spéculations sur ce que tout cela pourrait signifier.

    Hélas, tant que nous ne saurons pas qui sera inclus dans le nouveau gouvernement, nous ne pouvons pas vraiment dire grand-chose. Je veux dire, oui, en théorie, nous pourrions retenir notre souffle et nous attendre à ce que Glaziev soit nommé à une position importante dans le soi-disant «bloc économique» du gouvernement, mais comment savons-nous que ce ne sera pas Koudrine à la place ?!

    On ne le sait pas.

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  • PROCHE-ORIENT : POUR UNE FOIS, TRUMP A TOUT FAUX !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Une fois n’est pas coutume, nous dirons le plus grand mal de cette initiative du président américain qui n’est ni juste ni, surtout, sérieuse. Enfin, comment les Arabes de Palestine pourraient-ils accepter un plan qui les ampute d’un cinquième de leur territoire, - déjà réduit comme une peau de chagrin -, et qu’on leur propose d’installer leur capitale à Abu Dis, une banlieue de Jérusalem-Est à l’extérieur du mur de sécurité ?

    Un bref rappel historique

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  • Plan de paix israélo-arabe : Une farce ou une perspective ?

    Une farce ?

    PRESENT – Correspondant permanent aux Etats-Unis. – Les Palestiniens sont invités à accepter une souveraineté toute symbolique sur un Etat fantôme et à faire leur deuil de toute revendication territoriale où les Israéliens se trouvent solidement établis. Les éventuelles colonies juives encore en gestation ne seront pas l’objet de négociations, pas plus que le statut de Jérusalem ne sera discuté puisque l’ambassade américaine y a été déjà solennellement installée. Si d’aventure les Palestiniens se montrent déçus par le découpage d’une terre qui, en d’autres temps, fut la leur, on les incite à considérer avec sérieux les 50 milliards de dollars offerts par les monarchies pétrolières comme lot de consolation. Voilà ce que le président Donald Trump, avec à ses côtés Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, a appelé dans les salons de la Maison-Blanche « l’accord du siècle pour la paix au Moyen-Orient ».

    Quelle sorte d’accord pour quel type de paix ? Le document officiel de 180 pages ne le dit pas. Qu’importe aux deux compères qui avaient surtout besoin d’un effet d’annonce, de gesticulations théâtrales. Ce vieux conflit usé jusqu’à la corde leur servit de diversion à un moment périlleux de leur carrière politique. L’instinct et le calcul les ont réunis à Washington car, curieusement, les obstacles auxquels ils font face sont communs. Trump n’a pas le droit à l’erreur dans son procès devant le Sénat et Netanyahu est guetté par une inculpation pour corruption. L’un et l’autre doivent assumer des échéances électorales – Trump en novembre, Netanyahu en mars – qui exigent de leur part une opération psychologique. Enfin, nous sommes en présence de deux pragmatiques, deux froids manœuvriers pour qui seuls comptent les réalités du terrain et les avantages que l’on peut en retirer. Trump se pose en ficeleur d’un accord jugé impossible. Et Netanyahu se prend pour l’homme qui a fait plier l’Amérique.

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