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géopolitique - Page 369

  • Boycott des produits français, cyber-attaques… le monde musulman nous a déclaré la guerre

    Alors que le tyran islamiste Erdogan continue de déverser impunément sa bile sur notre pays, le déchaînement de haine anti-française auquel nous assistons depuis plusieurs jours dans ce monde musulman qui ne fait, lui, absolument aucune différence entre « islam » et « islamisme » ne cesse de gagner du terrain, et prend même désormais la forme d’une guerre qui n’ose pas dire son nom. C’est ainsi que, outre le boycott de nos produits déjà officiellement décrété par plusieurs pays musulmans, des dizaines de sites Internet français ont fait l’objet au cours de ces dernières 72 heures de cyber-attaques, accompagnées de messages appelant ouvertement à la décapitation de nos compatriotes et à la destruction de la France.

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  • L’Union européenne, la « grande puissance » muette face aux provocations d’Erdoğan

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    Dans le conflit qui s’envenime entre Paris et Ankara, la presse française s’est félicitée, en divers articles, des soutiens que Macron a recueillis de ses partenaires européens, en particulier de Rome, Athènes et Amsterdam, aux avant-postes pour condamner Erdoğan. Mme Merkel a, elle, fait le service minimum et jugé les propos du président turc « diffamatoires ». Mais à part des effusions verbales, que fait donc l’Union européenne pour défendre la France et, au-delà, le modèle de société libéral qui est le nôtre ? Qui se souvient des arguments usés et abusés jadis par nos médias et politiques pour nous vendre l’Union européenne qui, seule, pouvait faire de nous une grande puissance capable de rivaliser avec les États-Unis, la Chine et la Russie ?

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  • Après Trump ? de Guy Millière

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    Thierry Martin dans Boulevard Voltaire

    l y a peu de chance, mais Joe Biden peut fort bien être élu, le soir du 3 novembre, et ce serait terrible, nous prévient Guy Millière. Nonobstant la propagande massive des médias américains globalistes qui peut influer sur les low information voters (électeurs peu informés), les changements du système éducatif qui ancre des idées destructrices des États-Unis au profit d’une vision positive du socialisme (70 % des milléniaux sont prêts à voter pour un socialiste) ; nonobstant un parti démocrate ouvert « aux techniques du coup d’État », à la fraude, à la violence, les démocrates, partout où ils le peuvent, rendent la pièce d’identité non nécessaire pour voter, disant que l’exigence d’une pièce d’identité dans un bureau de vote est « raciste », sans parler du vote par correspondance qui permet des fraudes massives ; nonobstant les effets de changement de population qui pourraient se faire ressentir davantage en 2020, Trump peut gagner, mais cette victoire sera contestée.

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  • La fièvre monte à Ankara

    6a00d8341c715453ef026bde9ec61f200c-320wi.jpgPar deux fois, le 24 et le 25 octobre, Erdogan a explicitement insulté le tenant du pouvoir parisien, l'accusant de troubles mentaux, à la suite de son discours de la Sorbonne. Difficile dans ces conditions de ne pas donner raison à un Clément Beaune, secrétaire d'État aux affaires européennes, quand il dénonce "une volonté de déstabilisation" de la France de la part gouvernement turc. Dans un tel contexte on peut légitimement conclure que "ce n'est pas un hasard s'il n'y a pas eu de condamnation officielle", par la Turquie, de l'immonde attentat du 16 octobre.

    Les officieux atlantistes affirmaient, 48 heures plus tôt, le 22 octobre, que "l’incident du Courbet est dépassé. L’OTAN essaie d’oublier", tout se passant bien au mieux la meilleure des alliances euro-turques… Ils se trompaient : ce ne sont plus les militaires kémalistes d'hier, ni les vieux cercles diplomatiques, qui mènent la danse à l'est du Bosphore, mais un pouvoir politique s, au contraire, a parfaitement compris désormais que le mégalomane d'Ankara "se présente en protecteur des musulmans de façon complètement instrumentalisée".

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  • La marche turque, par Georges-Henri Soutou.

    Balkans, Chypre, Grèce, Syrie… La Turquie veut redevenir une puissance méditerranéenne. Faut-il la laisser faire ?

    Une crise, qui couvait depuis des années, est passée en quelques mois au centre des préoccupations internationales : celle qui oppose la Turquie à la Grèce et à Chypre, et dans laquelle la France se trouve très impliquée. Résumons le contexte. Grecs et Turcs ne sont pas d’accord sur leurs frontières maritimes respectives (eaux territoriales et zones d’exploitation économique exclusives), autour des nombreuses îles grecques qui se trouvent tout près du littoral turc.

    Ce n’est pas le seul cas, et les tribunaux internationaux règlent ces questions épineuses souvent en limitant ces zones autour d’îles qui pourraient, sinon, rendre difficile la situation du pays voisin. Mais la Turquie n’a pas signé la Convention de l’ONU sur le droit de la mer.

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  • Daniel Estulin et le virus des Bilderbergs

    1903465505.jpgCe qui nous arrive est prévu et monté depuis longtemps. Une grande partie fut révélée par l’écrivain d’origine soviétique Daniel Estulin en 2005.

    Voici une interview de Daniel Estulin (auteur de nombreux ouvrages sur le globalisme, sur le Club Bilderberg, l’institut Tavistock etc) par Goyo G. Maestro pour le site espagnol larazon.es

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    S’il y a un sujet favorable pour les complots, c’est bien le coronavirus, et s’il y a quelqu’un de compétent en la matière, c’est Daniel Estulin, auteur de plusieurs livres sur le club Bilderberg et analyste du renseignement russe. Estulin ne sait pas quelle est l’origine de la « pandémie » , mais il n’exclut pas la version suggérée par les responsables chinois selon laquelle l’armée américaine aurait introduit le virus en Chine . Ce qui est clair, c’est que cette crise sanitaire – « qui est secondaire » – va accélérer la fin du cycle que, ajoute-t-il, nous vivons, avec l’effondrement des marchés et la fin de l’ère entamée avec les accords de Bretton Woods en 1944. « L’Espagne ne peut pas sortir vivante de cette crise », prédit-il dans cet entretien avec LA RAZÓN.

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  • Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

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    Pierre Antoine Plaquevent était invité à présenter son travail à l'occasion de la rencontre locale du pays réel organisée par Civitas en région parisienne le 3 octobre 2020 : "Covid, Big Pharma, Bill Gates, Soros, de la tyrannie sous prétexte sanitaire au nouvel ordre mondial". Il reprend ici pour nous son intervention.
     
     

    Chers amis, 

    Voici un entretien d'environ 45 min réalisé avec Média Presse Info. Cet entretien brosse un tableau d'ensemble de la séquence en cours.

    Parmi les thématiques abordées :

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  • Pour l’Artsakh

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    Georges Feltin-Tracol

    Le 27 septembre dernier, après plusieurs journées de manœuvres militaires conjointes avec les forces turques, l’armée azérie a lancé une offensive surprise contre la république indépendantiste d’Artsakh. Appelé aussi en Occident « Nagorny Karabakh » ou « Haut-Karabakh », ce qui signifie en turco-persan « Jardin noir montagneux », la république d’Artsakh couvre 11 430 km² et abrite environ 150 000 habitants. Le 2 septembre 1991, dans les soubresauts de la Perestroïka gorbatchévienne, la majorité arménienne chrétienne de ce territoire autonome s’affranchissait de la pesante tutelle de l’Azerbaïdjan turcophone de confession chiite. Il en résultait un violent conflit auquel participât l’Arménie ex-soviétique. Victorieuses, les troupes arméniennes libérèrent l’Artsakh et occupèrent sept régions azéries coincées entre le nouvel État séparatiste et l’Arménie, en particulier le corridor stratégique de Lachin (ou de Berdzor). L’exclave azérie du Nakhitchevan nichée entre le Sud-Ouest de l’Arménie et la Turquie parvint toutefois à expulser tous ses Arméniens. Depuis 1994, malgré la répétition plus ou moins fréquente d’incidents le long de la ligne de cessez-le-feu, le conflit était considéré comme « gelé ».

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  • Florian Philippot : Agir face au coup d'accélérateur mondialiste (conférence)

  • Myret Zaki La fin du dollar est programmée

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    Propos recueillis par Patrick Péhèle

    Myret Zaki La fin du dollar est programmée.jpegNée au Caire, Myret Zaki est rédactrice en chef adjoint du magazine économique suisse Bilan En trois ouvrages, UBS, les dessous d'un scandale, Le secret bancaire est mort, vive l'évasion fiscale et La fin du dollar, tous publiés aux éditions Favre, cette journaliste pugnace s'est imposée comme une des meilleures pédagogues de la crise financière. Pour elle, le dollar est devenue la plus grande bulle spéculative de l'histoire.

    Éléments : Si on s'en tenait au titre de votre livre, La fin du dollar, et vu la crise que traverse actuellement l'euro, on pourrait penser que vous vous êtes trompée de sujet ou de monnaie ?

    Myret Zaki : La première réaction de mes interlocuteurs lorsque mon livre a paru a été de me dire : vous auriez du écrire La fin de l'euro, et non La fin du dollar ! Pourtant, même aujourd'hui, je ne crois toujours pas à la fin de l'euro. Lorsque j'ai écrit ce livre, le consensus autour de la fin de l'euro était si écrasant que j'ai voulu, en toute conscience, expliquer que la véritable crise que nous vivons et qui explique les secousses de l'euro, c'est la fin du dollar comme monnaie de réserve internationale. Cette menace-là agrège en réalité des intérêts convergents qui déstabilisent l'euro.

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