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immigration - Page 1035

  • Le forum Polémia appelle à la dissidence

    FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    Le 2e forum de la dissidence était organisé ce samedi par la fondation Polémia. Il a rencontré le succès, avec une salle comble de plus de 600 personnes. Le programme promettait des témoignages de personnes engagées dans un combat contre le politiquement correct. Il a tenu toutes ses promesses.

    Michel Geoffroy a introduit le forum en relevant que les gouvernants avaient perdu leur légitimité, et en saluant l’entrée en dissidence des majorités

    Après un film sur la Hongrie de Viktor Orban, quatre maires ou membres de conseils municipaux ont fait part de leur action. Ils ont aussi pointé les obstacles politiques, juridiques et médiatiques. Robert Ménard a ainsi regretté le manque de courage et de conviction des politiciens de centre droit, je le cite : « Nous avons contre nous cette droite de merde (…) : ils préféreront demain s’allier avec les islamistes ».

    La résistance à l’islamisation et à l’afflux migratoire a ensuite été mise en valeur

    D’abord par une table ronde présidée par Karim Ouchikh. Elle a mis en évidence l’impossibilité du dialogue avec un islam conquérant et intolérant. D’où l’importance de s’opposer aux projets de mosquées et de manger de la viande certifiée « de tradition française ». Ensuite, plusieurs initiatives contre la dissémination des immigrants illégaux sur le territoire national ont été présentées.

    La résistance corse contre les agressions allogènes a également fait l’objet d’un beau reportage télévisé d’Hervé Grandchamp

    C’est Jean Yves Le Gallou qui a clos les travaux. Le président de Polémia a constaté que si c’est l’Etat qui a fait la France, aujourd’hui, il la défait. Qu’il s’agisse des préfets ou des juges, il a appelé à mettre en cause ceux qui collaborent à l’islamisation et à l’invasion de notre pays. Pour dénoncer ces collabos, il a annoncé la création d’un prix Papon, qui ne manquera pas de candidats ! Jean Yves Le Gallou a enfin rappelé que la dissidence est l’affaire de tous : « Soyez des lanceurs d’alerte » a t il notamment lancé, afin de nourrir la réinformation. Quitte à recourir à la messagerie cryptée Telegram pour rester discret.

    http://fr.novopress.info/

  • Preuve par l’image : des organisations musulmanes ont appelé discrètement à voter Juppé lors des primaires de la droite

    PRIMAIRE MAG

    Source

  • François Fillon, premier imam de France ?

    Malgré les postures de la dernière coqueluche des médias, rien ne changera sur le front du Grand Remplacement islamique.

    À l’époque, nos compatriotes étaient déjà tellement anesthésiés qu’ils n’ont guère réagi à l’inauguration, par le Premier ministre de la France, un certain… François Fillon, d’une mosquée à Argenteuil. C’était le 28 juin 2010. Il est vrai que nos médias complaisants n’avaient guère relayé plus que cela la fameuse nouvelle. Le site marocain atlasinfo.frs’en était alors ému en ces termes : « Jamais un Premier ministre ne s’était déplacé pour l’inauguration d’une mosquée, en banlieue dite “sensible” qui plus est. »

    Le scandale était pourtant là. Que la France, incarnée par le Premier ministre, se prosternât devant la future première religion du pays, ce, afin de promouvoir un lieu de culte (la mosquée Al Ihsan, d’une superficie de 3.000 m2, contrôlée par l’Algérie, qui y nomme l’imam), faisait l’effet d’un coup de tonnerre. À bas bruit, néanmoins.

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  • Primaire : le FN appelle les électeurs qui ont voté pour davantage d'identité, d'autorité et de sécurité

    Communiqué de Philippe Vardon, Conseiller régional de PACA et membre du Bureau départemental FN 06 :

    "A travers leur vote pour Nicolas Sarkozy, hier lors de la primaire du centre-droit, ce sont 35% d'électeurs [?] qui ont réclamé davantage d'identité, d'autorité et de sécurité.

    En effet, quoi qu'il en soit de la réalité du bilan de Nicolas Sarkozy ou de la sincérité de ses convictions, c'est bien ces thématiques que celui-ci avait placé au cœur de sa campagne.Et ces électeurs, comme de manière plus marginale ceux ayant voté pour Jean-François Copé ou Jean-Frédéric Poisson, se retrouvent aujourd'hui orphelins. Il semble en effet évident que – quels que soient les ralliements opportunistes ou les calculs – ni Alain Juppé, ni François Fillon ne peuvent répondre à leurs aspirations. Leurs atermoiements sur la question des migrants ou leur faiblesse face à l'islamisme radical les disqualifient clairement. François Fillon avait en effet déclaré qu'il accueillerait des migrants dans sa commune s'il était encore maire, et a notamment été le premier chef de gouvernement à inaugurer une mosquée (à Argenteuil).

    Identité, autorité, sécurité sont au cœur du projet pour la France porté par Marine Le Pen, et c'est autour de sa candidature de rassemblement du peuple français – au-delà des étiquettes partisanes et des parcours politiques – que doivent se mobiliser tous les patriotes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Grèce attaquée !

    Ces derniers jours nous avons assisté à de véritables scènes de guerre ethnique dans les îles grecques de l'est de la mer Égée et notamment celle de Chios qui voit, depuis presque déjà deux ans, arriver sur son sol des milliers de clandestins musulmans originaires de plusieurs pays d'Afrique et d'Asie (pour seulement une infime minorité de Syriens ou Irakiens, eux-mêmes de sexe masculin et de religion musulmane dans leur grande majorité). Même si ce n'est pas la première fois que les prétendus réfugiés se livrent à des actes de vandalisme, cette fois-ci les épisodes ont pris une tournure particulièrement violente avec des agressions répétées de leur part contre les maisons et les propriétés des habitants, au cri de ralliement désormais incontournable et sans ambiguïté d'Allâhu Akbar!

    544634739.jpgDepuis l'éclatement de la crise migratoire et le déferlement de nouvelles masses de ressortissants du « Tiers monde », et surtout de sa partie musulmane, sur l'Europe, les habitants des jolies îles grecques, lieux de vacances favoris pour un grand nombre d'Européens chaque été, se trouvent confrontés à une sombre réalité qui dépasse toute imagination : arrivées quotidiennes d'embarcations de misère pleines de migrants qui finissent parqués dans des centres de rétention préparés à la hâte, émeutes ethniques récurrentes, dégradations matérielles, actes visant à intimider la population locale, scolarisation dans les établissements publics d'enfants de migrants n'ayant aucune notion de langue grecque. Ces dernières sont imposées par le gouvernement grec contre la volonté des parents d'élèves et malgré leurs protestations de plus en plus virulentes.

    grèce feu.jpg

    Il s'agit en réalité d'images tendant malheureusement à devenir aujourd'hui banales comme dans les autres pays euro-méditerranéens. Mais dans cette extrémité insulaire et maritime de l'Europe, aux faibles densités démographiques et à deux pas d'une Turquie en plein renouveau islamique, le séjour prolongé de nombreux groupes de migrants musulmans constitue une véritable bombe à retardement. Soutenus par une pléthore d'ONG aux financements souterrains et encouragés par les tièdes réactions du gouvernement gauchiste de SYRIZA, ces masses finiront trop ou tard par former de puissantes enclaves et une éventuelle réaction forte des populations autochtones risquerait d'entraîner une intervention turque qui prendrait comme prétexte la protection de "communautés musulmanes persécutées". Ce n'est certainement pas un hasard si, voici seulement un mois, Erdogan a remis en question les dispositions du traité de Lausanne qui détermine les lignes de partage frontalières entre les États grec et turc, afin d'évoquer la nécessité d'une récupération de territoires chrétiens et européens autrefois occupés par l'Empire ottoman, notamment des îles égéennes et la Macédoine grecque avec la ville de Thessalonique. Loin d'être de simples propos à destination interne ou servant à nourrir une surenchère de chauvinisme face à l'opposition kémaliste, les allégations d'Erdogan révèlent en fait l'existence d'une vraie stratégie expansionniste de la part de la nouvelle Turquie islamiste et éclairent sous un jour nouveau les évolutions concernant le déferlement migratoire sur l'Europe.

    Il est encore peu connu en Europe de l'ouest que depuis des décennies la Turquie, administrations kémalistes comprises, poursuivait, et continue toujours à le faire, une politique provocatrice de violation systématique des eaux et de l'espace aérien helléniques à l'est de la mer Égée et qu'elle ne cesse de contester la souveraineté de la Grèce dans ces territoires qu'elle appelle improprement "zones grises". Étant donné le précédent de l'intervention militaire à Chypre en 1974 et l'occupation de la moitié environ de cette île historiquement et très majoritairement grecque, on pourrait craindre une réitération de cette démarche, en mer Égée cette fois, dans des conditions de crise migratoire aggravée et avec un État grec complément déliquescent à cause de la crise et de l'action dissolvante de la gauche au pouvoir. En 1990, le Président turc d'alors, islamiste modéré, Turgut Özal, avait dit à propos des différents de son pays avec la Grèce qu'il suffirait d'envoyer chez les Grecs "quelques deux millions de migrants" pour en finir avec eux; et à cette menace en passe actuellement de se concrétiser, on doit ajouter l'existence au nord-est de la Grèce (région de Thrace de l'ouest) ainsi que dans d'autres pays de la péninsule d'Aimos (nom antique de ce qu'on appelle aujourd'hui les Balkans) de minorités turco-musulmanes démographiquement prolifiques et prêtes à servir de cinquièmes colonnes à l'impérialisme néo-ottoman.

    Un scénario de type Kosovo serait ainsi à craindre dans le sud-est de l'Europe, en attendant cette "partition", dont parle pour la France François Hollande, qui risque de survenir au cœur même du continent, dans d'innombrables endroits allogénisés et islamisés par des décennies d'inconscience et de dormition des Européens! La situation d'aujourd'hui ressemble à s'y méprendre à celle du XVe siècle: depuis cette époque lointaine, et pourtant par tant d'égards si proche, à aucun autre moment l'Europe n'a été si affaiblie, si désunie, si abaissée et jamais ses ennemis séculaires ne se sont montrés si arrogants, si agressifs et si sûrs d'eux.

    Des clandestins algériens lancent des fusées éclairantes sur les maisons des riverains à Chios.

    Des clandestins algériens incendient des propriétés à Chios.

    Basile Cérialis / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2016/11/19/la-grece-attaquee-5876447.html

  • Qui va gagner l'Islamogogo ?

    Le vote « Islamogogos » est une parfaite réussite. 

    Vous avez voté pour dix citations mensongères, stupides, complaisantes, ou tout simplement fausses au sujet de l’Islam.

    L’une d’entre elles a recueilli un très grand nombre de votes....

    Elle sera dévoilée aujourd'hui durant la grande journée l'Agrif qui donnera le prix à l’un des votants tiré au sort. 

    Rendez-vous donc Dimanche à l’Espace Charenton au 327 rue de Charenton 75012 PARIS.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Reportage : Convention thématique sur la protection animale (11/10/16)

  • Clash au Parlement des Pays-Bas : « Retournez en Turquie ! »

    « Si vous aimez tant votre pays, retournez y vivre, retournez en Turquie ! » : tels sont les aimables propos que Louis Bontes a lancé à Selçuk Öztürk dans l’enceinte du Parlement néerlandais, où ils siègent tous deux comme députés, ce qui est bien leur point commun !

    Selçuk Öztürk, un musulman né en Turquie en 1972, est un ancien du PvdA, le Parti travailliste, qu’il a quitté pour fonder sa propre formation avec un autre élu également né en Turquie et tout aussi musulman, Tunahan Kuzu.

    Louis Bontes est député lui aussi mais il n’est ni turc ni musulman. Elu sous l’étiquette du Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, dont il s’est éloigné depuis tout en continuant à défendre les mêmes convictions, il est même farouchement hostile à l’islamisation de son pays.

    Alors quand Selçuk Öztürk a commencé à prôner la suppression de l’armée des Pays-Bas, le sang de Louis Bontes n’a fait qu’un tour. Et il est allé lui parler du pays…