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immigration - Page 1036

  • Manipulations et non-dits lors de la commémoration du 13 novembre

    Manipuler l’opinion publique a toujours été utilisé par certains gouvernements pour faire progresser ses idées ou cacher ses incompétences. Hollande et sa gouvernance viennent de nous en donner une nouvelle preuve éclatante.

    Le 13 novembre 2016, Michaël Dias, fils de Manuel Dias tué au Stade de France le 13 novembre 2015, a prononcé le seul discours consacré à la commémoration des attentats. Un discours « engagé », dans lequel le jeune homme a plaidé pour « la tolérance, et l’intelligence », ajoutant en parlant de son père né au Portugal :

    Il était la preuve incarnée que l’intégration était possible et nécessaire… Nous devons continuer à avancer en toute liberté, en ne cédant jamais face à ceux qui veulent nous terroriser

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  • Sourds à l'avertissement policier

    Les manifestations du mécontentement profond des forces policières ont été commentées sur certains de leurs aspects, et totalement ignorées quant à l'avertissement majeur qu'elles ont clairement formulé.

    Tous les commentateurs ont relevé que le mouvement des représentants de l'ordre public s'est déclenché en dehors de leurs représentations syndicales. Et pour cause : les syndicats de la profession fonctionnent en étroite symbiose idéologique et d'intérêt avec la hiérarchie à son niveau le plus élevé, la coordination de cette complicité profonde étant le plus souvent assurée par les appartenances maçonniques des uns et des autres. Nul mystère, par exemple, de la proportion écrasante de commissaires « frères trois points », pour ne mentionner que ce détail. Ceci ne changera que lorsque se produira (ce qui est exclu tant que le régime actuel survivra) une réforme du style britannique, avec l'interdiction pour policiers et magistrats de toute appartenance maçonnique.

    Il a été également souligné que les rassemblements spontanés comportaient des policiers parfois en uniforme, ou à tout le moins portant des marques de leur appartenance à l'institution. Ce qui a d'ailleurs entraîné des convocations de participants aux lins de sanctions. Parallèlement, en vertu de la fameuse tactique du bâton et de la carotte, le gouvernement s'empressait de témoigner de la sollicitude envers les mécontents, le président Hollande en personne s'intéressait à leur sort, et diverses mesures techniques étaient annoncées rapidement.

    En fait, la principale cause de la colère et du désarroi policiers se voyait délibérément ignorée, à savoir l'attitude de la justice face aux criminels déférés quotidiennement aux magistrats. Et trop souvent remis en liberté, ou sanctionnés de façon dérisoire, en vertu de l'idéologie régnant dans les temples judiciaires, façon de voir avalisée, voire encouragée, par les politiciens, l'illustration la plus flagrante étant incarnée par le garde des Sceaux, Christiane Taubira, en son temps très récent.

    Sur ce point, le pouvoir se montre sourd et muet. Rien ne changera. Terrorisme, émeutes anti-policières, explosion de la violence barbare sous toutes ses formes, laissent impavides les responsables. Il serait pourtant de leur propre intérêt de se souvenir des leçons de l'histoire, par exemple de celles de la IVe République finissante. Mais le 13 mars 1958 ne dit rien à Hollande, Cazeneuve et consorts. Le signataire de ces lignes, lycéen à l'époque, fut témoin de la colère policière ce jour-là par le hasard d'un rendez-vous chez un ami demeurant à proximité immédiate du Palais-Bourbon. Les fonctionnaires de l'ordre public réclamaient alors en particulier une prime de risque et diverses autres mesures se rapportant au terrorisme du FLN algérien dans la capitale. En haut lieu, on était sourd. En fin de matinée, une première démonstration avait eu lieu dans la cour de la Préfecture de Police. Dans l'après-midi, des milliers de policiers, « en bourgeois », comme on disait alors, la trouvant insuffisante, décidèrent de marcher sur l'Assemblée Nationale, silencieusement. Arrivés devant les portes de l'asile pour parlementaires, sur un signal, ils sortirent tous leur sifflet à roulette, suscitant un vacarme indicible, puis scandèrent : « Les députés à la Seine ! ». Alors, les entrées s'ouvrirent d'un seul coup, grâce aux gendarmes en service, et la cour de l'édifice fut envahie, les députés présents courant à l'extérieur pour se mettre à l'abri. Cet épisode particulier auquel j'assistais est omis sur ce point dans les récits historiques du printemps 1958.

    Conséquences immédiates : démission du préfet de police d'alors (André Lahillonne), remplacé par Maurice Papon, satisfaction des demandes des policiers, profonds remous dans l'opinion, glas de la IV portée dans les poubelles de l'histoire au mois de mai suivant. En 2016, la sécurité du pays court de plus grands dangers qu'en 1958. Le trio Hollande/Valls/Cazeneuve n'en a cure, et se croit plus avisé que ses prédécesseurs de la IVe. Jupiter rend aveugles (et sourds) ceux qu'il veut perdre, disait-on à Rome. Il conviendrait de méditer cet échantillon de la sagesse antique.

    Nicolas Tandler Rivarol du 10 novembre 2016

  • Gustave Le Bon et le Grand Remplacement vers 1880

    Cet article de Nicolas Boileau, collaborateur de voxnr.com, est publié en Analyse, les rubriques Tribune et Débats étant réservées aux Invités. Vous pouvez poster votre avis au bas de cette page dans le fil des Commentaires.

    Certains dénoncent un grand remplacement. Or on ne remplace pas celui qui va mourir ou celui qui est déjà mort. On ne remplace pas non plus celui qui n’en a rien à faire, ou celui qui ne veut pas paraître raciste ou xénophobe (il n’y en a plus d’ailleurs). On assiste à effacement d’un groupe de zombis, c’est tout. C’est la théorie de la constatation, pas de la conspiration. Nous connaîtrons le sort des indiens sans avoir connu leur gloire : où sont nos Sitting Bull, où sont nos Crazy Horse (ah oui, le Crazy Horse…) ?

    En 1970, nous étions trois milliards (quel règne de la quantité !). Nous serons bientôt huit, seuls les crève-misère – et une poignée de cathos – ayant des enfants. Il est donc normal qu’ils viennent cohabiter avec les vieux richards que nous sommes ; Il n’y là que de la théorie de la constatation. Le reste de nos enfants achèvera de se métisser, comme à toutes les époques. Le fait que certains bonnes âmes bourgeoises dépourvues d’enfants collaborent (Merkel, Lagarde, May, quelques autres) n’étonnera personne. Elles nourriront les réfugiés et tous les africains comme les petites vieilles de Mary Poppins nourrissent les pigeons devant une ancienne cathédrale. C’est de l’humanitaire et Oscar Wilde en disait déjà le plus grand mal avant Louis-Ferdinand Céline. A cette même époque victorienne, John Hobson reproche à l’impérialisme britannique ou occidental d’être bien trop humanitaire ; car plus on est humanitaire, plus on intervient, cela vous étonne ?

    Il reste toujours une bonne action à commettre, au Darfour, en Libye, en Océanie.

    Venons-en au GR comme on dit.

    Ah, le Grand Remplacement. Le pérenne, éternel, périlleux Grand Remplacement. Mais lisez Juvénal ! Voici ce qu’il dit Juvénal :

    « Je ne puis supporter, ô Quirites, une ville devenue grecque. Grecque ? Quelle est en réalité la proportion d’Achéens dans cette lie ? Il y a longtemps que de Syrie l’Oronte (fleuve syrien donc) est venu se jeter dans le Tibre ; c’est la langue et les mœurs de là-bas, c’est la harpe aux cordes obliques, ce sont les flûtes et les tambourins barbares que ce fleuve charrie dans ses eaux, sans oublier les filles condamnées à lever des hommes aux alentours du Cirque. »

    La population a été remplacée à Rome comme elle a été remplacée à Athènes. Juvénal a dix-sept siècles d’avance sur Gobineau.

    Mais restons en France dans notre propre dix-neuvième siècle. On va citer un vieux maître et sa psychologie du socialisme, dans lequel il dresse un tableau catastrophé, plus encore que celui de Renaud Camus, des invasions qui nous guettent ici comme en Amérique. J’ai déjà rappelé Drumont et surtout Maupassant, considéré comme un innocent conteur naturaliste et scolaire. Récitons-le du coup :

    « Des Arabes, des nègres, des Turcs, des Grecs, des Italiens, d’autres encore, presque nus, drapés en des loques bizarres, mangeant des nourritures sans nom, accroupis, couchés, vautrés sous la chaleur de ce ciel brûlant, rebuts de toutes les races, marqués de tous les vices, êtres errants sans famille, sans attaches au monde, sans lois, vivant au hasard du jour dans ce port immense, prêts à toutes les besognes, acceptant tous les salaires, grouillant sur le sol comme sur eux grouille la vermine, font de cette ville une sorte de fumier humain où fermente échouée là toute la pourriture de l’Orient. »

    Il est à Marseille Maupassant, cette première ville-étape du Paris-Dakar, comme disaient les inconnus.

    Mais venons-en à Gustave Le Bon ; Comme beaucoup de racistes d’alors, il est fasciné par les anglo-saxons (nos socialistes le sont toujours, ils se mettent toujours en quatre pour Sarah marmelade!) et il regrette l’invasion des métèques européens en Amérique :

    « Les dangers qui menacent l’Europe, menacent les États-Unis dans un avenir beaucoup plus prochain encore. La guerre de Sécession a été le prélude de la lutte sanglante qui s’engagera bientôt entre les couches diverses qui vivent sur leur sol. C’est vers le nouveau monde que se dirigent d’instinct tous. les inadaptés de l’univers. Malgré ces invasions, dont aucun homme d’État américain n’a compris le péril, la race anglo-saxonne est encore en majorité aux États-Unis. Mais d’autres races, Mexicains, Nègres, Italiens, Portoricains, etc., s’y multiplient de plus en plus. »

    Le Bon ne fait pas différence entre italiens et nègres (Vacher de Lapouge mettait le chinois au-dessus du brachycéphale français, Chamberlain l’alpin bavarois au-dessus du slave blond, ô racistes!) ; d’ailleurs il s’en prend tout le temps aux peuples latins, et il dira même dans sa très ubuesque civilisation des arabes que les pauvres ibères sont de simples aborigènes à côté des civilisateurs arabes. Comme quoi on est toujours le sous-homme de quelqu’un.

    Trente ans avant d’autres sociologues et commentateurs américains « de souche » (Madison Grant, Edward Allsworth Ross, Francis Scott Fitzgerald, curieusement pas Geronimo), Le Bon note sur un ton affolé :

    « C’est ainsi, par exemple, que les États-Unis comptent aujourd’hui environ 8 millions de nègres. Une immigration annuelle de 400.000 étrangers accroît sans cesse cette dangereuse population. Ces étrangers forment de véritables colonies, parfaitement indifférentes, et le plus souvent hostiles à leur patrie d’adoption. Sans lien de sang, de tradition ou de langage avec elle, ils ne se soucient nullement de ses intérêts généraux. Ils ne cherchent qu’à se faire nourrir par elle. »

    On parle ici de l’Amérique des blancs, de peuplement européen, celle qui fait fantasmer le nouveau racisme US. Or les trois millions de membres du KKK dans les années vingt défilaient contre les catholiques, les méditerranéens et les irlandais. Et je ne vous dis pas le mal que l’on pensait des balkaniques. Puis le Bon décrit lyriquement l’art de vivre de ces nouveaux américains :

    « Ils ne peuvent vivre à peu près qu’à la condition de se contenter des travaux les plus infimes, des emplois les plus secondaires, et par conséquent, des plus insuffisants salaires. Ces étrangers ne forment encore que 15% environ de la population totale des États-Unis, mais dans certaines régions ils sont bien près d’être en majorité, et ils le seront bientôt si les nègres continuent à pulluler dans les décennies à venir. L’État du Dakota septentrional compte déjà 44% d’étrangers. »

    Le Dakota est d’ailleurs alors peuplé d’allemands, mais Le Bon les trouve trop syndiqués et pas intégrés. Comme quoi personne n’est parfait, même pas l’alpin germanophone.

    Le petit et inévitable délire sur les noirs s’ensuit :

    « Les 9 dixièmes des nègres sont concentrés dans les 15 États du Sud, où ils forment un tiers de la population. Dans la Caroline du Sud, ils sont maintenant en majorité et dépassent le chiffre de 60%. Ils égalent les blancs en nombre dans la Louisiane. On sait comment les nègres sont traités sur le sol américain, où généralement leur libération de l’esclavage est considérée comme une colossale erreur. »

    Ben oui, il fallait les garder esclaves. Une journaliste un peu sérieuse (il en reste) récemment a rappelé que les noirs du District fédéral sont quatre-vingt-trois fois plus pauvres que leurs voisins blancs. Et ce après huit ans de l’autre au pouvoir !

    Puisil s’en prend aux pauvres italiens (détestés, vous vous en souvenez, par Rebatet aussi) et aux inévitables irlandais pourtant chassés de leur île par une crise sciemment gérée par le cabinet whig Anglais (trois millions de morts de plus pour Albion, trois!) :

    « Tels sont, par exemple, les ouvriers irlandais des ateliers anglais. Monsieur de Rouziers a noté, après bien d’autres, leur infériorité, constatée également en Amérique:  » Ils ne montrent pas le désir de s’élever, et sont satisfait dès qu’ils ont de quoi manger. » En Amérique on ne les voit guère, de même d’ailleurs que les Italiens, exercer d’autres professions que celles des mendiants, politiciens, maçons, domestiques ou chiffonniers. »

    Dans cette phrase je suis au moins d’accord avec une chose : l’absence de distinguo entre domestique et politicien. Demandez à Netanyahou ce qu’il pense du président américain (blond, noir ou épiscopalien) pour voir.

    Le Bon enfonce ensuite son clou sur l’étatisme latin, qui comme on sait a gagné les USA (cent mille fonctionnaires à plus de 200 000 dollars à Washington!) :

    « Les conséquences inévitables de cet état de choses ont été un accroissement très rapide du nombre des fonctionnaires italiens, et par conséquent des dépenses budgétaires. Des faits identiques se produisant chez tous les peuples latins apparaissent nettement comme la conséquence de la constitution mentale de leur race. La démonstration est plus probante encore, quand on rapproche ces faits de ce que nous avons dit dans un autre chapitre des résultats produits par l’initiative privée chez les Anglo-saxons. »

    Mais continuons avec Le Bon car son tableau apocalyptique a une part de vérité. Le monde moderne et son école publique fabriquent trop de pseudo-savants, de diplômés, d’inadaptés (dont sans doute votre rédacteur et tous les amateurs de conspiration qui passent leur journée sur le web au lieu de tirer à l’arc, de cultiver des légumes ou de naviguer au loin) :

    « A la foule des inadaptés créés par la concurrence et par la dégénérescence, s’ajoutent chez les peuples latins les dégénérés produits par incapacité artificielle. Ces inadaptés sont fabriqués à grands frais par nos collèges et nos universités. La légion des bacheliers, licenciés, instituteurs et professeurs sans emploi constituera peut-être un jour un des plus sérieux dangers contre lesquels les sociétés auront à se défendre. La formation de cette classe d’inadaptés artificiels est toute moderne. »

    De là les nouveaux barbares qui menacent la civilisation (IE la propriété bourgeoise), bien avant nos pauvres islamistes et réfugiés :

    « Car ce n’est pas seulement les détenteurs de la richesse que menacent les nouveaux barbares, mais bien notre civilisation même. Elle ne leur apparaît que comme la protectrice du luxe, comme une complication inutile. Jamais les malédictions de leurs meneurs n’ont été aussi furieuses. Jamais peuple dont un ennemi sans pitié menaçait les foyers et les dieux n’a fait entendre de pareilles imprécations. Les plus pacifiques des socialistes se bornent à demander l’expropriation de la bourgeoisie. Les plus ardents veulent son anéantissement complet. »

    Mais la bourgeoisie, surtout en France, est dure à cuire. Demandez à Bernanos ou Jacques Ellul pour voir. Elle en a vu d’autres et elle en bouffera d’autres avec Valls ou Juppé aux commandes. Quant aux italiens ils ont fini par de faire de bons américains, encore plus racistes que leurs devanciers (car il n’y pas de machins de souche, il y a seulement des devanciers sur un terrain, et dans ce cas comme en d’autres, c’est la raison du plus riche qui est toujours la meilleure.

    Quant à la civilisation en voie de remplacement, il y a longtemps que nos deux plus grands esprits modernes (Marx et Guénon) nous l’ont décrite :

    « La bourgeoisie façonne le monde à son image, et force les nations à adopter son genre de vie, qu’elle nomme civilisation. »

    « Le monde moderne a créé une civilisation qui est tout sauf une civilisation, qui est juste le contraire d’une civilisation. »

    http://www.voxnr.com/6286/gustave-le-bon-et-le-grand-remplacement-vers-1880

  • Contrevenir au Halal : un acte de dissidence ? Alain de Peretti sera présent au 2e Forum de la Dissidence !

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    Président de Vigilance Halal, Alain de Peretti est vétérinaire. Il sera présent, le 19 novembre, à l’Espace Cap 15, à l’issue du 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. Il y parlera de la dissidence face au Halal et à l’Aïd, au sein de la table-ronde : «Face à l’islamisation et à l’implantation de migrants».

    2e-alerte-Pol..jpgMEDIAS PRESSE INFO. « Le Halal s’est bien inséré dans la logique de la mal-bouffe et de la distribution de masse », indiquiez-vous à l’issue d’une émission de télévision (TVL, 18 juin 2014). Dans quelle mesure le mode de consommation « halal », qui fait appel à un abattage rituel suivant des règles islamiques, constitue-t-il un danger pour l’identité française ?

    Alain de Peretti. Le halal réalise la jonction entre l’affairisme mercantile et l’obscurantisme religieux. Formidable outil financier au service de l’islam, il maintient les populations musulmanes vivant hors des terres d’islam dans un apartheid volontaire, théorisé dans des documents émanant de l’ISESCO. Le halal est le Cheval de Troie de la charia, qui est parfaitement incompatible avec notre identité, en introduisant, entre autres, une notion de pur et d’impur, à rebours de notre héritage chrétien.

    MEDIAS PRESSE INFO. Vous participerez, le 19 novembre, au 2e Forum de la Dissidence organisé par Polémia. En quoi s’opposer aujourd’hui à cette consommation de viande halal est-il un acte de dissidence ?

    Alain de Peretti. La viande halal n’est qu’une petite partie de la notion de halal qui définit tout ce qui est autorisé par la charia et recouvre tous les aspects de la vie, même les plus triviaux. La viande halal, par son aspect de violence envers les animaux et les risques sanitaires induits par cette technique, possède une force pédagogique extraordinaire auprès d’un public très divers. L’incompatibilité avec notre mode de vie devient évidente et permet de démontrer également le « Grand Remplacement » dont il est la conséquence. En outre, la démonstration de l’islamophilie de nos élites est un acte de dissidence majeur.

    MEDIAS PRESSE INFO. « 60% de la viande en France est aujourd’hui abattue suivant ce rite », estimiez-vous, il y a deux ans, au micro d’une émission télévisuelle. Comment réagissent les autorités publiques face à l’augmentation de cette viande sur nos marchés alimentaires français ? Comment se fait-il que le consommateur soit de facto obligé d’acheter ces produits, dont la consommation peut se révéler dangereuse ?

    forum-dissidence-polemia-276x155.jpg Alain de Peretti. Les autorités publiques sont dans le déni total, par lâcheté ou idéologie. Tout est caché : « Dormez, braves gens ! » Sous prétexte de laïcité et de liberté religieuse on laisse des pratiques exotiques se développer au mépris de tous les règlements ; on refuse l’étiquetage pour… ne pas stigmatiser ! Ce serait pourtant un premier pas et c’est faisable très facilement.

    MEDIAS PRESSE INFO. Vigilance Halal souhaite intervenir auprès des instances juridiques pour faire part des dérives éventuelles que peut engendrer cette consommation devenue de plus en plus coutumière. A l’occasion du Forum de Polémia, quel témoignage, quelles réponses, votre association peut-elle apporter ?

    Alain de Peretti. Nous faisons plus que souhaiter ! Depuis la création de VH nous avons mis en route une vingtaine de procédures, partant du principe maurrassien « d’utiliser tous les moyens même légaux ». Les lois et règlements sont systématiquement bafoués pour rendre la vie facile à l’islam et de ce fait la matière est surabondante… Cela coûte cher mais, grâce à un réseau de donateurs fidèles et motivés, nous pouvons y faire face.

    Cela demande du temps et de l’opiniâtreté car sur ces sujets brûlants les magistrats bottent en touche, mais nous progressons et avons même en vue une procédure de carence au niveau européen, car il n’est jamais, pour l’instant, répondu aux arguments purement techniques que nous développons. Dernièrement dans une procédure au Conseil d’Etat concernant l’Aïd el Kebir, le mémoire en réponse du ministère de l’Agriculture avoue de façon claire que les mesures que nous préconisons, pourtant hyperclassiques en matière sanitaire, ne peuvent être appliquées en raison de probables troubles à l’ordre public. Quel aveu et quelle démonstration du manque de « modération » de ces populations dont l’immense majorité vivrait un islam paisible et républicano-compatible ! Nous avons également pu démontrer que l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République

    MEDIAS PRESSE INFO. Dans une perspective de complémentarité à l’action juridique que des associations comme la vôtre peuvent mener, comment les Français peuvent-ils concrètement s’opposer à l’imposition d’un mode d’alimentation qui ne s’inscrit pas dans leur culture ?

    Alain de Peretti. Il faut arrêter de subir et surtout ne rien attendre des « autorités » publiques. Il faut se bouger, gentiment, poliment mais fermement pour instituer ce que j’appelle un « communautarisme béret/baguette ». Nous avons mis en place pour cela un réseau de bouchers qui s’engagent à ne vendre que de la viande non halal ni casher, avec un site de géolocalisation qui s’appelle « Suivez le coq », et bientôt également pour les restaurateurs. Questionnez les cantines de vos enfants et exigez la traçabilité ; boycottez la grande distribution qui nous « mène en barquettes » ; votre boucher, s’il travaille bien, sait d’où viennent ses bêtes. Au restaurant posez la question également. Bref, à temps et à contre-temps, soyons des dissidents car si la dissidence doit s’organiser en réseaux, elle passe également par un engagement individuel.

    Alain de Peretti Propos recueillis par Léo Kersauzie, 7/11/201

    Source : Media-Presse.info – 7/11/2016

    http://www.polemia.com/contrevenir-au-halal-un-acte-de-dissidence-alain-de-peretti-sera-present-au-2e-forum-de-la-dissidence/

  • Le Bataclan un an après la tuerie : une honteuse manifestation de soumission à l'islam

    Un communiqué du MNR

    913647494.5.jpgLe 12 novembre 2016 avait lieu un concert de réouverture au Bataclan, à Paris, en souvenir de la tuerie du 13 novembre 2015. Sur scène le chanteur britannique Sting, qui chante une chanson pro-migrants, avec pour refrain inch'Allah : comment les auditeurs présents ont-ils pu accepter cela ?

    On mesure là la puissance du matraquage médiatique sur le "pas d'amalgame"...

    Il faut que tous comprennent que le but de l'islam (et pas seulement des islamistes) est la conquête du monde, avec pour conséquence le renversement de notre civilisation.

    Avec tous les patriotes, luttons sans relâche contre l'islamisation de notre pays.

  • Comment Toulouse est-elle passée de ville rose à ville verte islamique ?

    C’est peut-être à ce prix que Jean-Luc Moudenc a acheté la paix sociale et son élection en tant que maire de Toulouse.

    Abdelfattah Rahhaoui n’est pas un haut dignitaire de l’État islamique, comme son nom pourrait l’indiquer, mais le fondateur de l’école Al-Badr, école privée musulmane hors contrat située dans le quartier dit « populaire » de Bellefontaine à Toulouse. Imam et conférencier, cette personnalité clé de l’islamisation toulousaine est aujourd’hui inquiétée par la justice pour des faits extrêmement graves : violences volontaires sur mineur, ouverture d’un collège clandestin, « poursuite d’une activité scolaire malgré une mise en demeure de l’Éducation nationale »
    « Français » (de papiers) né au Maroc, l’homme s’était déjà fait remarquer en créant un collège privé musulman dans le quartier du Mirail, en 2009, lequel devait permettre aux adolescentes et préadolescentes de déroger à l’interdiction des signes religieux dans les établissements scolaires.

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  • Toujours plus de terroristes parmi les migrants

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    Selon l’édition de dimanche du quotidien allemand Die Welt, le renseignement allemand (BND) a rendu un rapport confidentiel confirmant que l’Etat islamique entraîne ses terroristes à se fondre dans la masse des demandeurs d’asile et à répondre aux questions des autorités de manière à ne pas éveiller les soupçons. 

    Le média public pro-immigration Deutsche Welle (DW) semble lui-même reconnaître ses erreurs et cite une experte en terrorisme islamique, Susanne Schröter qui affirme : « On le savait depuis le début. […] L’EI avait annoncé qu’il enverrait des combattants en Europe par la route que prenaient les réfugiés. A ce moment-là, les politiciens niaient cette éventualité. […] Nos leaders pensaient que si nous admettions qu’il pouvait y avoir des terroristes parmi les réfugiés, cela ferait le jeu des populistes de droite et aggraverait les sentiments anti-migrants. Ils ont donc choisi de bagatelliser, ce qui n’était pas la bonne solution. »

    Mais pour ne pas reconnaître s’être trompé sur toute la ligne en harmonie avec le gouvernement allemand, DW cherche à s’en sortir en expliquant à ses lecteurs que la masse des « réfugiés » musulmans accueillis, c’est autant de gens dont la radicalisation sera rendue plus difficile que s’ils étaient restés au Moyen-Orient ! Ceci ne l’empêche pas d’avouer, pour justifier l’intensification du contrôle des communications des simples citoyens par les services allemands, que « la sécurité de l’Allemagne et de ses citoyens ne va plus de soi ». Car ce qui inquiète le BND, outre la présence de djihadistes venus spécialement avec les « migrants » en profitant de l’ouverture des frontières à l’automne 2015, c’est le recrutement de nouveaux djihadistes dans ces mêmes milieux par les musulmans radicaux déjà présents en Allemagne.

    C’est ainsi que la police allemande a conduit mardi 200 perquisitions dans tout le pays, pour fouiller les bureaux de l’organisation salafiste « Vraie religion » qui se spécialise dans la distribution gratuite d’exemplaires du Coran et, accessoirement, dans le recrutement de partisans de l’Etat islamique sur le territoire allemand. Le ministère de l’Intérieur a donc annoncé l’interdiction de cette organisation en expliquant que sa traduction du Coran servait à « diffuser des messages de haine et des idéologies contraires à la constitution ».

    Mais si c’était un simple problème de traduction du Coran, le BND ne serait pas aussi inquiet de ces centaines de milliers de demandeurs d’asile musulmans arrivés l’année dernière.

    Olivier Bault

    Article et dessins paru dans Présent daté du 17 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/