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Il se disait prêt à faire le djihad. Majdi Ayari, un jeune migrant tunisien de 18 ans (…)
Le 31 juillet, il avait tenu des propos inquiétants au cœur de la cantine du foyer des Moulins où il était hébergé. À une psychologue qui voulait l’entendre, le jeune homme s’est décrit comme un moudjahidine. “Si tu parles je te tue, je n’ai pas peur d’une ceinture d’explosifs”, l’aurait-il alors menacée. (…)
Angleterre : couvrir des viols et des tortures pour ne pas être taxé de raciste… Des gangs de pakistanais accusés de viols, tortures et d’avoir prostitué des jeunes filles de 11 ans et plus des années 80 jusqu’à nos jours dans un silence sinon complice, du moins coupable de la part de la police, des services sociaux et du pouvoir.[i] Énormément de témoins qui essayaient de dénoncer ces actes ont été terrorisés, menacés et accusés de racisme, d’où, un quasi-silence sur ces atrocités, qui ont fait monter le sentiment anti-immigration d’une partie de la population anglaise, pour en arriver à la situation émeutière actuelle. Le meurtre des trois petites filles de Southport a fait exploser le couvercle du chaudron d’une partie extrême de prolos anglais qui hurlent « enough is enough ! » (Assez, c’est assez !).
Le placier du marché Cassanyes a été victime d’une agression, dimanche 4 août à Perpignan (Pyrénées-Orientales). C’est un mineur non accompagné, âgé de 16 ans, qui s’en est pris à lui.
La France n’est plus le seul paradis des traîtres et des collabos. Après les assassinats d’enfants au couteau, et les innombrables crimes de sang commis par les islamistes, le gouvernement socialo-pourri des Brittons, loin de partager la colère et l’indignation de son peuple, tape dessus pour protéger les nouveaux maîtres du pays.
Il y a quelques jours, souvenez-vous, un jeune homme de 17 ans est entré dans une école de danse de Southport avec un couteau et a massacré trois petites filles et une femme. Plusieurs autres personnes ont été gravement blessées. L'auteur a été arrêté et l'affaire aurait pu en rester là. Peut-être les autorités considéraient-elles d'ailleurs que l'affaire aurait dû en rester là. C'était un fait divers, voilà, c'était bien triste, mais on n'y pouvait rien. Dormez, bonnes gens : l'origine rwandaise du meurtrier et l'utilisation d'un couteau n'avaient rien de significatif.
Il y a tout juste un an, le 4 août, à Cherbourg, Mégane était sauvagement violée par Oumar M., 18 ans, brute multirédiciviste. Aucun regret, aucune excuse. Un mois de coma artificiel pour Megane et une vie pour s’en remettre. Cette affaire atroce pose une fois de plus la question de la nature des « faits divers » tant ils sont devenus aujourd’hui des faits de société.
Elle, c’est Mégane, une petite Blanche de vingt-neuf ans violée en rentrant de soirée, sodomisée par soixante-quinze centimètres de balai, les entrailles déchirées et les côtes fracturées. La vie, pour elle, désormais, c’est l’intermède d’un coma artificiel, l’immensité insondable d’un traumatisme plongée en dormance, des cauchemars sans fin sous sédatifs, des organes en lambeaux et un corps meurtri en proie à une septicémie généralisée. Son hypothétique réveil, c’est la mort en elle que les médecins ne pourront jamais guérir, un immense cri de terreur venu du fond des âges, des yeux hallucinés sortant de leur orbite pour fuir la conscience d’une âme profanée, physiquement, moralement et psychologiquement à jamais anéantie.
Un homme de 30 ans au profil particulièrement inquiétant a été arrêté mardi, à la suite de trois viols et agressions sexuelles commis en quelques jours dans les 8e et 15e arrondissements. Mais la liste pourrait encore s’allonger.Les victimes sont trois femmes âgées de 20, 44 et 52 ans.
En Angleterre, plusieurs manifestations ont tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre, notamment dans la ville de Sunderland. Ces manifestations font suite au massacre perpétré à Southport par Axel Rudakubana, un jeune homme de 17 ans d’origine rwandaise.
L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmane en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes. Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.