Maintenant que beaucoup d’immigrés vivent confortablement dans la capitale londonienne, ils ne souhaitent pas être dérangés par leurs congénères. Mais puisque ce sont des immigrés qu’ils le disent… Ils ne sont pas taxés de raciste !
Reportage d’Euronews sur le sujet :
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Un comble : à Londres l’immigration inquiète les immigrés
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Viktor Orbán dit m… à l’Europe
Je trouve inadmissible qu’un organisme supranational se mêle de définir ce qui est bien ou mal pour un pays. Seul le Conseil constitutionnel d’une nation doit avoir le dernier mot et aucune cour ou autorité internationale ne doit se prononcer sur la légalité d’une loi.
Le charismatique (ou sulfureux, barrez la mention inutile suivant vos affinités politiques) Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, a évoqué le rétablissement de la peine de mort. Aussitôt, M. Juncker l’a sèchement rappelé à l’ordre. Mais le président de la Commission européenne a outrepassé ses droits car rien, dans la Constitution de l’Union européenne, n’interdit à un pays membre d’exécuter ses criminels. Par contre, le Conseil de l’Europe, organisation parallèle, plus contraignante (et surtout inutile, à mon sens), dont dépend la Cour européenne de justice, interdit, dans ses protocoles additionnels, la peine de mort. La France ne pourrait donc pas la rétablir même si le peuple le demandait à 99 % lors d’un référendum, sauf, bien sûr, à rompre les traités qui nous lient à la CEDH.
M. Orbán ne s’est pas laissé démonter. Dans un deuxième discours, prononcé deux jours après le premier, il a indiqué que puisque la Hongrie était, après la Suède, le pays de l’Union européenne qui accueille le plus de réfugiés proportionnellement à sa population, il n’accepterait désormais plus aucun immigré sur son sol, la Hongrie n’ayant pas vocation à devenir le réceptacle de la misère du monde. Il a souligné que quels que soient les ordres, les règlements, lois et traités européens, les Magyars s’asseyaient dessus et resteraient maîtres chez eux.
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La démocratie sociale force l'intégration des étrangers
A lire pour armer la discussion dans un débat sur l'intégration forcée en Europe de populations exogènes peu ou pas adaptées en l'état, dans l’optique de Hans-Hermann Hoppe, anarcho-capitaliste tendance monarchiste, qui devrait inspirer l’avenir du royalisme en France. Ces arguments sont autrement mieux fondés que les anciennes lois fondamentales du royaume disparu.
L'article va de l'argument productif jusqu'au démontage des motifs du personnel politique éphémère à capter revenus et ressources sans protéger le capital. On peut conclure avec Hoppe que par essence nos régimes démocratiques font le commerce des voix pour se survivre. On peut lire ce pavé en plusieurs fois, à mâcher lentement. Voir l'avertissement en note de bas de page.I. Le flux migratoire est une valeur productiviste
L’argument classique en faveur de l’immigration sans frein se présente comme suit : toutes choses égales par ailleurs, les entreprises vont là où le travail coûte moins cher, réalisant ainsi une approximation du principe à travail égal, salaire égal, de même que la meilleure affectation du capital possible. Un influx d’immigrants dans une région à salaires élevés abaissera les salaires nominaux. Cependant, il ne réduira pas les salaires réels si la population se trouve en-deçà de sa taille optimum (et il est certain que les États-Unis, dans leur ensemble, ont bien moins de population que leur taille optimale). Si c’est le cas, en fait la production augmentera tellement que les revenus réels augmenteront. De sorte que les restrictions à l’immigration feront plus de mal aux travailleurs protégés en tant que consommateurs qu’elles ne leur feront gagner en tant que producteurs. En outre, des restrictions à l’immigration accroîtront la fuite de l’épargne à l’étranger (l’exportation des capitaux qui seraient restés autrement), provoquant une égalisation des taux de salaire (quoique plus lentement), mais conduisant à un gaspillage du capital, détériorant ainsi les niveaux de vie dans le monde.
II. État-providence et immigration sont des problèmes distincts
Tel que présenté plus haut, l’argument en faveur de l’immigration sans frein est irréfutable et exact. Il serait aussi stupide de le contester que de nier que la liberté des échanges conduit à des niveaux de vie plus élevés que le protectionnisme. Ce serait aussi une erreur de contester l’argumentaire immigrationniste en faisant remarquer que, du fait de l’existence d’un État-providence, l’immigration concerne désormais dans une large mesure des parasites des systèmes sociaux qui, alors même que la population des États-Unis est en-deçà du niveau optimum, n’accroissent pas le niveau de vie général mais le diminuent.
En effet, il ne s’agit pas d’un argument contre l’immigration mais contre l’État-providence. Bien sûr, celui-ci doit être détruit, éradiqué. Mais les problèmes de l’immigration et de l’État-providence sont des problèmes analytiquement distincts, et on doit les traiter en conséquence. Le problème de l’argumentaire qui précède est qu’il souffre de deux défauts connexes qui invalident sa conclusion d’immigrationnisme inconditionnel, ou qui limitent son applicabilité à une situation hautement irréaliste, depuis longtemps évanouie dans l’histoire humaine. On ne mentionnera qu’en passant le premier défaut :
Pour les libéraux conséquents de l’École autrichienne d’économie politique, il est évident que ce qui constitue le bien-être est un jugement de l’esprit, et les ressources matérielles ne forment qu’une part de ses considérations. Même si les revenus réels augmentent du fait de l’immigration, il ne s’ensuit pas que l’immigration doive en être automatiquement tenue pour bonne, car on pourrait préférer un niveau de vie plus bas et une plus faible population à une plus grande richesse matérielle dans un peuplement plus dense.
C’est sur la seconde impasse que nous allons nous concentrer ici : c’est sur un territoire particulier que les gens immigrent. Or, l’analyse présentée au départ ne traite absolument pas la question de savoir qui, s’il existe, possède (maîtrise) le territoire en question. En fait, pour rendre l’analyse applicable, on suppose, implicitement, que le territoire en question n’appartient à personne, et que les immigrants arrivent sur un espace vierge (la frontière ouverte de l’histoire américaine). Il est évident que cette hypothèse, on ne peut plus la faire. Or, si ce postulat est abandonné, le problème de l’immigration acquiert un sens fondamentalement différent, et exige d’être repensé de fond en comble.
III. Dans le village global l’on immigre forcément chez quelqu’un
Pour illustrer ce que j’entends, imaginons une société anarcho-capitaliste : quoique je sois persuadé qu’une telle société est le seul ordre politique que l’on puisse défendre comme juste, je n’essaierai pas d’expliquer ici pourquoi c’est le cas. Je vais plutôt l’utiliser ici comme un point de départ conceptuel, pour contribuer à faire comprendre l’erreur fondamentale de la plupart des apôtres contemporains de l’immigration illimitée.
Supposons donc que toute la terre soit propriété privée : cela inclut toutes les rues, routes, aéroports, ports, etc. Pour certains terrains, le titre de propriété n’est soumis à aucune servitude : c’est-à-dire que le propriétaire est libre de faire tout ce qui lui plaît aussi longtemps qu’il ne porte pas atteinte à la propriété des autres. Pour d’autres, l’usage peut être plus ou moins étroitement restreint. Comme c’est aujourd’hui le cas dans certains lotissements, le propriétaire peut être soumis à des limites contractuelles à ce qu’il peut faire de sa propriété (des règles d’urbanisme librement acceptées) telles que : usage résidentiel (occupation bourgeoise) et non usage commercial, hauteur des immeubles limitée à trois étages, pas de vente ni de location aux Juifs, Allemands, Catholiques, homosexuels, Haïtiens, aux familles avec ou sans enfants, ou aux fumeurs, entre autres exemples. Il est clair que dans cette société strictement libérale, il n’existe absolument aucun droit à l’immigration.
Ce qui existe, à la place, c’est le Droit de multiples propriétaires indépendants d’inviter ou de ne pas inviter les autres chez eux, conformément à leurs titres de propriété illimités ou limités. L’accès à certains terrains pourra être facile, et à d’autres quasiment impossible ; dans tous les cas, être accepté sur la propriété de celui qui vous invite n’implique aucun droit de se promener dans les environs, à moins que les autres propriétaires n’acceptent de telles déambulations. Il y aura sur chaque terrain exactement autant d’immigration et de non-immigration, d’exclusion et de non-exclusion, d’intégration ou de ségrégation, de non-discrimination ou de discrimination fondée sur des critères raciaux, ethniques, linguistiques, religieux, culturels ou (n’importe quels) autres, que l’auront décidé les propriétaires privés et associations de propriétaires privés.
Remarquez que rien de tout cela, même pas la forme la plus extrême du ségrégationnisme, n’a le moindre rapport avec le refus du libre échange et l’adoption du protectionnisme. Du fait qu’on ne désire pas fréquenter des Noirs, des Turcs, des Catholiques, des Hindous, etc. ou vivre dans leur voisinage, il ne s’ensuit pas qu’on ne souhaite pas échanger à distance avec eux.
Bien au contraire, c’est précisément le caractère absolument volontaire de l’association et de la séparation — l’absence de toute forme d’intégration forcée — qui rend possible les relations pacifiques — le libre échange — entre des gens culturellement, ethniquement, ou confessionnellement différents.
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Meaux : la loi anti-burqa n’est pas appliquée dans la ville de Jean-François Copé
La loi anti-voile intégral, entrée en vigueur en avril 2011 et promulguée par Jean-François Copé, député-maire de Meaux, fête ses 4 ans.
A cette occasion, Le Parisien a souhaité dresser un bilan de l’application de cette loi à Meaux.
Or, il s’avère que loi anti-burqa n’est pas appliquée dans la ville de Jean-François Copé.
La loi anti-burqa est-elle appliquée à Meaux ? par leparisienLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, lobby 0 commentaire -
Les limites de l'utopie multiculturelle
Le projet d'instauration d'une société multiculturelle où les cultures, les religions, entreraient en dialogue, s'enrichissant mutuellement de leur diversité, a paru de nature à remplacer avec bonheur l'ancienne recherche d'assimilation de ceux qui venaient d'ailleurs. Les Pays-Bas, la Grande-Bretagne et quelques autres ont été en pointe dans ce domaine. Et voilà que le vent tourne. Comment comprendre la montée d'un populisme xénophobe dans une bonne partie de l'Europe ? Réaction de populations déstabilisées par la crise économique mondiale et en quête d'un bouc émissaire ? Ou effet des limites d'une utopie ?
Les exemples vivants de sociétés multiculturelles dotées d'une certaine pérennité ne manquent pas : l'ancien empire turc, la grande époque d'El Andalus ; de nos jours, le Liban, l'Inde, les Etats-Unis. Qu'ont-elles de commun ? Une forte ségrégation entre les diverses communautés qui les composent et de grandes inégalités. De leur côté, les sociétés que l'on célèbre pour leur aspect égalitaire, tels les sociétés d'Europe du Nord ou le Japon, sont traditionnellement marquées par une grande homogénéité culturelle. Et, là où, comme en Europe du Nord, cette homogénéité disparaît, le populisme xénophobe est en pleine expansion.
Deux raisons au moins rendent plus que difficile d'incarner le rêve d'une société multiculturelle qui serait peu ségrégée et égalitaire.
Pas de lois neutres au regard de la diversité des cultures
Il n'existe pas d'institutions, de lois (le système politique, le fonctionnement de la justice, le droit du travail, etc.), qui soient neutres à l'égard de la diversité des cultures. Dans les sociétés pleinement multiculturelles, le cadre légal et institutionnel (en particulier la législation de la famille) est fonction de l'appartenance communautaire de chacun. Fidèles à cette logique, certains proposent que, dans les pays européens, la charia régisse l'existence des populations d'origine musulmane. On est vite conduit, dans cette voie, à la coexistence de communautés dont chacune fournit un cadre à l'existence de ses membres et exerce un strict contrôle sur cette existence. L'enfermement communautaire qui en résulte paraît bien peu compatible avec l'idéal d'une société de citoyens vivant dans un espace public commun et dont chacun est libre de ses choix culturels dans une vie privée qu'il mène à l'abri de toute pression.
Société multiculturelle et forte ségrégation
De plus, dans une société à la fois multiculturelle et peu ségrégée, où aucun territoire spécifique n'est assigné à chaque communauté, une rencontre des cultures s'opère au quotidien au sein d'une large sphère sociale : dans l'habitat, à l'école, dans le monde du travail. La manière dont chacun mène son existence, le monde d'images, de sons, d'odeurs qu'il contribue ainsi à produire, affecte l'environnement matériel et symbolique où baignent ses concitoyens. Comme l'a montré Pierre Bourdieu dans La Misère du monde, la coexistence, dans un même espace, de populations dont les manières de vivre se heurtent (par exemple parce qu'elles ont des conceptions très différentes de la frontière entre l'univers des sons qui font partie d'une existence normale et celui des bruits qui insupportent) est source de vives tensions. Quelles que soient les politiques de mixité sociale et ethnique dans l'habitat, la liberté que conserve chacun de choisir son lieu de résidence dans la mesure de ces moyens conduit de fait toute société multiculturelle à une forte ségrégation. En France, même si on est encore loin de la logique de ghetto américaine, on a déjà des zones où plus des trois quarts des jeunes sont issus de l'immigration. Pendant ce temps, dans un monde du travail où le « savoir être » est l'objet d'exigences croissantes, où il s'agit de plus en plus de s'engager dans des collectifs au sein desquels il importe de s'entendre à demi-mot, où des formes contraignantes de hiérarchie s'imposent, le fait que certains ne soient pas prêts à se conformer aux attentes de la culture malgré tout dominante rend leur intégration problématique.
Ne pas mentir aux nouveaux venus
En fin de compte, l'utopie d'une société multiculturelle dissuade de tenir un discours de vérité aux nouveaux venus et à ceux qui en sont issus, de leur dire, en toute franchise, à quelles conditions ils pourront être reconnus comme membres à part entière de leur nouvelle patrie, de les aider à découvrir ses codes. L'ouverture à l'Autre doit inciter à accompagner avec humanité ceux qui doivent emprunter le chemin difficile de l'adaptation à un autre monde, non à leur mentir.
Philippe d'Iribarne
directeur de recherche au CNRS
Les Echos.fr
17/11/2010
Voir aussi : « Le renversement du monde –politique de la crise » -
Robert Ménard face au peloton de la gauche et de l’UMP
Le jour même où l’immense majorité de l’Assemblée, gauche et « droite » confondues, vote une loi liberticide qui permet l’espionnage administratif des Français, le président de la République donne une leçon sur les principes de la République au maire de Béziers, Robert Ménard.
Faut-il en pleurer ? Faut-il en rire ? Le jour même où l’immense majorité de l’Assemblée, gauche et « droite » confondues, vote une loi liberticide qui permet l’espionnage administratif des Français, le président de la République, de Riyad, avec en fond un drapeau saoudien, peu suspect de symboliser la tolérance religieuse et encore moins républicaine, donne une leçon sur les principes de la République au maire de Béziers, Robert Ménard.
Cette situation grotesque est révélatrice de la mixture qui est déversée jour après jour sur la tête des Français en ersatz d’information. Où notre médiocratie de politiciens et de journaleux foncièrement bêtes et méchants se plaît aux lynchages et aux exécutions sans jugement, où la mauvaise foi fondée sur les préjugés idéologiques et l’absence de travail conduit les mêmes à prendre les Français pour des imbéciles. Dans les deux hypothèses, l’intelligence des dirigeants ou des dirigés fait problème. La synthèse est évidente : le microcosme qui entend nous conduire est assez stupide pour croire que les Français le sont.
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En haut lieu, on sait. Et les Français n'en ont pas le droit ?
Robert Ménard répond à Valeurs Actuelles :
VA. Comment êtes-vous arrivé au chiffre de 64,6% d’élèves musulmans à Béziers ?
Très simplement. Il existe dans toutes les mairies de France un listing des élèves des écoles maternelles et primaires. A la faveur de réunions sur la rentrée scolaire, j'ai vu passer ce listing. J'ai eu la curiosité de le parcourir.Le nombre considérable de noms à consonance non-européenne m'a surpris. Durant toute la campagne électorale de 2014, j'avais affirmé sur la foi d'informations parcellaires, qu'il devait y avoir 30 % d'enfants musulmans dans les écoles de Béziers. Ce que je découvrais avec ce listing m'a incité à faire un calcul rapide. Je ne prétends pas à l'exactitude. Mais à peu de choses près, c'est ce que j'ai trouvé, avec des pointes à 88 % dans certaines écoles. Du reste, il suffit à n'importe qui de faire la sortie de ces écoles pour se faire une opinion. Sans listing et sans calculette...
Je suis certain que de nombreux autres maires font la même chose que moi. Mais eux ne le disent pas. Je ne suis pas un politicien professionnel. Je n'ai pas de carrière à ménager. Je ne supporte plus ce sas de décompression entre les institutionnels, « ceux qui savent », et le peuple. En haut lieu, on sait. Et les Français n'en ont pas le droit ?
VA. Vous êtes cerné par les médias et les politiques qui vous reprochent de relancer le débat sur les statistiques ethniques…Que vous inspire la polémique ?
Quelle hypocrisie ! Quelle médiocrité ! Quelle hystérie !
Hypocrisie d'un Valls qui en janvier annonce qu'il faut dénoncer un « apartheid social » mais qui attaque un maire lorsque celui-ci donne un chiffre révélateur sur l'apartheid que subit Béziers depuis des années.Tout le monde sait dans l’Hérault que Montpellier a longtemps considéré notre ville comme la destination idéale pour les immigrés clandestins, les allocataires RSA etc...
Quelle médiocrité d'un François Hollande qui dirige la 5ème puissance mondiale et qui parle de ce tout petit sujet en visite officielle en Arabie Saoudite ! Y-a-t-il une malédiction sur la Vème république que chaque président soit pire que le précédent ?
Enfin l'hystérie d'une classe médiatique dont chaque membre écoute les aboiements de son voisin pour vérifier que lui-même aboit assez fort.
J'ai défendu durant vingt ans des journalistes dans le tiers-monde pour les protéger d’États plus ou moins démocratiques. Aujourd'hui, je pose la question : qui protégera le peuple français de certains journalistes ?
VA. Vous dénoncez le deux poids, deux mesures, pensez-vous qu’on ne peut plus parler de ces sujets quand on est de droite ? Vous sentez-vous victime d’une cabale de la bien-pensance contre vous ?
Il est permis en France de parler de tout à condition d'être d'accord avec la gauche. C'est ce qui nous donne cette droite conservatrice, parfois rebelle dans l'opposition, toujours lâche au pouvoir.
Il n'y a pas de cabale contre moi. Il y a un déni de réalité, un mensonge permanent et, désormais, une épouvante au sein d'une gauche qui, après avoir renié sa pensée économique, voit agoniser sous ses yeux toutes ses utopies sociales, comme le fameux « Vivre-Ensemble » (...)
Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Tenez bon, Robert Ménard ! Le pays réel est derrière vous !
Ça suffit ! Une telle hypocrisie est insupportable !
La bien-pensance a trouvé un nouvel os à ronger : en cause, les déclarations chocs de Robert Ménard, maire de Béziers, relatives à ce que la presse appelle « le fichage des enfants musulmans ». Les chiens sont lâchés, la meute est déchaînée !
Retour sur les faits : lundi 4 mai, sur le plateau de « Mots croisés », Robert Ménard déclare que 64,6 % des élèves des écoles de sa ville sont musulmans. Plus tard, il indique : « Ce sont les chiffres de ma mairie. Pardon de vous dire que le maire a, classe par classe, les noms des enfants. Je sais que je n’ai pas le droit mais on le fait. » Le lendemain, chez Bourdin (BFM TV), il explique : « Il faut aider les enfants […] d’origine musulmane, maghrébine » car « quand dans des écoles, vous avez plus de 80 % d’enfants qui sont d’origine musulmane, maghrébine, vous n’intégrez plus personne. Qui en paie le prix ? Les enfants en question. »
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À Béziers, Robert Ménard démontre la réalité du Grand remplacement
Robert Ménard persiste et signe. Le maire de Béziers a souhaité comptabiliser les enfants « de confession musulmane » en se basant sur leurs prénoms, dans les établissements scolaires de sa ville. « Je sais que je n’ai pas le droit, mais on le fait », a-t-il déclaré lundi soir sur le plateau de « Mots Croisés » sur France 2.
Pour Bernard Cazeneuve, « un tel fichage est interdit par la loi. Ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire » (sic).
De son côté, le parquet de Béziers a annoncé avoir ouvert une enquête préliminaire pour « fichage illégal ».Robert Ménard n’en démord pas :
Je fais le tour des écoles et je constate ce qu’il en est. Pour les aider. (…) Dans certaines écoles, il y a plus de 80 % d’enfants immigrés, presque 100 %, là vous n’intégrez plus personne ! (…) Les 2/3 des élèves en maternelle et primaire, dans le public, sont des enfants issus de l’immigration : c’est trop ! Quand vous avez une majorité de mamans qui ne parlent pas français, quand vous n’avez pas les codes de l’école, vous êtes pénalisé.
Ceux qui aujourd’hui dénoncent l’initiative de Robert Ménard sont les mêmes qui tentent, par tous les moyens, de cacher la réalité du Grand Remplacement…
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Face à la submersion migratoire de l’Europe, Nigel Farage veut s’inspirer de l’exemple australien
Il bat la campagne, à la pêche aux voix. Celui qui mène un combat contre l’immigration sait la tâche ardue, mode de scrutin oblige. Pourtant, Nigel Farage, 51 ans, leader du UKIP, UK independance party depuis 2006 a fait passer son parti de perturbateur anecdotique à une force politique qui compte et qui fait de plus en plus d’adeptes.
face à la submersion migratoire de l’Europe, le message de Nigel Farage est clair :
Nous ferons campagne pour que ce pays ait un système de points, à la façon australienne, afin de décider de qui peut s’installer dans notre pays