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immigration - Page 1288

  • Migrants: la Hongrie choquée par Fabius

    Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a annoncé avoir convoqué aujourd’hui un représentant de l'ambassade de France à Budapest à la suite des critiques «choquantes» faites hier par son homologue français, Laurent Fabius, sur la clôture mise en place à sa frontière face aux migrants. 
    «Au lieu (de porter) des jugements choquants et infondés, on devrait plutôt se concentrer sur la recherche de solutions communes pour l'Europe», a déclaré le ministre hongrois des Affaires étrangères. «Il apparaît que certaines personnes en Europe sont toujours incapables de comprendre quelle pression stupéfiante et dramatique subit la Hongrie du fait de la migration via les Balkans de l'Ouest», a ajouté M. Szijjarto. 
    «Quand je vois un certain nombre de pays d'Europe qui n'acceptent pas les contingents (de répartition des exilés, NDLR), je trouve ça scandaleux», a déclaré, hier, Laurent Fabius, précisant que ces pays se trouvent «dans l'est de l'Europe». Il s'est également dit très «sévère» envers la Hongrie qui, selon lui, ne «respecte pas les valeurs communes de l'Europe» en ayant érigé une clôture à sa frontière avec la Serbie. 
    Pour lui, il faut «bien sûr» que la Hongrie démantèle ce mur et que l'Union européenne ait «une discussion sérieuse» avec les dirigeants hongrois. 
    La Hongrie, pays de transit pour des migrants et réfugiés qui cherchent à gagner l'Europe occidentale, a hâtivement érigé une clôture de fils de fer barbelés sur les 175 km de sa frontière avec la Serbie.

  • Migrants : l’effrayante passivité de l’Europe devant son déclin…

    L’Europe est une Big Mother sénile, prête à réglementer en tous sens, à protéger de tout toutes et tous, mais dont les comportements sont à ce point incohérents et aveugles que ses protections tatillonnes nous exposent davantage au danger.

    L’Europe est une grosse baleine échouée sur la plage où débarquent des milliers de clandestins qu’elle est bien incapable de contrôler. Elle vit encore assez pour nourrir les crabes qui se régalent à ses dépens, élus et fonctionnaires dont on est bien en peine de savoir quel service ils rendent vraiment aux Européens. On sait seulement ce qu’ils coûtent, quels problèmes ils sont incapables de résoudre et quelle réglementation stérilisante ils sont aptes à produire.

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  • Calais : « les petits villages alentours sont pillés »

    Les auditeurs ont la parole – RTL – 31/08/2015 via FDS

  • Le vrai visage du sans-frontiérisme ! Tribune Libre de Vincent Revel

    Quand les élites trahissent leur peuple au profit des firmes transnationales, quand les défenseurs des travailleurs promeuvent aussi la mondialisation sauvage et défendent les sans-papiers, c’est que nous sommes dans le règne de la trahison sans-frontiériste.

    À l’heure où l’Europe vit selon les volontés allemandes, des technocrates bruxellois et de ceux du FMI, les mots : mobilité, reconversion, disponibilité, délocalisation, chômage, concurrence déloyale, austérité sont, aujourd’hui, devenus courants. Le travailleur doit sans cesse savoir se remettre en cause, mais aussi s’adapter à des changements parfois violents et difficiles. Chaque semaine qui passe nous donne des exemples de ce qu’est un monde sans frontière où les hommes sont devenus de simples marchandises, assujettis aux besoins des marchés selon l’offre, la demande et les intérêts des oligarques mondiaux et des grands groupes internationaux. La suppression de 50 000 emplois par la Banque HSBC, alors que cette institution de la finance enregistre tout de même un bénéfice de 13 milliards de dollars, est devenue un évènement presque ordinaire dans notre monde progressiste et néo-libéral.

    Comme dans une tragédie grecque, nos responsables politiques continuent à jouer leur rôle d’hypocrites sans réellement se soucier de savoir s’ils sont crédibles et efficaces. En Occident, comme le disait Cornélius Castoriadis, il y a longtemps que le clivage gauche-droite ne correspond plus ni aux grands problèmes de notre temps ni à des choix politiques radicalement opposés.

    Plus rien ne les émeut tellement ils sont déracinés de la terre de leurs pères. En caste privilégiée, ils se font seulement les relais des grands de ce monde pour qui l’objectif premier du capitalisme n’est pas de produire des valeurs d’usage, mais uniquement « de produire toujours plus de marchandises » au coût de production le plus faible. Même les grands fleurons de notre industrie ne sont plus à l’abri de la trahison de nos élus.

    Prenons l’exemple d’Air France qui connaît, depuis le milieu des années 2000, des soucis d’ordre structurel, des difficultés avec ses courts et moyens courriers face à l’arrivée des compagnies Low Cost et une concurrence plus que déloyale sur ses longs courriers avec certaines compagnies asiatiques et les compagnies du Golfe persique (Qatar Airways, Emirates…).
    Pour lutter contre cette dure réalité, la compagnie française a eu la désagréable surprise de voir accorder par l’État français « des droits de trafic supplémentaires entre le Qatar et la France et des vols supplémentaires vers la France aux compagnies Qatar Airways, Emirates et Etihad » avec comme condition la vente d’avions militaires à l’État du Qatar et aux Émirats Arabes Unis.

    Sauf que dans cette drôle d’histoire, à ce jour, les avions militaires n’ont toujours pas été vendus alors que les nouvelles lignes fonctionnent un peu plus chaque jour ! Légitimement indigné, l’un des syndicats d’Air France a osé parler d’un véritable coup de poignard dans le dos de la part de l’État français, pourtant encore actionnaire au sein de notre célèbre compagnie aérienne. Comment expliquer ce comportement suicidaire de nos responsables ?
    Comment peuvent-ils justifier une telle compromission avec des pays susceptibles de causer la perte de nombreux emplois français et de fragiliser de grands groupes français ? Comme le dit Alain Finkielkraut dans son livre L’identité malheureuse, à l’inverse de l’ancienne bourgeoisie du début du XXe siècle, « les nouvelles élites, surbookées et hyper-connectées, se sont, quant à elles, délestées de l’héritage des siècles. Bourgeoises, elles ne le sont que par leur goût du confort. Le reste est passé à la trappe. »

    Ce visage-là est le reflet de notre temps où le sans-frontiérisme domine les esprits. En citoyens du monde aisés d’un « village-monde », nos élites rêvent, à l’image des idiots utiles que l’on rencontre dans l’univers gauchisant des groupes et des associations militants pour les clandestins et une immigration de masse sans réglementation, d’un multiculturalisme où le droit à la consommation serait le seul paramètre à prendre en compte. Contre cette logique utopiste et mortifère, les frontières sont les seuls remparts pour préserver les véritables différences et richesses de l’humanité tout en appliquant un protectionnisme adapté, seul moyen pour garantir la dignité des individus. Immigration de masse et libre circulation des marchandises ne sont que les deux faces d’une même réalité, l’avers et le revers d’une même médaille. C’est bien pour cette raison que nul ne peut prétendre vouloir défendre les travailleurs européens en militant activement pour la régularisation des sans-papiers. Ceci, à l’image des actions incohérentes, dangereuses et inadaptées de nos élites et de nos politiques face à la situation dramatique des migrants, peut être aussi considéré comme une trahison.

    Vincent Revel.

    http://fr.novopress.info/191671/vrai-visage-du-frontierisme-tribune-libre-vincent-revel/#more-191671

  • stop-immigration – Civitas lance une campagne européenne contre la déferlante migratoire

    Civitas lance ce matin une campagne européenne contre la déferlante migratoire et le grand remplacement de populations.

    Dès aujourd’hui, c’est une pétition en français mais aussi en anglais, en allemand, en italien, en grec, en hongrois, en polonais, en espagnol, en portugais et en néerlandais qui est diffusée. Des versions en d’autres langues européennes devraient encore s’ajouter.

    La campagne sera accompagnée de tracts, d’affiches et de vidéos. Souhaitons un succès mérité à cette mobilisation indispensable.

    bannière stop-Immigration.jpg

    L’afflux massif et quotidien d’immigrés illégaux est devenu le premier souci de tous les peuples d’Europe.

    La première décision à prendre est de fermer les frontières – à l’échelon européen et à l’échelon national – à tout nouvel immigré en situation illégale.

    Cette immigration est un fléau pour l’Europe. 
    – Elle fait courir un grand risque sanitaire.
    – Elle génère de l’insécurité (délinquance et infiltration djihadiste).
    – Elle détourne toutes les aides sociales (budgets, logements, aides alimentaires et médicales,…) au détriment des Européens les plus démunis.

    Ce n’est pas du racisme que de vouloir conserver la nature gréco-latine et chrétienne de nos nations européennes et de refuser le grand remplacement de populations.

    Cette immigration est un fléau pour les pays dont sont originaires les immigrés. Elle dépouille ces pays de personnes en âge de servir le bien commun de leur patrie.

    Cette immigration est un fléau pour la plupart des immigrés eux-mêmes qui ne trouveront pas en Europe l’Eldorado recherché.

    Accepter cette immigration, ce n’est pas de la charité mais de l’irresponsabilité.

    Cette immigration ne peut être considérée comme un exode naturel en raison de la guerre. 
    L’Europe a connu des périodes de guerres et l’exode de ses populations. Quand on fuit la guerre, on se réfugie dans le village en paix le plus proche, voire dans un pays frontalier en paix, mais on ne traverse pas tout un continent pour en rejoindre un autre. Pourquoi cette immigration ne se dirige-t-elle pas vers des pays musulmans riches comme l’Arabie Saoudite, le Qatar, le Koweït, le Bahreïn, les Emirats arabes unis ou le Sultanat d’Oman ?

    Par ailleurs, lors des exodes européens, ce sont les femmes, les enfants et les vieillards qui fuyaient, pas les hommes en âge de se battre. Cette immigration est exactement l’inverse : pas de vieillards, peu de femmes et d’enfants mais essentiellement des hommes en âge de se battre.

    Exigeons de nos dirigeants politiques des mesures urgentes de bon sens en commençant par la fermeture des frontières.

    Je signe cette pétition et je dis stop à l’immigration. Signer ici.

    Cette pétition n’est pas une initiative d’un parti politique mais de citoyens soucieux d’œuvrer au bien commun et à la sauvegarde de nos nations européennes.

    En signant cette pétition vous nous donner la légitimité de réclamer en votre nom l’arrêt immédiat de cette immigration.

    Cette pétition est aussi disponible en anglais, en allemand, en italien, en espagnol, engrec, en hongrois, en polonais, en portugais et en néerlandais. Diffusez-là à tous vos amis et correspondants à travers toutes les nations européennes.

    Cette pétition s’accompagnera d’une grande campagne de mobilisation avec tracts, affiches, autocollants et vidéos. Toutes les informations suivront rapidement.

    Soutenez cette campagne pour la sauvegarde de nos nations européennes.

    http://www.medias-presse.info/stop-immigration-civitas-lance-une-campagne-europeenne-contre-la-deferlante-migratoire/37818

  • "Il faut fermer les frontières, arrêter Schengen, arrêter la libre-circulation !"

    C'est le couac de la rentrée. Ces propos ont été tenu par Lydia Guirous (LR), porte parole des Républicains, lors d'un point de presse hebdomadaire. Comme ces propositions sont visiblement aux antipodes du programme du parti de Nicolas Sarkozy, elle a été immédiatement recadrée en direct par Sébastien Huygue, l’autre porte-parole du mouvement :

    "Il faut dire que la jeune femme, par mégarde semble-t-il, va… un peu loin. «Nos propositions, elles ne varient pas. Elles sont toujours identiques. Il faut fermer les frontières, arrêter Schenghen, arrêter la libre circulation» Tête de Sébastien Huygue… Le député du Nord prend le micro et précise : «Quand on dit les fermer, c’est que les règles pour entrer soient appliquées. Quand on dit qu’elles soient fermées, c’est que les gens ne rentrent pas clandestinement de manière massive. C’est ça que nous entendons. (...)

    Difficile de faire la politique au sein des Républicains lorsque l'on est jeune, de droite et que l'on a du bon sens. Il va falloir qu'elle s'habitue...

    Philippe Carhon

  • Tribalat, la démographe rebelle

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie.

    Ces Yeux grands fermés  appartiennent-ils à ceux qui ne peuvent pas voir ou à ceux qui ne veulent pas voir ?

    Insuffisance de l'appareil statistique français

    Michèle Tribalat a donné ce titre énigmatique à son livre (1) par allusion au film de Stanley KubrickEyes Wide Shut (1999), dont l'intitulé l'avait marquée. Dans cette fiction, à partir d'un fantasme amoureux, les personnages naviguent entre rêve et réalité. Cet écart entre le réel et l'illusoire, Tribalat le vit à propos de son objet d'étude : l'immigration en France. Les uns déplorent qu'il y ait beaucoup d'immigrés, d'autres s'en réjouissent, mais tous réagissent subjectivement. Or, Michèle Tribalat, incriminant « l'insuffisance de l'appareil statistique français pour étudier l'immigration et les populations d'origine étrangère », voudrait que cet enjeu de société soit discuté à partir de faits vérifiés et quantifiés, et non d'impressions. Cela fait plus de trente ans qu'elle se penche sur la question.

    Dans les années 70, après des études d'économétrie, elle s'oriente vers la démographie. En 1976, elle est recrutée par l'Institut national d'études démographiques (Ined), dont le conseil scientifique veut pousser la recherche sur les flux migratoires : ce sera son domaine d'activité. « Pendant longtemps, se souvient-elle, j'ai travaillé loin de tout écho médiatique. » A la fin des années 80, ayant pris la tête d'une enquête sur les comportements des immigrés et de leurs descendants, elle met en place un outil prenant en compte l'« appartenance ethnique », définie à partir de la langue maternelle, et l'« origine ethnique », fondée sur le lieu de naissance des individus et de leurs parents. Cette référence aux origines, contraire à la pratique des organismes officiels français, ne va pas sans opposition pour obtenir les renseignements nécessaires, mais la publication des résultats, en 1995, ne rencontre pas de difficultés.

    « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme »

    Le coup de tonnerre arrive trois ans plus tard, quand Hervé Le Bras, un chercheur attaché à l'Ined, lance la charge. « La démographie française est en passe de devenir un moyen d'expression du racisme », clame-t-il dans Le Démon des origines. Dans cet essai, Le Bras accuse les méthodes de Michèle Tribalat de conduire à la notion de « Français de souche » et, partant, à la « xénophobie ». L'affaire se traitera en justice et amènera l'intéressée à se justifier : une partie de l'opinion regardant comme étrangers des gens qui sont français, le critère de la nationalité ne suffit pas, en science sociale, pour élaborer des remèdes aux réflexes discriminatoires. En somme, comme aux Etats-Unis ou dans de nombreux pays européens, les données ethniques devraient jouer un rôle dans la conception d'une politique d'accueil des migrants. A la même époque, Michèle Tribalat publie, avec Pierre-André Taguieff, un livre destiné à contrer le Front national. Mais rien n'y fait, elle est désormais suspecte aux yeux des bien-pensants. Aujourd'hui, dénonçant « l'antiracisme idéologique (qui) structure l'expression savante et ordinaire sur l'immigration », elle ironise : « Travailler sur l'immigration, c'est partir en mission contre ceux qui pensent mal, mais aussi, pour faire bonne mesure, contre ceux qui doutent. » Nommée au Haut Conseil à l'intégration, elle en démissionne en 2000, reprochant à cette instance de faire le jeu des islamistes. En 2002, avec Jeanne-Hélène Kaltenbach, elle fait paraître La République et l'islam, où l'action des fondamentalistes musulmans est mise en cause. « Pourrions-nous publier un tel livre maintenant ?, s'interroge-t-elle. Nous avons tellement perdu de liberté d'expression sur le sujet. Quand on pense que le livre de Christopher Caldwell (2) ne trouve pas d'éditeur en France... » 

    Placardisée hors unité et sans budget

    Directrice de recherche à l'Ined, Tribalat travaille chez elle, hors unité et sans budget. Autrement dit, elle est placardisée. « Mes articles ne sont même pas cités par les publications de la maison », déplore-t-elle. Avant d'ajouter, comme pour conjurer la tristesse : « Mais je vis très bien comme cela. Après la décennie que je viens de traverser, je suis de fer. » Les Yeux grands fermés n'a rien d'un pamphlet. L'auteur donne les vrais chiffres de l'immigration, soulignant une « très forte croissance après 1996», et considère les effets économiques et démographiques du phénomène. Ce sont des pages nourries de chiffres, un peu arides. La lecture coule mieux quand Tribalat explique comment les droits de l'homme se mettent au service d'une vision du monde où tout devrait s'ordonner aux courants migratoires, jugés inéluctables et bénéfiques par principe. Ou encore quand la démographe analyse le climat idéologique dans lequel s'élaborent les discours sur l'immigration à partir des sondages sur le racisme commandés par la Commission nationale consultative des droits de l'homme. Mais Michèle Tribalat se veut une scientifique : il est difficile de lui tirer un commentaire qui échappe à sa spécialité. Elle n'a pas aimé le débat sur l'identité nationale, pour une raison de forme, parce qu'elle croit que ce genre d'initiative ne doit pas relever de l'Etat. Quant au fond, le concept d'identité ne la choque pas. Elle consent d'ailleurs à observer que le multiculturalisme a conduit à répudier le concept d'assimilation, alors que l'assimilation, précisément, « fait partie de l'identité nationale française ».

    Paru aux Etats-Unis en juillet 2009, l'ouvrage du journaliste Christopher Caldwell, Reflections on the Revolution in Europe : Immigration, Islam, and the West (2) est consacré à la progression de l'islam en Europe et à ses conséquences sur la cohésion politique et culturelle du continent. L'auteur, rédacteur en chef du Weekly Standard et chroniqueur au Financial Times, est un libéral.

    Spécialiste de l'immigration, Michèle Tribalat est en froid avec son milieu professionnel. En cause, la propension de cette chercheuse à préférer les faits à l'idéologie. Tribalat, la démographe rebelle.

    Jean Sevillia

    Le Figaro Magazine 26/03/2010

    Notes de la rédaction :

    (1) Michèle Tribalat, LesYeux grands-fermés (l'immigration en France), Editeur : Denoël, Collection Médiations, mars 2010, 300 p.

    (2) Un livre qui devrait faire scandale

    Réflexions sur la Révolution en Europe : Immigration, Islam et l'Ouest

  • Vénissieux : la haine anti-française se déchaîne en toute impunité

     Le Bloc Identitaire Lyon a été le premier mouvement politique à parler de cette affaire. Pour donner un éclairage nouveau, voici une liste non exhaustive d’actes de haine anti-française à Vénissieux (69)

    A Vénissieux, un boulanger exerçant dans le quartier du Moulin-à-vent fait l’expérience douloureuse du mirage du « vivre-Ensemble » cher à nos dirigeants politiques. Face au racisme anti-Français d’une bande de racailles, sa boulangerie est obligée de fermer à 15 h. Une situation qui l’empêche de développer son chiffre d’affaires et de pouvoir embaucher du personnel !
    boulanger agressé
    Le quotidien du personnel de la boulangerie est fait de menaces, d’insultes et de coups, car selon le boulanger les racailles « lui reprochent de mettre du porc dans certains produits. » (Le Progrès, 23/08/2015)
    Pour l’instant, ni la mairie de Vénissieux, ni la préfecture, ni les associations antiracistes n’ont souhaité apporter leur aide ou dénoncer ces violences anti-françaises.

    Pourtant, cette haine à l’encontre des Français est devenue une réalité banale à Vénissieux.
    Déjà en 1981, après des émeutes aux Minguettes, ce quartier enregistrait « un départ massif des Français » fuyant l’insécurité et la promiscuité avec une population immigrée multipliée par trois, passant de 15 % à 45 % des habitants !

    Las d’être pris à partie du fait de la couleur de leur peau, les « Gaulois » ont préféré fuir Vénissieux. En 1981, pour Mokrane Kessi – aujourd’hui conseiller municipal à Vénissieux et adolescent aux moments des faits —, les tensions raciales étaient l’une des motivations principales des émeutiers :

    On avait parfois le sentiment que l’on ne pouvait pas descendre dans le centre de Vénissieux. On sentait une certaine animosité entre les deux quartiers. C’était, en quelque sorte, la cité des immigrés contre la ville des Blancs.

    Et cette situation n’a cessé d’empirer avec les années. L’ancien maire communiste de Vénissieux (de 1985 à 2009), André Gerin, l’a d’ailleurs avoué, «

    dès les années 90, on commence à voir dans certains quartiers l’antisémitisme, le racisme anti-blanc, le sexisme. Nous avons ignoré le problème.

    Il ne reste à Vénissieux, comme dans beaucoup de villes de banlieue, que très peu de Français de souche. Une situation particulièrement difficile à vivre pour les Françaises de souche, qui se retrouvent de fait en première ligne face au Grand Remplacement. Le témoignage de Laëtitia, habitante de la cité des Minguettes, dans un reportage du journal de 20 h de Tf1 donne un aperçu de la vulnérabilité de ces jeunes femmes. Elle déclare avoir peur d’être « victime d’une tournante », car elle s’estime « être une proie facile » en tant que « Française », avant d’ajouter « qu’elle aurait aimé être une Maghrébine et avoir un grand frère » pour « avoir du respect ».

    Plus de quarante ans de silence, d’aveuglement et de mensonges des pouvoirs publics ont conduit à cette situation, dont chacun sait qu’elle mènera à une issue dramatique.

    http://fr.novopress.info/

  • Immigration : Sarkozy doit clarifier sa position une fois pour toutes

    L’affaire est trop grave pour que les Français se laissent prendre une fois de plus au tour du « Kärcher ».

    La Hongrie prend des mesures radicales pour protéger sa population et Laurent Fabius crie au scandale. Tout homme normalement constitué, et avec un minimum d’instruction, pourrait à raison s’interroger sur la santé mentale du chef de la diplomatie française. Seulement voilà, Fabius n’est pas un dément, c’est juste un pur idéologue et même, avec ses amis Lévy et Cohn-Bendit, le fer de lance d’une idéologie fondée sur une haine viscérale de l’idée de nation et une volonté inébranlable de couper la France de ses racines chrétiennes et populaires. Or, comme tous les idéologues, lorsque les vents sont contraires, ils perdent pied avec la réalité et ne prennent même plus le temps de réfléchir aux conséquences électorales de leur politique. Fabius, Hollande et même Valls sont en train de tuer le Parti socialiste et peu leur chaut. Sous les ors de la République, il y a en cette fin de quinquennat quelque chose qui ressemble à un bunker et qui rappelle La Chute.

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