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immigration - Page 1288

  • Vigilance alerte attentat : quelles conséquences dans les transports ?

    Le plan Vigipirate alerte attentat (détails ici), décrété mercredi 7 janvier pour l’Ile-de-France suite à l’attaque commise dans la matinée au siège du magazine Charlie Hebdo, comporte en effet plusieurs mesures visant à renforcer la sécurité. Ce dispositif pourrait avoir des conséquences sur la circulation des trains, mais aussi sur le fonctionnement des gares ou les comportements dans les métros, RER, TER et TGV. L’Ile-de-France est bien entendu concernée en premier lieu, mais pas seulement

    par Olivier Razemon

    Ni métro, ni RER, la route. La direction des routes d’Ile-de-France signale un pic de bouchons ce matin.

    “Concrètement”, précise le Syndicat des transports d’Ile-de-France (STIF), il faut s’attendre à voir un peu partout davantage de forces de l’ordre, policiers, gendarmes et militaires en treillis. 350 militaires supplémentaires ont été dépêchés en Ile-de-France.

    Gares sensibles. Cette présence devrait en particulier s’affirmer dans certains “sites sensibles” que sont les stations du RER parisien et les gares connaissant une forte affluence : Marne-la-Vallée, La Défense ou les deux gares de l’aéroport de Roissy. En 1995, plusieurs attentats avaient visé le RER, notamment à la station Saint-Michel, sur la ligne B. La SNCF annonce avoir renforcé ses effectifs dans les gares “à fort trafic”, principalement les grandes gares parisiennes.

     

    Le STIF observe toutefois que les quartiers touristiques et commerçants de la capitale, en particulier le secteur des grands magasins de la rive droite, faisaient déjà l’objet d’une vigilance accrue pour les fêtes, puis pour les soldes.

    Colis suspects.Les voyageurs pourraient cependant avoir à subir des contrôles d’identité plus fréquents et, à l’occasion, des fouilles. Les contrôles de détection d’explosifs, à l’aide de chiens, vont être renforcés. Enfin, le STIF s’attendait, dès le 7 janvier, à une recrudescence des alertes au colis suspect. Chaque paquet abandonné, ou susceptible de l’être, sera scruté avec attention par le personnel ainsi que par les forces de l’ordre mais aussi, logiquement, par les voyageurs eux-mêmes.

    Dès mercredi soir, le trafic était ralenti sur la ligne 8 du métro parisien et dans le RER A après la découverte de paquets non réclamés. Ce jeudi 8 janvier, vers 7h30, un colis suspect a été trouvé à la station République du métro de Lille. La station a été évacuée, le périmètre bouclé et le paquet pulvérisé. L’événement a occasionné la fermeture momentanée du boulevard de la Liberté, un axe important à Lille.

    Bouteilles de gaz. Dans ce début de matinée, on a également signalé un colis suspect sur la ligne 2 du tramway de Nantes, à Orvault. Pour la même raison, la Gare du Nord, à Paris, a été évacuée vers midi. Dans le Haut-Rhin, la gare de Colmar a été totalement bouclée entre 8h et 8h30. Les trains ne s’arrêtaient plus en gare. Le dysfonctionnement fait suite à la découverte, par un particulier, de sept bouteilles de gaz abandonnées à proximité du parking de la gare. Selon les Dernières nouvelles d’Alsace, le service de déminage a établi que les bouteilles de gaz ne présentaient aucun danger mais l’épisode montre que la moindre alerte peut avoir des conséquences sur le fonctionnement des transports.

    Pic de bouchons.Peut-on parler de psychose ? Ceux qui le peuvent semblent déserter les transports en commun. Ce jeudi matin, en Ile-de-France, la direction des routes signalait un pic inhabituel de bouchons. Des restrictions pourraient également toucher la circulation. Le niveau “alerte attentat” interdit ainsi le stationnement des véhicules devant les établissements scolaires.

    Le plan Vigipirate alerte attentat est le niveau le plus élevé de protection. Depuis février, il n’y a plus que trois niveaux : vigilance, vigilance renforcée et alerte attentat. Les seuils par couleur orange, rouge et écarlate étaient considérés comme obsolètes.

    blog.lemonde.fr

    http://fortune.fdesouche.com/370865-vigilance-alerte-attentat-quelles-consequences-dans-les-transports#more-370865

  • Combien d’attentats faudra-t-il encore pour que la France comprenne ?

    Toute la gauche est, pour l’instant, pour la liberté de la presse et de l’expression ; hier, elle était tout entière contre Zemmour...

    L’attentat terroriste qui a frappé mercredi Charlie Hebdo nous plonge dans l’horreur de ce qu’est l’État islamique et que nous dénonçons depuis longtemps sans être entendu. La mort de douze personnes dont de grands dessinateurs humoristiques est une déclaration de guerre.

    Toute la gauche est, pour l’instant, pour la liberté de la presse et de l’expression ; hier, elle était tout entière contre Zemmour…

    J’écrivais sur Boulevard Voltaire il y a quelques jours :

    « On a empêché 80 “jeunes Français” de partir faire le djihad en Syrie ou en Irak ! Le gouvernement et le ministre de l’Intérieur annoncent ce résultat comme un véritable succès, alors qu’il s’agit d’une totale absurdité. Ces 80 “jeunes Français” sont déjà radicalisés et vont l’être encore davantage. »

    http://www.bvoltaire.fr/manuelgomez/combien-dattentats-faudra-t-il-encore-pour-que-la-france-comprenne,150401

  • Des responsables de Pegida seront présents le 18 janvier à Paris

    Pierre Cassen, de Riposte laïque, répond à Présent. Extraits :

    "Nous constatons d’abord que, malgré le déni de réalité de ce gouvernement avec la complicité de la majorité des médias du système, nos compatriotes comprennent que leur situation s’aggrave et que leur sécurité est de moins en moins assurée. Les actes de « déséquilibrés » qui crient Allah akbar en écrasant des piétons ou en poignardant à la gorge des passants, se répètent trop souvent pour que cela n’ait rien à voir avec la guerre que mène l’islam le plus radical contre les infidèles et notre civilisation. Nous qui avons organisé, avec le Bloc identitaire, les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, il y a quatre ans, devions prendre nos responsabilités, ce que nous avons fait en organisant ce rassemblement, le 18 janvier prochain, avec Résistance républicaine. Il y aura entre dix et douze intervenants, dont trois viendront de pays confrontés à des soucis proches des nôtres : Allemagne, Italie et Suisse.

    Pour nous, l’objectif est d’enclencher une dynamique qui, avec les particularités françaises, devra rapidement atteindre le degré de mobilisation que nous constatons en Allemagne. [...]

    Je peux donc vous annoncer qu’il y aura, sans complication de dernière minute, des responsables de Pegida qui seront présents le 18 janvier, place de la Bourse, à Paris, et y prendront la parole."

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • En quoi nous sommes solidaires

    Toutes les autres nouvelles, bien entendu, dans le cours de cette terrible journée, ont été submergées par les flots de sang de l'attentat contre Charlie Hebdo.

    L'émotionnel est devenu une sorte de règle de comportement. Autrefois manipulé par les propagandes gauchistes et révolutionnaires, son ressort se voit aujourd'hui plus ou moins imposé par les vaseux communicants. Il ne produit hélas que de fausses solidarités.

    Or, la vraie solidarité mérite mieux que les phrases excessives, conventionnelles creuses ou inappropriées qu'on a entendues dans les gros moyens du matraquage désinformateur.

    Croyant sans doute bien faire ou bien dire, Michel Onfray, philosophe de métier, athée de profession, a pensé pouvoir dire que cette immonde tuerie représenterait "notre 11 septembre".

    On comprend certes ce qu'il suggère vaguement ainsi quant aux conséquences qu'il s'agirait d'en tirer. Mais, au-delà du vague, au-delà des états d'âmes intellectuels, il serait bien en peine de les préciser. Quel vote à l'ONU va-t-on solliciter ? Quelle croisade contre quel Afghanistan ?

    Car on pourrait lui faire remarquer de façon concrète :

    1° que les attentats aveugles d'al-Qaeda du 11 septembre 2001 ont fait environ 250 fois plus de victimes, quelle que soit l'horreur que l'on puisse éprouver.

    2° qu'à ce compte "notre 11 septembre" date de quelque 20 ans, avec l'attentat aveugle du RER B à la station Saint-Michel le 25 juillet 1995 commis sur notre sol par le GIA algérien.

    Or, depuis cette date, et malgré l'aggravation des périls, notre société n'a toujours pas su quelle défense mettre en place. On en est resté aux mesures technocratiques "Vigipirate" - quel nom ridicule ! – imaginées par le gouvernement Rocard en 1991 quand la France était en guerre avec Saddam Husseïn.

    Le seul langage de solidarité repose sur la vérité . Il consiste à se demander en quoi ces meurtres, non pas aveugles, mais au contraire parfaitement ciblés – puisqu'ils frappent des gens que les islamistes jugent comme des blasphémateurs, et qui ne l'étaient pas seulement à l'endroit des musulmans, – appellent à une réaction vraiment solidaire y compris de la part de ceux qu'ils couvraient autrefois d'injures.

    Car, même ceux pour qui Charlie Hebdo n'offrait aucun intérêt, peuvent se rendre compte combien ces journalistes, ces adversaires appartenaient à la même cité que nous. Cabu, assassiné par les islamo-terroristes ne pourra donc plus caricaturer l'actualité comme il le faisait dans le Canard Enchaîné. L'économiste Bernard Maris ne pourra plus en souligner les paradoxes comme il savait si bien le faire.

    Et l'écœurement, l'indignation, et les nombreuses interrogations sont légitimes. Comment se fait-il que ce journal que chacun savait menacé n'ait pas reçu la moindre protection policière ? (*) Après cette nouvelle agression, va-t-on une fois plus tenter de la mettre au débit de quelques « déséquilibrés » ?

    Déplorons aussi que le premier réflexe des indignés de la place de la République ait consisté à exclure ceux qui ne pensent pas exactement comme eux à propos de la protestation unitaire nationale à laquelle, pourtant, ils appellent, en mettant en avant la mobilisation de nos misérables "partis de gauche".

    Cette déliquescence de l'esprit fait partie de notre faiblesse.

    Si nous voulons gagner la guerre que l'islamo-terrorisme nous mène, il faudra en finir avec tous ces reliquats de toutes nos défaites.

    Note : (*) On m'a immédiatement et gentiment objecté que les deux policiers assassinés auraient été en protection, affirmation reprise par M. Hollande. Si cela est vrai, cela pose aussi le problème de l'efficacité des protections routinières.

    http://www.insolent.fr/2015/01/en-quoi-nous-sommes-solidaires.html

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Charlie Hebdo : Bruno Gollnisch était l’invité de LCP

    Bruno Gollnisch était l’invité de l’émission Politique ce matin sur LCP dans une édition spéciale en hommage à Charlie Hebdo, présentée par Patrick Chêne.

    Politique Matin : La matinale du jeudi 8… par LCP

    http://gollnisch.com/2015/01/08/charlie-hebdo-bruno-gollnisch-lcp/

  • Les belles âmes, qui refusent de voir les faits, se rendent complices de l'islamo-fascisme

    D'Ivan Rioufol :

    "[...] Rage, immense, contre tous ceux qui ne cessent de s'aveugler sur la montée en puissance de l'islamisme dans les cités françaises. J'entendais encore, ce mercredi sur Europe 1 , Alain Juppé s'enflammer contre ceux qui sonnent l'alarme au prétexte d'un risque d' «amalgame avec l'ensemble des musulmans». François Hollande, lundi, refusait de parler d'«ennemis de l'intérieur». Ces discours émollients participent à l'endormissement des vigilances. Il y a, oui, un retour aux années trente. Mais il se lit, ce retour, non pas chez les peuples d'Europe qui craignent l'islamisme chez eux, mais chez les donneurs de leçons qui se veulent pas voir ce nouveau totalitarisme coranique. C'est pour se protéger de son intolérance et de sa violente judéophobie que 7 000 Français juifs ont quitté la France en 2014, nous alertant ainsi du pire. Le pire est là: les loups sont entrés dans Paris. Les belles âmes, qui insultent les lanceurs d'alerte et refusent de voir les faits, se rendent complices de l'islamo-fascisme qui nous a déclaré la guerre.

    Car ce mercredi, la France est en guerre. En guerre civile peut-être, demain. Son ennemi est l'islam radical, l'islam politique, l'islamisme djihadiste. «Nous avons vengé le prophète», auraient crié les tueurs. L'ennemi n'est évidemment pas l'ensemble des musulmans, dont beaucoup sont bien sûr horrifiés par ce carnage contre des journalistes. Mais ceux-là doivent, toute affaire cessante, descendre massivement dans les rues pour se désolidariser enfin clairement de ceux qui ont la même religion qu'eux et qui appliquent ses préceptes à la lettre. En 1954, en Algérie, l'Armée de libération nationale ne comptait pas plus de 800 hommes ; ils ont réussi à faire plier la République huit ans plus tard. Les djihadistes français ne sont guère plus nombreux mais ceux-là sont tout autant déterminés à nous humilier, à nous soumettre à l'islam et à faire taire la liberté d'expression. C'est pourquoi il est urgent que les esprits se réveillent enfin et cessent de se réfugier dans le confort de l'apaisement, du pacifisme et des bons sentiments. Ces attitudes sont des lâchetés. Refuser de répondre à une guerre déclarée serait la pire des capitulations. Dans ce domaine, la France s'est assez humiliée par le passé."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva