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immigration - Page 1288

  • En quoi nous sommes solidaires

    Toutes les autres nouvelles, bien entendu, dans le cours de cette terrible journée, ont été submergées par les flots de sang de l'attentat contre Charlie Hebdo.

    L'émotionnel est devenu une sorte de règle de comportement. Autrefois manipulé par les propagandes gauchistes et révolutionnaires, son ressort se voit aujourd'hui plus ou moins imposé par les vaseux communicants. Il ne produit hélas que de fausses solidarités.

    Or, la vraie solidarité mérite mieux que les phrases excessives, conventionnelles creuses ou inappropriées qu'on a entendues dans les gros moyens du matraquage désinformateur.

    Croyant sans doute bien faire ou bien dire, Michel Onfray, philosophe de métier, athée de profession, a pensé pouvoir dire que cette immonde tuerie représenterait "notre 11 septembre".

    On comprend certes ce qu'il suggère vaguement ainsi quant aux conséquences qu'il s'agirait d'en tirer. Mais, au-delà du vague, au-delà des états d'âmes intellectuels, il serait bien en peine de les préciser. Quel vote à l'ONU va-t-on solliciter ? Quelle croisade contre quel Afghanistan ?

    Car on pourrait lui faire remarquer de façon concrète :

    1° que les attentats aveugles d'al-Qaeda du 11 septembre 2001 ont fait environ 250 fois plus de victimes, quelle que soit l'horreur que l'on puisse éprouver.

    2° qu'à ce compte "notre 11 septembre" date de quelque 20 ans, avec l'attentat aveugle du RER B à la station Saint-Michel le 25 juillet 1995 commis sur notre sol par le GIA algérien.

    Or, depuis cette date, et malgré l'aggravation des périls, notre société n'a toujours pas su quelle défense mettre en place. On en est resté aux mesures technocratiques "Vigipirate" - quel nom ridicule ! – imaginées par le gouvernement Rocard en 1991 quand la France était en guerre avec Saddam Husseïn.

    Le seul langage de solidarité repose sur la vérité . Il consiste à se demander en quoi ces meurtres, non pas aveugles, mais au contraire parfaitement ciblés – puisqu'ils frappent des gens que les islamistes jugent comme des blasphémateurs, et qui ne l'étaient pas seulement à l'endroit des musulmans, – appellent à une réaction vraiment solidaire y compris de la part de ceux qu'ils couvraient autrefois d'injures.

    Car, même ceux pour qui Charlie Hebdo n'offrait aucun intérêt, peuvent se rendre compte combien ces journalistes, ces adversaires appartenaient à la même cité que nous. Cabu, assassiné par les islamo-terroristes ne pourra donc plus caricaturer l'actualité comme il le faisait dans le Canard Enchaîné. L'économiste Bernard Maris ne pourra plus en souligner les paradoxes comme il savait si bien le faire.

    Et l'écœurement, l'indignation, et les nombreuses interrogations sont légitimes. Comment se fait-il que ce journal que chacun savait menacé n'ait pas reçu la moindre protection policière ? (*) Après cette nouvelle agression, va-t-on une fois plus tenter de la mettre au débit de quelques « déséquilibrés » ?

    Déplorons aussi que le premier réflexe des indignés de la place de la République ait consisté à exclure ceux qui ne pensent pas exactement comme eux à propos de la protestation unitaire nationale à laquelle, pourtant, ils appellent, en mettant en avant la mobilisation de nos misérables "partis de gauche".

    Cette déliquescence de l'esprit fait partie de notre faiblesse.

    Si nous voulons gagner la guerre que l'islamo-terrorisme nous mène, il faudra en finir avec tous ces reliquats de toutes nos défaites.

    Note : (*) On m'a immédiatement et gentiment objecté que les deux policiers assassinés auraient été en protection, affirmation reprise par M. Hollande. Si cela est vrai, cela pose aussi le problème de l'efficacité des protections routinières.

    http://www.insolent.fr/2015/01/en-quoi-nous-sommes-solidaires.html

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Charlie Hebdo : Bruno Gollnisch était l’invité de LCP

    Bruno Gollnisch était l’invité de l’émission Politique ce matin sur LCP dans une édition spéciale en hommage à Charlie Hebdo, présentée par Patrick Chêne.

    Politique Matin : La matinale du jeudi 8… par LCP

    http://gollnisch.com/2015/01/08/charlie-hebdo-bruno-gollnisch-lcp/

  • Les belles âmes, qui refusent de voir les faits, se rendent complices de l'islamo-fascisme

    D'Ivan Rioufol :

    "[...] Rage, immense, contre tous ceux qui ne cessent de s'aveugler sur la montée en puissance de l'islamisme dans les cités françaises. J'entendais encore, ce mercredi sur Europe 1 , Alain Juppé s'enflammer contre ceux qui sonnent l'alarme au prétexte d'un risque d' «amalgame avec l'ensemble des musulmans». François Hollande, lundi, refusait de parler d'«ennemis de l'intérieur». Ces discours émollients participent à l'endormissement des vigilances. Il y a, oui, un retour aux années trente. Mais il se lit, ce retour, non pas chez les peuples d'Europe qui craignent l'islamisme chez eux, mais chez les donneurs de leçons qui se veulent pas voir ce nouveau totalitarisme coranique. C'est pour se protéger de son intolérance et de sa violente judéophobie que 7 000 Français juifs ont quitté la France en 2014, nous alertant ainsi du pire. Le pire est là: les loups sont entrés dans Paris. Les belles âmes, qui insultent les lanceurs d'alerte et refusent de voir les faits, se rendent complices de l'islamo-fascisme qui nous a déclaré la guerre.

    Car ce mercredi, la France est en guerre. En guerre civile peut-être, demain. Son ennemi est l'islam radical, l'islam politique, l'islamisme djihadiste. «Nous avons vengé le prophète», auraient crié les tueurs. L'ennemi n'est évidemment pas l'ensemble des musulmans, dont beaucoup sont bien sûr horrifiés par ce carnage contre des journalistes. Mais ceux-là doivent, toute affaire cessante, descendre massivement dans les rues pour se désolidariser enfin clairement de ceux qui ont la même religion qu'eux et qui appliquent ses préceptes à la lettre. En 1954, en Algérie, l'Armée de libération nationale ne comptait pas plus de 800 hommes ; ils ont réussi à faire plier la République huit ans plus tard. Les djihadistes français ne sont guère plus nombreux mais ceux-là sont tout autant déterminés à nous humilier, à nous soumettre à l'islam et à faire taire la liberté d'expression. C'est pourquoi il est urgent que les esprits se réveillent enfin et cessent de se réfugier dans le confort de l'apaisement, du pacifisme et des bons sentiments. Ces attitudes sont des lâchetés. Refuser de répondre à une guerre déclarée serait la pire des capitulations. Dans ce domaine, la France s'est assez humiliée par le passé."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva

  • Les terroristes seraient identifiés

    Saïd Kouachi
    Chérif Kouachi
    Hamyd Mourad

    Les deux premiers sont frères, le troisième est SDF.

    Et Pierre Martinet de publier un avis de recherche de la police, sur sa page facebook:

    Screen Shot 2015-01-07 at 10.06.21 PM

     

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  • "Charlie Hebdo n'a pas été attaqué par des adversaires de la liberté de la presse"

    Extrait de la réaction de Robert Ménard, qui a fondé, rappelons-le, Reporters sans frontières :

    "(...) il faut cesser la politique de l’autruche.

    Non, les assassins ne sont pas des « fous » ou des « marginaux ». Ce sont des tueurs islamistes qui veulent imposer la terreur comme leurs congénères de Syrie ou d’Irak. La différence est qu’aujourd’hui, après trente ans d’immigration galopante, ces choses là sont possibles à Paris et en France.

    Non, la rédaction de Charlie Hebdo n’a pas été attaquée par des gens adversaires de la liberté de la presse. Elle a été attaquée parce qu’elle avait osé, courageusement, librement, critiquer l’islam. Si des conséquences politiques ne sont pas tirés de cette tragédie, alors, d’autres viendront. Tout doit être fait pour éviter la libanisation de notre pays. Il est encore temps."

    Louise Tudy

  • Charlie Hebdo : nombreuses réactions enthousiastes sur internet

    Cliquer pour agrandir

    Rappelons qu’en juillet 2014, un sondage a été mené par l’institut ICM pour l’agence de presse russe Rossiya Segodnya dans le but d’évaluer les perceptions des Européens sur l’organisation djihadiste appelée Etat islamique.
    A l’en croire, un « Français » sur six serait « favorable » à l’organisation djihadiste connue sous le nom d’Etat islamique !
    Ce sondage a été repéré par le magazine Newsweek, qui précise dans son article que « 5 millions de musulmans » vivent en France (en réalité bien plus).
    Le sondage a été réalisé entre le 11 et le 21 juillet 2014. Ce sont 3 007 personnes qui ont été interrogées par téléphone pour le biais de ce sondage : 1 000 en Grande-Bretagne, 1 006 en France et 1 001 en Allemagne. Seuls 2 % des « Allemands » soutiendraient l’Etat islamique, et 7% des « Britanniques », contre 16% des « Français ».

    http://www.contre-info.com/