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immigration - Page 1294

  • Ils ne sont pas "déséquilibrés", ils sont juste conditionnés

    Ce concept est difficilement compréhensible pour un journaliste occidental. Il veut bien faire l'effort d'en comprendre le fonctionnement lorsque cela se passe en Afghanistan ou en Israël mais dès qu'il s'agit du territoire national français, il ne peut s'agir que de "déséquilibrés mentaux". Un attentat suicide ne se limite pas au traditionnel "suicide bomber" mais peut tout aussi être une voiture bélier comme à Dijon, une attaque au couteau comme dans le métro récemment contre un soldat français ou une attaque désepérée dans un commissariat comme à Joué-lès-Tours. 

    Voici quelques éléments d'explication :

    "On cite souvent comme explications aux attentats-suicide des arguments comme le désir de sanctification religieuse, ou l'envie de se venger de l'Occident, ou encore la haine d'Israël, mais le lien entre tous ces arguments est que les musulmans revendiquent d'aimer la mort, par opposition à leurs ennemis qui aiment la vie. Qu'il s'agisse de tuer des infidèles dans des attentats-suicide, ou de laisser une femme, considérée comme inférieure, participer à de tels attentats, on retrouve un même motif. Et de la même façon que les crimes d'honneur constituent une perversion des liens humains les plus fondamentaux, l'amour du "martyre" est la dimension la plus sombre de l'âme humaine que puisse choisir une société (...)

    Le Coran contient de nombreuses exhortations à l'action violente et de nombreuses promesses de récompense divine pour ceux qui meurent en combattant sur les sentiers de Dieu, mais sans faire du martyre l'objectif religieux qu'il est rapidement devenu. C'est dans le recueil des paroles et des actes de Mahomet que la guerre et le martyre se trouvent intimement mêlés (...)

    A partir du moment où le Coran recommande la violence et que les hadiths regorgent du sang des martyrs, la mort violente, infligée ou subie, ne constitue pas une rupture du code ou une violation de la loi divine. La mort violente fait au contraire partie des grands accomplissements de la spiritualité islamique."

    On peut aussi citer ce témoignage de terroriste repenti :

    "L'idée de devenir un suicide bomber n'avait jamais effleuré l'esprit du jeune Mohammed. Mais la visite dans son école d'un mollah venu chercher des nouvelles recrues déclenche en lui l'envie de gagner son paradis. Le mollah propose aux enfants de venir étudier dans sa madrasa, école coranique. «Dieu vous aimera, leur explique-t-il. Ma famille n'était pas d'accord pour que j'aille étudier dans une madrasa. J'y ai été contre la volonté de mon père, car je croyais plus que tout au paradis», raconte Mohammed.

    Il ajoute que certains de ses camarades de classe, motivés, l'ont poussé à s'y rendre. Mais, après un passage rapide dans cette école religieuse, Mohammed est envoyé dans un centre de formation au suicide. Il y restera trois mois. Là-bas, une quinzaine de jeunes garçons suivent ces cours de kamikaze. On leur apprend à porter un gilet d'explosifs, à le manipuler, à définir le moment propice pour se faire exploser. En parallèle, le mollah Hamidullah, chef du centre, scande à longueur de journée ce refrain :«Vous gagnez votre paradis.» «Ils nous ont tout expliqué. Ils nous ont dit et répété que les personnes que nous allions tuer n'étaient pas des musulmans, mais des infidèles. Et que, si nous nous faisions exploser, nous irions directement au paradis

    Le paradis... l'adolescent était fasciné. «Le soir, avec mes camarades, nous nous demandions à quoi cela pouvait ressembler. Nous ne parlions que de ça... le paradis.»"

    La réalité de l'islamisme en France dépasse malheureusement le conditionnement au politiquement correct de nos journalistes et hommes politiques....

    Philippe Carhon

  • "Allahou Akbar", le cri de ralliement des "déséquilibrés"

    Yves Daoudal sur son blog :

    "Allahou Akbar : « Dieu est (le) plus grand », en arabe, est le slogan essentiel de l’islam. C’est du moins ce que l’on croyait jusqu’ici. Car, en réalité, « Allahou Akbar » est le cri de ralliement des déséquilibrés, et plus précisément des déséquilibrés solitaires qui s’en prennent aux policiers, aux soldats, aux simples passants. Comme coup sur coup à Joué-les-Tours et à Dijon.

    « C'est un acte isolé dans une ville paisible », a déclaré le maire UMP de Joué-les-Tours, Frédéric Augis, qui souligne : « Les rapports sont très bons avec l'ensemble des communautés religieuses, c'est une ville de paix. »

    Bien sûr. Son prédécesseur, le socialiste Philippe Lebreton, disait pourtant déjà début 2010 : « Certains islamistes sont en guerre contre l’Occident et la République… Le fait religieux est de plus en plus présent dans le débat public. Dans ma ville il y a des burqas, les parents demandent de la nourriture halal dans les cantines, des jeunes suivent des formations financées par des fonds obscurs. »

    A Joué-les-Tours, il y a une mosquée dont l’imam, « Mohamed François », est un Français de souche « converti » et dont l’islam est évidemment « radical ». L’an dernier il expliquait que non seulement les musulmans ne devaient participer en aucune manière aux fêtes des chrétiens, mais qu’il leur était même interdit de participer à un réveillon du premier de l’an."[...]

    Quelle mosquée fréquentait le "déséquilibré" de Dijon, qui a écrasé volontairement une dizaine de personnes en criant « Allahou Akbar » ?

    Marie Bethanie

  • Musulmans français et Noirs américains : une surdélinquance gênante

    Parfois, les faits sont plus têtus que la propagande…

    Selon les discours de l’idéologie dominante, en France, les paisibles musulmans sont harcelés et menacés par les méchants islamophobes. Aux États-Unis, des policiers blancs racistes tueraient des enfants noirs innocents, thèse reprise par notre inimitable garde des Sceaux. Mais parfois, les faits sont plus têtus que la propagande…

    Selon une enquête du Washington Post, en 2008, on comptait dans nos prisons entre 60 et 70 % de musulmans, pour une proportion de musulmans estimée à 10 % de la population française. Deux faits divers, par ailleurs significatifs de l’ensauvagement de la France, n’iront pas augmenter ces chiffres, puisque la police française a dû tuer, en quelques jours, deux « déséquilibrés à couteau ».

    A Joué-lès-Tours, ce samedi, un homme, de nationalité française, né au Burundi, Bertrand Nzohabonayo, est entré dans le commissariat, un couteau à la main. Alors que les policiers essayaient de le calmer (aux États-Unis, ils lui auraient demandé de lâcher son arme, et auraient tiré en cas de refus), il a agressé trois agents, dont un à hauteur du visage, avant d’être abattu. Est-ce vraiment un hasard ?

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  • L'affaire Zemmour révèle l'état du débat en France

    Interrogé par le Figarovox sur "l'affaire Zemmour", Michel Onfray ne mâche pas ses mots :

    [...]"En diabolisant Eric Zemmour, le gouvernement cherche-t-il à faire oublier son bilan?

    La gauche qui est au pouvoir depuis 1983 n'est plus de gauche parce qu'elle s'est convertie au libéralisme et que, dans le libéralisme, ce sont les marchés qui font la loi, pas les politiques - qui se contentent de l'accompagner et de le favoriser plus ou moins… Le bilan, c'est celui du libéralisme, donc celui de Mitterrand après 83, de Chirac pendant deux mandats, de Sarkozy pendant un quinquennat, de Hollande depuis son accès au pouvoir. Si ces gens-là veulent se distinguer, il faut qu'ils le fassent sur d'autres sujets que l'économie libérale, les fameux sujets de société bien clivants : mariage homosexuel, procréation médicalement assistée, vote des immigrés, théorie du genre sous prétexte de féminisme, euthanasie ou soins palliatifs, dépénalisation du cannabis, vote des étrangers, etc.

    Zemmour est une excellente aubaine pour la gauche: il suffit d'en faire l'homme de droite par excellence, le représentant du «bloc réactionnaire» comme le martèle Cambadélis, (ancien trotskyste, condamné par la justice, mais néanmoins patron du PS…) le spécimen du penseur d'extrême-droite, pour se trouver un bouc émissaire qu'on égorge en famille, en chantant ses propres louanges pour une si belle occasion. «Nous sommes donc bien de gauche, nous, puisqu'il est de droite, lui!» vocifèrent-ils en aiguisant le couteau.[...]

    "Que révèle cette polémique sur l'état du débat en France?

    Qu'il est mort… En France, on ne polémique plus: on assassine, on méprise, on tue, on détruit, on calomnie, on attaque, on souille, on insinue… C'est la méthode que je dirai du Raoul! Rappelez vous Raoul/ Blier dans Les Tontons Flingueurs: «Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance, et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop, je correctionne plus: je dynamite, je disperse, je ventile!». Eric Zemmour se trouve donc éparpillé façon puzzle aux quatre coins de Paris. Mais Paris n'est pas la France.

    Certains ont été jusqu'à parler de «dictature». Sommes-nous en train de basculer vers une forme de totalitarisme intellectuel?

    Nous y sommes, c'est évident! Plus question de craindre le basculement, nous avons déjà basculé. Seules les idées politiquement correctes sont admises dans ce qui se présente comme un débat mais qui n'est qu'un salon mondain où l'on invite le marginal qui ne pense pas comme soi pour montrer sa grandeur d'âme, sa libéralité, sa tolérance. Mais dès que l'invité prend plus de place que prévu, qu'on ne parle plus que de lui, comme avec Zemmour, alors on disperse façon puzzle: on montre sa véritable nature. Inviter en bout de table, pour le dîner de con, oui, mais pas question que l'invité retourne la situation et montre à toute la tablée que le con ça n'est pas lui… Or rien n'est plus violent qu'un con démasqué après qu'il eût échoué à présenter l'autre comme ce qu'il finit par incarner dans sa superbe!" [...]

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tribune libre : Nous sommes tous des Zemmour allemands

    Pour avoir énoncé une vérité historique (à savoir qu’avant la guerre d’Algérie personne n’imaginait que l’intégralité des Pieds noirs allaient revenir en France n’ayant qu’une alternative, la valise ou le cercueil), un journaliste français a été viré d’une chaîne télévision sans même être prévenu.

    Il lui a été reproché d’avoir envisagé la déportation de musulmans. Nous savons aujourd’hui que ce mot n’a pas été prononcé ni par Eric Zemmour ni par le journaliste italien. Et ceux qui l’ont viré le savent. Donc on condamne professionnellement une personne pour avoir énoncé une vérité historique faisant réponse à une question qui ne lui a pas été posée.

    Cette éviction fait suite à une série d’attaques venant du gouvernement, le premier ministre déclarant qu’il n’était pas digne d’être lu, le ministre de l’intérieur appelant à manifester contre lui. Ses confrères n’ont pas été en restes (le SDJ demandant sa peau). On a parlé de stalinisme, la comparaison exacte est le maccarthysme qui consiste à persécuter les opposants politiques dans le domaine de leur travail.

    Nous ne doutons pas qu’Eric Zemmour va rebondir tant il fait de l’audience (méritée). En deux mois dans des débats à la loyale, aucun contradicteur n’est parvenu à prendre le dessus sur lui, même partiellement. Donc, comme on ne peut pas le battre, on le fvire à l’aide d’une interview tronquée.

    Quel est le fond du problème ? Zemmour craint une libanisation de la société, préludé à la guerre civile.

    Cadichon

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tribune-libre-Nous-sommes-tous-des

  • L’islamisme politique est mort

    Frédéric Pichon, docteur en histoire contemporaine (ne pas confondre avec l'avocat), spécialiste de la Syrie et des minorités, chercheur associé au sein de l’équipe EMAM de l’université François Rabelais (Tours), est interrogé dans l'Action française 2000. Extraits :

    A"Je vois mal la Syrie jouer un rôle régional, elle n’est effectivement qu’un pivot. Cela dit, la Syrie, dans les limites qu’on lui avait tracées, est-elle un État viable ? Chaque fois qu’on a voulu redessiner des cartes sur une base communautaire, ça a été des flots de sang – ce qui n’enlève pas l’arbitraire de ce découpage colonial. Mais la Syrie a su bâtir un modèle original.L’islamisme politique est mort, il ne triomphera pas, même si ça prend un certain tempsL’idée de nation, au sens d’un État souverain et jaloux de sa souveraineté, est une chose à la mode dans le monde arabe. La construction héritée des frontières coloniales est aberrante, mais la région ne peut se constituer uniquement sur des bases ethniques, peu pertinentes économiquement. Le modèle syrien, ce qui explique sa résilience, est un module supra-communautaire.

    Il y aurait donc un retour des nationalismes arabes ?

    Oui, même si c’est paradoxal. Les printemps arabes viennent couronner le lent effritement des modèles nationalistes, avec le parti Baas, etc., car les régimes n’ont pas réussi à bâtir un État qui ne soit pas clientéliste ; mais il est peut-être resté comme un sentiment national, de fierté, qui se repère dans l’espèce de contre-révolution à laquelle on assiste dans des pays comme l’Égypte ou la Tunisie, qui préfèrent des solutions nationalistes aux solutions islamistes.

    La défense des chrétiens d’Orient a-t-elle un véritable avenir ?

    Cela paraît surréaliste que l’Occident postchrétien, posthistorique puisse jouer sur le levier des chrétiens d’Orient comme la France ou l’Autriche avaient pu le faire aux siècles derniers. Dans la question des chrétiens persécutés, on a surtout joué sur la fibre compassionnelle envers des minorités exotiques menacées. Mais l’Occident et la France, qui sont lâches et impuissants sur ce dossier, ne feront rien : il suffit de voir le traitement différencié entre les chrétiens de Syrie et ceux d’Irak. Les premiers n’ont reçu aucun soutien contrairement aux seconds, présentés (à juste titre) comme de pauvres persécutés quand les premiers sont censées être des suppôts du régime. Les chrétiens ne peuvent plus constituer un levier diplomatique de l’Occident dans ces régions, surtout avec des présupposés faux, comme la mise en balance des musulmans en Europe et des chrétiens en terre musulmane, accréditant ainsi l’idée de chrétiens qui seraient une greffe ou un élément exogène, alors que leur histoire millénaire démontre le contraire."

    Michel Janva

  • Des piétons fauchés à Dijon par un automobiliste criant « Allah Akbar »

    Et ça continue… Après Joué-lès-Tours voici Dijon ! La dernière vidéo des barbus de l’EI appelant les musulmans de France à faire « exploser la tête de ces Kouffars » semble avoir provoquée l’effet escompté.

    Lu sur Le Figaro : « Selon une source policière, trois hommes dans une voiture ont renversé une dizaine de piétons en fin de journée à Dijon en hurlant «Allah Akbar». L’agression a eu lieu à quelques centaines de mètres de la Place Wilson. Il y aurait onze blessés dont deux grave. Selon la police, les hommes visaient des membres des forces de l’ordre, le commissariat étant proche. »

    Le Dauphiné donne plus de détails :

    22h14 : L’homme a foncé à cinq endroits différents sur des passants. «Neuf personnes ont été légèrement blessées et deux autres sérieusement mais leur pronostic vital ne semble pas engagé», a expliqué une source policière.
    Selon les témoignages recueillis par la police, «l’homme a crié +Allahou Akbar+ et a dit avoir agi pour les enfants de Palestine», a ajouté une source proche de l’enquête.

    22 heures : l’automobiliste est probablement un déséquilibré. «L’homme, né en 1974, présente le profil d’un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré un source policière cette source, indiquant que «pour l’heure ses revendications semblent encore floues».

    21h29 : Quatre piétons auraient été percutés par un véhicule dans un premier accident en plein centre ville de Dijon relate le site le Bien Public.com avant que sept autres personnes ne soient renversées quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues rue des Godrans, rue Monge et rue du Transvaal. Le conducteur s’est enfui après l’accident avant d’être interpellé par les forces de l’ordre et conduit place Suquet. En revanche, deux autres personnes se trouvaient dans le véhicule et sont actuellement recherchées.

    Deux des victimes sont grièvement blessés tandis que les autres sont blessées plus légèrement.

    Le préfet de Côte-d’Or, Eric Delzant, est sur place. La préfecture indique que les collisions sont « volontaires ».

    Selon une source policière, un homme en djellaba accompagné de deux autres personnes était au volant et aurait percuté les passants en hurlant « »Allah Akbar »». Le conducteur a été interpellé par la police révèle Le Figaro.fr. Selon la police, les hommes visaient des membres des forces de l’ordre, le commissariat étant proche.

    http://www.contre-info.com/

  • Bilâl Nzohabonayo, l’islamiste qui a voulu tuer trois policiers à Joué-lès-Tours

    Bertrand Nzohabonayo, un converti à l’islam sous le nom de Bilâl Nzohabonayo, a attaqué samedi des policiers en plein commissariat de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire). Il a tenté de tuer ses cibles en criant “Allahou Akbar”.

    Les autorités ne veulent pas faire le lien entre cette tentative de meurtre et les appels récurrents lancés via YouTube depuis la Syrie et l’Irak par les djihadistes de l’État islamique. Même si le drapeau de cette organisation sert justement de photo de profil sur le compte Facebook de Bilâl Nzohabonayo…

    Selon une source proche de l’enquête, l’attentat d’hier « ressemble au mode d’action préconisé par le groupe État islamique », qui mène le jihad en Syrie et en Irak, « de s’en prendre ainsi aux forces de l’ordre ». Sur une vidéo de propagande de l’EI diffusée cette semaine, l’on voit des djihadistes inciter les musulmans de France à imiter Mohamed Merah : “Si tu n’arrives pas à te procurer un pistolet, il y a des pierres, des couteaux…”.

    Toutefois, nous allons probablement avoir droit à la version de l’acte isolé mené par un déséquilibré… L’islam doir rester une chance pour la France. Donc, un seul mot d’ordre : surtout pas d’amalgames !…

    http://fr.novopress.info/180197/bilal-nzohabonayo-lislamiste-voulu-tuer-trois-policiers-joue-les-tours/

  • Le remplacement est d’abord culturel

    Zemmour, Camus ou Le Gallou le répètent à l'envi : la pire attaque contre notre civilisation est dans la langue qui s'appauvrit.

     

    De Lunel, petite ville de l’Hérault, une bonne dizaine de musulmans sont partis rejoindre les rangs de l’État islamique. Six n’en reviendront pas. 

    La Dépêche du Midi (Jean-Michel Baylet, radical de gauche) titre sur ces « jeunes tués en faisant le djihad ». En 2014, « on part faire le djihad » contre Bachar el-Assad, comme on s’engageait dans les Brigades internationales contre Franco en 1936. 

    Les édiles socialistes locaux appelèrent les musulmans à condamner ces départs, sans en chercher les causes. Lahoucine Goumri, président de l’association qui gère la mosquée, leur répondit, non sans malice, que « la première filière djihadiste, c’est Francois Hollande ».

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  • [Tribune] Zemmour et le délit de non-dit : le début de la fin – par Ulysse

    Mardi 16 décembre 2014, Bernard Cazeneuve prend publiquement position pour condamner des propos attribués calomnieusement à Éric Zemmour (en l’occurrence l’usage du terme de « déportation » qu’il n’a jamais prononcé). Vendredi 19 décembre 2014, I-Télé, une chaîne d’informations privée met fin à son contrat avec le journaliste.

     

    La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie.

     

    Littéralement, et sans avoir besoin de souscrire à aucune théorie conspirationniste, c’est donc le pouvoir exécutif qui, en pleine lumière -comme un tyran tellement sûr de sa force qu’il ne prend même plus la peine de dissimuler ses entorses à un droit qu’il prétend par ailleurs toujours respecter-, a fait pression sur un organisme privé pour qu’il débarque l’un de ses salariés, au motif que ses propos contreviendraient à l’idéologie dominante. Taubira avait déjà inventé le crime contrefactuel (vous auriez pu être nazi, donc vous êtes potentiellement nazi, donc vous êtes nazi), voilà que Cazeneuve invente le délit de non-dit : vous n’avez pas employé le terme de « déportation », mais vous le pensiez très fort, et ceci tombe sous le coup de la loi et de la justice (qui en l’occurrence ne s’est pas prononcée). La gauche cléricale, qui sonde les reins et les cœurs, pénètre en force le mystère des intentions de l’âme a, une nouvelle fois, promulgué son jugement en sorcellerie. Vous vous excusez ? Vous vous accusez. Vous ne vous excusez pas ? Vous vous accusez quand même. Vous n’avez rien dit ? Oui, mais vous avez pensé. Vous avez seulement pensé ? Oui, mais certaines pensées sont pires que des armes chimiques Monsieur, d’ailleurs si vous n’en avez pas, nous allons vous en trouver… La pénalisation du jugement, la criminalisation des intentions, c’est maintenant.

    L’évidence aveugle celui qui n’est pas assez pur pour la recevoir, comme le sens littéral finit parfois par échapper à ceux qui se perdent dans de sophistiques considérations sur les sens figurés. Car enfin, que dit Éric Zemmour qui soit si dérangeant ? Si scandaleux ? Si dur à entendre qu’il faille l’interdire à défaut de pouvoir le contredire ? Il aligne, avec plus ou moins de bonheur, (mais toujours beaucoup de courage en des temps rendus sourds à la littéralité du sens), des évidences. Quelles sont-elles ?

    1-Un peuple ne peut pas supporter sans finir par connaître une crise majeure et potentiellement meurtrière l’immigration massive de peuples aux coutumes qui lui sont radicalement étrangères, et ce, sans préjuger aucunement de la valeur des unes comme des autres. Zemmour réintroduit donc un paramètre quantitatif, (jamais indifférent au problème de la mesure), dans un champ politique qui prétend s’en affranchir au nom d’un humanisme abstrait pour lequel 1 ou bien 1 million, cela revient au même…

     

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