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  • Mais enfin ces valeurs de la République rabachées par nos gouvernants, c’est quoi ?

    S’il y a en France un mot utilisé en toute circonstance et dans tous les discours c’est bien celui de valeurs : celles de l’islam, de la laïcité, de la gauche, de la droite, du football, de la pétanque, etc., etc. C’est un mot-clef type répété et ressassé ad nauseam par tous, sans plus de précision.

    Manuel Carlos Valls Galfetti, préposé à Matignon sous le nom de Manuel Valls, est un fervent usager de ce concept vague. Après les attentats récents il a annoncé, le 22 janvier, de nouvelles mesures pour mettre la laïcité et la transmission des valeurs républicaines au cœur de la mobilisation de l’école.

    Comme le dit 24heuresactu.com : « Chaque semaine Manuel Valls joue à l’Assemblée nationale sa pièce favorite : “Les valeurs de la République”. Avec dans le rôle principal : Manuel Valls. Dialogue et adaptation de Manuel Valls. Tremblottes et postillons de Manuel Valls. Production : l’impôt des Français. »

    C’est ainsi que, le 10 mars dernier, cet énergumène (Personne exaltée qui parle, gesticule avec véhémence, excitée, selon le dictionnaire Larousse) s’en est pris avec la violence verbale d’un forcené à Marion Maréchal Le Pen à qui il a promis de stigmatiser le FN et d’affirmer à nouveau les valeurs de la République. Cependant, une fois de plus, il a omis de préciser ce que sont celles-ci.

    Pour La-Croix.com, le 22 janvier 2015, « Le débat national devrait éclairer ce que sont ces “valeurs de la République” (liberté, égalité, fraternité), cette laïcité, cet enseignement moral et civique que les professeurs devront proposer à leurs élèves. »

    Face à la vacuité du discours de nos dirigeants, à leur comportement, et à leurs actes, il importe de dénoncer ce que recouvre aujourd’hui dans notre pays ce concept qu’ils emploient à tout bout de champ. Il faudrait un livre. Bornons-nous dans le cadre de cet article à l’essentiel et à ce qui blesse le plus.

    Leçons de morale républicaine, tricherie, corruption et mépris du peuple.

    Pour ce qui concerne la vie politique intérieure, ce qui est le plus grave du point de vue de la démocratie – autre mot-clef martelé sans cesse – est le mépris puis la limitation et bientôt le refus du suffrage universel. L’exemple le plus flagrant est celui de la Constitution européenne refusée par le peuple français à une large majorité et qui lui a été refourguée avec cynisme par un chef d’Etat vassalisé grâce à un vote presque unanime du Parlement.

    Le PS et les autres partis de gauche ont réuni environ un tiers des suffrages exprimés au premier tour de l’élection de 2012. Ils étaient donc loin de réunir ne serait-ce que la majorité de l’opinion française. C’est la raison pour laquelle la victoire de Hollande au second tour à une courte majorité, si elle lui donnait à l’évidence le droit de gouverner, ne lui donnait pas la légitimité d’imposer des bouleversements de la société et de la famille française au nom d’un programme idéologique qui n’a rien à voir avec l’intérêt national qui constitue la dernière de ses préoccupations. C’est encore plus vrai aujourd’hui, au vu de la confiance que lui accorde l’opinion.

    Que Hollande ait été élu grâce au vote musulman constitue un fait reconnu. Malgré le rejet aussi bien de sa politique que de sa personne, il entend bien le renouveler grâce à une grande complaisance à l’égard des musulmans et de l’immigration et des naturalisations massives au mépris de la population des Français de souche.

    Le tripatouillage par Valls, le héraut des valeurs républicaines, de la structure des cantons et du mode électoral départemental n’a eu pour objet que d’assurer de bons résultats à son parti. Il en résulte un sérieux désordre institutionnel et une aggravation des finances publiques territoriales. Cette manipulation du suffrage universel est inscrite dans les gènes de la gauche et les exemples historiques sont nombreux.

    La gauche s’est toujours posée en donneuse de leçons de morale. La famille socialiste fournit pourtant un nombre impressionnant de voyous et de corrompus. Citons quelques cas : J.C. Cambadélis pour recel d’abus de confiance, J.M. Ayrault pour délit de favoritisme, H. Désir pour recel d’abus de biens sociaux, J.P. Huchon pour prise illégale d’intérêts dans des marchés publics, R. Navarro, sénateur de l’Hérault, pour abus de confiance. Nous connaissons la situation délictuelle des socialistes dans le Pas-de-Calais, département où les socialistes ont volé les pauvres qu’ils prétendent défendre, et dans les Bouches-du-Rhône, à la suite des révélations médiatiques de G. Dalongeville, ancien maire d’Hénin-Beaumont, lui-même condamné, les dirigeants de ces départements ayant bénéficié d’une grande indulgence de la part du secrétaire général du PS de l’époque. Rappelons que, sans l’affaire du Sofitel, ce serait DSK qui serait aujourd’hui à l’Elysée.

    En face on n’est pas de reste, A. Juppé étant un excellent exemple. C’est Pierre Bédier qui a notre faveur : condamné en 2008 à 18 mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité pour corruption passive et abus de biens sociaux, il est redevenu le président UMP du Conseil général des Yvelines en 2013 et sera probablement réélu aux élections départementales de mars 2015.

    Le suffrage universel ne doit pas être une valeur républicaine au vu de la condamnation de Sylvie Andrieux, député des Bouches-du-Rhône qui achetait des voix dans les banlieues de Marseille grâce à des subventions financées par l’argent public et versées à des associations communautaires fictives. Cette pratique est en réalité fréquente. Sur I-Télé, Razzi Hammadi, député de Seine-Saint-Denis et ancien président du Mouvement des jeunes socialistes, a dénoncé les « lâchetés » des élus locaux face à la montée du communautarisme, avant d’avouer que « certains (élus locaux) ont négocié les mosquées contre des voix ».

    La France est peu ou mal gouvernée et suradministrée. Communes, communautés de communes et d’agglomérations, cantons, arrondissements, départements et régions s’entassent les uns sur les autres et pèsent lourdement sur les finances publiques par la multiplication des recrutements de personnels, leur absentéisme et le nombre des élus que la parité des conseillers départementaux ne fait qu’accroître. En fait, les collectivités territoriales sont les mamelles nourricières d’un monde politique parasite, notamment de gauche, et de son clientélisme.

    Enfin, les revenus, retraites et privilèges des élus nationaux pèsent lourd. Il y a en France 577 députés et 348 sénateurs, sans parler des sinécures du Conseil économique et social. Par comparaison, aux USA on compte 435 représentants et seulement 100 sénateurs pour une population cinq fois plus élevée. A titre d’exemple, ce 19 mars, à l’unanimité du Parlement les parlementaires se sont octroyé un privilège supplémentaire : celui-ci permet de doubler l’indemnité dite de « fin de mandat » que perçoit un élu battu à sa propre réélection, pendant six mois après avoir quitté son poste. Le rapporteur du texte est un député PS prévoyant.

    L’avènement de Big Brother.

    Les valeurs républicaines déboucheront-elles un jour sur une tyrannie républicaine, en fait une tyrannie des forces de gauche ? Ce n’est peut-être pas encore le cas mais nous en prenons le chemin. N’oublions pas que le pouvoir actuel n’est pas celui d’une social-démocratie classique et respectueuse des opinions et de l’opposition. C’est celui d’une extrême gauche fanatisée fortement présente au sein du PS et d’écologistes rouge vif qui pèsent par leur chantage permanent sur Hollande et son gouvernement.

    Le système est très organisé. Les lois mémorielles scélérates sont destinées à museler les opinions sur les grands sujets sociétaux. Les médias de propagande, vigilants, dénoncent et organisent la traque en cas de propos jugés condamnables. Des associations, faibles en nombre mais fortes en subventions publiques, se portent parties civiles. La justice, partiale et politisée, condamne sans faiblir comme dans le cas d’un grand hebdomadaire : Valeurs actuelles. Bientôt les condamnations seront pénales.

    D’ailleurs, la politisation de la justice constitue visiblement une valeur de la République. Rappelons-nous le Mur des cons du Syndicat de la magistrature qui arborait d’une manière abjecte le visage du général Schmitt, père d’une malheureuse jeune femme massacrée dans un train de banlieue par une chance de la France.

    En réalité, comme l’a si bien montré Laurent Obertone, c’est une société et un système politique du type Big Brother que les tenants de ces valeurs républicaines mettent en place.

    La porte ouverte à l’immigration à l’insu des Français.

    D’eux-mêmes les gouvernants républicains ont ouvert les portes à la submersion de la France par l’immigration du tiers-monde. Depuis plus de dix ans c’est l’équivalent d’une ville comme Rennes qui entre chaque année dans notre pays. A terme ce sera mécaniquement le Grand Remplacement du peuple français et sa disparition.

    Jamais, sur une question aussi existentielle pour une des plus grandes cultures de l’histoire humaine, ils n’ont demandé aux Français leur avis par référendum. Ils savent trop bien quelle serait la réponse et ces grands démocrates préfèrent l’éviter.

    Il en va de même de l’insécurité qui, parfois, pourrait prendre la forme d’une guérilla. Laurent Obertone l’a exposée avec talent dans France Orange mécanique, nous n’y reviendrons pas. Un seul exemple cependant : il y aurait 300 viols par jour en France. 300 !! Et cela n’émeut ni le ministère de la Justice ni les associations féministes.

    Que font les tenants des valeurs républicaines ? Ils mettent en place des lois laxistes qui encouragent les criminels et abaissent et humilient encore plus les victimes. Face aux crimes, ils regardent ailleurs et se défilent en racontant des fariboles. Dans certains cas d’assassinats commis par des allogènes, musulmans ou non, ils affirment d’emblée que les criminels sont des blonds aux yeux bleus même s’ils portaient un casque de moto. Il arrive même que les médias les rebaptisent avec des noms chrétiens.

    Vers la préférence étrangère et la disparition du peuple français.

    A plusieurs reprises nous avons entendu la gauche réfuter le principe de la préférence nationale comme étant contraire aux fameuses valeurs républicaines. En fait c’est la préférence étrangère qui, à leurs yeux, en fait partie, au mépris et au détriment de notre peuple et des Français de souche. Au plan concret c’est le cas de l’ASPA (Allocation de solidarité aux personnes âgées, ex minimum vieillesse) dont bénéficient des milliers d’étrangers sans avoir cotisé ou de l’Aide médicale d’Etat (AME) qui permet aux clandestins d’être soignés dans notre pays.

    Malika Sorel a décrypté la feuille de route du gouvernement Ayrault pour lutter contre les discriminations à l’occasion d’un entretien avec leFigaro.fr le 6 février 2014 :

    « Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. Cela se lit très bien au travers de plusieurs mesures comme, entre autres, la mesure 29 : “Cette démarche conduira le gouvernement à promouvoir l’obtention du Label Diversité par l’ensemble des administrations publiques (…). A retenir en particulier : la mise en place de classes préparatoires intégrées, la formation des membres de jury de concours sur les stéréotypes, le développement des recrutements hors concours (…)”. De nombreuses mesures sont destinées à donner la préférence aux personnes d’origine extra-européenne. Ce qui se traduira mécaniquement par le fait que des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français. »

    En réalité, il s’agit d’en finir avec le modèle républicain d’intégration et de faire table rase de l’identité française au profit d’un communautarisme qui est très exactement le contraire du principe deux fois séculaire de la République une et indivisible. C’est particulièrement patent dans le cas de la religion. Que devient le principe fondamental de laïcité quand les collectivités locales – Bordeaux, Marseille – financent la construction de mosquées ? Ce principe n’est devenu qu’un prétexte pour faire disparaître la religion catholique et la civilisation chrétienne de notre pays.

    La gabegie, l’autodestruction de l’Etat providence et la ruine des Français.

    Depuis près de quarante ans, la gouvernance républicaine, de gauche comme de droite, se confond avec une sur-fiscalisation des personnes comme des entreprises, des déficits abyssaux des finances publiques et de la balance des paiements et une montée angoissante de la dette. La gabegie est générale, particulièrement dans les collectivités territoriales. La fraude sociale, estimée par le rapport Tian à 20 milliards €, est évaluée par un magistrat spécialisé, Charles Prats, à plus de 50 milliards € par an.

    Sous couvert des grands principes de l’Etat providence que les tenants des valeurs républicaines bafouent et au bout du compte détruisent, la France régresse dans le classement des économies nationales et est tiersmondisée aux plans économique, industriel et financier. L’appauvrissement, qui trop souvent devient clochardisation, s’étend à une partie de plus en plus importante de la population française. Depuis de nombreuses années et de plus en plus, nos grandes industries appartiennent au capitalisme étranger et financent les retraites américaines.

    La double vassalisation de la nation française avant sa disparition.

    Au plan international, en près de 20 ans, notre pays, autrefois si soucieux de sa souveraineté et de son indépendance nationales, est devenu le vassal d’un vassal. Les clefs de l’Europe ont été laissées à l’Allemagne qui en est devenue le maître et à qui les ministres républicains vont, la corde au cou, demander un délai supplémentaire pour réduire des déficits auxquels ils sont et seront incapables de remédier. Parmi les valeurs républicaines de nos gouvernants figure l’humiliation.

    Mais l’Allemagne, elle-même, est à la botte du grand suzerain, les Etats-Unis, qui dominent Bruxelles, imposent leurs directives de politique internationale comme les sanctions contre la Russie, exigent notre participation à leurs guerres et s’emploient à organiser une grande fusion des économies occidentales au travers d’un Traité transatlantique qui menace en fait les fondements de notre culture.

    Ce à quoi tendent les tenants des valeurs républicaines comme Hollande et Valls, c’est à la dissolution de la France, ou de nos provinces, dans un grand magma atlantique sous l’autorité de Washington et de la FED. C’est ce que veut dire le concept de politique de peuplement qu’a osé proférer Valls dans l’indifférence bienveillante de la fausse droite. Au fond, la disparition de la France leur semble constituer un progrès. A côté d’eux et de leurs comparses, Pierre Laval ferait figure de patriote intègre.

    De quel droit donnent-ils des leçons aux Français sur la République et sur leur pays ?

    Le préposé à Matignon a, le 22 mars, adjuré la « droite » de ne pas commettre de faute morale et politique, histoire de ne pas perdre trop de sièges de conseillers départementaux. Mais de quel droit donne-t-il des leçons de morale politique ? Qui est-il pour le faire ?

    Il n’a pas une minute de travail productif à se reprocher : maire d’Evry, il a laissé une situation financière difficile, malgré une nette augmentation de la pression fiscale qui est devenue l’une des plus élevées de France pour une ville de cette importance. Enfin, il est loin d’avoir observé la vérité lorsqu’il se présentait comme un pauvre immigré méritant, fils d’opposants au franquisme.

    Surtout, il ne se rend pas compte du caractère grotesque de son comportement de donneur intraitable de leçons aux Français de souche sur la France, la République et la démocratie alors qu’il a été naturalisé français de fraîche date comme Sergio Coronado, Esther Benbassa, Najat Vallaud-Belkacem ou Eduardo Rihan Cypel.

    En définitive.

    A peu près tous les Français admettent les principes fondamentaux de la République qui se confondent dans leur esprit avec la France et y sont attachés : liberté, égalité des droits, respect de la constitution, existence d’un Parlement, responsabilité du gouvernement devant celui-ci, etc. Il est à craindre que l’escroquerie politique que constitue le dévoiement du concept de valeurs républicaines n’amène nombre de citoyens français à se dégoûter de la vraie République et à s’éloigner de celle-ci. L’abstention est déjà un signe fort. Rappelons également les résultats de la 5e édition de l’enquête annuelle intitulée « Baromètre de la confiance politique » dont l’intégralité a été publiée par Valeurs actuelles :

    –75% des Français ne font plus confiance à l’Etat ni à la République ;

    –50% ne croient plus à la démocratie et souhaitent avoir à la tête du pays un homme fort qui n’ait pas à se préoccuper du Parlement et des élections.

    Jean Raspail a écrit que la patrie était trahie par la République. Celle-ci n’est qu’un régime politique et institutionnel. Que les escrocs des « valeurs républicaines » y prennent garde afin d’éviter que ce régime ne soit sacrifié pour sauver les valeurs de notre vraie mère qui est la France, notre patrie.

    André Posokhow, Consultant pour Polémia, 29/03/2015

    http://www.polemia.com/mais-enfin-ces-valeurs-de-la-republique-rabachees-par-nos-gouvernants-cest-quoi/

  • Nigel Farage dénonce l’immigration qui change le visage de la Grande-Bretagne

    En campagne pour les élections législatives du 7 mai, le leader du parti Ukip, Nigel Farage, a pris la parole à Douvres, où des immigrants débarquent en nombre depuis la France.

    Prenant la parole au pied des falaises blanches de Douvres, Nigel Farage en a profité pour dévoiler l’affiche d’une nouvelle campagne sur laquelle il est possible de voir trois escalators plaqués sur ces fameuses falaises avec le slogan “l’immigration est trois fois plus importante que ce que les Tories avaient promis“.

    Pour lui, l’immigration a rendu la Grande-Bretagne méconnaissable. Il est ainsi parfois difficile de reconnaître certaines villes et villages qui ne sont plus les mêmes qu’il y a 10 ou 15 ans.

    Nigel Farage affirmer aussi que l’immigration est la préoccupation numéro un de l’électorat.

    Nous faisons de l’immigration le centre de notre campagne, en lien avec notre appartenance à l’Union Européenne.

    http://fr.novopress.info/

  • Des « artistes et intellectuels français non-blancs » exigent des assises culturelles

    Toujours dans une même rhétorique empreinte d’ordres (il faut, l’État doit, nous exigeons, il y a urgence à), les desiderata dits antiracistes chantent leur ritournelle aux accents d’harcèlement d’un ton, de plus en plus, revendicatif.

    C’est, cette fois, des « artistes et intellectuels descendants de colonisés et d’esclaves » qui disent au gouvernement par journal interposé : « Il faut convoquer des assises culturelles pour encourager les diversités en France. »

    Ils se qualifient également comme artistes et intellectuels français non-blancs. La saugrenuité de la situation est que parmi les signataires se trouve Rokhaya Diallo. Cette dernière s’était montrée indignée parce qu’Éric Zemmour lui avait dit : vous appartenez à la race noire, j’appartiens à la race blanche.

    « L’uniformité ethnique du paysage culturel français est au cœur des préoccupations de la ministre de la culture, nous révèlent-ils. Sur 15 centres chorégraphiques nationaux, quatre sont dirigés ou codirigés par des non-blancs. Mais sur les 35 centres dramatiques nationaux, aucun(e) directeur(trice) n’est noir(e), arabe ou asiatique. Les deux scènes nationales de Guadeloupe et de la Martinique, habités majoritairement par des Noirs, sont dirigées par des artistes africains, démontrant comiquement le racisme du pays. A ceci les directeurs de théâtres et centre dramatiques nationaux (blancs) répondent par des préparations aux grandes écoles de théâtre en direction des diversités ».

    Voici donc des statistiques ethniques qui sont pratiquées en toute illégalité et qui provoqueraient un tollé déchirant s’ils étaient pratiqués par des « artistes et intellectuels français non-noirs ».

    C’est aussi l’occasion d’en demander plus, toujours plus au nom de son origine étrangère :

    Qui mieux que nous qui travaillons depuis des années sur notre histoire peut contribuer à aider le pays à renouer avec des histoires dont elle s’est mutilée ? Nous qui connaissons le récit du chasseur et celui du lion ? Nous qui sommes conscients que la richesse de notre pays – et par là nos acquis sociaux – est le bénéfice des douleurs infligées à nos ascendants. C’est nous que les institutions doivent envoyer sur le terrain. Nous devons être nommés à la direction des structures situées sur les territoires où vivent les classes populaires. Nous devons être artistes associés des scènes, théâtres, centres chorégraphiques nationaux. Nous refusons de continuer à être le public impuissant d’événements censés nous célébrer dans lesquels nous ne sommes pas conviés à nous exprimer. Il faut des assises culturelles où nous puissions proposer.

    http://fr.novopress.info/184951/des-artistes-et-intellectuels-francais-non-blancs-exigent-des-assises-culturelles/

  • Sondage – Islamisation : les Français disent non !

    Dans un article paru en kiosque et dont un extrait se trouve sur la toile, le journal «Valeurs Actuelles » nous fait part du résultat d’un sondage qu’il a commandé à l’ifop.

    sondage-voile

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    C’est un questionnaire en trois points concernant la place de l’islam en France. Et le résultat est sans appel : les Français de gauche comme de droite disent non à l’islamisation de leur pays.

    - 72 % des Français sont « favorables à l’interdiction du port du foulard islamique dans les salles de cours des universités. »

    - 68 % sont « contre le port de ce signe ostentatoire lors des sorties scolaires. »

    - 55 % sont « pour la suppression des plats de substitution halal dans les cantines scolaires. »

    La révélation majeure de ce sondage est l’élargissement, au sein de la population, d’une opinion défavorable aux intrusions islamiques dans la vie publique.

     

  • Dialogue islamo-chrétien : un marché de dupes

    Marie-Thérèse Urvoy est professeur d’islamologie, d’histoire médiévale arabe et de langue arabe classique à l’Institut catholique de Toulouse et Bordeaux 3-Montaigne. Elle dirige l’équipe de recherche CISA (Christianismes, islams et sociétés arabes) ainsi que la collection « Studia Arabica » aux Éditions de Paris. Dans L’Homme Nouveau du 14 mars, elle déclare : 

    Logo

    "[...] Le déni de soi est devenu un réflexe valorisant : il faut aimer l’autre, qui est prioritairement le musulman, ce réprouvé autoproclamé, au prix d’une détestation assumée de soi, sans aucune résistance à la figure imposée. La charité chrétienne devenue de l’humanitarisme, et l’amour du prochain mué en droits de l’homme, des ecclésiastiques et des politiques accourent soutenir imams et islamistes dits modérés, devenus de ce fait plus arrogants et vindicatifs. [...]

    L’islam modéré, prôné par certains, est-il concevable ?

    Oui, un islam modéré est concevable : mais il est le fait de l’individu musulman, jamais de la collectivité. Seul, et sans la pression de sa communauté, le croyant peut vivre sa religion en la ramenant à la sphère privée et à la pratique intérieure personnelle, sans re- vendication communautariste ni marqueurs sociétaux. D’ailleurs son assimilation se trouve facilitée dans la société civile et laïque de notre pays. Mais la communauté comme telle ne peut que tendre à exercer les droits et les obligations qu’elle doit faire prévaloir partout où elle se trouve (Cor. 9/33).

    Comment penser aujourd’hui un dialogue entre islam et Église catholique ?

    À un niveau institutionnel le dialogue est un marché de dupes, irréalisable en vérité. Voyez, par exemple, l’appel conjoint du Service pour les relations avec l’islam (SRI) et de l’Œuvre d’Orientà propos du calvaire des chrétiens d’Orient : il révèle très malheureusement que le souci majeur de ces professionnels du dialogue n’est pas de sauver les chrétiens, mais de sauver le dialogue, cela au prix de mensonges (lignes 5-7 de l’appel), de menaces (lignes 12- 13) et de flagorneries (lignes 3-4 et 8-10). Si nous devons reconnaître que le martyre des musulmans anti-Daech les honore, il ne saurait être un argument dialoguiste. En outre, ce texte ne tient aucun compte des mises en garde des autorités religieuses locales.

    Au niveau individuel, il est plus que pensable, il est un devoir pour le chrétien qui, par son baptême et par sa foi en un Dieu trine, intrinsèquement dialogue, est prédisposé à épan- cher le dialogue qui brûle en lui. Mais cela doit concerner tous les enfants de Dieu sans privi- lège spécial pour les musulmans.

    Quelles actions sont nécessaires désormais face à cet islam ?

    Bien que ce soit tard, la fermeté et la détermination doivent être totales. Musulmans, chrétiens, juifs et sans religion doivent respecter la loi de la nation d’accueil. La religion ne donne aucun droit de conquête."

    Michel Janva

  • Italie : Des enfants handicapés expulsés pour loger des clandestins nigérians

    Une fois n’est pas coutume, c’est un curé qui se met à dénoncer le débarquement sans fin des « réfugiés » et à expliquer que les gens n’en peuvent plus. Le curé de San Dalmazio, à Lavagnola, dans la ville de Savone en Ligurie, l’abbé Giovanni Lupino, était, il y a peu encore, un chaud partisan de « l’accueil ». Il se faisait gloired’avoir recruté pour son église un sacristain musulman, Abdel Majid, avec lequel il avait organisé « un tournoi de foot du cœur », entre immigrés tunisiens de Lampedusa et autochtones, « pour faire comprendre que Lavagnola était prête à accueillir les amis étrangers ».

    L’abbé Lupino a pourtant écrit au préfet, il y a quinze jours, pour se plaindre de la situation insupportable faite à sa paroisse, « qui a dû accueillir, de force, deux couples de Nigérians ». N’ayant reçu aucune réponse, il a transmis sa lettre à Il Secolo XIX, le grand quotidien régional, qui en publie les principaux passages.

    Les « réfugiés » avaient été confiés à la coopérative « Il Faggio », une des nombreuses organisations dites « charitables » qui se partagent le juteux business de « l’accueil » en Italie – on a pu parler à ce propos d’ « un véritable marché de la chair humaine ». Cette coopérative a passé une convention avec la préfecture de Savone, aux termes de laquelle elle loge les « réfugiés » et leur assure « des services spécifiques pour l’intégration, dont le soutien socio-psychologique, l’assistance linguistique et culturelle, l’assistance sanitaire, les services d’information légale et d’orientation sur le territoire ». 14 « médiateurs interculturels » sont salariés pour cela.

    La coopérative « Il Faggio » était censée loger les Nigérians dans un de ses centres d’accueil de la province, à Cairo Montenotte. Mais le maire (de gauche) « a refusé d’accueillir de nouveaux immigrés, en raison de la présence déjà massive d’étrangers, envoyés par la préfecture lors des différents débarquements » sur les côtes italiennes. Les Nigérians ont donc été installés « provisoirement » au presbytère de San Dalmazio, dans un logement prévu pour les mineurs handicapés. Comme il était à prévoir, ce provisoire est en passe de devenir permanent, d’autant plus que les femmes nigérianes sont toutes les deux enceintes – c’est leur manière habituelle de prendre possession d’un territoire.

     

    « Je dois déclarer à présent, écrit le curé furieux, que les paroissiens de San Dalmazio sont généreux mais qu’ils ne sont pas des idiots, et qu’ils n’ont pas l’intention de continuer à entretenir gratuitement des étrangers qui, pour d’autres (la coopérative « Il Faggio », note d’Il Secolo XIX) sont une affaire ».

    À Il Secolo XIX, il précise : « J’ai restructuré les locaux du presbytère, pour créer un communauté d’accueil dans la journée pour des mineurs handicapés : tout est aux normes, tout est parfait. Je veux bien repousser l’ouverture s’il y a une urgence, mais ça ne peut pas dépasser deux mois. Et il n’est pas juste que ce soit la communauté de Lavagnola qui supporte les dépenses des réfugiés qui rapportent des sous à d’autres ».

    L’abbé Lupino pourrait peut-être écrire au pape François ?

    http://fr.novopress.info/184745/italie-enfants-handicapes-expulses-loger-clandestins-nigerians/#more-184745

  • Attentats de Tunis : la Bête progresse

    Guillaume Faye, sur son blog, analyse la "progression de la bête" islamiste. Partant de l'attentat de Tunis la semaine dernière, il élargit son analyse à la présence djihadiste en France :

    [...]"Complètement aveuglés, nos dirigeants parlent de ”terrorisme”, sans oser nommer ou comprendre ce qu’il y a derrière : une stratégie de conquête et d’instauration de la chariatotalitaire islamique. 3.000 combattants musulmans venus des rangs des immigrés en Europe sont partis rejoindre Daech. 600 sont déjà revenus (il y a un sinistre ”turn over”) et vivent comme des poissons dans l’eau ici même, dans un milieu qui épouse leur cause, les protège et leur sert de logistique et de base de recrutement.

    Dans une note confidentielle, le Service central de renseignement territorial (SCRT) observe un« repli communautaire plus marqué depuis les attaques contre Charlie Hebdo et l’HyperCacher  ».[...]

    Donc les attentats de janvier 2015 ont encore accru l’hostilité envers la France et l’attachement au djihad.On mesure la naïveté sidérante des manifestations ”Je suis Charlie”. Les jeunes musulmans y ont d’ailleurs très peu participé, beaucoup approuvant les attentats.Le SCRT a noté « une faible représentation de la communauté musulmane à Marseille » à ces manifestations. Ils ont moins manifesté que les musulmans à Tunis, après l’attaque du musée !Preuve que la radicalisation des musulmans issus de l’immigration en France (notamment les jeunes), comme en Belgique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni est plus forte que celle des musulmans de Tunisie ![...]

    Sans mâcher ses mots,Yves de Kerdrel écrit :« Notre démocratie, baignée d’angélisme et gangrénée par des élites qui préfèrent le multiculturalisme à la nation, a bien du mal à s’adapter à cette guerre de religion ». Puis il ose cette comparaison :«  Les jeunes filles qui vont à l’université coiffées d’un voile le font pour revendiquer une identité. Elles le font par soumission aux règles des cités où elles résident et aux lois des ”grands frères ” qui y sèment la terreur. Ce n’est pas seulement un refus d’intégration, c’est une forme de racisme anti-français. Et toutes proportions gardées, il n’y a pas de différence entre ce gamin de 12 ans qui part de son collège à Toulouse pour mener des exécutions de sang-froid et ces jeunes filles qui revendiquent le port du voile à l’université avec l’encouragement de professeurs aveuglés par le démon du multiculturalisme ». (Valeurs Actuelles, 19-25/03/2015).[...]

    Le 10 mars, une vidéo diffusée par EI/ Daech sur Internet montrait en effet un garçon de 12 ans en djellaba qui abattait puis achevait au pistolet un Arabe israélien soupçonné d’être un agent du Mossad, au cri de« Allah Akbar ! »Il s’agit de Rayan, un jeune maghrébin de nationalité française, scolarisé à Toulouse et parti en Syrie.[...]

    Ces vidéos de propagande ne peuvent que se multiplier et inonder la Toile. Elles sont un puissant facteur de recrutement et de fanatisation, notamment en France. La technique psychologique utilisée contre les ennemis (dans le monde musulman et maintenant en France et en Europe) est celle de la sidération par la terreur, en vue d’obtenir la soumission, si possible sans combattre vraiment, par intimidation. Avec le binôme : attentats et grignotage démographique. [...]

    Dans deux ou trois ans, en France, en Belgique, en Allemagne, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas , en Espagne et dans d’autres pays de l’UE, on vivra peut-être au rythme d’un massacre par jour ou de plusieurs simultanés, alternant bombes, tueurs suicidaires, attaques au fusil d’assaut et à l’arme de guerre. Les forces de sécurité et de renseignement sont déjà débordées.[...]

    La guerre est chez nous et c’est là qu’il faut combattre et se défendre. Cette guerre larvée qui commence a déjà un coût, non seulement financier mais surtout psychologique. Cette stratégie de la tension plombe le moral de la nation, en diffusant un sentiment de méfiance, d’insécurité, de pessimisme.  Nous sommes en proie à une invasion par le bas, à une guerre d’un type nouveau, à la fois démographique, criminogène, ethno-culturelle et religieuse, et terroriste. Nous ne la gagnerons qu’en changeant radicalement de méthodes et de paradigme, c’est-à-dire en prenant le problème à  bras-le-corps, en s’attaquant à la cause centrale : l’immigration."

    Marie Bethanie  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'esclavage fait partie de l'islam et du djihad

    Roger Botte, anthropologue et chercheur à l'institut des mondes africains, publieun article très intéressant dans l'Histoire. Il vaut la peine d'être lu en intégralité. En voici des extraits :

    "Dans toutes les sociétés ayant l'islam en partage, l'esclavage bénéficiait d'une entière légitimité en tant que pratique sociale réglée par la charia. Son abolition imposée de l'extérieur, entre le XIXe et le XXe siècle [lire par les puissances coloniales,ndlr](...) non prévue dans le Coran, a été réalisée au prix d'astuces juridiques partout contestées. L'abolition n'a jamais pu cependant faire disparaître la loi religieuse. Aussi de nombreux pays musulmans restent-ils d'autant plus imprégnés par l'idéologie esclavagiste que les règles de droit touchant l'institution continuent d'être enseignées à l'école, à l'université, dans les prêches du vendredi, ou simplement connues à la lecture du Coran.

    C'est la raison pour laquelle l'esclavage perdure encore dans certains pays (...)

    Historiquement, dans le monde islamique, l'esclavage était une institution intrinsèquement liée au djihad à travers l'asservissement des prisonniers de guerre. Or, l'enlèvement de femmes pour les réduire en esclavage -hier par le GIA algérien, aujourd'hui par Boko Haram, par l'État islamique (Daech) ou par le groupe Abu Sayyaf aux Philippines- montre que dans l'imaginaire des mouvements djihadistes sunnites le lien djihad/esclavage n'a rien perdu de son caractère prescriptif. Dès 2003, un idéologue religieux très influent, le Saoudien Saleh al-Fawzan, édictait une fatwa sans équivoque: "L'esclavage fait partie de l'islam. L'esclavage fait encore partie du djihad, et le djihad durera aussi longtemps que l'islam."

    Le djihad donc, et par conséquent le rétablissement de l'esclavage sexuel, Daech en a théorisé le retour (...)  début décembre 2014, un "Bureau des recherches et des avis juridiques" a publié en arabe une brochure qui constitue une sorte de digest des bonnes pratiques concernant l'esclavage des femmes. Ce manuel, intitulé "Questions et réponses sur la capture et les esclaves", énonce en vingt-sept items le licite et l'illicite en matière d'assujettissement (...) Est-il permis d'avoir des rapports sexuels avec elles? Oui, répond le manuel qui cite les versets coraniques (23: 1-6) déclarant non blâmables pour un homme les rapports sexuels avec ses épouses ou ses esclaves (...) Le grand nombre de fillettes enlevées a nécessité la régulation des pratiques pédophiles. Ainsi, la question n° 13: "Est-il permis d'avoir des rapports avec une esclave qui n'a pas atteint la puberté? Réponse: Il est permis d'avoir des rapports sexuels avec une esclave non encore pubère si elle est capable de rapports; toutefois si elle n'est pas apte aux rapports sexuels, on se contentera d'en jouir sans rapports."

    En France, la loi du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance des traites et des esclavages comme crime contre l'humanité, dite loi Taubira, ne concerne que la "traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l'océan Indien d'une part, et l'esclavage d'autre part, perpétrés à partir du XV siècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l'océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes" (article 1er). Christiane Taubira qui cherche à culpabiliser la France en permanence n'avait pas voulu étendre sa scandaleuse loi à la traite arabo-négrière pour des raisons hallucinantes :

    "Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les jeunes Arabes ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes"

    Et là, faut-il éviter de condamner l'esclavagisme des nouveaux djihadistes pour ne pas de contrarier les nombreux candidats au djihad dont regorgent nos banlieues ? Pourquoi ne l'entendons-nous pas, elle qui manie si bien la langue française ?

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le gel de la construction de mosquées ? Un principe de précaution

    De cinq en 1965, de 913 en 1985, leur nombre, d'après Le Figaro du 20 février dernier, se porte à 2.502 en 2015.

    Marine Le Pen n’a jamais fait de « déclaration de guerre aux musulmans », n’en déplaise au ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. En revanche, elle annonce sans autre forme de procès vouloir mener un combat contre le « fondamentalisme islamique ».

    Et, réagissant à un rapport du sénateur UDI Hervé Maurey – lequel s’inquiète des insuffisances de la loi de 1905 face à la question du financement des lieux de culte par les collectivités locales dont il dénonce l’absence de transparence –, la présidente du Front national réclame purement et simplement le gel de la construction des mosquées.

    Il faut dire que de cinq en 1965, de 913 en 1985, leur nombre, d’après Le Figaro du 20 février dernier, se porte à 2.502 en 2015, gérées en association type 1901. Parmi elles, toujours selon Le Figaro, 89 sont déjà sous influence salafiste, et 41 autres sont aujourd’hui déstabilisées par ce que les experts appellent « les attaques salafistes ». 

    Mais pour Bernard Cazeneuve, « la radicalisation ne se fait que très marginalement dans la fréquentation des mosquées ». On se demande alors pourquoi l’État tient tant à doubler le nombre de diplômes universitaires (passant de six à douze) visant à former des imams « aux principes de la République »  si la mosquée ne représente (presque) pas de danger. Mais si l’État accède au désir de Dalil Boubakeur d’en doubler le nombre, on comprend mieux.

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  • Le droit d’asile : une organisation légale de l’immigration illégale

     Où en est-on de la réforme législative sur le droit d’asile ?

    Le 16 décembre 2014, les députés ont approuvé en première lecture un projet de loi de réforme du droit d’asile dont le système est à bout de souffle : délais trop longs pour statuer sur les dossiers (un an et demi en moyenne), saturation des dispositifs d’hébergement, coût exponentiel des aides aux requérants en attente de jugement.

    Comme l’a dit Eric Ciotti, ce système est en réalité une machine légale à régulariser les clandestins. C’est une organisation légale de l’immigration illégale… Quant à « Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, [il] avait reconnu que “ le droit d’asile est dévoyé et détourné ” par des migrants économiques venus chercher du travail ».

    Le gouvernement a entendu réformer en profondeur le droit de l’asile selon deux axes :réguler le droit d’asile et écarter les demandes infondées. En réalité, en commission des lois, la majorité socialiste, grâce à l’adoption de 140 amendements, n’a visé qu’à augmenter les droits de ces demandeurs.

    Ainsi l’inquiétude que l’on pouvait ressentir face à une telle démarche de la part d’un gouvernement déterminé à promouvoir le « Grand Remplacement » des Français de souche se révèle justifiée. Contrairement aux objectifs affichés par le gouvernement et du fait de ses concessions idéologiques à sa majorité, le projet de loi renforce les droits et les garanties accordées aux demandeurs d’asile. Il allonge les délais bien au-delà de celui fixé par le président de la République et qui apparaît hors d’atteinte. C’est la logique constante des projets sur l’immigration : on affiche de bonnes intentions et une grande fermeté devant l’opinion et on cède devant le lobby immigrationniste.

    Le caractère de gravité de la question du droit d’asile en France doit nous conduire à manifester la plus grande attention à la suite des débats, notamment devant le Sénat. C’est ce que ne manquera pas de faire Polémia dans les semaines qui viennent.

    Où en est-on de la réforme législative sur le droit d’asile ?

    En septembre 2014, Polémia a publié un article (*) sur le projet du gouvernement de réforme du droit d’asile. Nous en présentions les grandes lignes et faisions part de l’inquiétude que l’on pouvait ressentir face à une telle démarche de la part d’un gouvernement déterminé à promouvoir le « Grand Remplacement » des Français de souche.

    Les députés ont approuvé, en première lecture et à une très large majorité, ce projet de réforme du droit d’asile le 16 décembre 2014. Les sénateurs sont appelés prochainement à être saisis de ce texte.

    Au cours de la discussion du projet de loi devant les députés, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a rappelé que celui-ci transposait deux directives européennesUne fois de plus les pouvoirs publics se soumettent aux diktats de Bruxelles sur une question particulièrement sensible. En effet, il est notoire, comme Polémia le soulignait dans son précédent article, que le système est à bout de souffle : délais trop longs pour statuer sur les dossiers (un an et demi en moyenne), saturation des dispositifs d’hébergement, coût exponentiel des aides aux requérants en attente de jugement. Manuel Valls, lorsqu’il était ministre de l’Intérieur, avait reconnu que « le droit d’asile est dévoyé et détourné » par des migrants économiques venus chercher du travail.

    Au-delà du pathos gauchiste habituel, le gouvernement entend réformer en profondeur le droit d’asile selon deux axes : améliorer la protection des personnes demandant une protection internationale et l’application du droit d’asile ; permettre plus facilement au dispositif d’écarter rapidement les demandes d’asile infondées, tout en renforçant l’équité et la transparence des procédures.

    La réforme du droit d’asile devait être couplée avec une réforme du droit des étrangers qui a été repoussée au printemps 2015.

    La présentation par les médias.

    Le délai de traitement des dossiers doit être ramené de deux ans à neuf mois en 2017 grâce à une simplification des procédures et un renforcement des moyens de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).

    Ce délai pourrait même être raccourci à trois mois pour certains cas (si l’étranger vient d’un pays sûr, s’il a menti ou proposé un dossier vide). A ce titre, les préfectures pourront par exemple avoir un rôle d’aiguillage dans la procédure de demande d’asile et juger un dossier irrecevable avant même que le demandeur n’ait rencontré l’Ofpra.

    Les moyens de l’Ofpra sont renforcés par ce texte : il obtiendra cinquante agents de plus et son indépendance est consacrée.

    Un autre objectif du texte est l’amélioration des conditions d’accueil. Malgré l’ouverture de nouvelles places en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), passées de 5.200 places en 2001 à près de 25.000 en 2014, les infrastructures demeurent insuffisantes. Aujourd’hui, un tiers des demandeurs se retrouvent logés dans des structures d’hébergement d’urgence et un autre tiers doit se loger par ses propres moyens.

    Le projet de loi prévoit donc la création de nouvelles places, 4.000 supplémentaires dès 2015, et 5.000 ensuite.

    Enfin, pour répondre au déséquilibre géographique des dossiers (plus de 50% sont déposés en Ile-de-France et en Rhône-Alpes où l’hébergement est saturé), le projet de loi prévoit la possibilité de répartir les demandeurs sur l’ensemble du territoire et de supprimer les allocations aux étrangers qui refuseraient de se rendre dans un lieu donné. Cet hébergement sera désormais directif et réparti sur tout le territoire.

    Finalement, cette réforme devrait se faire à coût constant, les investissements réalisés à l’Ofpra et dans l’offre d’accueil étant compensés par les économies réalisées dans les traitements des dossiers. En effet, plus ils sont traités vite, moins cela coûte cher. Le système français du droit d’asile devrait donc coûter en principe autant après qu’avant la réforme : environ 600 millions d’euros par an.

    Ce que les médias n’ont pas fait ressortir.

    Les garanties des demandeurs d’asile sont renforcées à tous les stades de la procédure :

    -enregistrement plus rapide des demandes d’asile ;

    -présence d’un conseil lors de l’entretien avec un officier de protection ;

    -présence obligatoire d’un interprète ;

    -meilleure prise en compte des vulnérabilités.

    Le texte généralise également l’effet suspensif des recours contre les décisions refusant l’asile.

    Les procédures contentieuses sont également revues, notamment par la création d’une procédure de recours suspensif, procédure accélérée devant un juge unique de la CNDA en cinq semaines. Le délai de jugement en procédure normale imparti à la CNDA, qui voit réaffirmé son rôle de juge de l’asile, est fixé à cinq mois.

    Le dispositif d’hébergement fera l’objet d’une montée en charge progressive pour généraliser le modèle du centre d’accueil de demandeurs d’asile ; les allocations perçues seront unifiées et tiendront compte de la composition familiale.

    Le projet de loi tend enfin à mieux définir et à renforcer les droits du bénéficiaire de la protection en matière d’accès aux droits, de réunification familiale et de documents de voyage, « éléments essentiels de l’intégration à la société française ».

    Ainsi, la discrétion des médias sur les « garanties », en fait sur les avantages et les facilités accordés aux demandeurs d’asile, fait ressortir le grand écart entre les objectifs du projet de loi : le gouvernement a souhaité réguler le droit d’asile et écarter les demandes infondées ; la majorité socialiste a voulu augmenter les droits de ces demandeurs.

    Les commentaires des associations.

    Si les associations reconnaissent que ce texte va dans leur sens, elles manifestent leur inquiétude sur un certain nombre de points.

    En particulier le montant inchangé de 600 millions d’euros suscite leurs réticences comme l’indique le directeur général de France Terre d’Asile :

    « Pour accueillir dignement, il faut des moyens. Et ils n’y sont pas. En réalité, le budget baisse sur l’hébergement, la mise à l’abri et l’accompagnement. Je ne doute pas que le gouvernement et le ministre de l’Intérieur aient des principes, mais faire de la politique, c’est à la fois avoir des principes et donner des moyens pour mettre en œuvre ces principes, et il manque une large partie de ce deuxième volet. »

    Comme d’habitude, les immigrationnistes ne lésinent pas en matière d’argent public lorsqu’il s’agit de financer le « Grand Remplacement ».

    Les critiques de l’opposition.

    Des critiques très vives à l’égard du projet de loi ont été prononcées par Eric Ciotti, député UMP et président du Conseil général des Alpes-maritimes, à la tribune de l’Assemblée nationale le 9 décembre 2014 lors de l’examen par celle-ci de ce projet.

    Eric Ciotti a rappelé plusieurs vérités :

    -le système du droit d’asile français est à la dérive ;

    -il est l’un des plus généreux d’Europe et est trop attractif ;

    -il est détourné de manière abusive par des filières organisées qui font déferler des demandes d’asile opportunistes qui cachent en réalité une immigration économique. Ces demandes non fondées ont explosé depuis trois ans ;

    -80% environ des demandeurs d’asile n’obtiennent pas le statut de réfugiés, que ce soit devant l’Ofpra ou l’instance d’appel qui est la CNDA. Or, parmi ces 80% de déboutés, seuls 5% seront reconduits vers leur pays d’origine ; les raisons en sont un allongement de la durée d’examen de la demande d’asile et le manque de volonté politique ;

    -les circuits sont complètement engorgés : 30.000 demandes sont en attente ;

    -ce système est en réalité une machine légale à régulariser les clandestins. C’est une organisation légale de l’immigration illégale.

    Aux dérives du droit d’asile s’ajoutent les décisions incompréhensibles du Conseil d’Etat qui a exclu récemment le Kosovo, plateforme des filières criminelles, des pays d’origine sûrs, ce qui contribuera à augmenter les flux de demandeurs d’asile dès 2015.

    A la tribune, Eric Ciotti l’a déclaré à Bernard Cazeneuve : malgré quelques avancées comme l’élargissement des critères de placement en procédure accélérée, le projet de loi ne prend pas la mesure de la gravité de la situation et ne répond pas à ses propres objectifs. La première des raisons provient des 140 amendements adoptés en commission des lois par la majorité socialiste dont le rapporteur est Sandrine Mazetier, grâce à la faiblesse ou la complicité du ministre de l’Intérieur. Ces amendements ne pourront qu’aggraver mécaniquement la situation.

    Le recours suspensif devant la CNDA est appelé à être généralisé.

    Le projet de loi introduit l’obligation de faire assister le demandeur par un interprète. A titre d’exemple il existe en France 2 interprètes de dialectes érythréens.

    Les délais, malgré les objectifs affirmés par le gouvernement, seront allongés, ce qui constituera un effet d’aubaine.

    Le caractère protecteur des droits des demandeurs, déjà très marqué puisqu’il permet à de nombreuses familles de se maintenir sur le territoire français pendant 5 ans grâce à l’utilisation de tous les moyens juridiques de recours, sera renforcé par le projet de loi. A ce stade de son intervention l’orateur a décrit avec conviction la logique du système qui confine à l’absurde.

    Eric Ciotti a mis en cause la réelle volonté du gouvernement en soulignant qu’à aucun moment de son intervention le ministre de l’Intérieur n’a prononcé le mot « éloignement ».

    En définitive.

    Contrairement aux objectifs affichés par le gouvernement et du fait de ses concessions idéologiques à sa majorité, le projet de loi renforce les droits des demandeurs d’asile. Il allongera les délais bien au-delà de celui des six mois fixé par le président de la République et qui apparaît hors d’atteinte.

    Le caractère de gravité de la question du droit d’asile en France doit nous conduire à manifester la plus grande attention à la suite des débats, notamment devant le Sénat. C’est ce que ne manquera pas de faire Polémia dans les semaines qui viennent.

    André PosokhowConsultant pour Polémia, 19/03/2015

    Note de la rédaction :

    (*) Réforme du droit d’asile : une accélération du “Grand Remplacement” ?

    http://www.polemia.com/le-droit-dasile-une-organisation-legale-de-limmigration-illegale/