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immigration - Page 1291

  • Face à la menace de l’État islamique, l’Occident n’a plus le choix

    Patrick Karam et Elie Haddad plaident pour une révision de la stratégie et des alliances de la coalition pour combattre Daech.

    Depuis un an, la Coordination Chrétiens d’Orient en danger n’a cessé d’alerter sur les risques de contagion de la situation en Orient.

    Avec l’enfoncement du Levant dans la barbarie, nous commençons à en subir les répercussions en Occident, à travers des phénomènes comme la radicalisation et la banalisation du discours communautaire et religieux ainsi que la stigmatisation en retour des musulmans. La spirale enclenchée menace nos valeurs et nos sociétés : endoctrinement et conversions massives de jeunes, départ par milliers vers les terres du djihad et risques pour la sécurité nationale. Tant que les sanctuaires extrémistes ne seront pas détruits, les actes de violence sur nos sols iront en s’amplifiant.

    Nos pays ont toujours un temps de retard et commettent des erreurs dont profitent nos ennemis, comme l’illustre l’épisode de la chute de Mossoul. Pour affaiblir le premier ministre chiite irakien al-Maliki, proche de Damas et de Téhéran, qui marginalise les sunnites, l’Occident lui refusa un appui aérien. La catastrophe stratégique et humanitaire qui s’ensuivit érigea Daech de simple pion régional en acteur mondial se jouant des grandes puissances, avec un territoire agrandi, un effectif de 30 000 combattants, multiplié par trois en quelques mois, dont de nombreux Occidentaux formés au pire, équipé avec du matériel militaire sophistiqué récupéré sur l’armée irakienne en déroute, des moyens financiers conséquents et un trésor de guerre dépassant désormais 3 milliards de dollars. La politique d’isolement de Damas pour ne pas renforcer le régime dictatorial de Bachar el-Assad, la mise au ban de l’Iran du fait des contentieux passés et de la question du nucléaire, la mise à l’écart de l’Égypte, en raison des critiques liées à la prise de pouvoir et aux méthodes musclées contre les Frères musulmans, le double jeu de la Turquie avec les mouvements terroristes, la non-prise en compte des risques pour le Liban et la Jordanie… tout cela conduit à l’impasse stratégique dont tirent profit les extrémistes et dont sont victimes les minorités notamment chrétiennes qui résident depuis deux millénaires dans la région. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Face-a-la-menace-de-l-Etat

  • PEGIDA : appel à mobilisation du 5 janvier

    Pegida («Patriotische Europäer gegen die Islamisierung desAbendlandes»)(Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident) désigne un mouvement contre l’immigration musulmane en Allemagne. Depuis le mois d’octobre 2014, ils manifestent chaque lundi à Dresde.

    Les manifestants protestent contre la politique d’asile du gouvernement, dénoncent « l’islam radical » et refusent « l’islamisation de l’Allemagne ».

    Des demandes ont été formulées sur la politique d’immigration, la «tolérance zéro» contre les groupes religieux radicaux et les immigrés délinquants. Dans les discours , ont été demandé et exprimé la prévention contre «l’islamisation de l’Occident», le désir de «préservation et de protection de l’identité allemande».

    Source

    http://www.fdesouche.com/549489-pegida-appel-mobilisation-5-janvier-2015

  • Les « chances pour la France » se sont encore bien amusées le 31 décembre

    Le ministère de l’Intérieur est fier de vous annoncer les chiffres de la nuit dernière :

    940 voitures ont été incendiées sur le territoire français contre 1067 l’an dernier, ce qui représente une baisse de 12 %.

    Par ailleurs, 308 interpellations ont eu lieu contre 322 l’an dernier pour 251 gardes à vue contre 221 l’an passé.

    « Il n’y a pas eu d’incident majeur (sic), note Pierre-Henry Brandet, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, interrogé sur BFMTV. Il y a des foyers éparpillés. Les incendies ont notamment eu lieu dans l’Est, le Bas-Rhin. En région parisienne, la Seine-Saint-Denis a été particulièrement touchée ».

    La baisse de 12% est probablement le résultat de la politique intransigeante et efficace que mène l’État contre les colons extra-européens.

    http://www.contre-info.com/

  • Dix ans après la France, l’Italie vit sa crise des banlieues, mais cela n'a rien à voir

    «Droit au logement, droit au travail, nous ne les avons pas, ils ne les auront pas.» 

    C’est le nouveau slogan scandé en Italie du Nord au Sud, de la périphérie de Naples à Bergame, en passant par Bologne et bien d’autres villes encore. Mais c’est dans une paisible banlieue romaine que tout a commencé, à Tor Sapienza, avec, début octobre, une première manifestation regroupant 200 personnes protestant contre l'ouverture d'un centre d'accueil pour immigrés. Le 15 novembre, ce sont près de 5.000 personnes qui protestaient dans le centre de Rome pour demander un plus grand contrôle de l'immigration et plus de sécurité.

    Antonio Castronovi habite Tor Sapienza. Lorsque, en novembre, il observe ses voisins manifester avec violence contre la présence d’un centre pour réfugiés, il est frappé. Non pas par les insultes racistes – «sales nègres on va vous brûler» –, ni par les menaces de mort adressées aux réfugiés politiques barricadés dans le centre d’accueil. Ce qui a choqué l’auteur de Le periferie nella città metropolitana («Les banlieues dans la ville métropolitaine»), c’est l’expression désespérée d’un besoin de revanche sociale :

    «On reproche à ces immigrés leur position de privilégiés.» 

    Ce sentiment d’infériorité par rapport au dernier arrivé est partagé par les riverains des banlieues les plus dégradées de la ville. Comprendre comment cette ancienne bourgade communiste s’est transformée en théâtre de violentes protestations virant au racisme, et en terrain d’infiltration du mouvement d’extrême droite Casapound, c’est mettre un doigt sur la fragmentation géographique et sociale des banlieues. Si, dix ans après la France, l’Italie s’apprête à vivre sa crise des banlieues, les manifestations et les causes du malaise sont loin d'être similaires. Difficile à croire quand on entend les propos racistes lancés à l’encontre des immigrés, ce quartier périphérique de l’est de Rome a pourtant été créé par un militant antifasciste dans les années 1920: le cheminot Michele Testa.

    Dans les années 1960, des usines comme Peroni, Litograf ou Fiorucci s’installent dans le village. «Tor Sapienza devient alors une zone ouvrière, de gauche, plutôt paisible, jusqu’à la fermeture de certaines usines, évènement qui crée un premier malaise», explique Adriana Goni Mazzitelli.

    Une explosion complexe 

    Dans les années 1970, dans le cadre d’une vaste action de lutte contre la pauvreté à Rome, Tor Sapienza s’agrandit avec la construction de case popolari (HLM) de grands immeubles où sont logées des personnes qui étaient à la rue. Le docteur en anthropologie culturelle poursuit:  

    «Du jour au lendemain, plusieurs milliers de personnes sans travail s’installent dans ces immeubles, censés abriter également des magasins, magasins qui ne verront jamais le jour.» 

    La première fracture est née : les anciens habitants de Tor Sapienza ne voient pas de bon œil les nouveaux venus installés dans la partie haute du quartier, le quartier Morandi, qui est celui qui se révolte aujourd’hui.

    Car, si ce sont les habitants du quartier historique qui commencent à manifester pacifiquement, les nouveaux venus d’antan prennent vite le relais. L'anthropologue explique:

    «Ils vivent dans des conditions désastreuses, et les mouvements d’extrême droite comme Casapound et Forza Nuova sont venus souffler sur les braises. Il s’agit d’une explosion complexe, mais on peut comprendre la rage de ces habitants, qui se révoltent contre une situation hors de contrôle, plus que contre les immigrés.» 

    Et c’est bien la première différence avec les émeutes des banlieues françaises en 2005: si les habitants des banlieues faisaient front commun contre l’Etat, la périphérie italienne est sociologiquement divisée.

    Le risque de diffusion 

    Comme Tor Sapienza, nombre de banlieues ont connu un bouleversement de leur composition sociale dans les années 1970 avec la construction des HLM. Antonio Castronovi raconte:

    «L’installation d’une population pauvre dans ces immeubles s’est faite hâtivement, et ces case popolari n’ont depuis jamais subi d’intervention. Aujourd’hui, elles s’effondrent. Au malaise social, renforcé par la crise, s’ajoute le malaise lié au logement, et les anciens exclus se révoltent.» 

    C’est pourquoi, si personne ne semble vraiment s’étonner de ce qui s’est passé à Tor Sapienza, tout le monde s’accorde pour mettre en garde contre une situation qui peut exploser ailleurs: «ailleurs en Italie, notamment au centre-sud mais aussi à Turin ou Milan, et puis évidemment dans les autres banlieues de la capitale», estime l’urbaniste Paolo Berdini. Pour lui, les banlieues italiennes ont connu une croissance trop importante, «bien plus qu’en France: dans la périphérie romaine, des quartiers ne bénéficient même plus de transports les reliant au centre-ville!».

    La comparaison avec la France est dans toutes les têtes: les épisodes de violence à Tor Sapienza évoquent les émeutes de Clichy-sous-Bois en 2005, notamment dans la crainte d’une diffusion de la crise. Mais les raisons sous-jacentes à ces manifestations divergent. Mafia, rapport à l’immigration, gestion politique: c’est un mal-être tout italien que connaissent les banlieues du bel paese.

    Sur le banc des accusés, on trouve tout d’abord le «modèle Rome», mis en place par l’ancien maire Walter Veltroni dans les années 2000.

    «C’était un incroyable artifice publicitaire qui vantait l’efficacité de la politique de la capitale par rapport au reste de l’Italie, étant donné que le PIB de Rome à l’époque affichait une croissance vertigineuse.» 

    Dans ce sillage, un nouveau plan d’aménagement censé relancer les investissements privés est approuvé. Paolo Berdini, qui a collaboré à l’ouvrage Rome Moderne, déplore:

    «La ville a trop grandi, les périphéries se sont dilatées et aujourd’hui il n’y a même plus l’argent pour les transports en commun, surtout pour une banlieue qui est de plus en plus éloignée.» 

    L'anthropologue Federico Bonadonna n’a pas de mots beaucoup plus tendres pour le modèle Rome, et critique la politique d’accueil inconditionné de l’ancien maire Veltroni:

    «Entre 2001 et 2006, près de 10.000 personnes sont évacuées des bidonvilles et placées dans des centres d’accueil ouverts à l’occasion, comme les onéreux “villages de solidarité” à destination des Roms, qui entre 2004 et 2008 ont coûté près de 15 millions d’euros l’année.» 

    L’enquête qui a abouti, début décembre, au démantèlement d’un vaste réseaux mafieux à Rome, conforte ces critiques.

    Système mafieux 

    Un système de corruption aurait permis de fausser des appels d'offres et de bénéficier de fonds publics destinés entre autres à des centres d'accueil pour réfugiés. Luca Odevaine, ancien chef de cabinet adjoint de Walter Veltroni et qui se chargeait de la création des centres d’accueil, a été arrêté pour association mafieuse. C’est à travers lui que la mafia romaine a fait de l’immigration une mine d’or. Luca Odevaine aurait reçu 5.000 euros par mois pour les services rendus, en particulier à l’entrepreneur Salvatore Buzzi, à la tête d’un empire qui vivait sur le business des Roms et de l’immigration, et qui a affirmé que les immigrés «sont plus rémunérateurs que la drogue». 

    L’argent était donc détourné, et les structures d’accueil «ont été installées dans des banlieues romaines déjà en voie d’effondrement. Roms et immigrés deviennent ainsi les boucs émissaires des habitants de ces quartiers, dans une Italie qui vit une mutation sociologique importante», pointe Federico Bonadonna.

    Si la confrontation entre les habitants historiques des banlieues et les immigrés se passe mal, c’est aussi qu’il s’agit d’un phénomène récent. N’ayant pas eu d'histoire coloniale longue, le pays n’a été confronté aux étrangers qu’au début des années 1990 – si l'on exclut la présence des Erithréens dès les années 1940. «Vingt-cinq années, ce n’est pas beaucoup pour changer une culture peu habituée à se confronter à autrui», estime Federico Bonadonna, qui milite pour la mise en place d’un modèle d’intégration positif, tout en ayant le courage d’intervenir avec fermeté dans les contextes criminels pour les éradiquer. 

    «En Italie l’immigration a pendant longtemps été perçue comme un phénomène passager, les nouveaux venus occupaient donc au départ des zones centrales, les quartiers près des gares», précise Adriana Goni Mazzitelli. Ce n’est que maintenant qu’ils s’installent là où vit la classe moyenne inférieure italienne. 

    Apaiser le malaise des banlieues italiennes est alors un vaste chantier: du logement à l’intégration des immigrés en passant par le développement des transports, les banlieues nécessitent d’une stratégie politique et sociale à grande échelle. 

    Mais on doute que les investissements arrivent vite, dans une ville toujours empêtrée dans les scandales mafieux: il ne se passe pas un jour dans la capitale italienne sans qu’une nouvelle information vienne confirmer l’ampleur du réseau criminel romain. 

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/12/dix-ans-apres-la-france-litalie-vit-sa.html

  • Max Gallo "souvent d’accord" avec Eric Zemmour

    Dans l’émission « L’Invité d’Audrey Crespo-Mara », diffusé sur LCI le 24 décembre : Hommage appuyé, bien qu’inattendu, de l’historien et ancien ministre de Mitterrand, Max Gallo, à Eric Zemmour :

     

    « Je suis assez souvent d’accord avec lui et, dans son livre, il y a beaucoup de points qui me paraissent très intéressants : les thèmes de souveraineté, d’indépendance, les questions liées à l’immigration. Zemmour a un mérite, c’est de mettre le doigt sur les questions qui fâchent et il le fait avec la sincérité d’un patriote républicain et, de ce point de vue là, je le soutiens ! ».

    (texte paru dans "Minute")

    Même s’il n’est pas républicain, un patriote est toujours à soutenir.

    La partie concernant Zemmour commence au bout d’1 minute 40.

  • Front National de Libération

    C’est un bon nom pour le grand mouvement dont la France et l’Europe ont un besoin urgent, en vue du renversement de la colonisation en cours.

    Front National de Libération, FNL, c’est un bon nom pour le grand mouvement dont la France et l’Europe ont un besoin urgent, en vue du renversement de la colonisation en cours, avant qu’il soit tout à fait trop tard. On ne pourra pas nous accuser d’hostilité essentialiste à l’égard des Algériens : nous prendrons pour modèle leur propre force de libération, non sans lui conférer, j’espère, plus de douceur.

    Un pareil nom ferait également référence au Front national, bien sûr. Il ne s’agirait pas de le gêner si peu que ce soit : plutôt de lui rappeler l’ordre des urgences.

    Une troisième allusion serait au Front national primitif, celui de la Résistance. On a longtemps eu scrupule à suggérer des similitudes entre la situation actuelle et la période de l’Occupation ; on pensait grossir le trait en parlant de collaboration et de collaborateurs, et l’on n’arrivait pas à croire tout à fait que le gouvernement voulût vraiment changer de peuple et de civilisation. Pourtant, si n’était pas suffisant l’invraisemblable régime de deux poids deux mesures qu’applique la Justice contre le peuple indigène, on dispose à présent de déclarations et de photographies très explicites de MM. Cazeneuve, Valls ou Hollande lui-même pour signifier clairement où vont leurs préférences.

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  • Rue Morand, à l’heure de la prière

    Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le "génocide par substitution".

    Je sors du métro, station Belleville. Belleville, ou ce qu’il en reste. Un de ces quartiers de Paris où seuls les membres de la gentry locale, retranchés dans leurs lofts blindés, refusent encore de constater le « génocide par substitution ».

    Si je suis là, en ce vendredi, c’est pour voir et pour témoigner. Les « prières de rue » – dossier classé au ministère de l’Intérieur – subsisteraient dans le XIe arrondissement. Puisqu’il ne faut rien attendre des médias officiels – seuls Riposte laïque, le Bloc identitaire et quelques blogueurs se sont penchés sur la question –, je me ferai une opinion de visu.

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  • Les Français ruinés par l’immigration

    Gérard Pince, docteur en économie du développement, a été récemment reçu sur TVLibertés au sujet de son récent livre datant de 2013 Les Français ruinés par l’immigration, (disponible ici). Il était interrogé par Jean-Christophe Mounicq avec lequel il aborde le sujet sans complexe en contredisant la dialectique libérale/communiste sur les bienfaits de l’immigration pour notre pays.

    http://www.contre-info.com/les-francais-ruines-par-limmigration

  • Les Démocrates suédois deviennent le seul parti d’opposition

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "Il y a deux mois, les Démocrates suédois faisaient tomber le gouvernement, deux mois seulement après son installation. Le Premier ministre était donc contraint d’organiser de nouvelles élections. Lesquelles risquaient de voir les Démocrates suédois gagner encore des voix et des sièges. Mais l’UMPS locale a trouvé la solution : une union de la droite et de la gauche. Pour cela, le Premier ministre accepte le contre-budget de l’opposition (celui qui avait été voté par les Démocrates suédois pour mettre le gouvernement en minorité), moyennant quelques modifications de façade, à quoi s’ajoute l’engagement pris par l’opposition de… ne pas s’opposer jusqu’à… 2022…

    Les principaux partis se félicitent bruyamment de cet accord qui met hors jeu le diabolique « parti anti-immigration »."

    Michel Janva