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immigration - Page 1296

  • Bernard Cazeneuve condamne Eric Zemmour

    Éric Zemmour a été interrogé par le Corriere della Sera le 30 octobre. Jean-Luc Mélenchon en donne la traduction sur son blog :

    Eric Zemmour : « Les musulmans ont leur code civil, c'est le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les Français ont été obligés de s'en aller. »

    Question : « Mais alors que suggérez-vous de faire ? Déporter 5 millions de musulmans français ? »

    Eric Zemmour : « Je sais, c'est irréaliste mais l'Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d'Algérie pour revenir en France ? Ou bien  qu'après la guerre, 5 ou 6 millions d'Allemands auraient abandonné l'Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ? »

    Question : « [Vous parlez d'exodes provoqués par] des tragédies immenses. »

    Eric Zemmour : « Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes [vivent ici], en France, [mais] ne veulent vivre à la française. »

    Cette liberté d'expression est de trop pour Bernard Cazeneuve :

    "M. Bernard CAZENEUVE, Ministre de l'Intérieur, condamne avec une extrême fermeté les propos tenus par Eric Zemmourconcernant les musulmans de France dans le quotidien italien Il Corriere della Sera.

    Il affirme son soutien aux musulmans de France odieusement attaqués et appelle tous les républicains à réagir et à manifester leur solidarité. Il rappelle que la République laïque garantit la liberté de conscience et la liberté de culte. La Nation française se définit par le vivre-ensemble, et les musulmans de France, comme les chrétiens, les juifs, les croyants et les incroyants, sont tous ses enfants.

    En faisant de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme une grande cause nationale, le Président de la République entend qu’aucun Français ne puisse être attaqué ni menacé en raison de son origine ou de sa religion. Le ministère de l’Intérieur, ministère des cultes, prendra toute sa part à cet effort républicain. L’ensemble des Préfets est mobilisé pour protéger les lieux de cultes et pour faire en sorte qu’aucun acte de haine anti-religieux ne demeure impuni.

    Bernard CAZENEUVE réaffirme sa détermination à lutter contre ce fléau et à préserver le pacte républicain, garantie de notre vivre ensemble."

    Avec une réaction aussi hystérique que celle-ci, nous nous dirigeons donc vers le chaos.

    Michel Janva

  • Éric Zemmour rappelle que des migrations ont eu lieu dans l’Histoire

    Éric Zemmour a récemment accordé une interview à une journal italien, le Corriere della Sera. Au journaliste qui lui a posé une question quelque peu provocatrice – “suggérez-vous de déporter 5 millions de musulmans français ?”-, le polémiste lui a simplement fait remarquer que des remigrations avaient eu lieu dans l’Histoire.

    - Eric Zemmour : Je sais, c’est irréaliste mais l’Histoire est surprenante. Qui aurait dit en 1940 que un million de pieds-noirs, vingt ans plus tard, seraient partis d’Algérie pour revenir en France ? Ou bien qu’après la guerre, 5 ou 6 millions d’Allemands auraient abandonné l’Europe centrale et orientale où ils vivaient depuis des siècles ?

    - Question du journaliste : Ça provoque des tragédies immenses.

    - Eric Zemmour : Je pense que nous nous dirigeons vers le chaos. Cette situation d’un peuple dans le peuple, des musulmans dans le peuple français, nous conduira au chaos et à la guerre civile. Des millions de personnes ne vivent, en France, et ne veulent vivre, à la française.

    http://fr.novopress.info/179971/eric-zemmour-rappelle-migrations-lieu-lhistoire/

  • L’Europe va payer le Maroc pour lutter contre l’afflux de clandestins

    L'Europe est comblée de donner l'occasion au Maroc de bénéficier des bienfaits et des richesses des migrants.

    Alors que la France inaugure en grandes pompes ce lundi après-midi le musée de l’Immigration et que la jeunesse socialiste s’apprête à nous assener une énième campagne (ad nauseam) sur la richesse qu’elle représente pour nos contrées, c’est l’Europe qui prend un curieux contre-pied en forme d’aveu : oui, l’immigration (fût-elle clandestine) représente un problème pour l’Europe ! Sinon, pourquoi se déciderait-elle à payer le Maroc pour l’aider à stopper le flux de clandestins subsahariens qui le submerge ?

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  • Les profiteurs de la diversité : « La diversité, on a (presque) tous à y gagner ! »

    Chronique de Bernard Mazin, essayiste.

    ♦ « Ce faisant, elle [la presse] ne peut que contribuer à décrédibiliser un peu plus la classe politique, déjà bien affectée, toutes tendances confondues, par les “affaires” en tout genre où des politiques pas très regardants profitent d’un argent pas très bien gagné. »

    Depuis quelques années, les administrations et les grandes entreprises publiques ou privées sont sommées d’inscrire leur gestion des ressources humaines dans le cadre d’une campagne qui les invite à refuser les stéréotypes de tous ordres, reflétant ainsi l’omniprésente influence du lobby des droits de l’homme et de l’antiracisme. Le slogan-phare en est « La diversité, on a tous à y gagner ! ». L’on ne sait si le caractère savoureux de cette expression, prise au second degré, est à mettre au compte de l’inconscience ou de la malice de ses inventeurs. Toujours est-il que, si nous avons du mal à nous persuader des bienfaits pour tous de la diversité au sens où l’entendent ses promoteurs, il est beaucoup plus aisé de se rendre compte que certains en ont bien, littéralement, « tiré profit ». Une fois n’est pas coutume, c’est à notre tour d’invoquer le « devoir de mémoire ».

    « Ils n’en mouraient pas tous, mais tous étaient frappés »

    Faouzi Lamdaoui, qui occupait auprès de François Hollande le poste de « conseiller pour les questions d’égalité et de diversité », ce qui constitue en soi tout un programme, a été contraint de démissionner le 3 décembre 2014. L’intéressé venait d’être cité à comparaître dans le cadre d’une enquête préliminaire pour d’éventuels « recel d’abus de biens sociaux » et « fraude fiscale ».

    Selon Le Monde, « Les magistrats et les policiers estiment que ce compagnon de route historique de François Hollande, chef de son cabinet pendant sa campagne présidentielle, a été “le gérant de fait” d’Alpha Distributions et d’Alpha (devenue Cronoservice), deux SARL inscrites dans la même société de domiciliation parisienne. La première – dont M. Lamdaoui était directeur logistique – a été liquidée en juin 2010 et radiée du Registre du commerce en mars 2012. La seconde, spécialisée dans la sous-traitance de laboratoires photo, a cessé ses activités en juin 2012 et a été radiée en mars 2014 ».

    A l’issue d’une perquisition, les enquêteurs se sont interrogés sur les « rémunérations élevées » perçues par Faouzi Lamdaoui et sur une possible dissimulation de ces sommes au fisc. En 2010 déjà, Alpha Distributions avait été épinglée par la Commission des infractions fiscales pour « dissimulation de recettes imposables ».

    Le parquet de Paris a ouvert deux enquêtes préliminaires, en mai 2012, à la suite des plaintes déposées par Mohamed Belaïd, un ex-militant PS d’Argenteuil (Val-d’Oise) et ancien chauffeur de Hollande. La première, qui visait François Hollande et Faouzi Lamdaoui pour « travail dissimulé », « menaces et intimidations », a été classée sans suite, le 29 novembre 2013. Mais la seconde, ouverte pour « faux et usage de faux » devrait donner lieu à l’audition prochaine du conseiller à l’égalité et à la diversité. M. Belaïd estime en effet que Faouzi Lamdaoui a, pour créer la société Alpha, usurpé l’identité de son épouse. « Les investigations, confiées dans un premier temps à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne, ne l’ont pas démontré. Mais des questions ont vu le jour sur l’utilisation des fonds de l’entreprise », précise de son côté L’Express.

    Cette affaire constitue le dernier épisode – et sans doute pas le dernier – du long feuilleton des démêlés judiciaires impliquant les représentants tant médiatisés de la « pote-génération », et en particulier les pères-fondateurs et les dirigeants successifs de SOS Racisme. En voici, brièvement résumés, les épisodes précédents :

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  • Surtout pas de stigmatisation !

    Comme pour les affaires Merha et Nemmouche, les médias français ne veulent surtout pas stigmatiser. Lu sur Causeur :

    2014-12-15T030910Z_1898693965_GM1EACF0U4802_RTRMADP_3_AUSTRALIA-SECURITY_0"Jusqu’où ira-t-on trop loin dans la lutte contre la stigmatisation ? Le débat vient d’être relancé ce matin par le présentateur du JT de BFM-Business. Ouvrant son journal de 8h, comme tous ses collègues des autres chaines par la prise d’otages de Sydney, il a expliqué que celle-ci était due à « un homme aux motivations vraisemblablement politiques ». On n’en saura pas plus.

    En l’état actuel des choses, cette façon de présenter l’info appelle quelques corrections factuelles.

    Tout d’abord, il semblerait, d’après toutes les dépêches d’agences, que les motivations du preneur d’otages soient explicites (...). Donc mon estimable confrère aurait dû parler, soit d’un «homme aux motivations possiblement politiques » soit d’un «homme aux motivations manifestement politiques ». La seconde option paraissant tout de même beaucoup plus raisonnable, notre preneur d’otages (...) a demandé, en plus d’une ligne directe avec le premier ministre australien, qu’on lui amène un drapeau de l’Etat Islamique.

    Ce qui nous amène à notre deuxième correctif mineur.  Toutes les dépêches indiquent en effet qu’avant même de disposer d’un fanion officiel de l’Etat Islamique, le preneur d’otages a, dès qu’il s’est rendu maitre des lieux, aussitôt affiché sur la vitrine du Café Lindt un drapeau noir où l’on pouvait lire un texte en arabe qualifié par tous les envoyés spéciaux de «profession de foi musulmane ». Compte-rendu de mes très faibles connaissance en langue arabe, cette dernière info reste à vérifier, mais il y a fort à parier que ladite inscription ne signifie pas « Joyeux Noël à tous »(...)

    Il n’est certes pas à exclure qu’on ait affaire à un total cinglé. Mais un fou furieux islamiste est à la fois un fou furieux ET un islamiste (...)

    Cela dit, s’il avait dit les choses aussi clairement peut-être se serait-il exposé à l’accusation de vous-savez-quoi. Or le vous savez quoi est un danger qui  nous menace tous (...) L'idée générale est semble-t-il de lutter, lâchons-le mot, contre l’islamophobie.

    Pour l’instant, personne ne pourra accuser d’islamophobie mon très prudent confrère de BFM-Business. On espère néanmoins que la caractérisation du preneur d’otages sera réévaluée dans les JT à venir de la chaine, sans que le supposé djihadiste coupe quelques têtes pour prouver qu’il est bien ce qu’il est , et que certains ont un peu de mal à nommer."

    Philippe Carhon

  • Pegida : début d’un réveil populaire en Allemagne contre l’immigration ?

    économiques du modèle allemand et la popularité d’Angela Merkel, outre-Rhin un réveil populaire semble émerger contre l’islamisation et l’immigration en Allemagne. En effet, le modèle multikulti et autres fadaises du vivre-ensemble exploqe face aux manifestaions salfaistes et aux affrontements violents entre salafistes et Kurdes à cause de l’Etat islamique. Sans oublier que l’Allemagne, elle-aussi, connait une sorte de Camp des saints avec la poussée exponentielel d’uen immigration extra-européenne.

    C’est ce réveil populaire dont s’alarment nos confrères bien pensants de Libération. Notamment à travers les manifestations qu’organise désormais le mouvementPegida, manifestations qui connaissent une large succès et qui dépassent la simple “extrême droite” :

    Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi soir (8 décembre, note de Novopress), 10 000 personnes ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde malgré le froid mordant «contre l’islamisation de l’Occident» à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. En face, 9 000 habitants protestaient contre le développement de l’intolérance. Pegida est l’abréviation d’un slogan aux relents douteux qu’on pourrait traduire par « Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident ». Ce mouvement parti de rien et échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent (souligné par nous, Novopress).

    (…)

    Chaque lundi à la nuit tombée, le mouvement enfle. De 500 participants, on est passé à 10 000 en quelques semaines. Jeunes, vieux, hommes, femmes et même des familles ; la société civile semble se mobiliser. Et si quelques centaines de néonazis et une poignée de fonctionnaires du parti d’extrême droite NPD se mêlent aux drapeaux noir, rouge et or ou aux croix hissées au-dessus de la foule, ils semblent noyés dans le mouvement.« C’est très surprenant, explique Werner Patzelt, politologue à l’université de Dresde.C’est comme si quelque chose qui n’attendait que ça venait de se cristalliser… Pegida est né du fait qu’une partie importante de la population se rebelle contre un développement sur lequel on ne l’a pas consultée et qui n’a jamais été débattu : le fait que l’Allemagne devienne une terre d’immigration. »

    (…)

    Pegida menace de déborder les frontières de la Saxe. Wurtzbourg, Bochum, Munich, Cassel ou Bonn voient fleurir des mouvements similaires. A Leipzig, Pegida s’appelle Legida, et Dügida à Düsseldorf. Ces boutures ne mobilisent pour l’instant que quelques centaines à quelques milliers de personnes. Mais le mouvement pourrait s’étendre. « Pegida répond à une peur économique et sociale, souligne Johannes Kiess, sociologue à l’université de Siegen. L’Allemagne est un pays riche, mais tout le monde ne profite pas de cette richesse. Sa situation d’île de bien-être au milieu de l’Europe peut prendre fin très rapidement. La crainte d’un déclassement social est forte jusque dans les classes moyennes. Et se retourne facilement contre les plus faibles, les étrangers, les minorités. »

    >> Pour lire l’article dans son intégralité

    http://fr.novopress.info/

  • Agression de Créteil : nouvel exploit des journalistes de propagande

    Pourquoi Ladji, Yacine et Omar haïssent-ils les juifs ? À quel genre d’antisémitisme sommes-nous confrontés ?

     

    Je ne sais pas ce qu’il faut penser des journalistes ; je ne sais pas s’il faut les plaindre ou les admirer. À quelle sévère gymnastique ne doivent-ils pas s’astreindre lorsque surgit la déplaisante réalité ! À quelle espèce de torture ne sont-ils pas forcés de soumettre les mots pour leur faire dire une autre réalité ! C’est un art subtil qui consiste à rapporter tout en dissimulant, à imposer sa vision tout en revendiquant l’« objectivité ».

    À Créteil, un couple juif est séquestré à son domicile par trois hommes. La femme est violée et l’appartement cambriolé. Qui sont les agresseurs ? La question est sensible, d’autant plus que, d’après le témoignage des victimes, le caractère antisémite de l’agression semble avéré. Quand les journalistes, de surcroît, découvrent les prénoms des délinquants, le traitement de l’information devient pour eux un exercice infiniment délicat.

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  • Immigration : “Vous comptez tuer des gens ?”, demande Jean-Luc Mélenchon à Éric Zemmour

    Lors du débat qui les a opposés vendredi 12 décembre, Éric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon sont apparus logiquement divisés sur les questions liées à l’immigration.
    Si pour Jean-Luc Mélenchon, “la France est une machine à fabriquer du citoyen”, Éric Zemmour considère en revanche que “de plus en plus de Français ont le sentiment de ne pas être en France”. “L’immigration est un sujet majeur pour les Français, a-t-il affirmé. Et l’immigration est liée à la laïcité. Pour les musulmans, les règles de la religion passent avant celles de la société et c’est incompatible avec la République”, a-t-il ajouté.

    “On a toujours connu ce problème des pratiques religieuses ostentatoires et diviseuses”, a rétorqué Jean-Luc Mélenchon, rappelant que “l’explosion démographique n’est pas un danger ni une abomination”. “Qu’est-ce que vous comptez faire ?, a-t-il demandé à son interlocuteur. Vous comptez tuer les gens ? Les empêcher d’avoir des gosses ?”.


    "Vous comptez tuer des gens, les empêcher de… par rtl-fr

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  • [Tribune libre] Chers babtous, redevenons maîtres chez nous ! – par Stella Costanzo

    Dimanche 23 novembre, il est 17h quand un CRS et sa femme sont en voiture. Victimes de la mauvaise conduite d’un automobiliste, ils vont être pris à partie par ce dernier et son passager, qui vont leur faire vivre un véritable calvaire. Descendus de leurs voitures, la situation va vite, comme toujours, dégénérer : insultes, coups de poing et de pieds pleuvent sur le CRS. Sa femme, qui tente de s’interposer, va alors goûter aux joies du multiculturalisme : « Sale française ! Sale race ! », lui lancent-ils. Aussi choquant que ce fait – pas si divers – puisse paraître, il est pourtant loin d’être isolé et… anodin.

    Mars 2014, Reims : un garçon se promène et se fait traiter de« Sale Blanc ! », avant d’être roué de coups ; juin 2014, Ormesson : un père de famille policier et sa femme sont tabassés à coup de« Sales Blancs ! »… sans oublier ce désormais célèbre mais néanmoins sordide viol qui a eu lieu à Évry, où une mineure a été torturée puis battue jusqu’au sang parce qu’elle est« blanche », qu’elle« mange du porc »et que « toutes les Françaises sont des putes ».Inutile de préciser l’origine des criminels qui ont été inculpés pour viol, et pour racisme… un racisme qui n’est pourtant pas reconnu malgré l’extrême et progressive récurrence des faits, et même déclaré comme une« imposture » par Sihem Souid, chargée de mission au ministère de notre très chère Taubira. Tout un symbole.

    Journalistes, politiques, et associations prétendument antiracistes sont restés bruyamment muets suite à cette horrible affaire : l’omerta et la négation sont de mise lorsque les victimes ne sont pas d’origine immigrée. Dominique Sopo, président de SOS Racisme, soutenait même au micro de RMC en 2011 :« Le racisme antiblanc est une notion qui a été forgée par l’extrême droite et le FN depuis des années ». Étrange de rendre coupable l’extrême-droite quand le racisme antiblanc n’est le fait que de la diversité, des« chances pour la France ». Un phénomène bien ancré dans la réalité, et dans les centaines de clips de rap qui appellent à la haine du Blanc, du « babtou » bien trop souvent. Tout aussi réel quand même un élu de la Nation ose se lamenter, à plusieurs reprises, de voir« trop de Blancs »au Sénat. SOS Racisme ne représente décidément plus personne, et surtout pas les Blancs, puisque 84% des Français reconnaissaient l’existence du racisme antiblanc (enquête Fondapol, novembre 2014) et trouvaient même qu’il se développe selon 56% d’entre eux (sondage TNS-Sofres, septembre 2012).

    Le racisme antiblanc, tout comme la natalité extra-européenne, est aujourd’hui en pleine expansion en France et en Europe. La société multiculturelle, jadis présentée comme le remède à tous nos maux, est en fait la principale coupable de cette barbarie francophobe. Les tensions communautaires sur notre sol ne sont dûes qu’à la pluralité ethnique engendrée par 40 années d’immigration massive. On peut souvent entendre que les sociétés multiculturelles sont multiracistes : le racisme antiblanc en est bien la preuve. Pour lutter efficacement contre ce tabou, les sanctions judiciaires, quand elles sont données, restent profondément insuffisantes étant donné que ces agressions puisent leurs racines dans ce terreau multiethnique. Cette violence à l’égard des Blancs, des autochtones, est l’énième confirmation que le vivre-ensemble ne peut fonctionner. Par conséquent, la seule solution pacifique pour mettre fin à ce drame est la remigration, soit le retour au pays.

    Pour la paix civile, il est temps de renvoyer chez elles les personnes qui ont pour unique moteur la haine de la France et des Français. Chers babtous, redevenons maîtres chez nous !

    Stella Costanzo, militante à Génération Identitaire, @JeuneAthena

    http://fr.novopress.info/179764/chers-babtous-redevenons-maitres-chez-nous-par-stella-costanzo/#more-179764

  • Des «patriotes» allemands se mobilisent contre l’immigration

    L’Allemagne a assisté avec stupeur lundi soir au défilé à Dresde de 10 000 personnes contre l’islamisation du pays. Le mouvement Pegida échappe à tout contrôle des partis allemands et inquiète la classe politique

    Personne n’avait vu venir la manifestation. Lundi soir, 10 000 habitants ont protesté pacifiquement dans les rues de Dresde «contre l’islamisation de l’Occident» à l’appel de Pegida, un mouvement inconnu voici deux mois. En face, 9000 personnes protestaient contre le développement de l’intolérance.

    Pegida est l’abréviation d’un slogan qu’on pourrait traduire par «Européens patriotes contre l’islamisation de l’Occident». Ce mouvement échappant à tout contrôle des partis inquiète la classe politique allemande alors que le pays est confronté à un mouvement d’immigration sans précédent.

    Pegida est né en octobre dernier. Lutz Bachmann, 41 ans, repris de justice impliqué dans différentes affaires de vol à main armée, s’indigne devant son téléviseur: des Kurdes et des salafistes se livrent à des batailles de rue dans plusieurs bourgades allemandes. Choqué, Lutz Bachmann annonce via les réseaux sociaux l’organisation d’une manifestation contre l’islamisme. Depuis, chaque lundi soir, le mouvement enfle. De 500 participants, on passe à 10 000 en l’espace de quelques semaines. Jeunes, vieux, hommes, femmes et même quelques familles, la société civile semble se mobiliser. Et si quelques centaines de néonazis et une poignée de fonctionnaires du parti d’extrême droite NPD se mêlent au milieu des drapeaux noir, rouge et or ou des croix hissées au-dessus de la foule, ils semblent noyés dans le mouvement.

    «C’est très surprenant, explique Werner Patzelt, politologue de l’Université de Dresde. C’est comme si quelque chose qui n’attendait que ça venait de se cristalliser. Pegida est né du fait qu’une partie importante de la population se rebelle contre un développement sur lequel on ne l’a pas consultée et qui n’a jamais été débattu: le fait que l’Allemagne devienne une terre d’immigration.»

    L’Allemagne est de fait devenue un pays d’accueil. Deuxième pays d’immigration derrière les Etats-Unis (avec 450 000 migrants, pour la plupart européens, pour 80 millions d’habitants, contre 970 000 migrants pour 315 millions d’Américains), la République fédérale a en outre accueilli cette année plus de 200 000 demandeurs d’asile. Le pays, qui avait accueilli 28 000 réfugiés en 2008, a vu leur nombre passer à 77 000 en 2012 et à 127 000 en 2013 avec le conflit syrien. Municipalités et Länder sont dépassés. A Munich, 200 personnes ont dû passer le début de l’hiver dans la cour d’une caserne, enveloppées de couvertures. Les villes répondent aux besoins des réfugiés avec des solutions d’urgence – implantations de camps de tentes, de piles de containers, réquisition d’écoles ou de casernes désaffectées – auxquelles les riverains ne sont pas préparés.

    Partout à travers l’Allemagne l’opinion publique se mobilise contre l’installation de ces camps de fortune. «Les gens qui protestent sont des citoyens ordinaires, constate Werner Patzelt, pas des gens de gauche bien sûr, mais pas non plus des néonazis. Ce sont des gens que la CDU pourrait atteindre si elle cessait de faire l’autruche sur le thème de l’immigration.» Présentée comme le salut des systèmes sociaux face à une démographie en berne, l’immigration est un sujet tabou dans un pays toujours confronté à ses vieux démons.

    Pour l’heure, Pegida menace de déborder les frontières de la Saxe. Würzburg, Bochum, Munich, Kassel ou Bonn à l’ouest du pays voient fleurir des mouvements similaires. A Leipzig, Pegida s’appelle Legida, et Dügida à Düsseldorf. Ces boutures ne mobilisent pour l’instant que quelques centaines à quelques milliers de personnes. Mais le mouvement pourrait s’étendre.

    «L’Allemagne est un pays riche, souligne Johannes Kiess, sociologue à l’Université de Siegen. Mais cette situation d’île de bien-être au milieu de l’Europe peut prendre fin très rapidement. La crainte d’un déclassement social est forte jusque dans les classes moyennes. Et se retourne facilement contre les plus faibles, les étrangers, les minorités.» Seuls 2,2% des habitants de Saxe sont étrangers; la proportion chute à 0,2% à Dresde!

    Débordés, la CDU et le SPD au pouvoir à Berlin se contentent pour l’instant de dénoncer le mouvement, sans rivaliser de déclarations pour soutenir la communauté musulmane. Quant au petit parti anti-européen AfD, qui se développe sur la droite de la CDU depuis des mois, il demande simplement à ses sympathisants de quitter les manifestations de Pegida si y apparaissaient des insignes nazis.

    Nathalie Versieux

    source  : letemps.ch :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuElFkFkyuRfUIucec.shtml