
Avant de se rendre sur l’étape du Tour de France, le président a échangé avec des élus du 64 ce jeudi matin à Pau. Il est revenu longuement sur les émeutes :
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Avant de se rendre sur l’étape du Tour de France, le président a échangé avec des élus du 64 ce jeudi matin à Pau. Il est revenu longuement sur les émeutes :
À Lyon, c'est un peu comme à Paris ou à Bordeaux. Ou à Grenoble. Ou à Nantes. Les riches habitants du centre, que l'on appelle parfois bobos, ont élu des maires hors-sol qui prennent des décisions incompréhensibles au commun des mortels.
À Nantes, un jeu de chamboule-tout anti-flic. À Paris, un concert de soutien aux émeutiers, avec la bénédiction de la mairie.
Et à Lyon... eh bien, à Lyon, on a une police municipale, mais on ne s'en sert pas. Du moins, pas vraiment. Bien sûr, les agents municipaux doivent être bien occupés en temps de paix, avec les petits ou grands délits ainsi que les P.-V., probablement. Mais en temps de pré-guerre civile, comme lors des émeutes qui ont organisé la rencontre entre les bourgeois et les racaille, niet.
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Ce ne sont pas les Macron et autre Darmanin qui ont ramené le calme dans les cités exotiques, jusqu’à la prochaine explosion, avec armes à feu cette fois. Non, ces « zones de non droit » que les derniers résidents « de souche » et immigrés intégrés à la société française cherchent à fuir, sont sous la suzeraineté de néo-féodaux. Ces derniers ont presque droit de vie et de mort sur les habitants de tous ces « quartiers difficiles ». Sont-ils dans ces nouveaux fiefs, les descendants de Barbaresques conquérants qui, par-delà les siècles, sembleraient vouloir prendre leur revanche ?
SONDAGE – La dernière vague de l’étude Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro révèle que le soutien populaire aux forces de l’ordre ne s’accompagne pas d’un réflexe de soutien à l’exécutif.
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Pour Pierre Brochand, ex-patron de la DGSE, « Avec les émeutes, le pronostic vital de notre pays est engagé. Si nous en sommes arrivés là, c'est en raison de l'idéologie dominante qui a justifié l'immigration massive». Une intervention à paraître dans le Figaro Magazine de ce week-end.
Vincent Vauclin, président du Mouvement national-démocrate
En quelques jours, la France a basculé dans le chaos. Des milliers de véhicules incendiés, de commerces pillés, de mairies et de commissariats attaqués, d'écoles et de bibliothèques vandalisées, des centaines de policiers et de pompiers blessés... Tel est le bilan - encore provisoire - de ces quelques nuits d'émeutes durant lesquelles les pouvoirs publics ont été débordés malgré le déploiement de 45 000 policiers et gendarmes sur l'ensemble du territoire. Une situation quasi-insurrectionnelle mêlant violences gratuites, attaques ciblées contre les représentants de l'État et pillages systématiques, y compris dans des villes de taille moyenne jusqu'ici épargnées par les émeutes urbaines.
Haro sur Jean-Luc Mélenchon. Ses silences et son refus d’appeler explicitement au calme pendant les nuits d’émeutes ayant succédé à la mort de Nahel ont choqué, y compris au sein de la Nupes. (…)
par 5 Juil 2023 | |
Le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a annoncé (triomphant comme toujours) mardi des mesures en concertation avec les assureurs à destination des commerçants victimes de dégradations lors des émeutes, à l’occasion d’une visite à Arpajon (Essone), alors que l’accalmie se poursuit dans les rues françaises.
« Nous avons pris la décision que, pour les commerçants les plus touchés, nous pourrions considérer des annulations de charges sociales et fiscales », a indiqué le ministre de l’Economie.
Les réseaux sociaux ont été reçus vendredi 30 juin par les ministres de l’Intérieur et du Numérique, Gérald Darmanin et Jean-Noël Barrot. Ce dernier explique dans Challenges comment ils veulent censurer les réseaux sociaux, qui offrent pourtant une source d’informations alternatives à la propagande d’Etat :