
En France comme en Tunisie, les émeutes se suivent sans forcément se ressembler. Ainsi, la tension monte à Sfax, la deuxième ville du pays, située sur sa côte est et point de passage obligé des immigrés clandestins venus d’Afrique subsaharienne pour se rendre en Europe. Les raisons de la colère ? Le meurtre d’un Tunisien, Nizar Ben Brahim Amri, semble-t-il commis par trois Camerounais candidats à l’exil, ce lundi 3 juillet.