Dans balance ton poste du 8 octobre 2020, Jean Messiha (RN) explique le lien entre l’immigration et l’insécurité.
https://www.tvlibertes.com/actus/jean-messiha-il-y-a-un-lien-entre-limmigration-et-linsecurite-video
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Dans balance ton poste du 8 octobre 2020, Jean Messiha (RN) explique le lien entre l’immigration et l’insécurité.
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Le 2 octobre, M.Macron a prononcé aux Mureaux (quartier emblématique du merveilleux «vivre-ensemble» chanté sur tous les tons par nos chers dirigeants) un important discours sur le «séparatisme».
J’ai déjà dit que le mot «séparatisme» me semblait particulièrement inadéquat pour définir le problème que l’islam pose à la France: l’objectif ultime des islamistes n’est pas de régner sur des quartiers où la loi française ne s’appliquerait plus (c’est déjà le cas dans plusieurs centaines de quartiers «sensibles»), mais de soumettre tout le territoire français à la charia.
Cela fait maintenant plusieurs décennies que la France a un problème islamique, mais les dirigeants font mine de ne pas comprendre.
Vendredi, Macron avait tenu son discours contre le « séparatisme », sifflé par la gauche, et applaudi par une partie de la droite. Mais le débat se prolonge sur un point précis de son intervention, qui pourrait ruiner le côté « droit dans ses bottes » du discours : c’est l’idée qu’il faudrait développer en parallèle l’apprentissage de l’arabe, à l’école et dans le cadre périscolaire.
On croyait pourtant que la majorité avait tourné le dos à la pratique si confuse et paralysante du « en même temps ». Darmanin, le dur de dur sur ces questions, Blanquer, le Jules Ferry du XXIe siècle, applaudissent pourtant des deux mains.
Bernard Antony communique :
Emmanuel Macron avait choisi de faire de son discours aux Mureaux devant ministres et notables un acte fondateur d’une affirmation de renouvellement politique face au « séparatisme islamiste ».
Ce discours, dont nous avons attentivement analysé le verbatim intégral publié par le Figaro est simultanément marqué par une conception foncièrement archéo-jacobine et totalitaire de l’État et par une grave méconnaissance de la réalité de l’islam.
De plus, sous le couvert de la lutte contre l’islamisme, M. Macron a manifestement tenu à pouvoir désormais se glorifier d’avoir été le premier chef de l’État français à mettre sur le même plan « la liberté d’expression, la liberté de conscience, le droit au blasphème ».
Ceci, sans aucunement prendre en considération le fait que le blasphème est toujours ressenti comme une injure par une partie de la communauté nationale et que, pour le moins, il n’est pas un facteur de respect mutuel et de concorde civique.
Après avoir analysé la partie "éducation" du discours d'Emmanuel Macron du 2 Octobre 2020 qui annonçait un projet de loi visant à défendre la laïcité, Barbara Lefebvre revient aujourd'hui sur la question du financement du culte.
Budapest/Vienne : L’Autriche et la Hongrie refusent « les quota de réfugiés par porte dérobée » et toute répartition obligatoire de demandeurs d’asile dans les différents pays de l’UE. Voilà le principe que la ministre autrichienne des affaires européennes, Mme Edtstadler (ÖVP) et le ministre hongrois des affaires étrangères Szijjàrto ont affirmé lors d’une rencontre à Budapest au sujet des dernières propositions de la Commission européenne.
Bien qu’il subsiste des questions ouvertes, où les points de vue divergent, il ne sera pas toléré que ces propositions eurocratiques prennent la coopération austro-hongroise « dans ses rets », a souligné Szijjàrto lors de la conférence de presse commune des deux ministres. Les principaux domaines des accords mutuels sont, d’après le ministre, l’élargissement de l’UE vers les Balkans occidentaux et le rejet de tous quotas d’asile obligatoires. Szijjàrto a souligné, une fois de plus, le point de vue du gouvernement hongrois quant au refus de toute nouvelle réforme du droit d’asile dans l’UE, qu’il a qualifiée de « tentative sans espoir ».
Lors de cette conférence de presse, Madame Edtstadler a souligné, de son côté, que la Hongrie était un partenaire fiable de l’Autriche, un « pays ami ». La coopération entre les deux pays était une chose importante qui devait demeurer dans le temps. La ministre autrichienne a dit, à propos du pacte de l’UE sur les migrations, que la répartition obligatoire, imaginée pour gérer l’immigration illégale, ne fonctionnait manifestement pas et que cette option avait échoué.
Jeudi dernier, les quatre Etats du Groupe de Visegrad, la Hongrie, la République Tchèque, la Pologne et la Slovaquie ont rejeté à Bruxelles la proposition de la Commission européenne sur la réforme du droit d’asile. Le chef du gouvernement hongrois Orbàn a reproché à la Commission de « continuer à gérer les migration au lieu de les arrêter ».
Texte paru sur le site https://www.zuerst.de
En région parisienne, le nombre d’interpellations de jeunes migrants délinquants pour des cambriolages et vols est en forte hausse. Les autorités veulent s’attaquer aux donneurs d’ordre qui pilotent ces ados toxicomanes, accros aux médicaments. Enquête.
Depuis début 2020, 6309 mineurs étrangers ont été interpellés dans l’agglomération parisienne (+ 42%)
Anouan, avec ses cheveux peroxydés, affirme avoir 14 ans. Il a été arrêté début septembre, en pleine nuit, dans la boutique d’un fleuriste de Plaisir (Yvelines), avec deux complices de 11 et 12 ans. Mais les tests radiologiques réalisés sur ses os à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine) lui en donnent 19. C’est ce qui a permis aux juges du tribunal correctionnel de Versailles de le condamner à 18 mois de prison ferme le 8 septembre. « Je vole pour le compte de deux Algériens qui me donnent des médicaments », a assuré le faux mineur devant les juges.
Le budget « Immigration, asile et intégration » du gouvernement va ainsi augmenter de 2% l’année prochaine. Ce même volet du budget de l’État avait déjà grossi de 22% en 2018, de 12% en 2019 et de 8% en 2020, selon le projet de loi de finances (PLF) adopté en Conseil des ministres.
Sur l’enveloppe allouée à l’immigration, 1,85 milliard sera désormais consacré à « la prise en charge des demandeurs d’asile en instance », qui « représente près des deux tiers des crédits de la mission », selon le PLF. Les 2% supplémentaires, soit 37 millions d’euros, serviront à « financer la création de 4 000 nouvelles places d’hébergement des demandeurs d’asile ».