Avec leur spectaculaire « opération Alpes » d’avril 2018 et leur occupation surprise du toit de la CAF de Bobigny en mars 2019, les militants de Génération identitaire avaient déjà fait la preuve de leur immense courage et de leur détermination à lutter pour la défense de notre pays et de notre peuple. Mais, en déployant une immense banderole dénonçant le racisme anti-Blancs comme ils l’ont fait samedi, sous les hurlements de haine et les appels au meurtre des milliers de manifestants « antiracistes » et d’extrême gauche réunis par le Comité Traoré, ces jeunes Français audacieux ont peut-être plus que jamais marqué les esprits de nos compatriotes lassés d’être quotidiennement traînés dans la boue par le lobby « antiraciste ».
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Formidable Génération identitaire, par Franck Deletraz
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Alexandre del Valle : « En fait, il n’y a que des islamistes et des racistes autour de Mme Traoré »
Alexandre del Valle décrypte, pour Boulevard Voltaire, les événements de ces derniers jours : manifestations antiracistes autour de l’affaire Traoré mais aussi violences inter-communautaires à Dijon. Il estime que l’État a cédé devant une véritable offensive insurrectionnelle et porte des accusations graves quant aux personnes qui entourent, dans les manifestations, Assa Traoré, sœur d’Adama.
Ce week-end, à Dijon, des bandes armées se sont livrées à des affrontements. Visiblement, il s’agirait de gangs d’Afrique du Nord contre des gangs tchétchènes. Que révèle cette actualité ?
Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Il y a une quinzaine d’années, un de mes amis qui était à la tête de la police de Nice m’avait relaté une vengeance extrêmement violente de Tchétchènes qui avaient été agressés. Les Tchétchènes ont souvent des types européens. Une personne d’une bande algérienne avait agressé un Tchétchène blond ou roux en pensant que c’était un petit Français qu’on pouvait se permettre d’humilier. La vengeance avait été terrible. Le corps avait été traîné sur la route par une voiture. C’était un véritable carnage. Cela remonte à plus de dix ans. Ce n’est donc pas la première fois que des heurts se produisent entre Tchétchènes et Algériens ou entre Tchétchènes et Albanais. Ce sont des peuples très durs avec des mafias très organisées qui font en général très peur. Les Albanais ou les Tchétchènes de ces gangs mafieux ont souvent des types européens. Les milieux du banditisme maghrébin craignent énormément ces deux milieux. Parfois, ils les prennent pour des Français de souche qu’ils jugent beaucoup moins violents.
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QUE CONTIENT LE NOUVEAU PACTE POUR L'ASILE ET L'IMMIGRATION ?
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"Sales Juifs !" Les militants de Génération Identitaire conspués lors de la manifestation interdite "Justice pour Adama"
Ce samedi 13 juin, à Paris, lors de la manifestation, non déclarée et interdite (comme tout rassemblement de plus de 10 personnes), organisée par le comité Adama Traoré, des militants de Génération Identitaire ont déployé une banderole dénonçant le racisme anti-Blancs. En réaction, plusieurs manifestants ont hurlé "sales Juifs !", sans susciter la moindre réprobation autour d'eux. Préoccupant...
Des débordements antisémites qui n'empêchent pas le journaliste Pierre Plottu, qui officie à Libération et Slate, de parler de "manifestants calmes et bon enfant"...
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« On va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer » : Éric Zemmour porte plainte après avoir reçu un torrent d’insultes et de menaces suite à la divulgation de son numéro de téléphone
VA- Alors que son numéro de téléphone personnel a été diffusé par un individu malveillant sur les réseaux sociaux, le journaliste reçoit depuis trois jours menaces et insultes. Il a décidé de porter plainte.
(…) Vendredi 12 juin, son numéro personnel a été diffusé sur le réseau social Snapchat par un individu aux intentions, à l’évidence, peu bienveillantes. Excédé, le journaliste du Figaro et de Cnews a saisi son avocat, Maitre Olivier Pardo, qui déposera plainte, ce lundi 15 juin.
Ce dernier avait lui aussi fait l’objet de menaces de mort, par téléphone, à son cabinet, le 2 juin dernier, au lendemain de la parution de son interview exclusive sur le site de Valeurs actuelles : « Vous lui direz que s’il défend les sales juifs, les youds, les youpins, nous, les arabes, on va venir à son cabinet, on va lui faire la guerre. On va venir, on va lui faire un Charlie Hebdo, on va le tuer, on va tous vous tuer » avait proféré l’auteur des faits.
(…) Une enquête pour « violences » et « menaces » avait également été ouverte par le parquet de Paris, quelques jours après l’agression, dans le 9e arrondissement de la capitale, subie par Éric Zemmour le 30 avril dernier.
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Thaïs d’Escufon (Génération identitaire): « Nous recevons beaucoup d’insultes, mais bien plus encore de remerciements ! »
Thaïs, vous avez 21 ans, vous êtes étudiante et, samedi, vous faisiez partie de ces jeunes qui ont déployé une banderole sur les toits de Paris au passage de la manif « contre le racisme et les violence policières ». Pouvez-vous nous expliquer l’objet de cette action ?
Le gouvernement s’est incliné devant le gang Traoré. L’essentiel de la classe politique s’est soumis activement ou passivement depuis des semaines. Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », nous sommes la Génération identitaire, alors nous avons décidé d’agir.
Constatant le silence et l’inaction de ceux qui nous gouvernent, nous avons décidé d’agir symboliquement en déployant une immense banderole portant ces inscriptions : « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc #WhiteLivesMatter » à partir du toit d’un immeuble parisien situé place de la République.
Sitôt que la banderole a été déroulée – l’un d’entre nous a dû descendre en rappel pour l’étendre car le balcon du dessous l’avait bloquée -, nous avons vu l’ensemble du cortège se tourner brusquement vers nous, nous insulter, nous adresser des signes obscènes et, enfin, nous viser avec des pétards et des tirs de mortier. C’était assez dangereux, car même si le toit n’était pas très pentu, nous avons bien failli être déséquilibrés par ces tirs et aurions pu glisser. Il est vrai que cela n’aurait sans doute ému aucun « people »…
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Conflits et violences communautaires : que s’est-il passé à Dijon ce week-end ?
Retour sur les violences qui ont eu lieu à Dijon ce week-end, après l’impressionnante bagarre ce vendredi 12 juin. Selon nos informations des membres se revendiquant de la communauté tchétchène, sont venus de tout le pays, pour se venger de dealers résidant en Côte-d’Or.
Les bagarres place de la République sont presque devenues une habitude le weekend. Mais les images de la nuit du vendredi 12 juin 2020 reste impressionnantes et inédites à Dijon. On y voit plusieurs dizaines de personnes réunies, armées de barres de fer et de battes de baseball. Il s’agirait d’un règlement de compte entre des membres de la communauté tchétchène venus de toute la France, et des dealers dijonnais.
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N’importons pas, en France, la question raciale américaine !
Les États-Unis ne sont pas la France. La justice ne repose ni sur la revanche ni sur le désordre. Les États-Unis connaissent, une fois de plus, des émeutes raciales. La violence urbaine n’y est pas nouvelle. La situation de la minorité noire, la seule à être venue dans le pays, non pour y vivre mieux et plus librement, mais amenée de force sous le régime de l’esclavage, y est spécifique. Depuis Martin Luther King, des progrès ont été réalisés, dont le symbole a été l’élection de Barack Obama. En politique, comme au cinéma, les Noirs ont conquis des places, mais les pesanteurs sociologiques et historiques subsistent. Depuis Malcolm X, le désir d’assimilation fondé sur l’égalité des droits a laissé place, chez certains, à une volonté de revanche qui accentue la fracture. La véhémence de « Black Lives Matter » en témoigne, qui met en exergue les « victimes de la police » noires.
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Entreprise de subversion de racisme décolonial : Macron pris de panique
L’entreprise de déstabilisation de l’État que nous observons au travers de la récupération de l’affaire George Floyd aux États-Unis et son amalgame avec celle d’Adama Traoré en France est typiquement révélatrice d’une opération de subversion des esprits. Or, la réaction du chef de l’État consiste, non pas à dénoncer cette entreprise et à condamner fermement les violences contre les forces de l’ordre, mais à enjoindre le gouvernement à s’emparer des différents volets du sujet, la déontologie policière (qui existe déjà et qui punit les comportements racistes) mais aussi la politique de la ville (qui a montré ses limites et son échec) et le racisme (comme si toute la France était raciste !).
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Marion Maréchal : « Les indigénistes sont les enfants monstrueux de la gauche de SOS Racisme »
L’Institut de sciences sociales économiques et politiques (ISSEP) va ouvrir une antenne en Espagne. Sa directrice générale, Marion Maréchal, s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion, pour elle, de donner son analyse sur les manifestations racialistes qui traversent les États-Unis mais aussi la France.
Après deux ans d’existence, l’ISSEP ouvre une antenne à Madrid. Pourquoi s’ouvrir à l’européen et pourquoi en Espagne ?
Nous continuons notre développement. La motivation qui nous a conduits à construire l’ISSEP, à savoir former une nouvelle élite au service de la nation et de la cité, est un besoin qui ne s’arrête pas à la France. Ce besoin est profond dans toute l’Europe de l’Ouest, et notamment en Espagne. Une équipe espagnole nous a demandé à pouvoir importer ce modèle chez eux. Nous avons pu aller au bout de la démarche. Aujourd’hui, l’ISSEP Madrid a ouvert ses portes. La première formation commencera dès septembre prochain.