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immigration - Page 534

  • « Ensauvagement » : ce que signifie ce concept cité par Gérald Darmanin, Eric Ciotti et Marine Le Pen

    Depuis qu’il a été utilisé par Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, « l’ensauvagement » est devenu le nouveau concept au cœur du débat sur l’insécurité. L’expression, utilisée depuis plusieurs années par l’extrême droite, a été théorisée en 2005 puis en 2013.

    Depuis 2013 et son utilisation par Marine Le Pen, le mot « ensauvagement » a infusé dans le débat politique consacré à l’insécurité. […] Quand Jean-Pierre Chevènement, ministre de l’Intérieur de 1997 à 2000, utilise le mot « sauvageons » pour décrire les mineurs délinquants dans les quartiers sensibles de banlieues, c’est tout un nouveau vocable qui s’invite en politique. Ceux qui enfreignent la loi sont comparés à des animaux vivant en liberté dans la nature, voire, au sens péjoratif du terme, à des êtres primitifs, non-civilisés.

    Il faut toutefois attendre 2005 et un essai de Thérèse Delpech pour voir apparaître l’expression « ensauvagement ». Cette intellectuelle, morte brutalement en 2012, travaillait au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et a longtemps produit des notes pour l’exécutif. […] Thérèse Delpech dépasse l’exemple irakien pour théoriser un « ensauvagement plus global. Selon elle, les conflits sont de plus en plus violents et marquent « une sauvage indifférence aux êtres humains« . Elle pose l’idée que les esprits et les gouvernements sont, à l’inverse, de plus en plus inactifs, apathiques face à cette violence. « La passivité qui accompagne la montée de la violence est plus inquiétante encore que la violence montante, écrit-elle. Car elle rend sa victoire possible. Celle-ci bénéficie de l’inaction. » […]

    Le JDD

    http://www.fdesouche.com/1406907-ensauvagement-ce-que-signifie-ce-concept-cite-par-gerald-darmanin-eric-ciotti-et-marine-le-pen

  • Une action pacifique de Génération identitaire

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    Par Francis Bergeron

    Mme Sylla est une élue du peuple français, il n’est donc pas anormal que ses électeurs lui demandent des comptes, et que certains d’entre eux expriment haut et fort, mais sans violence, sans injures et sans menaces, leur désaccord, si les positions de cette dame leur semblent inacceptables. Cela s’appelle « le débat démocratique », paraît-il. Et prôner la démocratie, c’est, théoriquement, accepter la contradiction. Ou bien parlons alors de « démocratie populaire », et les choses seront plus claires.

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  • On ne peut vaincre l’ensauvagement qu’en restaurant Notre civilisation ! (II)

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    Les violences urbaines de Dijon, de Nice et d’ailleurs, les meurtres gratuits qui témoignent d’une totale indifférence à la vie des autres ont propulsé la notion d’ensauvagement au premier plan de l’actualité. Le fonctionnement médiatique de notre société nous habitue à traverser au pas de charge des séquences saturées par un sujet dominant. Certains sont imposés d’en haut par l’idéologie qui anime le microcosme des politiques et des communicants, comme le réchauffement climatique, d’autres s’imposent d’eux-mêmes mais sont récupérés par la sphère du pouvoir, comme la pandémie actuelle, qui accroît l’emprise sur la société civile, d’autres encore sont suscités par des groupes de pression idéologiques et déstabilisateurs comme l’étonnante incursion en France du « racialisme » prétendument antiraciste, qui a facilité la scandaleuse exploitation de l’affaire Traoré. Enfin, il y a ceux que les faits eux-mêmes placent en tête des informations. Les violences, les coups de couteau, les blessures, les handicaps à vie, les morts, pour un mauvais regard, pour une cigarette refusée, pour un rappel à l’ordre sont monnaie courante mais demeurent dans la zone grise des faits divers où les revendications islamistes sont signes de déséquilibre mental et les noms des auteurs oubliés ou maquillés. Et puis, en quelques jours, des morts particulièrement cruelles commis par des « sauvages », provoquent une vague émotionnelle et font monter à la surface la réalité que la France d’en-haut veut cacher : celle de ces quartiers et maintenant de ces villes où la loi qui règne n’est pas celle de l’Etat, mais celle des bandes qui vivent des trafics ou des communautés qui s’inspirent d’autres règles que les nôtres. Dans cette France à l’envers, c’est le citoyen qui doit fermer les yeux et baisser la tête, car à vouloir rappeler la loi, il risque sa vie. Cette question est évidemment plus importante que celle du Covid-19, car contrairement à la maladie, elle dépend entièrement de la volonté politique, et qu’elle est d’une durée plus longue. Elle est plus essentielle que l’écologie ou l’économie, car elle est nationale et non mondiale et dépend de nous. C’est pourquoi le gouvernement de contre-sens que notre pays subit depuis trois ans l’a superbement ignorée et écartée. Voici qu’elle lui est jetée à la figure.

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  • Nicolas Dupont-Aignan, après l’attaque déjouée d’une église dans le 93 : « On est dans un déni de réalité… il faut nommer les actes antichrétiens et réagir »

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    Dimanche dernier, au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, un forcené a menacé les fidèles d’une église, armé d’un fusil-mitrailleur, en criant « Allahou akbar ». L’attentat a été déjoué grâce à l’intervention d’un passant. L’auteur des faits comparaissait, ce jeudi 23 juillet, devant le tribunal de Bobigny. Le procès a été renvoyé au 14 août.

    Réaction de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce les actes antichrétiens, auxquels on « s’est habitué » en France. Pour lui, celui qui a évité le drame au Blanc-Mesnil mérite la Légion d’honneur.

  • Lyon : des militants de Génération Identitaire ont rebaptisé de nombreuses rues en hommage à Axelle Dorier

    Lyon : des militants de Génération Identitaire ont rebaptisé de nombreuses rues en hommage à Axelle Dorier
  • Italie: un bateau de migrants par heure débarque à Lampedusa, le centre accueille dix fois sa capacité

    L’île italienne de Lampedusa atteint actuellement en moyenne un bateau avec des réfugiés toutes les heures. Le centre d’accueil de 100 places est bondé de près de 1000 personnes.

    […]L’île italienne de Lampedusa atteint actuellement en moyenne un bateau avec des réfugiés toutes les heures. Selon le service d’information en ligne italien « Mediterraneo Cronaca », le centre d’accueil de 100 places compte près de 1 000 personnes

    Welt.de

    https://www.tvlibertes.com/actus/italie-un-bateau-de-migrants-par-heure-debarque-a-lampedusa-le-centre-accueille-dix-fois-sa-capacite

  • La France aurait le plus grand nombre de détenus liés au terrorisme en Europe, selon une étude

    Une récente étude menée par le Centre international d’étude de la radicalisation (ICSR), au King’s College de Londres, portant sur dix pays européens, déplore que le continent n’a jamais autant compté de djihadistes dans ses prisons. Le constat dressé est sans appel : « Il y a plus de détenus condamnés pour des infractions liés au terrorisme qu’à aucun moment depuis le tournant du millénaire », a rédigé l’ ICSR.

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  • Face à l’ensauvagement de la société française, il est temps de renverser la table !

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    L’«  » de la société française est à la une, et c’est inévitable. Que signifie l’ ? En premier lieu, l’augmentation de la brutalité dans les rapports humains. En second lieu, le fait que les auteurs de ces violences sont étrangers à la culture nationale, que leurs comportements sont ceux de « sauvages » qui n’ont pas assimilé la civilisation dont nous héritons et qu’ils n’ont pas été assimilés à la nation réduite à « la République ».

    Il y a, dans notre pays, des espaces où le rapport de force domine l’État de droit parce que, démographiquement, des groupes d’origine étrangère sont plus nombreux que les autochtones et ne peuvent donc imiter le modèle de ces derniers, que les trafics et autre activités illicites constituent une part décisive de l’économie de ces secteurs et qu’enfin, l’école inhibée par les pressions, les menaces, les réticences ne remplit plus son rôle intégrateur. Quand la formation conduit à de petits emplois mal rémunérés alors que la délinquance et le crime rapportent bien davantage, notamment en raison du laxisme judiciaire à l’égard des mineurs, prétendre que la construction d’une école permettrait de fermer une prison est grotesque.

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  • Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence

    Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence

    Nicolas, père de famille de 35 ans, s’est réveillé après 15 jours de coma handicapé à vie. Un voisin témoigne de cette agression sauvage, qui s’est déroulée le 19 mai à Brest :

    «Ce soir-là, j’étais dans mon lit devant la TV, lorsque j’entends la porte d’entrée de l’immeuble qui claque. Quelques secondes plus tard, j’entends des bruits sourds violents. Je devine qu’on est en train de casser la porte vitrée. Je me lève et vois mon fils, devant l’œilleton de notre porte d’entrée, les yeux écarquillés. Il me fait signe de la main de reculer. Nous restons dans le salon et au son des bruits, nous comprenons que c’est très grave. Au début, je pensais à une bagarre entre dealers, mais j’entends une voix masculine appeler à l’aide : “au secours, aidez-moi !“. Je comprends qu’une victime innocente se fait agresser et j’appelle la police, qui a déjà reçu d’autres appels d’habitants de la cité. Je les supplie de faire vite : j’entends l’homme hurler et les fracas de son corps tomber à répétition contre ma porte. Il va mourir.

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  • Retour des djihadistes : « Ils sont français, qu’on le veuille ou non. » À voir !

      
    Capture d'écran
    Georges Michel
     – encore lui, désolé ! – milite pour que les  français, qui risquent la peine de mort en Syrie et en Irak, rentrent en France. 
    L’avocat, qu’il est toujours, est dans son rôle. Le ministre, c’est peut-être plus discutable, même si, il est vrai, la France, en février 2007, sous Jacques Chirac, a constitutionnalisé l’abolition de la peine de mort.
    Mais si la peine de mort est abolie en France, elle ne l’est pas en Syrie et en Irak, et personne n’a obligé ces « ressortissants français » à partir là-bas pour y faire le djihad.
    Le ministre des Armées, Florence Parly, n’avait pas eu ces pudeurs de gazelle, en 2017, lorsqu’elle avait déclaré : « Ce que nous voulons, c’est aller au bout de ce combat. Et, bien sûr, s’il y a des djihadistes qui périssent dans ces combats, tant mieux. »

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