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La «Maison des médias libres» recalée à Paris : le bâtiment servira de centre d’hébergement pour migrants
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Cet immigrationnisme des élites qui ruine la France, par Philippe Fabry.
Source : https://www.causeur.fr/
La spirale immigrationniste est un pacte tacite entre les grands groupes français et la caste des énarques.
En France, deux tiers des habitants sont opposés à l’immigration de masse : les sondages parus à l’automne dernier montraient que cette proportion de la population estimait que l’intégration ne fonctionnait pas, et qu’il y avait trop d’étrangers en France. La proportion varie quelque peu, mais grosso modo, une nette majorité de la population est défavorable à l’immigration de masse, depuis des décennies. Pourtant, celle-ci se perpétue et, surtout, n’est pratiquement plus remise en question dans le débat public.
Il arrive certes à des polémistes de soulever la question, mais elle n’est pas politiquement débattue, c’est-à-dire soumise à une consultation démocratique. Lorsqu’elle est évoquée, c’est pour des ajustements à la marge, jamais pour interroger le principe et demander leur avis aux autochtones. De fait, depuis la fin des années 1970, c’est entre 200 000 et 300 000 personnes qui pénètrent chaque année sur le territoire national, dont plus de 60 % viennent d’Afrique.
Le tonneau des Danaïdes
Dans un pays qui se prétend démocratique, la contradiction entre une politique constante, aux conséquences si lourdes, si profondes et si durables sur le corps social, et l’hostilité à celle-ci de la majorité de la population ne peut qu’interroger. Il ne s’agit en effet pas d’évolutions sociétales, comme le mariage homosexuel ou la suppression de la peine de mort, qui peuvent être adoptées en dépit des préventions de la majorité et bénéficient ensuite d’un effet cliquet. Il n’y a pas d’effet cliquet en matière d’immigration : c’est une volonté toujours renouvelée. D’où vient-elle ?
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Sept fusillades depuis fin juin : Grenoble miné par les règlements de comptes
Les affrontements à coups de fusils d’assaut ont lieu en plein jour, parfois au milieu des passants. Une explosion de violence qui serait liée au déconfinement et à une lutte de territoires entre réseaux rivaux.
« Grenoble, c’est le Chicago français. » C’est par cette formule choc que le syndicat de police Alliance qualifiait la capitale des Alpes en août 2018, suite à une série de règlements de compte et de meurtres. Deux ans plus tard, le scénario semble se répéter. Depuis fin juin, on dénombre en effet sept fusillades dans l’agglomération grenobloise. Avec un bilan très lourd : trois morts et quatre blessés.
La première de ces fusillades a lieu le 27 juin sur la place Saint-Bruno. Des tirs retentissent en plein après-midi au beau milieu des passants et des terrasses de bars. Miraculeusement il n’y a pas de victime…
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L’article dans son intégralité sur Le Parisien
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Débarquements de migrants : des patrouilles de la Royal Navy dans la Manche ?
Le ministre de l’Intérieur (Home Secretary), Priti Patel, soutient la proposition d’envoyer la Royal Navy face à l’afflux de migrants dans la Manche, après un nombre record de 235 étrangers illégaux débarqués jeudi dernier.
L’Union pour les frontières, l’immigration et les douanes (The Union for Borders), syndicat représentant les agents du service d’immigration britannique, a déclaré que les militaires devaient être mobilisés pour aider à faire face à la crise, notamment en raison de la menace de violence de la part des migrants, et pour les forcer à retourner en France par la mer.
Le nombre de migrants a plus que doublé, au cours des huit premiers mois de 2020 (près de 3.950) par rapport à l’ensemble de 2019 (1.850). Migration Watch UK a averti que plus de 7.500 personnes pourraient arriver d’ici à Noël.
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Des migrants en sûreté : nous voilà rassurés…
Le « flash actu » du Figaro demeure une source d’information rapide pas trop triturée dans le sens politiquement correctement orienté. Mais il s’y lit des télescopages d’information véritablement révélateurs.
Jugez-en dans ces deux entrefilets consécutifs du 8 août :
16:04 Carcassonne : deux jeunes violemment agressés dans un train. Parce qu’ils ont demandé à un passager d’arrêter de fumer, les deux Toulousains ont été frappés par six personnes.
15:26 Pas-de-Calais: 33 migrants secourus dans la Manche lors de deux opérations.
Voici les détails présentés dans l’ordre chronologique.
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Islam en France, islam de France ?
Jérôme Besnard est élu local et conseiller national du parti les Républicains. Il a travaillé comme collaborateur d'élus dans plusieurs villes concernées par une forte activité islamique. Il a également été chargé d'enseignement en droit constitutionnel à l'Université Paris V.
Entretien par l'abbé G. de Tanouarn
Si toutes les religions se valent, pourquoi accorder une place particulière à l'islam dans l'organisation religieuse de la France ?
Parce que justement toutes les religions ne sont pas égales dans notre pays, du moment que l'on fait un minimum abstraction du droit. Elles n'ont ni la même Histoire, ni le même poids, elles ne posent pas les mêmes problèmes au pouvoir temporel. Le christianisme s'accorde très bien de la laïcité envisagée comme distinction du temporel et du spirituel. Minorité se pensant comme une minorité, le judaïsme a accepté il y a déjà plus de deux siècles de se plier aux règles concordataires imposées par Napoléon. Religion qui a été la matrice de l'unité française à côté de l'œuvre politique des rois de France, le catholicisme continue de modeler le paysage français par ses églises et ses cathédrales. Il n'a cédé ses prérogatives que devant la force déployée par l'idéologie radical-socialiste sous la IIIe République. L'Islam lui, à la différence des deux autres est une religion d'importation et d'implantation récente liée un phénomène politique et économique l’immigration de masse.
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Face à la racaille, la colère de Palavas
Source Lengadoc info cliquez là
Vendredi dernier, près de 400 personnes ont marché dans les rues de Palavas (34) pour dénoncer l’insécurité grandissante que connait la station balnéaire cet été.
Les revendications sont claires : il faut plus de policiers municipaux et de gendarmes, mais surtout il faut leur lâcher la bride pour qu’ils puissent lutter contre les racailles. C’est ce que réclamait les Palavasiens qui ont manifesté dans les rues de Palavas.
A chaque saison estivale, la population du village passe de 6 000 habitants à près de 140 000. une telle augmentation de la population entraîne forcément une recrudescence des violences. Mais cette année, les habitants sont unanimes, l’insécurité a vraiment atteint des sommets : rodéos de voitures dans les rues, agressions gratuites, coups de couteau, cambriolages, drogues en tout genre…
La colère gronde et la manifestation a rassemblé près de 400 personnes, une forte mobilisation pour une commune de la taille de Palavas.
NDLR - SN : notons parmi les manifestants la présence remarquée et appréciée de notre ami Richard Roudier, président de la Ligue du Midi, accompagné des militants locaux de ce mouvement.
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Un gendarme neutralise un chauffard multirécidiviste et positif à la cocaïne : il est en garde à vue !
Décidément, dans notre Sud-Ouest comme partout en France, on se demande jusqu’où il faudra aller dans l’escalade de la délinquance et dans le renversement des valeurs pour qu’enfin on remette les choses à l’endroit.
Les faits
Vendredi, sur l’autoroute, près de Montauban, un chauffeur routier « a refusé d’obtempérer suite à un contrôle routier, il a pris la fuite, a percuté un véhicule de la gendarmerie dans lequel se trouvait un gendarme. Un gendarme a fait usage de son arme, le chauffeur a été touché et le camion a pris feu. L’autopsie déterminera les causes de sa mort », selon le parquet.
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Taha Bouhafs qualifie Zemmour de « sous-humain » et portera plainte pour avoir été qualifié de « racaille indigéniste » par Valeurs Actuelles
Et j’ai pas de lecon d’antiracisme à recevoir de propagandistes d’extrême droite qui se pignolent sur ce sous-humain de zemmour
— Taha Bouhafs (@T_Bouhafs) August 8, 2020
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Qu’est-ce qui ne va pas avec la diversité ?
Greg Johnson
Il y a des contextes dans lesquels la diversité est une bonne chose. Par exemple, la diversité des produits sur le marché, la diversité des choix dans la vie, la diversité des opinions dans la politique et le milieu universitaire, et une diversité de points de vue dans les jurys pour décerner des prix ou rendre un jugement.
Mais dans le contexte de la politique contemporaine, la diversité signifie quelque chose de très spécifique, c’est-à-dire intégrer une variété de races et de groupes ethniques différents dans la même société ou institution. La diversité signifie aussi l’intégration des femmes et des minorités sexuelles dans des institutions qui les excluaient traditionnellement, comme l’armée. Evidemment, on peut imaginer une société sans diversité raciale et ethnique, mais on ne peut pas imaginer une société sans des hommes et des femmes. On peut cependant imaginer une société dans laquelle les hommes et les femmes ont des domaines et des rôles sociaux assez distincts.