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Belloubet rejette le bracelet pour suivre les islamistes endurcis libérés de prison (JT 23juin 2020)
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Jean Messiha (RN): « Le changement de peuple provoqué par une immigration massive et permanente entraîne un changement de roman national. » (Vidéo)
Jean Messiha intervient au sujet de la vandalisation de la statue de Colbert de l’Assemblée nationale : « Le changement de peuple provoqué par une immigration massive et permanente entraîne un changement de roman national. Depuis 40 ans on interdit à la France d’être la France. Elle est en train de devenir autre chose »
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Qui est Thaïs d’Escufon, la militante qui a enflammé la Toile ?
Entretien exclusif
Thaïs d’Escufon faisait partie de ces jeunes de Génération identitaire qui ont déployé une banderole sur un toit de Paris, le 13 juin dernier, au passage de la manifestation « contre le racisme et les violences policières ».
Elle donne, aujourd’hui, une interview à Boulevard Voltaire pour expliquer le sens de son engagement et réagir, notamment, après la publication du sondage de CNews qui indique que, pour 47 % des Français, le racisme anti-Blanc est une réalité dans notre pays.
Thaïs milite à Génération Identitaire depuis plus de deux ans. Après avoir participé à plusieurs actions d’envergure nationale, elle était présente sur les toits de République face à la manifestation du collectif Traoré. Cette manifestation avait pour but de réclamer justice au nom des victimes du racisme anti blanc. Cette action aura été confortée par un sondage dévoilé par CNews où près de 47 % des Français estiment ressentir le racisme anti blanc.
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Dijon brûle et nous regardons ailleurs. À quand un référendum citoyen sur les questions régaliennes de sécurité ?, par Isabelle Marchandier
Le quartier des Gresilles à Dijon, le 15 juin 2020 © DOLIDZE SABRINA/SIPA
Source : https://www.causeur.fr/
Après une semaine de violences extraordinaires entre populations immigrées à Dijon, un référendum semble promis aux Français. Mais pas du tout sur la sécurité…
Le film « Peur sur la ville » de Henri Verneuil pourrait à lui seul résumer la semaine qui vient de s’achever. Sauf qu’en 2020, la peur n’est pas suscitée par un tueur en série sadique qui s’en prend aux jolies jeunes femmes, mais par des bandes tchétchènes, des antifas, des black blocks et des racailles de banlieues armées.
En meute, tous viennent saccager, brûler, casser, blesser, se battre entre eux ou contre les forces de l’ordre. Mais peu importe. Peu importe que tout un quartier ait été pris en otage à Dijon quatre jours durant à cause d’un déchainement de violence inter communautaire où seule la loi du talion avait droit de cité. Peu importe que la manifestation des soignants de mardi ait été gâchée par des black bloc et autres antifas issus de l’ultra gauche, venus pour casser du flic. Peu importe, car la priorité du gouvernement ce n’est pas le rétablissement de l’ordre républicain, mais la préservation de la planète !
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Sibeth : « Je ne saurais pas expliquer à mes enfants s’il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l’ordre »
Nouvelle provocation du porte-parole du gouvernement, suite à l’arrestation d’une infirmière prise en flagrant délit de jeter des pierres sur les forces de l’ordre :
Elle n’aurait pas voulu dire exactement cela, mais pour une “porte-parole”, cela fait désordre :
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Me Frédéric Pichon, sur la relaxe dans l’affaire de la mosquée de Poitiers : « Le droit a primé sur l’émotion ! »
La cour d’appel de Poitiers a relaxé les cinq militants de Génération identitaire dans l’affaire de l’occupation des toits de la mosquée de Poitiers, en octobre 2012. Relaxe totale sur les faits d’incitation à la haine raciale et de dégradations. La prescription a été retenue.
Au micro de Boulevard Voltaire, l’avocat de l’un d’eux, Me Frédéric Pichon, témoigne.
Relaxe générale dans le procès des Identitaires suite à leur action sur le toit de la mosquée de Poitiers. Cet épisode vient clôturer plusieurs années de bataille judiciaire. Quel est votre sentiment ?
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Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».
Source : https://fr.sputniknews.com/
Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»
Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.
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Paris, Dijon, Nice : y a-t-il un pilote dans l’avion ?
Les autorités sont incapables de maintenir l’ordre, de faire respecter la loi et, même, de défendre l’honneur de forces de l’ordre insultées par une racaille encouragée à déferler, vu la passivité du pouvoir. Mieux : elles encouragent à la désobéissance, comme l’a fait Castaner en donnant son blanc-seing moral aux manifestations interdites…
Jugez plutôt :
Depuis trois semaines, des manifestations sauvages se déroulent régulièrement, malgré les règles sanitaires et les interdictions des autorités : manif de sans-papiers, puis manifs antiracistes. Toutes se sont accompagnées de troubles, de heurts, de violences. Mieux, même : samedi dernier, ce sont des commerçants et restaurateurs de Paris qui se sont vus obligés de fermer pour permettre une manifestation non autorisée de se dérouler. Ubuesque…
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Relaxe générale pour l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers !
Ce vendredi 19 juin, la cour d’appel de Poitiers a finalement décidé de relaxer les 5 militants poursuivis dans cette affaire. Voici la réaction du mouvement identitaire.
Après 8 ans de procédure, la cour d’appel de Poitiers a relaxé ce vendredi les 5 militants identitaires poursuivis depuis 2012 pour l’occupation du chantier de la mosquée de Poitiers.
En première instance, nous avions été condamnés à des peines délirantes : 1 an de prison avec sursis, 5 ans de privation des droits civiques et familiaux et 40 000 euros d’amende et de dommages et intérêts.
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A Dijon, la vérité des faits
Par Guillaume Roquette *
Et le réel s’est vengé. Durant deux semaines de divagation, la France s’est prise pour l’Amérique, la police a été indignement culpabilisée (y compris par son ministre) et le pays tout entier fut accusé de racisme, sommé de mettre un genou à terre en signe de contrition. Jusqu’à ce que des émeutes, bien réelles celles-là, nous ramènent tout d’un coup dans le vrai monde.
Les batailles rangées entre Tchétchènes et Maghrébins qui ont bouleversé Dijon cette semaine n’ont rien d’iné- dit. Elles viennent nous rappeler que la violence, en France, n’est pas le fait de la police mais des voyous. Voilà des années que la capitale de la Bourgogne, comme des dizaines de métropoles françaises, est le théâtre d’affrontements entre bandes sur fond de trafic de drogue. Des années que les armes y circulent presque au grand jour, que les trafiquants ont conquis le territoire.