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immigration - Page 687

  • Gilets Jaunes, Rouges et Noirs : vers une convergence des luttes ?

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    Pieter Kerstens

    Au fil du temps et des rassemblements sur les ronds-points, des blocages de stations-services et des centres commerciaux, on a pu constater une dérive gauchiste vers un rejet des institutions.

    Lentement, mais sûrement, le mouvement des « Gilets Jaunes » a en effet été infiltré par les agitateurs marxistes qui, semaine après semaine, ont dénaturé les revendications légitimes initiales en imposant leurs slogans et leurs exigences utopiques fondés sur la lutte des classes. Et dans les manifs on a vu de plus en plus de poings levés…

    C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.

    « Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. » avait déclaré le Président américain Abraham Lincoln en 1860 devant le Congrès.

    Ces affirmations de bon-sens devraient aussi inspirer les « figures » des Gilets Jaunes (Drouet, Ludoski, Chalençon, Espinosa, Rodrigues, Clément & C°), comme d’ailleurs le gouvernement actuel.

    En imposant un Référendum d’Initiative Citoyenne (RIC) révocatoire, on ne pourra pas résoudre la mauvaise gestion des trois secteurs de l’administration française (centrale, territoriale et hospitalière).

    Augmenter le SMIC à 1.800 ou 2.000 € par mois ne va pas enrayer le déficit commercial structurel qui, année après année, plombe les comptes de la Nation.

    En 2016, seuls 16,5 millions de foyers fiscaux payaient l’impôt sur les revenus, alors que 21,5 millions (58%) étaient non imposables, ceux-là même qui rouspètent le plus.

    Qui va payer l’addition ?

    A ce jour, la dette publique en France est de 2.380 milliards d’euros, soit 37.800€ par habitant. Fin 1980, avant l’arrivée de Mitterrand, la dette publique n’était que de 92 milliards d’euros. Puis, fin 1995 elle atteignait 663 milliards d’euros (élection de Chirac), pour grimper à 1.000 milliards en 2003 et elle dépassait les 2.000 milliards en 2014 sous Hollande.

    Face à ce fléau, qui est un réel héritage empoisonné pour les futures générations, il est indispensable et urgent de stopper l’hémorragie financière.

    Seuls un langage de vérité et des réformes structurelles courageuses mais impopulaires pourront rétablir l’équilibre du budget annuel, avant de pouvoir résorber la dette publique.

    OUI, il va falloir travailler plus. OUI, l’Etat devra diminuer ses dépenses. OUI, il faudra aussi se serrer encore la ceinture. OUI, il sera dès lors nécessaire de distinguer l’essentiel du superflu, surtout dans la perspective d’un nouveau krach financier qui s’annonce.

    Par manque de courage, par lâcheté, par clientélisme ou incompétence, les responsables ministériels depuis 40 ans ont ignoré les rapports de la Cour des Comptes qui, les uns après les autres, décrivaient les dangers des dépenses inconsidérées et non justifiées et proposaient des solutions structurelles.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Religion de paix et d’amour : 146 811 victimes pour 31 221 attentats islamistes depuis le 11/09/01

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    Les chiffres sont éloquents… Voici le lien vers le document intégral : Die Welt am Sonntag – 28-04-2019

    Il ne faut pas faire de lien avec la religion au nom de laquelle sont menées ses attaques.

    Par contre, l’attaque menée par un Blanc contre une mosquée en Nouvelle-Zélande permet de condamner et de réprimer tout ce qui touche au refus de l’immigration dans les pays blancs.
    Voir la suite

  • Greta Thunberg, vous connaissez : c’est cette adolescente de 15 ans qui a été reçue par Macron.

    Tout a commencé lorsqu’elle a décidé de ne pas retourner à l’école à cause de l’été caniculaire ayant provoqué des feux de forêt en Suède. 
    Pour cela, chaque vendredi, elle apparaissait devant le Parlement national suédois avec une pancarte : « Grève des écoles pour le climat »
    Depuis, elle a participé à la Conférence mondiale sur le climat de Katowice, en Pologne, et a voyagé à travers le monde, exhortant les politiques à défendre la planète, suivie par une nuée de journalistes et de jeunes ados enamourés.
    Si le politiquement correct se courbe devant la jeune Scandinave, il y a une autre adolescente suédoise, âgée elle aussi de 15 ans, dont les grands médias parlent peu. 
    Izabella Nilsson Jarvandi. 
    Mais qui est cette belle jeune fille aux cheveux noirs et aux yeux foncés dont le père est originaire d’Iran ? 
    Tout aussi déterminée que Greta, on peut la voir en gilet jaune sur YouTube un micro à la main marteler ses convictions à Helsingborg. 
    Ses discours, elle les prononce contre la migration de masse et les politiques familiales actuelles qui, selon ses propos, conduiraient au « génocide du peuple suédois ».
    Elle fustige sans relâche la classe dirigeante progressiste et libérale, luttant contre l’implantation de la pensée dominante. 
    Pour cela, elle s’est solidarisée avec les propos du président Orbán, appelant notamment au renouveau des familles chrétiennes. 
    Elle dénonce aussi la colonisation idéologique de la théorie du genre qui s’infiltre dans toutes les écoles suédoises. 
    Elle a, notamment, condamné ces textes étudiés à l’école décrivant une fille avec un pénis et un garçon avec un vagin. 
    Malgré sa jeunesse, Izabella ferraille non pas contre le désastre écologique mais contre un désastre bien plus grand : le désastre anthropologique et culturel qui menace la Suède.
    « On ne me réduira jamais au silence et je ne pardonnerai jamais aux politiques tout le mal qu’ils ont fait à ma chère Suède […] Je suis convaincue que les dieux veillent et je sais que les traîtres seront un jour jugés sévèrement », fulmine Izabella en prenant la parole dans les rues des cités scandinaves.
    Pour mieux comprendre la colère d’Izabella, il ne faut pas oublier qu’en Suède, les viols et agressions sexuelles ont quadruplé en dix ans. 
    Qu’en 2017, sur les 112 hommes et adolescents jugés coupable de viol en réunion, 82 étaient nés ailleurs que dans le pays et, parmi ceux nés en Suède, seuls 13 avaient deux parents suédois. 
    Dans un rapport de 2018 sur les agressions sexuelles, la police suédoise signalait : « Les suspects d’actes criminels commis par d’importants groupes de délinquants sont, pour la plupart, des individus de nationalité étrangère […] Après la réintroduction de tests pour déterminer l’âge des migrants, 78 % des individus qui y ont été soumis se sont révélés être des adultes. »
    Je terminerai par cet appel de la jeune patriote suédoise adressé aux partisans de Greta Thunberg : « Si vous n’êtes même pas des hommes et des femmes concernés par la défense de votre peuple, alors comment pouvez-vous l’être pour le reste de l’humanité ? » 
    J.-P. Fabre Bernadac

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/04/greta-thunberg-vous-connaissez-cest.html#more

  • Rapport de la CNCDH : « Vivre ensemble »… mais sans les Blancs

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    La CNCDH ou « commission nationale consultative des droits de l’homme », supposément « indépendante », selon son site, a rendu son 28e rapport concernant la « lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie » le 23 avril 2019. L’idée générale ? Malgré la violence islamo-terroriste récente ou l’immigration de masse qui ne dit pas son nom, les Français seraient de plus en plus tolérants. Une enquête de 300 pages vient appuyer cette idée. Qu’apprenons-nous cependant en lisant plus attentivement ? Que l’islamophobie est une forme spécifique de discrimination (mais pas la christianophobie), que le calcul de l’indice de tolérance divise la population en Noirs, juifs, maghrébins, musulmans et roms (pas de Blancs, chrétiens ni d’Européens concernés), que le racisme concerne les « minorités », que la prédisposition à la tolérance est liée à « l’orientation politique » (le rapport identifie les méchants sympathisants LR et RN), que la délinquance à caractère raciste baisserait, à l’exception des actes antisémites, que les actes anti-chrétiens sont dilués dans les actes antireligieux, que la majorité des actes racistes ne seraient pas déclarés…

    Un exemple d’islamophobie ? « L’opinion négative d’une partie des Français reste cependant marquée par leur perception d’une religion conquérante et par le sentiment que certaines pratiques musulmanes sont peu compatibles avec le “vivre ensemble”. »

    Le rapport recommande par ailleurs de cadrer médiatiquement et politiquement l’information, d’agir à l’école ou de « lutter contre le “racisme policier” et la violence qui peut en découler (notamment mettre un terme aux pratiques abusives et discriminatoires des forces de police constatées dans le cadre des contrôles d’identité, et lorsqu’elles sont avérées, les punir fermement) ».

    Les fameuses réunions « racisées non mixtes »

    Cerise sur le gâteau ? La CNCDH a organisé le 16 mars 2018 un séminaire sur « les nouvelles formes de l’antiracisme en France », avec le CRAN, le Comité Marche du 23 mai 1998, l’association Lallab et le CCIF, qui a promu « l’intersectionalité », usine à gaz militante voulant que toutes les « luttes » de minorités convergent contre la France de souche, un rejet de l’universalisme, qui serait porteur de discrimination vis-à-vis des différentes « identités », et surtout l’affirmation de la nécessité des réunions « racisées non mixtes » non ouvertes aux Blancs, réunions qui ne seraient pourtant pas « racistes ». Par la mise en avant de cette conception racialiste des différences, la CNCDH accrédite ceux qui travaillent pourtant au développement d’un racisme jamais nommé, celui qui s’exerce vis-à-vis des populations de souche dont l’existence même est niée par ces pratiques. C’est bien de négationnisme dont il s’agit et ce négationnisme va vite se diffuser dans tous les établissements scolaires, comme il le fait déjà dans toutes les universités, puisque le rapport est édité par La Documentation Française. Un militantisme raciste anti-« Français de souche » avec la bénédiction de l’Etat en somme.

    Paul Vermeulen

    Article paru dans Présent daté du 29 avril 2019

    https://fr.novopress.info/214402/rapport-de-la-cncdh-vivre-ensemble-mais-sans-les-blancs/

  • Un autre mensonge tombe : l’immigration n’est pas le résultat du « réchauffement », démontrent les chiffres

    Vous l’entendez partout à la télé. Les experts vous l’assurent la main sur le cœur et la larme à l’œil : « le réchauffement climatique est la cause de l’immigration massive ». Ils mentent. Et quelqu’un en apporte la preuve. Que voici.
    Matthew Sussis, directeur adjoint des communications du Centre d’Etude sur l’immigration (CIS), a compilé les données sur le rendement des cultures agricoles de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture entre 2000 et 2017 (1).
    Les données concernaient les principales cultures produites au Honduras, au Guatemala et au Salvador – les trois pays du Triangle qui constituent la majorité des migrants illégaux arrêtés à la frontière sud des États-Unis.
    Ce qu’il a découvert, et que les chiffres révèlent, il suffisait de les consulter – est que l’image d’Epinal selon lesquelles les terres situées dans les pays chauds sont devenues incultes ou pauvres par le réchauffement, poussant les gens à fuir pour nourrir leur famille, est un hoax total.
    • La plupart des principales cultures des pays d’Amérique centrale ont vu leur production augmenter au cours des dix dernières années.
    • Entre 2007 et 2017, le Honduras a connu une croissance importante de la production de café, de melons, d’huile de palme, de riz et de haricots, dont une partie a augmenté de centaines de milliers de tonnes métriques.
    • Une croissance similaire a eu lieu au Guatemala au cours de la même période, qui a vu une augmentation considérable de la production d’huile de palme, ainsi qu’une croissance des bananes, du sucre, du maïs et du riz.
    • Le café, le riz et le sorgho ont diminué en El Salvador au cours des dix dernières années, mais le pays a été en mesure de produire beaucoup plus de maïs, de canne à sucre et de haricots. Selon Sussis, le déclin du café est dû en réalité à la concurrence d’autres exportateurs sur le marché, et à la volatilité politique du pays.
    « Dans ces trois pays du Triangle de l’Amérique du sud, la majorité des principaux produits agricoles ont vu leur production augmenter ces dernières années – dans certains cas, elle a triplé ou quadruplé. Compte tenu du succès des rendements agricoles en Amérique latine, il est difficile d’imaginer que le changement climatique soit un facteur majeur qui stimule les flux migratoires », note M. Sussis dans son rapport.L’étude intervient après que de nombreux politiciens et experts ont tenté d’établir un lien entre l’immigration clandestine et le changement climatique.
    « L’extrême droite aime susciter la peur [et] la résistance aux immigrants. Mais avez-vous remarqué qu’ils ne parlent jamais de ce qui pousse les gens à fuir leur maison ? » avait tweeté Alexandria Ocasio-Cortez en avril. 
    « C’est peut-être parce qu’ils seraient forcés de faire face à un facteur majeur qui alimente la migration mondiale : Changement climatique. »
    https://twitter.com/AOC/status/1115747599972208640Dans le cas d’AOC, ce n’est pas tant le mensonge que la stupidité, l’incompétence crasse, et le fait qu’elle soit traitée comme une Pom Pom girl qui explique ses ridicules déclarations. 
    Mais vous avez les mêmes chez vous n’est-ce-pas ?
    « Une bien meilleure explication de la poussée migratoire n’est pas un facteur d’incitation, mais un facteur d’attraction », a conclu M. Sussis. 
    « En termes simples, les migrants d’Amérique centrale ne viennent généralement pas en Amérique à cause de catastrophes climatiques mettant leur vie en danger. Au contraire, ils viennent parce qu’ils savent qu’on les laissera rester. »Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
    1. CIS.org

  • Les migrants, surtout s’ils sont clandestins, peuvent squatter en toute impunité

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    Si vous êtes migrant et que vous occupiez illégalement un appartement, la Justice sera pour vous aux petits soins. Jugez-en plutôt par une décision récente du tribunal d’instance de Rennes.

    Un bailleur social, selon Le Figaro, avait décidé de transformer un immeuble de dix-huit appartements en centre d’accueil de demandeurs d’asile (CADA). Problème : l’édifice a déjà été « réquisitionné » par un collectif pour abriter des personnes sans domicile venues de Tchétchénie, Géorgie, Albanie, Somalie, Angola, Érythrée, Azerbaïdjan, Afghanistan. L’organisme propriétaire, Archipel Habitat, engage donc une procédure d’expulsion des 95 migrants qui squattent l’immeuble. Mais la Justice vient de déclarer la demande irrecevable au motif – tenez-vous bien – qu’il n’a pas pu fournir la preuve de sa qualité de propriétaire.

    L’avocat qui défend les occupants a qualifié la décision du tribunal de « conforme au droit ». S’il est normal que le requérant prouve sa qualité, on peut cependant s’étonner, s’il manquait une pièce au dossier, qu’on ne l’ait pas demandée plus tôt. Archipel Habitat a indiqué avoir « pris acte » » de la décision du tribunal, qui n’a pas retenu « les différentes pièces concordantes fournies comme des preuves suffisantes de son statut de propriétaire », et décidé « un réengagement immédiat de la procédure judiciaire ». En attendant une nouvelle décision, les squatteurs vont donc pouvoir continuer de profiter de leurs appartements.

    Rappelons que les CADA offrent aux demandeurs d’asile un lieu d’accueil pour toute la durée de l’étude de leur demande de statut de réfugié. Cet accueil prévoit leur hébergement, un suivi administratif, un suivi social et une aide financière alimentaire. On pourrait penser qu’un organisme social ferait mieux de traiter prioritairement la situation des mal-logés de nationalité française (quatre millions de personnes, selon la fondation Abbé-Pierre), mais on sait, depuis longtemps, qu’en France, toute priorité nationale est une marque de discrimination et que mieux vaut être immigré que travailleur pauvre.

    Au moins les CADA sont-ils des organismes légaux. Mais, même dans ce cas, l’usage veut qu’il y ait des priorités… contraires au bon sens : avant les Français dans le besoin passent les demandeurs d’asile et, avant les demandeurs d’asile, les migrants squatteurs. Il est à parier que, si la Justice avait décidé de l’expulsion, des manifestations auraient eu lieu pour défendre le droit au logement de ces clandestins. De nos jours, c’est le summum de la bien-pensance de faire de la discrimination à rebours en préférant un citoyen du monde à un compatriote.

    Le motif invoqué par le tribunal pour rejeter la demande est peut-être « conforme au droit », appliqué au pied de la lettre, mais s’oppose à son esprit. Tout se passe comme si la Justice voulait retarder la décision, qui prendra sans doute quelques semaines ou quelques mois, quand on connaît les lenteurs administratives. Loin de nous l’idée d’accuser la Justice de n’être pas indépendante : si c’était le cas, c’est, au premier chef, le gouvernement qui en serait responsable. Mais force est de constater qu’il y a beaucoup de dysfonctionnements dans cette république et qu’au royaume de la Macronie, on semble s’en accommoder.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/les-migrants-surtout-sils-sont-clandestins-peuvent-squatter-en-toute-impunite/

  • ONG complice des passeurs : qui avait raison ? – Jean-David Cattin (Les Identitaires)

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    Emmanuel Macron avait accusé en juin 2018 l’ONG Lifeline de « faire le jeu des passeurs ». Voici quelques semaines, c’est Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, qui a officiellement reconnu que les ONG étaient – et sont encore – régulièrement complices des passeurs. Nonobstant, le gouvernement français a annoncé le 13 avril accepter de recueillir plusieurs dizaines de clandestins amenés à Naples par des « complices » potentiels de passeurs.

    Le chemin de Damas du gouvernement passe par Rome

    Bien sûr, il n’est pas innocent que ces déclarations aient lieu en pleine campagne pour les européennes et que l’immigration y soit justement le sujet de préoccupation numéro un des Français. LREM, piètre mécanique gouvernementale mais excellente machine électorale, ne peut l’ignorer sous peine d’aller à la catastrophe en mai prochain. La récente visite de Matteo Salvini à Paris a certainement dû aider les gouvernants français à y voir clair. L’idéologie sans-frontiériste et les bons sentiments ont semble-t-il encore quelques limites. Celles des faits et de la réalité électorale.

    Il aura fallu deux ans au gouvernement français pour admettre la réalité sur les ONG

    En août 2017 déjà, un policier italien infiltré dans une ONG avait révélé une collaboration étroite entre celle-ci et les passeurs. En 2018, Médecins sans Frontière continuait à nier cette évidence. Maintenant que le gouvernement français a tranché la question, les ONG sont en très mauvaise posture. Pourtant, un nouvel élément de langage est désormais largement utilisé. Comme la diminution du nombre de morts est indéniable et en progrès régulier, les ONG et leurs relais communiquent sur une hausse du taux de mortalité. Voilà à quelle escroquerie intellectuelle minable en sont réduits ces pseudo-humanitaires pour qui les vies humaines ont décidément une importance très relative.

    Ce que disent vraiment les chiffres

    Selon les données statistiques du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, depuis qu’une politique plus rigoureuse a été mise en place en Méditerranée centrale, le nombre de morts a diminué de moitié chaque année. En 2018, 1 279 migrants ont été retrouvés morts ou ont disparu en Méditerranée centrale, contre 2 874 migrants décédés en 2017, soit une baisse de 54 % en valeur absolue. Durant les deux premiers mois de l’année 2019, les morts et disparus sont passés de 433 à 207 par rapport à la même période de 2018. Soit une nouvelle baisse de 53 % ! La fermeté tardive du gouvernement Gentoli en Italie puis la politique énergique de Salvini en sont indéniablement à l’origine.

    Une seule voie possible pour l’Europe et l’Afrique

    L’Europe doit être capable de protéger ses frontières, l’Afrique doit être capable de retenir ses fils. Contrairement à ce que laissent entendre les volontaires et dirigeants des ONG, les migrants ne fuient très majoritairement pas la guerre ou la famine. Leur volonté utopique de créer une autoroute migratoire entre les deux continents est injustifiable, illusoire et meurtrière, quelles que soient les bonnes intentions qui la suscitent. Il serait temps qu’ils se rappellent que l’enfer en est pavé.

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Anaïs Lignier (Génération Identitaire) mise en examen et placée sous contrôle judiciaire pour une action du mouvement à laquelle elle n’a pas participé !

    Jeune mère de famille engagée au sein du mouvement Génération Identitaire, Anaïs Lignier vient d’être mise en examen et placée sous contrôle judiciaire pour une action du mouvement à laquelle elle n’a pas participé !

    L’action incriminée avait été menée en octobre dernier dans les locaux de SOS Méditerranée. Mais Anaïs Lignier n’y a aucunement participé. Elle dénonce l’acharnement judiciaire.

    Vidéo intégrée
    Anaïs Lignier@AnaLignier

    J'ai été convoquée aujourd'hui à . Bilan : je suis mise en examen et placée sous contrôle judiciaire alors que je n'étais même pas présente dans les locaux de @SOSMedFrance. L'acharnement contre Génération Identitaire continue !
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  • Près d’un quart de la population en France a un lien direct avec l’immigration

    Près d’un quart de la population en France a un lien direct avec l’immigration

    Jean-Paul Gourévitch, consultant international sur l’Afrique, les migrations et l’islamisme radical, a bien voulu répondre aux questions du Salon Beige à propos de son nouvel ouvrage :

    Vous venez de publier un ouvrage intitulé: “Grand remplacement: réalité ou intox?” Comment peut-on répondre à cette question sachant que les statistiques ethniques sont interdites en France? 

    L’ouvrage que je viens de sortir chez Pierre-Guillaume de Roux, qui a eu le courage de le publier,  vise justement à faire la lumière sur les questions liées à la population d’origine étrangère et à la population de confession musulmane sur lesquelles la législation française est une des plus frileuses dans le monde. La thèse du Grand Remplacement, adulée par les uns, exécrée par les autres, se nourrit de ces incertitudes et des fantasmes ou des schématisations qui s’y accrochent comme des sangsues. Elle suppose en effet une transformation quantitative de la population résidant en France  due à la fois à un  solde migratoire et à un solde naturel positifs de la population d’origine étrangère, et une mutation qualitative de cette population, l’islam et notamment sa mouvance la plus radicale prenant progressivement la place occupée par les chrétiens et les agnostiques. Enfin elle pose comme principe que ce « remplacisme »  est voulu ou au minimum toléré par les autorités nationales, ce qui lui a valu d’être accusée de « complotisme ».

    Pour reprendre votre question, ce sont moins les statistiques ethniques qui sont interdites que leur publication, l’INSEE et l’INED ayant, à partir des données des recensements, des éléments pour déterminer le nombre et la composition de la population d’origine étrangère, du moins celle qui est en situation légale et qui a fait l’objet d’un dénombrement. Mais outre l’accès possible à certaines de ces données et la comparaison des ratios d’un recensement à l’autre, les chercheurs disposent d’éléments complémentaires : les statistiques de l’OFII, de l’OFPRA et de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, les chiffres communiqués  par les diasporas avec lesquels je travaille personnellement  dans le cadre du Partenariat Eurafricain, et ceux fournis par les pays étrangers qui ont des ministères ou des secrétariats d’Etat en liaison avec leurs population d’origine résidant en France comme le Mali ou le Maroc, les enquêtes internationales comme celles d’Eurostat ou de Migrations Watch et les données transmises par des associations qui sont en contact direct avec les migrants, les mini-enquêtes faites sur un département, une ville,  un quartier, une école, une PMI,  qui ne sont pas généralisables mais donnent des éléments d’appréciation.

    Bref il n’est pas impossible, en attendant que la France autorise la compilation et la publication de statistiques ethniques, comme une centaine de pays l’ont déjà fait, de mettre en place une méthodologie scientifique pour une approche vraisemblable de la transformation de la population résidant en France. C’est ce à quoi j’ai consacré une partie de mes recherches.

    Pourriez-vous nous indiquer des ordres de grandeur du nombre d’arrivées d’immigrés légaux ou clandestins sur le territoire français ?

    En ce qui concerne les arrivées de migrants légaux, les chiffres officiels mais parfois provisoires  sont aisément consultables. 255.550 nouveaux titres de séjour ont été délivrés en 2018 soit 3,7% de plus qu’en 2017. Plus précisément 89 185 l’ont été pour motif familial, 82 580 pour des étudiants (en progression continue depuis de nombreuses années)  32 815 pour motif économique, 27 215 pour des passeports talents (renouvellement inclus)…Mais ces chiffres ne signifient rien si on ne les met pas en perspective avec celui des sorties de ces mêmes migrants  sur lesquelles, comme je l’ai montré, l’INSEE n’ayant aucun moyen de contrôle se contente d’approximations qu’il tend à reproduire d’une année sur l’autre. A titre d’exemple, l’INSEE avait dénombré, en 2013, 235 000 entrées de migrants mais considérait que 95 000 étaient repartis, ce qui réduisait le solde migratoire de l’immigration légale à 140 000 personnes.

    Pour l’immigration irrégulière (terme que j’utilise de préférence à « clandestins » chargé de connotations négatives et à « sans papiers » qui incite à la régularisation), c’est beaucoup plus complexe. Nous disposons certes du nombre des demandeurs d’asile (122 743 enregistrées par l’OFPRA en 2018  en progression de 22% sur 2017)  mais tous les migrants irréguliers ne passent pas par la case demandeurs d’asile notamment ceux qui ne veulent pas être fichés ou qui savent qu’ils n’ont aucune chance de l’obtenir. Il faut d’autre part y ajouter les  mineurs non accompagnés (MNA) qui sont loin d’être tous mineurs et qui n’y passent pour ainsi dire jamais. La Direction de la Protection Judiciaire de la Jeunesse a retenu pour 2018 trois hypothèses qui s’étagent de 40 000 à 60 000 arrivées.

    Il est encore plus difficile de connaître le nombre des sorties. On connaît ceux qui ont été pris en charge au titre de l’asile ou de la protection subsidiaire (46 700), ceux qui ont été reconduits (15 677), et les MNA pris en charge après évaluation (environ 25 000 en 2017). Quid des autres ? Régularisation ? Retour volontaire au pays ? Passage dans un autre pays de l’espace Schengen ?  installation précaire en France ?… On peut toutefois avancer que le nombre de migrants irréguliers résidant en France (entre 400 000 et 700 000 selon notre fourchette d’ estimations) est stable ou en très faible augmentation.

    Surtout il importe de bien différencier les flux (arrivées et départs sur une année) et les stocks (personnes installées) une confusion, parfois volontaire, faite par les medias mainstream pour faire croire que l’immigration ne représenterait que 0,3 à 0,5% de la population française. Les statistiques officielles publiées par l’OFII en 2018 sont éclairantes. Les immigrés légaux représentent 11% de la population française soit environ 7,4 M d’habitants et si l’on y ajoute leurs descendants directs nés de deux parents étrangers ou d’un mariage mixte, « c’est près d’un quart de la population qui a un lien direct avec l’immigration ».  Un chiffre que vous ne trouverez pour ainsi dire jamais mentionné et encore moins explicité dans la presse grand public.

    A-t-on des indications sur les taux de fécondité relatifs des femmes d’origine étrangère et des “Françaises de souche”? 

    Là  encore, après une  recherche qui s’apparente à un vrai travail de détective, nous avons fini par obtenir  des éléments qui peuvent être considérés comme fiables et permettent d’apprécier l’accroissement du  solde naturel.

    L’indicateur conjoncturel national de fécondité s’est établi en 2017 à 1,88 enfants par femme, en recul régulier sur les années précédentes : 2 en 2014, 1,96 en 2015, 1,92 en 2016.

    Les « Françaises de souche », pour reprendre votre expression, ont un taux inférieur à 1,80 et qu’on peut situer entre 1,72 et 1,78, alors que celui des femmes d’origine étrangère est de 2,73 par femme immigrée, de 2,02 par femme descendante d’immigrée, de 1,77 par femme descendante d’un couple mixte. Mais les différences sont très importantes en fonction des origines ethniques. Alors que celui  des femmes d’origine maghrébine tend à se rapprocher de la moyenne nationale du fait de la « transition démographique » qui concerne à la fois leur pays d’origine et leur pays d’accueil, celui des femmes originaires d’Afrique subsaharienne reste très élevé et dépasse 4 chez les populations originaires du Sahel ou de la région du fleuve (Guinée, Mali, Mauritanie, Sénégal, Niger).

    C’est tout l’enjeu de la théorie du Grand Remplacement. Dans quelle mesure l’augmentation du niveau de vie de ces populations et la diminution de leur mortalité vont-elles influer sur le différentiel de fécondité qui est aujourd’hui constaté ?

    Au-delà de l’expression qui déchaîne les passions, peut-on dire que l’immigration massive de ces dernières décennies modifie la physionomie de la population française ?

    Cette immigration massive ne concerne que l’aspect quantitatif de la transformation de la société française qui est indiscutable mais ne touche pas l’aspect qualitatif et notamment religieux qui mériterait un autre débat car la communauté musulmane (enfants et agnostiques compris) représente aujourd’hui comme je l’ai montré entre 7,5 et 9 millions de musulmans dont 4 millions de pratiquants parmi lesquels 300 000 à un million sont plus ou moins sensibles aux thèses de l’islam radical. Mais c’est un autre débat.

    Pour en revenir à votre question, personne ne peut dire aujourd’hui avec certitude comment va progresser l’immigration dans les années qui viennent. Celle-ci dépend de facteurs peu maîtrisables : la transition démographique dont nous avons déjà parlé ;  l’orientation du développement dans les pays émergents lié à l’activité des fondations, des diasporas  et des investissements privés ;  les migrations climatiques qui sont un des défis majeurs de la planète ;  la réussite des opérations d’immigration virtuelle comme les plates formes téléphoniques, la pharmacopée, l’industrie textile, et de nombreux secteurs de la recherche appliquée où la délocalisation d’activités du Nord vers le Sud permet aux habitants du Sud financés en partie par le Nord de ne pas quitter leur pays d’origine et leur famille ce qui est toujours un déchirement.

    C’est la raison pour laquelle, faute d’une maîtrise de ces variables, les prédictions à 30 ou 50 ans restent hasardeuses et ce n’est pas un hasard si les futurologues se sont presque toujours trompés. On peut être sensible au souffle de la fiction romanesque du Camp des Saints de Jean Raspail  dont la première publication remonte à 1973. Mais quand le romancier se transforme en  démographe et co-pilote en 1985 un numéro du Figaro Magazine, qui sous la représentation d’une Marianne voilée affiche comme slogan « Serons-nous encore Français dans 30 ans ? », le moins qu’on puisse dire est que le Grand Remplacement aurait été très largement anticipé.

    https://www.lesalonbeige.fr/pres-dun-quart-de-la-population-en-france-a-un-lien-direct-avec-limmigration/

  • Tommy Robinson a annoncé sa candidature aux élections européennes

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    L’ancien fondateur de la English Defense League, connu pour sa mobilisation contre l’islamisation du Royaume-Uni, bénéficie d’un soutien populaire important, qui s’est notamment manifesté lors de sa condamnation, pour avoir filmé l’ouverture du procès concernant les viols collectifs de Telford.

    Bien qu’il se soit rapproché de UKIP, le parti souverainiste eurosceptique fondé par Nigel Farage, Tommy Robinson a préféré se présenter en indépendant aux élections européennes.

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