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immigration - Page 690

  • On ne regrettera pas les djihadistes

     6a00d8341c715453ef022ad3e53c25200b-320wi.jpgAu départ l'auteur de cette chronique ne dissimulera pas son approbation des déclarations gouvernementales du 25 février. Lors des entretiens échangés, ce jour-là, entre le président français et le chef de l'État irakien Barham Saleh il a été en effet convenu que "les 13 Français (?) soupçonnés d’être des combattants du groupe djihadiste État islamique et remis par les forces arabo-kurdes de Syrie aux autorités irakiennes seront jugés selon la loi irakienne."

    Il paraît que dans une démocratie le peuple roi décide souverainement. Quand on parle des djihadistes ayant possédé un passeport français, la première question à se poser consiste à se demander si aux yeux des Français il s'agit encore de leurs concitoyens.

    Certes, il existera toujours des gens pour ratiociner, pour défendre l'indéfendable, pour exiger un procès. On n'oubliera pas que ces gens ont pris les armes contre leur pays. Ils ont adhéré à un projet d'État proche oriental dirigé contre notre civilisation. Ils la haïssent. Ils ont applaudi ou commis eux-mêmes des attentats contre notre peuple.

    Doivent-ils par conséquent bénéficier de la protection consulaire ? C'est sans doute pour satisfaire les éternels défenseurs de l'ennemi que le président de la république, a cru nécessaire de préciser : "Ils sont en droit de demander la protection consulaire et nous nous assurons dans ce cas que les droits de la défense sont bien assurés et en particulier, comme d'autres pays ont pu le faire, s'ils sont condamnés à la peine de mort que celle-ci soit commuée dans une peine de prison à perpétuité".

    Les bons esprits affectent d'identifier la France à la déclaration des droits de l'Homme de 1789. Ils aiment parler de ce qu'ils appellent des valeurs. La part de fiction, de ce discours convenu ne doit pas nous échapper : on voit mal en quoi elle distinguerait les Français des Belges ou des Italiens, qui, sauf erreur, partagent les mêmes principes. On lui reconnaîtra cependant une portée relative : s'écarter de la civilisation commune à tous les Européens, et la combattre au point atteint par les islamo-terroristes, les exclut de toute notion de citoyenneté en France.

    Dans la pratique, en Irak, on sait que ces assassins fanatiques encourront, au terme de leurs procès, la peine de mort pour leurs crimes. Rappelons que cette même peine a été appliquée par eux, claironnée par un Fabien Clain, sans aucune procédure, à l'encontre de gens auxquels ils ne reprochaient que d'être chrétiens, yézidis, démocrates ou même musulmans chiites.

    Ce n'est donc pas raisonner comme eux que de laisser la justice irakienne appliquer le droit du pays, sur le lieu qu'ils ont choisi pour leurs exploits sanguinaires. C'est la stricte application du droit international et du bon sens populaire.

    S'agit-il, à cet égard, de modifier le Code pénal français en réintroduisant la peine de mort en temps de paix. La question semble disjointe : nous nous trouvons, nous demeurons, en temps de guerre avec Daesch et avec al-Qaïda. Dans ces conditions, les combattants de ces entités ennemies ne sauraient se prévaloir d'une citoyenneté juridique qu'ils ont clairement reniée.

    Qu'on cesse de chercher à nous apitoyer non plus sur le sort de leurs survivants. Leur place ne peut être meilleure qu'à Bagdad ou dans le reste de la Mésopotamie.

    Rappelons égard le parcours de Clain. Impliqué dans l'affaire Merah, ce recruteur du djihadisme avait déjà été condamné en 2009 à cinq années de prison. Mais, la république bonne fille lui permet de sortir dès 2012.

    Il rejoint alors l’État islamique, où il monte en grade, et peut ainsi revendiquer en 2015 les attentats de Paris.

    Personne aujourd'hui ne peut sérieusement déplorer l'annonce de la mort violente de cet islamo-terroriste.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/2019/02/on-ne-regrettera-pas-les-djihadistes.html

  • Éric Zemmour : « Cette gauche frappée de daltonisme politique »

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    CHRONIQUE - La gauche antiraciste continue de chercher les chemises brunes et ne voit pas les foulards verts. Ce daltonisme politique serait risible s'il n'était tragique. D'autant, pourrions-nous ajouter, qu'une grande partie de la droite n'en est pas exempte. (Figaro Magazine du 22.02). LFAR

    Ils ont dit stop ! Ils ont dit non à l'antisémitisme ! Non au retour des années 30 ! Ils ont piétiné sur la place de la République qui leur rappelle tant de bons souvenirs. Les socialistes et toutes les associations antiracistes ont battu le pavé comme à leurs plus belles heures. Ils ont évoqué leurs souvenirs en commun. Ils ont frotté leurs belles âmes les unes contre les autres. L'antisémitisme, c'est leur truc ! Comme l'antiracisme. Comme toutes les causes humanistes qu'ils manient avec l'expérience des vieux loups de mer. Ils ne se rendent même pas compte que leur indignation est devenue un sujet de détestation, voire de franche rigolade. Nietzsche disait jadis : « Il n'y a pas plus menteur qu'un homme indigné .» Et beaucoup de Français l'ont désormais compris. La gauche antiraciste continue de chercher les chemises brunes et ne voit pas les foulards verts. Ce daltonisme politique serait risible s'il n'était tragique. Les antisémites d'aujourd'hui ne trouvent pas leur inspiration dans Maurras mais dans le Coran. Ceux qui, depuis des années, ont tué des Juifs dans les rues de Paris ou de Toulouse n'ont pas crié « Heil Hitler ! », mais « Allah Akbar ! ».

    L'antisémitisme français traditionnel peut encore survivre à l'état individuel ; il n'est plus un phénomène politique depuis 1945. C'est la Seine-Saint-Denis islamisée que les Juifs quittent en masse, pas le XVIe arrondissement de Paris. L'antijudaïsme catholique a été démantelé par Vatican II. En revanche, des dizaines d'églises sont, depuis des mois, profanées, saccagées, voire brûlées. On aimerait que la police découvre les coupables…

    Il y a aujourd'hui une alliance politique entre l'extrême gauche, qui cherche dans les banlieues des troupes pour lutter contre l'Etat et le capitalisme, et les Frères musulmans, qui cherchent une alliance avec des Français pour islamiser la France. Dans leur stratégie, les Juifs sont des ennemis parce qu'ils sont capitalistes et sionistes ; et les catholiques aussi, parce que ce sont des conservateurs et des croisés. »

    La gauche, à part quelques individualités iconoclastes, n'ose pas regarder cette réalité en face. Elle forme depuis des années le camp du déni, continue de prétendre que l'immigration est « une chance pour la France », que l'islam est « une religion de paix et d'amour » sans vouloir comprendre que le terreau de l'antisémitisme se trouve là. Et la droite s'est depuis longtemps soumise idéologiquement à la gauche.

    Quant aux « gilets jaunes », ils ont payé très cher leur désorganisation. Ils ont été noyautés, puis submergés par des forces militantes mieux organisées et plus déterminées. Le gouvernement est trop content de leur mettre sur le dos les violences des black blocs et, désormais, l'antisémitisme vociférant des salafistes et des islamo-gauchistes. De son côté, la France insoumise tangue, à l'instar de son chef Jean-Luc Mélenchon, entre vieux réflexes de patriotisme républicain et nouvelles tentations islamo-gauchistes. Le paysage politique est complètement nouveau et terrifiant: c'est pour cette raison que la gauche préfère évoquer entre soi le bon vieux temps.   

    Eric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/02/27/eric-zemmour-cette-gauche-frappee-de-daltonisme-politique-6131965.html

  • Chaque immigré touche 426 euros par mois

    Chaque immigré touche 426 euros par mois

    C’est Libération qui l’écrit :

    On peut comprendre «migrant» par demandeur d’asile. Un demandeur d’asile peut toucher pendant la période d’instruction de son dossier l’allocation au demandeur d’asile (ADA). Celle-ci s’élève pour une personne seule à 6,80 € par jour, à quoi peuvent s’ajouter 7,40€ si aucune place d’hébergement n’a été proposée. Soit un total de 14,20€ par jour, équivalent à 426€ par mois. A noter qu’il ne s’agit en rien d’un exception française, mais d’une obligation fixée par des textes internationaux et européens.

    A titre de comparaison, c’est presque autant que le SMIC polonais : 453,48 euros (pour 1 salarié qui travaille).

    Dans le même genre, l’Algérien Kamel Daoudi, condamné pour terrorisme et déchu de sa nationalité française, ne peut pas être extradé vers son pays d’origine depuis plus de dix ans car la CEDH n’y a pas autorisé Paris. Il est pourtant interdit de territoire français depuis 2006. L’État français paye son hôtel et ses repas.

    L’individu, qui est le plus ancien assigné à résidence en France, a été transféré de sa chambre d’hôtel de Saint-Jean d’Angély à Aurillac, dans le Cantal. Le maire de la ville Pierre Mathonier a par la suite demandé des explications au ministère de l’Intérieurdéplorant le fait qu’il n’avait pas été consulté et constatant «une anxiété compréhensible» de la population locale.

    Soupçonné d’avoir préparé un attentat contre l’ambassade états-unienne à Paris, Kamel Daoudi a été condamné en 2005 à six ans de prison ferme pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste». Depuis sa sortie de prison en 2008, Daoudi se trouve assigné à résidence. Il pointe trois fois par jour à la gendarmerie locale et doit respecter un couvre-feu. En revanche, c’est l’État français qui paie depuis plus d’une décennie ses nuitées d’hôtel, dîners et petits-déjeuners.

    https://www.lesalonbeige.fr/chaque-immigre-touche-426-euros-par-mois/

  • Ectoplasmes et union gazeuze

    drapeau-UE.jpgHypocrisie quand tu nous tiens! Quelques ectoplasmes progressistes  se sont déchaînés pour fustiger l’annonce par Décathlon de la mise en vente d’un hijab (foulard couvrant intégralement les cheveux)) conçu pour leur clientèle féminine musulmane désirant pratiquer la course à pied. Devant la polémique, la direction de cette enseigne spécialisée dans le sport a finalement annoncé qu’elle renonçait à la commercialisation de ce produit. «Nous nous concentrons sur la démocratisation de la pratique du sport. Le fait est que certaines femmes pratiquent la course à pied avec un hijab, souvent peu adapté » avait notamment déclaré sur twitter,  pour justifier cette  démarche,  la communication de Décathlon. «Vous vous concentrez sur la démocratisation d’une pratique religieuse» a rétorqué le député Macroniste Aurore Bergé, «le sport émancipe. Il ne soumet pas. Mon choix de femme et de citoyenne sera de ne plus faire confiance à une marque qui rompt avec nos valeurs. Ceux qui tolèrent les femmes dans l’espace public uniquement quand elles se cachent ne sont pas des amoureux de la liberté. » Le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, celle-là même qui assimile sans complexe les nationaux a à des nazis,  y a été également de son commentaire: «C’est une vision de la femme que je ne partage pas. J’aurais préféré qu’une marque française ne promeuve pas le voile.» Même son de cloche du président du MoDem François Bayrou: «la société française, c’est une société qui dans sa tradition refuse qu’on couvre le visage et le corps humain à l’excès», «l’image de la femme en France, c’est une image de liberté.»

    De qui se moquent-ils sinon des Français en jouant aux vierges effarouchées? Ils sont les premiers responsables des pertes de libertés des femmes, celle de s’habiller comme elles l’entendent, de circuler librement dans l’espace public, dans les transports en commun, à certaines heures et/ou dans certains quartiers. Ce sont eux, note Bruno Gollnisch,  qui refusent l’inversion des flux migratoires. Ce sont eux qui vouent aux gémonies les lanceurs d’alertes qui ont averti des conséquences de l’immigration massive non européenne, étrangère à nos moeurs, à notre culture et dont l’ampleur même rend l’assimilation des populations en question, sinon impossible, du moins extrêmement problématique.

    Le défi principal pour la survie d’une France française c’est le fait que Mme Bergé, Mme Buzyn, M. Bayrou, ce gouvernement, ce président,  en un mot la quasi totalité de la classe politique  de M. Mélenchon à Mme Pécresse, restent favorables au regroupement familial, au droit du sol, à l’immigration dite légale à haut débit. Si la France, mieux dirigée, avait été en capacité de maintenir sur son sol une immigration raisonnable et  contrôlée, le fait que quelques femmes préfèrent courir en hijab plutôt que têtes nues ne serait pas vraiment un problème.

    Le dogme de la laïcité dans notre pays,  issu de la loi de 1905 et visant alors à combattre le catholicisme, est souvent très étranger à la mentalité et aux principes qui régissent la vie en société de nos voisins européens. Cette question a bien sûr une résonance particulière aujourd’hui, d’autant que la France n’est pas (n’est plus) le seul pays de l‘UE à accueillir une immigration très massive. Les anglo-saxons notamment, qui assument le communautarisme, ont moins de pudeur sur la question des signes religieux dans l’espace public et les commentateurs ont eu beau jeu de souligner qu’une marque comme Nike commercialise sur le vieux continent et dans le monde entier des hijabs pour les sportives musulmanes. Une Amérique qui s’invite aussi, via un  de ses symboles planétaires, à savoir Coca-Cola, dans le débat européen, alors que la Roumanie assure  depuis janvier  et pour six mois la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne.

    Une présidence qui intervient  à un moment ou la  Roumanie, dont le gouvernement n’est pas exempt de critiques, est très remonté contre la Commission européenne qui lui reproche des atteintes à  la liberté de presse. La meilleure défense c’est l’attaque et Bucarest vient ainsi d’ouvrir  une enquête sur (le socialiste, vice-président de la commission européenneFrans Timmermans et (la tchèque social-démocrate) Věra Jourová (commissaire européen à la Justice, aux Consommateurs et à l’Égalité des genres). Ils  sont accusés par l’exécutif roumain  d’avoir « falsifié le dernier rapport du mécanisme de coopération et de vérification sur la Roumanie, évaluant les progrès du pays en termes d’état de droit et de lutte anti-corruption.»

    Bisbilles intra-européennes et lourdes accusations réciproques qui n’ont pas empêché le marque de soda américaine, comme elle l’avait déjà fait en 2011 pour la Pologne, de soutenir financièrement la présidence roumaine du Conseil de l’UE. Un choix de sponsor qui a fait bondir l’ONG foodwatch en guerre notamment contre la mollesse avec laquelle nos gouvernants luttent contre la malbouffe dont sont victimes nos chères têtes blondes. Cette ONG s’est adressée au président du Conseil européen, le très atlantiste polonais Donald Tusk, et au Premier ministre roumain, Viorica Dancila, pour leur faire part de son indignation.

    Pour foodwatch, « il s’agit d’un criant conflit d’intérêt alors que la malbouffe et l’alimentation figurent parmi les sujets débattus à l’agenda européen (…). Ces conflits d’intérêts sont inacceptables. Quelle influence ce sponsoring par un poids lourd de la malbouffe a sur la politique européenne et, en fin de compte, sur le contenu de nos assiettes ? Par exemple, qu’adviendra-t-il du débat sur un logo nutritionnel, tel Nutri-Score, dont Coca-Cola ne veut pas ? Ou d’une loi interdisant de cibler les enfants avec des produits trop gras, trop sucrés, trop salés ? »

    «Coca-Cola est allée trop loin en tentant d’acheter ses entrées politiques au niveau européen de la sorte. Nous refusons que Coca-Cola, ou toute autre multinationale, puisse être considérée comme sponsor de représentants politiques ou institutions.»

    Un voeu parfaitement louable. Certes, quitte à lui trouver un intérêt politique, ce sponsoring manifeste de manière éclatante, aux yeux de tous, le poids des multinationales, des lobbies au sein de cette Union qui se qualifie bien souvent d‘Européenne par antiphrase. Mais cette Europe souffre plus largement de l’acceptation par ses élites d’un impérialisme marchand, économique, culturel, alimentaire, militaire yankee, qui colonise nos imaginaires, nos forces de production, asservit 512 millions d’Européens, dont ce sponsoring gazeux n’est qu’un épiphénomène. Le regretté Dominique de Roux dans son livre Le cinquième empire, le disait à sa façon:  « Je préfère l’urine au coca-cola. l’une vient du corps et l’autres des Américains» . Lors de son fameux discours prononcé en tant que doyen du parlement européen en 1989, le député FN et grand cinéaste Claude Autant-Lara invitait les jeunes européens à redécouvrir les vertus d’un verre de vin blanc en lieu et place du CocaCette sentence métapolitique reste plus que jamais d’actualité!

    https://gollnisch.com/2019/02/27/ectoplasmes-et-union-gazeuze/

  • Pour Dominique Reynié, « plus on va à la mosquée, plus on est susceptible de partager des opinions antisémites » : et alors, on fait quoi ?

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    Comme l’a bien vu Georges Michel, la guerre lancée par Emmanuel Macron est bien mal engagée : elle s’est dirigée tout droit, comme on pouvait s’y attendre, sur la ligne Fachinot repérée par les radars de Gabrielle Cluzel. On ne tourne même pas autour du pot. On s’en éloigne le plus possible.

    Pourtant, ces derniers jours, deux esprits libres et avisés, peu suspects d’extrémisme, ont dit calmement et rationnellement les choses.

    D’abord, Michel Onfray a rappelé l’antisémitisme inhérent aux textes musulmans. Cela pose problème. Et nul ne voit venir un aggiornamento comparable à celui qu’opéra l’Église au XXe siècle, pour la bonne raison que l’antijudaïsme chrétien n’avait pas la même place théologique ou morale que l’antisémitisme musulman. C’était une déviation de la doctrine et revenir aux racines du christianisme permettait d’éliminer l’antijudaïsme sans incohérence. Il en va autrement pour l’islam.

    Ensuite, Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique et professeur à Sciences Po, est venu rappeler sur le plateau d’Yves Calvi, dans « L’Info du vrai », les faits et les résultats de plusieurs enquêtes de son institut réalisées ces dernières années sur la perception des juifs par les musulmans français.

    Les faits, tout au moins les plus graves : « Depuis 2006, dans l’Union européenne, 16 personnes ont été assassinées parce que juives. 11 l’ont été en France. Toutes l’ont été par des musulmans. »

    Les enquêtes : « Selon nos travaux, il y a une corrélation entre le fait d’aller plus ou moins souvent à la mosquée et la propension à partager des opinions antisémites. »

    Il ne faisait que reprendre ses observations, par exemple dans Atlantico, le 26 mai 2017 : « On avait observé que chez les musulmans, l’antisémitisme était d’autant plus affirmé et prégnant que la pratique et la fréquentation de la mosquée était plus importante. »

    Enfin, faut-il rappeler les nombreuses enquêtes internationales montrant les conséquences de cette corrélation dans les pays musulmans ?

    « Les sondages montrent que dans les pays marqués par l’islam les opinions antisémites sont répandues chez une grande majorité de la population. Ainsi, l’étude publiée en mai 2014 par la Anti-Defamation League révèle qu’entre 56 % (Iran) et 93 % (Cisjordanie et Gaza) des personnes sondées approuvaient au moins six des onze énoncés antisémites sur lesquels on les avait interrogées. La moyenne dans les pays du Proche-Orient et en Afrique du Nord était de 74 %, avec 80 % au Maroc, 87 % en Algérie, 86 % en Tunisie, 87 % en Libye, 75 % en Égypte, 81 % en Jordanie, 74 % en Arabie saoudite, 92 % en Irak, 78 % au Liban et 69 % en Turquie 1. »

    La réalité est celle-là : les pays musulmans sont pétris d’antisémitisme, à la fois pour des raisons religieuses et historiques, et cet antisémitisme est en expansion. Et la recrudescence de l’antisémitisme en France est essentiellement due à la constitution d’une immigration arabo-musulmane puissante et au développement de l’islam dans notre pays. Ce n’est pas la seule conséquence de ce processus historique, mais l’une des plus effrayantes certainement.

    Une fois ce constat fait, on peut entrer dans la recherche des responsabilités : qui a favorisé cette immigration ? Qui a permis la diffusion massive de l’islam, la construction de mosquées partout en France ?

    On peut aussi rechercher des solutions concrètes et efficaces qui tiendraient compte de ces réalités que toutes les études montrent, loin des incantations, des manifestations pleines de bonne conscience – et de désolant aveuglement.

    Une piste ? Décider un moratoire. Sereinement et rationnellement. Et sur l’immigration, et sur la construction des mosquées. Ce serait un premier pas. Après toutes les erreurs, les démissions, les complaisances, les lâchetés, les hypocrisies, les récupérations, c’est le minimum que nous devons, et aux juifs persécutés, et à la France. Il reste peu de temps avant que les dirigeants français, ayant perdu le sens de la vérité sur ce sujet, y perdent aussi l’honneur de la France.

    Notes:

    1. Günther Jikeli, « L’antisémitisme en milieux et pays musulmans : débats et travaux autour d’un processus complexe », Revue d’histoire moderne & contemporaine 2015/2-3 (n° 62-2/3), pages 89 à 114 

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/pour-dominique-reynie-plus-on-va-a-la-mosquee-plus-on-est-susceptible-de-partager-des-opinions-antisemites-et-alors-on-fait-quoi/

  • Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Vaux : 800 habitants et 50 immigrés

    Le conseiller municipal Joël Fenninger vient d’adresser sa démission à la préfecture. Il explique :

    « Je veux protester contre l’indifférence manifestée par la préfecture dans le dossier des cinquante migrants qui doivent arriver. J’ai été choqué de voir que les services de l’État décident de façon péremptoire, de faire de notre petit village un laboratoire expérimental pour l’accueil de demandeurs d’asile. La physionomie de notre petite commune ne le permet pas, dans des conditions optimales. Les initiateurs de ce projet demeurent figés dans une indifférence totale envers les habitants. Je n’imagine même pas qu’à de tels niveaux de responsabilités, on puisse agir avec autant de légèreté. »

    « Je ne veux pas cautionner ce projet tel qu’il nous est imposé et toutes les conséquences qui en découleront. Il leur importe peu de savoir ce que ressent une majorité d’habitants d’un petit village. Je déplore que cette décision ait été prise dans un bureau à l’ambiance sous doute feutrée, loin des préoccupations, des incertitudes et des doutes des Valois, amenés à subir plutôt que d’avoir été entendus. C’est pour le moins déroutant à l’heure d’une grande concertation nationale, provoquée comme chacun le sait, par un profond mécontentement du peuple pour de nombreuses raisons. »

    Une pétition avait recueilli plus de 460 signatures contre ce projet et le conseil municipal avait voté contre ce projet préfectoral.

    https://www.lesalonbeige.fr/vaux-800-habitants-et-50-immigres/

  • Immigration : les conséquences de l’incertitude algérienne – Journal du mardi 26 février 2019

     

    Immigration : les conséquences de l’incertitude algérienne

    Alors que l’Algérie connaît une vague de manifestations depuis plusieurs jours, le pays est dans l’incertitude quant à la candidature du président sortant, Abdelaziz Bouteflika… une incertitude qui pourrait virer au chaos et menacer la France d’une déflagration migratoire sans précédent.

    Brexit : vers un déni de démocratie ?

    A un mois de la sortie officielle de la Grande-Bretagne de l’Union Européenne, rien n’est prêt. Alors qu’aucun accord n’a été trouvé entre Bruxelles et le Parlement de Westminster, tous les cas de figure sont désormais envisagés, y compris de faire revoter les Britanniques sur le Brexit !

    Assurance-chômage : une réforme malus-malus ?

    Coup de rabot dans les allocations chômage et serrage de vis pour les entreprises, la réforme du ministre du travail Muriel Pénicaud a été présentée ce mardi malgré l’échec des négociations avec les partenaires sociaux. Une réforme qui devrait faire une quasi unanimité contre elle.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/immigration-les-consequences-de-lincertitude-algerienne-journal-du-mardi-26-fevrier-2019

  • Grande-Bretagne : nationalité supprimée pour une musulmane, par Olivier Bault

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    La bataille juridique et médiatique est engagée après que le ministre britannique de l’Intérieur a privé de sa nationalité une jeune femme partie rejoindre l’Etat islamique en 2015, à l’âge de 15 ans, et qui souhaiterait maintenant revenir avec son nouveau-né. Née en Grande-Bretagne dans une famille bangladaise, Shamima Begum faisait partie d’un groupe de trois adolescentes d’un lycée de Londres parties pour la Syrie. La même année, la Haute Cour de Londres avait dû prononcer une interdiction de sortie du territoire à l’encontre de cinq autres lycéennes de la même école qui semblaient nourrir le même type de projet. Réfugiée en Syrie alors qu’elle était encore enceinte, en raison des revers militaires de son Etat d’adoption, la jeune maman, dont le fils aîné est mort en Syrie, a beaucoup fait parler d’elle cette semaine avec une interview pour la BBC dans laquelle elle affiche son absence de remords et sa justification de l’attentat sanglant de Manchester en 2017, tout en exprimant son désir de rentrer en Grande-Bretagne.

    Trois conditions

    Après la diffusion de cette interview, Sajid Javid, le titulaire du Home Office, a décidé de lui retirer sa nationalité britannique. La loi britannique autorise en effet l’exécutif à prendre une telle décision si la personne concernée possède une autre nationalité (en l’occurrence celle du Bangladesh, par ses parents), si la privation de la nationalité britannique vise le bien commun, et si l’individu concerné s’est comporté de manière « portant gravement préjudice aux intérêts vitaux du Royaume-Uni ». Dans le cas de Shamima Begum, il est clair que toutes ces conditions sont réunies. Mais le problème, c’est que le Bangladesh ne veut pas reconnaître cette jeune femme encombrante comme sa citoyenne et que la gauche bien-pensante britannique, le leader Jeremy Corbyn en tête, considère qu’on ne doit pas interdire à une personne née en Grande-Bretagne de rentrer au pays. L’avocat engagé par la famille de Mme Begum veut faire appel de cette décision et il n’est donc pas sûr qu’elle ne soit pas autorisée à revenir un jour. On ne sait pas non plus avec certitude si la décision du ministre privant la jeune musulmane de sa nationalité est intervenue avant ou après la naissance de son enfant. Dans ce dernier cas, celui-ci a droit à la nationalité britannique et le gouvernement pourrait à ce titre être forcé de le laisser entrer sur le territoire national avec sa mère.

    Du reste, au Royaume-Uni comme en France, nombre d’autres recrues de l’Etat islamique ont été autorisées à revenir et circulent aujourd’hui librement. En ce qui concerne la Grande-Bretagne, une douzaine de femmes avec la nationalité britannique sont arrivées dans des camps de réfugiés en Syrie au cours de la semaine écoulée et des centaines de combattants de l’Etat islamique sont déjà rentrés. Ainsi que le révélait le Times dans un article du 21 février, le coût de la surveillance des extrémistes musulmans est tel que la plupart des djihadistes sur le retour y échappent, faute de moyens. Ailleurs en Europe, ces centaines de djihadistes rentrés de Syrie ont en outre la possibilité de circuler librement dans l’espace Schengen, ce qui, ainsi que l’a encore fait remarquer le ministre hongrois des Affaires étrangères cette semaine, génère des « risques extrêmes » pour la sécurité nationale et la sécurité publique en Europe.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 22 février 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Sur fond de violences urbaines, Castaner visite des zones de non-droit en Seine-Saint-Denis

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est lors d’une tournée nocturne dans trois commissariats, Aubervilliers, Pantin et Saint-Denis, que le ministre de l’Intérieur a dû écouter l’état des lieux alarmants dressé par le préfet Pierre-André Durand. Décrivant le quartier des Quatre Chemins, il précise, « un quartier qui présente une très forte délinquance, très jeune, constituée de mineurs étrangers et dominé par le trafic de stupéfiants ». Meriem Derkaoui, maire communiste franco-algérienne d’Aubervilliers déclare quant à elle, « On se demande si on est bien en France et dans la République. On ne peut accepter de mourir en se promenant dans la rue ».

    Et quelle a été la réponse du ministre ?

    Il s’est contenté de rassurer les élus en promettant une augmentation des effectifs de police, une amélioration du parc automobile alloué aux policiers et l’implantation de caméras, sans toutefois évoquer le fléau de l’errance des mineurs clandestins non accompagnés. Il a déclaré platement que « C’est un territoire qui veut s’en sortir, où se forge la France de demain ». Il fallait le dire ! Rappelons que le quartier dit des Quatre Chemins ainsi que la dalle de Pantin, un îlot de logements sociaux en réhabilitation, sont qualifiés de QRR « quartiers de la reconquête républicaine ».

    Mais d’autres les qualifieraient plutôt de « territoires perdus de la République ».

    Cette visite surprise n’aura pas pour autant été ignorée des racailles qui s’en sont donné à cœur joie. Ainsi, pendant la visite du ministre, 20 voitures ont été brûlées, un homme roué de coups gratuitement, un autre étranglé pour 900 € et un restaurateur dépouillé de sa recette pour 6000 €. Une humiliation supplémentaire pour le chef de la police.