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Émeutes urbaines: la répétition générale.
Après Issy-Saint-Léger, Champigny-sur-Marne, Étampes, Émerainville, Grigny, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Trappes, en région parisienne, mais aussi Toulouse ou Béziers, les scènes de guérilla urbaine qui viennent de se dérouler à Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, ne sont que les premiers feux d'un embrasement général qui viendra tôt ou tard.Qualifier, comme vient de le faire le Premier ministre Édouard Philippe, cette flambée de guet-apens contre la police et les pompiers de "violences commises par de petites bandes d'imbéciles et d'irresponsables" relève au mieux du déni, au pire du foutage de gueule.Dans les deux cas, l'impuissance de l'Etat à maintenir l'ordre en usant, avant qu'il ne soit trop tard, de tous les moyens de répression nécessaires, est criminelle car elle ouvre grand la porte aux prémices d'une guerre qui, pour se dérouler sur notre sol, ne sera pas, pour autant, une guerre civile.Les bandes ethniques organisées et offensives qui passent désormais délibérément à l'action le font par haine globale et viscérale de la France. Une France qu'ils rêvent de voir à feux et à sang.Nous n'en sommes encore qu'au stade de la répétition générale. Quand la pièce se jouera il sera trop tard pour regretter de n'avoir pas agi a temps. -
Immigration : en même temps, ça continue ! – Journal du mardi 5 novembre 2019
Immigration : en même temps, ça continue !
Mercredi, le gouvernement dévoilera son plan sur l’immigration. Vingt mesures dont les premières fuites sont déjà apparues dans la presse ce mardi en guise de ballon d’essai. Derrière un durcissement de façade, l’impact des propositions semble ténu… De quoi assurer que la situation migratoire en France n’est pas prête de changer.
Trump officialise sa sortie de l’accord de Paris sur le climat
Donald Trump une nouvelle fois au cœur des critiques avec l’officialisation de la sortie des Etats-Unis de l’accord de Paris sur le climat. Des critiques concentrées sur le chef d’Etat américain alors que d’autres pays semblent paradoxalement épargnés… C’est le cas notamment de la Chine où le président Macron multiplie les courbettes face à son homologue Xi Jinping.
Sophie le Tan, nouvelle victime de l’humanisme judiciaire?
Alors que les enquêteurs s’affairent à confondre le meurtrier de Sophie Le Tan, les preuves s’accumulent contre le principal suspect, Jean-Marc Reiser, déjà condamné par le passé. Une affaire qui pourrait mettre en lumière les nombreuses failles de l’appareil judiciaire.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/immigration-en-meme-temps-ca-continue-journal-du-mardi-5-novembre-2019
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Jean Messiha, à propos de la manif anti-Zemmour : « Des minutes de haine à l’état pur, d’injures racistes, antisémites… »
Une manifestation anti-Zemmour a été organisée samedi devant les locaux de CNews. Abdelaziz Chaambi, militant contre l’islamophobie et fiché, selon Valeurs actuelles, a tenu des propos particulièrement virulents à l’encontre du journaliste et essayiste : « Zemmour le virus islamophobe, Zemmour c’est un bâtard, excusez-moi le terme, engendré par un mariage incestueux entre les politiques et les médias ».
Jean Messiha réagit au micro de Boulevard Voltaire à ces propos mais aussi à ceux du secrétaire d’Etat Jean-Baptiste Djebarri pour qui Marine Le Pen fantasme sur « une France gauloise, blanche et hétérosexuelle ».
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L’invasion de l’Europe est avant tout une guerre civile
Chronique de Paysan Savoyard (n°226 – octobre 2019)
La France et l’Europe sont en train d’être envahies. Les immigrés amènent avec eux le chaos : le communautarisme, l’islam, la délinquance, la haine des Blancs, le désir de prendre une revanche définitive sur les occidentaux qui les ont toujours dominés. On ne peut dès lors qu’éprouver à leur égard détestation et crainte et ressentir l’évidence de ce constat : soit ils repartent, soit nous disparaissons.
Cette vision des choses est pourtant faussée. Les immigrés, certes, viennent nous envahir, nous coloniser, nous dominer, nous remplacer : ils en ont pleinement conscience et ils en jubilent. Mais s’ils viennent en Europe, c’est bien parce que les dirigeants des pays européens ont souhaité et organisé leur venue. Là est le point fondamental : s’ils sont là, c’est qu’on les a fait venir.
- Les motifs de l’immigrationnisme sont le mondialisme économique et le mondialisme idéologique
Depuis cinquante ans en effet, la classe dirigeante européenne mène une politique immigrationniste systématique et déterminée. Lois, décrets, décisions diverses, tout est conçu et mis en oeuvre pour susciter, encourager et organiser une immigration massive. Les motifs de cette politique sont de deux ordres, qui se rencontrent et se conjuguent : l’appât du gain et l’idéologie mondialiste. Les détenteurs du capital veulent organiser un monde ouvert afin d’accroître à la fois leur pouvoir et leurs profits. Les citoyens du monde veulent abattre les frontières au nom de l’utopie d’un monde pacifique et égalitaire, d’où le racisme aurait disparu. Certains de ces mondialistes sont cosmopolites par haine de l’Europe et des Européens.
Les partisans de l’immigration, cependant, ne sont pas seulement les membres du CAC 40 et les militants no border : les immigrationnistes les plus nombreux se résignent à l’immigration, qui leur paraît inéluctable. Ils apportent sans enthousiasme au Système un soutien plus ou moins actif, par souci de maintenir une stabilité relative et d’éviter les affrontements généralisés.
- La mondialisation et l’immigration s’inscrivent dans la guerre séculaire que mènent les progressistes contre la tradition
Il faut relever que la classe dirigeante et ses divers soutiens ne sont pas seulement mondialistes et immigrationnistes. Ils ont également pour objectif de bousculer et de détruire tous les cadres sociaux établis. Au nom du progrès, ils sont féministes, favorables aux revendications des LGBT et envisagent avec faveur les révolutions sociétales en chantier : PMA, GPA, révolution des rapports hommes-femmes, suicide assisté, euthanasie active, manipulations génétiques, transhumanisme… : rien de ce qui peut déconstruire les coutumes et moeurs traditionnelles ne les effraie.
C’est là, fondamentalement, une conséquence de la révolution française. La révolution a marqué l’accession au pouvoir d’une classe sociale, la bourgeoisie, dont l’objectif a été dès l’origine de mettre en pièces la société traditionnelle, au profit d’une conception nouvelle : « l’humanisme », ou « esprit des Lumières », ou « progressisme », ou « modernité », tous ces termes étant à peu près synonymes.
La société traditionnelle avait les caractéristiques suivantes. Elle était structurée par des cadres collectifs. Elle était fondée sur les devoirs de l’individu envers les groupes auxquels il appartenait. Elle était hiérarchique et inégalitaire. Elle était ancrée à la tradition. Elle était avant tout chrétienne. La société issue des Lumières est, tout à l’inverse, centrée sur l’individu. Cet individu est égal en droits à tous les autres. Il est libre de toute appartenance et de tout devoir envers le passé et les règles traditionnelles. Il est tourné vers le progrès. Aucune frontière ne peut venir entraver sa liberté. Il est libre avant tout à l’égard de Dieu, qui lui est indifférent. Tout oppose donc ces deux modèles de société, la société traditionnelle, « collectiviste » en quelque sorte, et la société moderne, individualiste.
La guerre civile française et européenne avait commencé avec les guerres de religion : la Réforme était venue contester l’ordre établi et l’obligation faite à tous de confesser la même religion. Dans un deuxième temps, la révolution française a permis l’accession au pouvoir de la bourgeoisie et par là-même la victoire du camp du progrès. L’idéologie progressiste s’est ensuite imposée en Europe, grâce notamment aux guerres révolutionnaires et napoléoniennes. Le dix-neuvième siècle a vu s’affronter en France les deux conceptions de la société, avec une succession de restaurations et de révolutions. Le vingtième siècle enregistre à son tour de nouveaux épisodes de cette lutte entre tradition et modernité : loi de 1905, 6 février 1934, suivi du Front populaire, Vichy, guerres de décolonisation : à chaque fois, sur des sujets qui se renouvellent, ce sont deux France qui s’affrontent, la France du progrès et celle de la tradition. La révolution libertaire de mai 1968 marque une victoire importante des progressistes, qui parviennent à modifier les mœurs radicalement et en profondeur.
Les progressistes sont au pouvoir depuis deux cents ans et leurs adversaires « réactionnaires » tenants de la tradition ont aujourd’hui pratiquement disparu. Cependant malgré deux cents ans de modernité militante, certains aspects de la société traditionnelle subsistent toujours. La famille traditionnelle, bien que très affaiblie, reste un cadre reconnu. Hommes et femmes conservent des rôles différenciés. Les nations sont encore là, ainsi que leurs frontières. La morale traditionnelle continue d’inspirer les comportements et reste la référence du plus grand nombre. C’est pourquoi, les progressistes continuent la lutte pour éradiquer ce qui reste de la société traditionnelle, et pour achever de « libérer l’individu » de ce qui peut encore l’entraver. Au nom des « valeurs républicaines » d’égalité, de liberté, de laïcité, de progrès et de fraternité universelle, « idées chrétiennes devenues folles », les Modernes poursuivent leur guerre contre ce qui peut subsister d’obscures traditions.
- L’immigration est pour les progressistes le moyen radical et définitif de gagner la guerre civile française
Dans cette guerre civile de plus de deux siècles, l’immigration est désormais le cheval de bataille des progressistes. Ceux-ci ont bien conscience qu’ils tiennent là le moyen radical d’éliminer définitivement la société traditionnelle. En détruisant les frontières de facto, avant de les supprimer le moment venu de jure, les progressistes tout à la fois feront disparaître les Etats et dilueront les peuples et la civilisation européenne elle-même : ils remplaceront les antiques nations charnelles par un monde nouveau, sans frontières, fondé sur les « valeurs universelles».
C’est pourquoi les gouvernements poussent les feux et multiplient les mesures immigrationnistes. L’immigration de travail, commencée à la fin des années cinquante, était devenue considérable à partir du milieu des années soixante-dix, début de l’immigration familiale : le prétexte de l’accueil des réfugiés est, depuis le début des années deux-mille, le moyen d’amplifier encore les flux.
Cette politique immigrationniste vient compléter la politique de mondialisation, conduite elle aussi depuis le milieu du vingtième siècle. Afin d’augmenter leurs profits et leur pouvoir, les détenteurs du capital et du pouvoir économique poursuivent leur objectif d’effacement des frontières économiques. Mondialisme économique et mondialisme idéologique continuent donc de converger, s’additionnent et se renforcent mutuellement.
Le président français Macron est aujourd’hui l’un des leaders du Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire. Avec ses collègues européens, il s’apprête à mettre en œuvre Mercosur et CETA. Il va faire adopter la PMA. Il est aussi l’un des principaux porte-voix du camp immigrationniste et universaliste. Rappelons à cet égard quelques-unes de ses déclarations significatives, à la fois immigrationnistes et anti-françaises : « Les réfugiés sont une opportunité économique » (07/09/15) ; « Il n’y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse, elle est multiple » (05/02/17) ; « Il n’y a pas de culture française… L’art français je ne l’ai jamais vu » (21/02/17) ; « La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime. Un crime contre l’humanité. C’est une vraie barbarie ». (Alger, 14/02/17) ; « L’immigration se révèle une chance d’un point de vue économique, social, culturel » (02/03/17). « L’accueil et l’hébergement (des migrants clandestins) sont inconditionnels, c’est un vrai investissement de l’Etat, il a encore augmenté, c’est environ 2 milliards d’euros, mais il faut s’en féliciter...» (18/01/19) ; « les entreprises privées qui discriminent les femmes voilées à l’embauche seront sanctionnées » (28/02/19).
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Il serait encore tout à fait possible de mettre fin à l’invasion et de procéder à une remigration massive. Nous pourrions modifier les lois. Mettre fin aux multiples dispositifs sociaux qui encouragent l’immigration. Mettre en place des dispositifs incitant les immigrés à se rapatrier. Expulser sans délai, pour commencer, les délinquants étrangers et les clandestins. Si nous voulions arrêter l’immigration et redevenir maîtres chez nous, nous possédons encore – pour combien de temps ? – tous les moyens financiers, techniques, militaires et policiers d’imposer notre volonté. C’est délibérément qu’aucune de ces solutions n’est mise en œuvre.
Les immigrés sont l’instrument de la destruction de l’Europe, de ses peuples et de sa civilisation : mais les responsables sont bien ceux qui ont ouvert les frontières et encouragé les immigrés à les franchir. Il faut donc ne pas se tromper d’analyse : la classe dirigeante des pays européens n’est ni impuissante, ni dépassée, ni incompétente, ni inefficace, ni faible, ni pusillanime, ni timorée. Elle n’est pas impuissante à arrêter l’invasion, elle veut l’accroître au contraire, et mener à son terme son projet mondialiste : diluer l’Europe et les Européens dans un ensemble sans frontières, peuplé d’individus atomisés, consommateurs et travailleurs interchangeables et sans identité.
L’invasion est donc d’abord une question interne aux sociétés européennes et, pour ce qui est de la France, un problème entre Français. La classe dirigeante et ceux qui la soutiennent ne servent pas les intérêts du peuple français, qu’au demeurant ils méprisent : au nom d’intérêts et d’idéaux mondialistes, ils le trahissent.
C’est là l’un des rares points de divergence que j’aurais avec Renaud Camus. Avant d’être le résultat d’une invasion étrangère, la submersion de la France et de l’Europe est le produit d’une trahison. Cette trahison inédite dans l’Histoire constitue l’un des épisodes, sans doute le dernier, de la guerre civile commencée il y a deux cents ans.
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Génétique, remigration… Le discours identitaire expliqué
Par Nicolas Faure ♦ Que veulent vraiment les identitaires européens ? Que pensent réellement ceux qui annoncent vouloir défendre leur identité et leur peuple ? Quelles sont les bases de leur discours ? La réponse en un court article explicatif.
Le discours identitaire européen s’appuie (comme tous les autres discours identitaires du monde) sur le primat de la génétique. Le discours identitaire est avant tout scientifique, en opposition au discours cosmopolite qui est égalitariste, et donc obscurantiste.
L’identité européenne, une réalité génétique
Il existe des différences génétiques significatives entre les populations humaines.
Exemple : les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont génétiques.Les travaux de tous les généticiens – de Cavalli-Sforza à Evelyne Heyer – démontrent bien que l’identité européenne est une réalité génétique.
Dans une tribune parue dans le New York Times, David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent les unes des autres. Il évoque même des capacités cognitives moyennes différentes entre les populations.
Les différences intellectuelles entre les populations humaines sont effectivement significativement génétiques. Une donnée de première importance ! Toutes les informations utiles dans cette vidéo de Sunrise et ses sources.
L’Europe aux Européens
Toute personne un minimum honnête conviendra qu’une Chine composée à 70 % d’Européens, même parfaitement assimilés, ne serait plus la Chine.
De la même manière, une France composée à 70 % d’extra-européens parfaitement assimilés ne serait plus la France.Reconnaître la justesse de cette proposition de bon sens, c’est bien acter que le génétique prime sur le culturel.
C’est la fameuse phrase du général de Gaulle ! Celui dont tant de politiciens aiment à se réclamer. On peut avoir une petite minorité d’extra-européens en France (ou ailleurs en Europe), mais pas plus.
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Les contradictions ou les mensonges de Macron sur l’immigration et l’islam, par Christian Vanneste
Depuis longtemps déjà les Français soucieux de la survie de leur pays pensaient avoir le choix entre ceux qui voulaient en finir avec lui et leur proposaient une France métissée promise à la faillite économique et ceux qui leur promettaient de remettre à flot le pays tout en colmatant les brèches par où entrait une population différente de moins en moins disposée à s’assimiler. La troisième option leur était présentée comme l’horreur absolue aussi bien pour l’économie que pour l’humanité, et servait d’épouvantail pour faire triompher l’une ou l’autre des deux premières. Finalement, c’est une quatrième solution qui l’emporta : la France serait sauvée par un génie de la finance, et la peur du marasme fit disparaître celle de l’invasion. Depuis deux ans, la France n’a guère amélioré ses performances économiques, mais le thème du changement de population perçu naguère comme un fantasme paranoïaque est devenu beaucoup plus puissant, avec l’extension d’une « communauté » musulmane venue d’ailleurs, de moins en moins encline à l’assimilation et de plus en plus disposée à la provocation, voire plus.
Il l’a fait selon son habitude en tentant de manipuler l’opinion. Il s’est adressé pour évoquer le sujet à un hebdomadaire clairement de droite, « Valeurs Actuelles ». C’était une manière de dire que non seulement il n’esquivait pas le problème mais allait même au-devant de ceux qu’il préoccupait davantage. Peu après avoir dit que le voile dans l’espace public n’était pas son affaire, il a donc reconnu que notre politique de peuplement était mauvaise, que notre intégration économique était en échec au moment même où l’islam était en crise, que l’abandon d’exigences républicaines avait accentué les difficultés. Demande-t-on à un Chef d’Etat des analyses ? Non, on lui demande des actes, et il est clair qu’ici la clarté apparente du discours de contrition n’ouvre la voie à aucune solution. M. Macron a simplement dit : je vois la question et je m’en occupe.
Peu de temps auparavant, il avait dit qu’il fallait être vigilant contre l’hydre islamiste, et qu’il refusait le communautarisme. La seconde affirmation est évidemment fausse. En 2016, selon le sociologue canadien, Mathieu Bock-Côté, en égrenant l’origine des citoyens venus à son meeting de Marseille, Emmanuel Macron a dévoilé sa vision idéologique multiculturaliste : « Je vois des Arméniens, des Comoriens, des Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, Maliens, Sénégalais… Mais je vois quoi ? Je vois des Marseillais… Je vois des Français. »
Emmanuel Macron n’est évidemment pas un homme de droite attaché à l’identité de la France. C’est un mondialiste qui pense que les Etats-nations sont voués à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale qui devra gérer non seulement la circulation des biens et des capitaux, mais aussi celle des personnes tout aussi indispensable pour répondre aux déséquilibres démographiques de la planète. Son attachement à souligner l’importance du risque climatique, qui ne concerne guère la France, n’est que la conséquence de son idéologie : effectivement, le climat ne peut être traité qu’à un niveau mondial. Selon lui, le réchauffement climatique est un danger, les migrations ne le sont pas : elles conduisent tout naturellement à créer des nations composites sur le modèle américain qui exige le respect mutuel des composantes, et de leurs cultures différentes. Le multiculturalisme est la conséquence logique de cette politique, sauf que la France n’est pas un pays d’immigration de longue date comme le rappelait récemment Michèle Tibalat, que ses immigrants ne sont pas issus de l’Amérique latine catholique, qu’ils ne viennent pas avec l’espoir de devenir les citoyens d’un Eldorado admiré, mais souvent avec l’idée d’une revanche à prendre sur d’anciens colonisateurs, entretenue d’ailleurs stupidement par les Français partisans de l’immigration.
Les Français ont élu un homme qui est totalement inconscient de la principale menace qui pèse sur eux, car il ne se rend pas compte à quel point le multiculturalisme suicidaire, qui se construit dans les quartiers où les minorités deviennent majoritaires, est le terreau de l’islamisme. Mohamed Merah a été le prototype de ces enfants d’immigrés non assimilés, passant de la drogue et de la délinquance au terrorisme, par la case prison parce que détenteurs d’une double nationalité, et éduqués souvent dans la haine de la France, ils sont la réserve d’une armée hostile au sein même du pays. Entre le quartier où la police n’entre plus par peur du guet-apens et l’acte terroriste à l’extérieur, la différence est de degré et non de nature. C’est la raison pour laquelle l’hydre du terrorisme verra sans cesse ses têtes repousser. L’idée d’une « société de vigilance » dans des quartiers où se pratique l' »omerta » communautaire fait preuve d’un paradoxal aveuglement. On ne peut « en même temps » vouloir l’immigration de masse en provenance de pays musulmans et prétendre s’attaquer à l’hydre de l’islamisme.
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Zoom – Marie d’Armagnac : Salvini, le recours pour l’Italie
La victoire récente de Matteo Salvini et de ses alliés dans la terre traditionnellement de gauche d’Ombrie relance le débat sur l’arrivée inéluctable au pouvoir du leader de la Ligue. Marie d’Armagnac, journaliste indépendante, publie aux éditions L’Artilleur : « Matteo Salvini, l’indiscipliné ». Un ouvrage pour comprendre l’ascension de l’ancien ministre de l’Intérieur italien, qui, après avoir démissionné du gouvernement, attend patiemment son heure de gloire.
https://www.tvlibertes.com/zoom-marie-darmagnac-salvini-le-recours-pour-litalie
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Quelle est l’alternative au projet de transformation de notre pays en terre d’islam ?
La République ? Vous y croyez vraiment ? Comment le pourra-t-elle, dès lors qu’elle ne se donne comme objectif que de laïciser l’islam ?
Sans doute obtiendra-t-elle la neutralité bienveillante d’une majorité de musulmans de France, mais elle sera impuissante devant l’hydre islamiste qui s’est donné comme objectif de nous conquérir au prix d’un combat mené à coups d’attentats. La minorité fondamentaliste qui représente 10 à 20 % des musulmans de France ne sera jamais « laïcisable ». Et la majorité silencieuse des laïcisés sera toujours susceptible de les rejoindre à un moment charnière de bascule. Ajoutons à cela l’argument démographique, le combat semblerait perdu d’avance si la France n’était, de toutes les nations de la terre, sans doute celle à laquelle notre Dieu chrétien a apporté la plus grande attention. Cette France « fille aînée de l’Église » !
Sauf que les chrétiens sont en train d’abjurer, ou à tout le moins de renoncer à ce destin peu commun et exemplaire. Pourquoi ? Comment ? C’est la grande question des années écoulées depuis 1789…
Il demeure que notre peuple est encore modelé par le christianisme.
Mais le conformisme ambiant fait qu’il est devenu de règle de critiquer l’Église, de refuser ses dogmes, son intolérance supposée. Il suffit de participer à un dîner en ville où que ce soit, et même de lire les articles de l’excellent Boulevard Voltaire, pour rencontrer ces hommes et ces femmes qui vous assènent leurs jugements fruit d’un anticléricalisme ancien. Pour certains (ils sont une majorité), leurs modes de vie les ont éloignés des dogmes dont ils ne veulent plus, incapables de revenir en arrière et trop jaloux de leurs conquêtes sur le supposé obscurantisme du christianisme. D’autres, moins nombreux, se disent encore catholiques mais vivent en dehors d’une Église qu’ils ne fréquentent plus que de manière épisodique, irrégulière et sans aucun esprit sacrificiel ni sacramentel. Les derniers, enfin, sont simplement indifférents ou ignorants du christianisme.
Imaginons pourtant, un instant, qu’une majorité de cette France encore catholique retourne à l’Église, qu’elle aille à la messe le dimanche, remplissant à nouveau ses églises, qu’elle retourne au confessionnal. Je sais, je rêve. Mais imaginons quand même…
Ne serait-ce pas la seule alternative crédible à l’islam en conquête ? Ne serait-ce pas un électrochoc d’une puissance redoutable pour les musulmans qui nous méprisent parce que nous sommes devenus sans religion. La seule opposition qu’ils craignent, c’est celle de Jésus-Christ et ses saints. C’est, en même temps, la seule opposition pour laquelle ils auraient de la considération et du respect.
Alors oui, je rêve, mais la France n’a-t-elle pas connu d’autres retournements dans son histoire ?
Il suffirait que tout ce peuple piégé dans son conformisme moderniste comprenne que l’amour ne se réalise pleinement qu’autour du Christ vivant, présent dans ses sacrements, et que si son enseignement est exigeant il est également la seule voie de la paix véritable.
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AME : les Français pourraient ne plus avoir à financer chirurgie esthétique et cures thermales des migrants en situation irrégulière
AME : ces soins qui pourraient être déremboursés
Afin de lutter contre certains abus, le gouvernement souhaite retoucher l’Aide médicale d’État (AME) qui concerne aujourd’hui près de 300 000 sans-papiers. Si la ministre des Solidarités, Agnès Buzyn, a promis de ne pas toucher au panier de soins dont bénéficient les personnes en situation irrégulière, quelques modifications de l’Aide médicale d’État seront tout de même soumises au vote. Chirurgie esthétique, cures thermales, procréation médicalement assistée, lunettes, prothèses dentaires et auditives, ou encore médicaments à faible service médical rendu pourraient ne plus être accessibles aux sans-papiers. Le soin restera gratuit…
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Pierre Cassen : Chanteloup-les-Vignes brûle, mais c'est Zemmour qu'il faut éliminer...