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immigration - Page 683

  • Allemagne : suppression de l’interdiction de naturalisation pour les étrangers vivant dans des mariages polygames ?

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le projet de « loi modifiant la loi sur la citoyenneté » a été adopté par le Conseil des ministres au début du mois d’avril.

    Il doit maintenant faire l’objet d’un débat parlementaire. Selon un rapport de l’agence de presse dpa, le ministre fédéral de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU, droite bavaroise) souhaitait ancrer l’interdiction de la naturalisation pour les étrangers polygames dans cette réforme ce que le ministère de la Justice dirigé par Katarina Barley (SPD, gauche) a refusé d’approuver.

    https://fr.novopress.info/214487/allemagne-suppression-de-linterdiction-de-naturalisation-pour-les-etrangers-vivant-dans-des-mariages-polygames/

  • Escroqueries à la CAF : pourquoi le gouvernement reste-t-il si discret sur les fraudes ?

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    Si vous prétendez que les fraudes aux allocations familiales sont nombreuses et qu’elles peuvent impliquer des étrangers, vous vous ferez traiter aussitôt de fabulateur ou de xénophobe. Et pourtant, les faits viennent parfois vous donner raison. On apprend ainsi, dans Le Parisien, qu’une bande organisée de Roumains vient d’être démantelée : elle avait escroqué la CAF de Valenciennes d’1,7 million d’euros d’aides sociales.

    Une paille, par rapport au chiffre avoué par les responsables de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF), pour l’année 2018 : plus de 300 millions d’euros, pour 44.897 cas officiellement détectés ! Mais rassurez-vous : si le chiffre a doublé depuis 2013, ce n’est pas parce que les manœuvres illicites augmentent, c’est, selon le directeur général de la CNAF, « le signe d’un meilleur ciblage des contrôles ». Mince consolation, car on se demande combien de fraudes restent encore inconnues.

    La majorité des fraudes (73 %) proviendraient de fausses déclarations ou d’omissions, 8,5 % de faux et usages de faux, 18,4 % de fraudes à l’isolement (ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises !). Mais cela ne représente que 0,35 % des allocataires : « L’immense majorité des personnes qui se trompent ne sont pas des fraudeurs. » D’où le « droit à l’erreur », introduit par la loi intitulée « pour un État au service d’une société de confiance ». On est content de savoir que les Français ne sont pas des fraudeurs – ce dont on ne doutait pas –, mais, alors, quelle est cette minorité qui parvient à escroquer, en un an, plus de 300 millions d’euros ?

    En l’occurrence, dans l’affaire en question, ce sont des Roumains, deux hommes et leurs compagnes, qui sont soupçonnés d’avoir monté, rien qu’en 2017, 1.200 dossiers frauduleux. Sous le statut d’auto-entrepreneur, de jeunes femmes déclaraient qu’elles étaient enceintes pour toucher des indemnités de la CAF. Apparemment, cette bande comptait des faussaires, puisqu’elle fabriquait de fausses cartes d’identité roumaines et de faux certificats de naissance. Mais notre gouvernement ne va tout de même pas faire preuve de discrimination à l’égard de ressortissants de l’Union européenne.

    Selon Le Parisien, au terme de plus de deux ans d’enquête, la police judiciaire de Lille et la police aux frontières de Valenciennes ont pu appréhender une partie de la bande… dans le Bas-Rhin, où ils montaient une autre affaire. Les donneurs d’ordre ont été arrêtés en Roumanie, en attendant leur transfert devant un juge français. Il ne s’agit pas d’être alarmiste, mais force est de constater que ce sont des étrangers – fussent-ils européens – qui sont les auteurs de ces fraudes.

    Ce genre de pratiques ne recouvre qu’une petite partie des fraudes sociales. Selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet, la fraude aux numéros de Sécurité sociale, attribués sur la base de faux documents, serait évaluée à 14 milliards par an. Quand Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan ont dénoncé ce chiffre, voici quelques mois, on les a traités de tous les noms. On ne pouvait en faire autant avec une honorable parlementaire centriste. Le secrétaire d’État au Numérique a, d’ailleurs, assuré de la détermination du gouvernement à « lutter massivement contre la fraude documentaire ». On se demande bien pourquoi, en décembre, l’Assemblée nationale a voté contre la remise d’un rapport d’information sur le sujet.

    Emmanuel Macron et son gouvernement, si sensibles à la lutte contre les fausses nouvelles, ne contribuent-ils pas eux-mêmes à la désinformation en n’exigeant pas une transparence totale sur ces pratiques frauduleuses ?

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/escroqueries-a-la-caf-pourquoi-le-gouvernement-reste-t-il-si-discret-sur-les-fraudes/

  • Jordan Bardella : « Le grand risque qui est en face de nous, c’est la partition de la société »

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    Jordan Bardella est tête de liste RN aux élections européennes. Originaire de Seine-Saint-Denis, le benjamin (23 ans) des candidats répond sans ambages à toutes les grandes questions de l’heure : Macron, Salvini, banlieues, immigration.

    Découvrez quelques extraits de cet entretien publié sur Causeur.

    Daoud Boughezala. Marine Le Pen vous présente comme un jeune militant issu des banlieues arrivé à la force du poignet. En vous ayant désigné tête de liste aux dépens d’eurodéputés plus expérimentés tels que Bruno Gollnisch ou Nicolas Bay, le Rassemblement cède-t-il aux idéologies à la mode ?

    Jordan Bardella. Non. Ce n’est pas une élection de personnes. Une liste est avant tout une équipe. Marine Le Pen a fait le choix un peu audacieux de confier la tête de liste à un jeune de 23 ans. Malgré mon âge, j’ai déjà une petite expérience politique puisque je suis élu au Conseil régional d’ïle-de-France en Seine-Saint-Denis, un territoire difficile dans lequel j’ai grandi. Cela a toujours été une des qualités du mouvement de donner une chance à la jeunesse. On a fait élire en 2012 la plus jeune députée Marion Maréchal, en 2014 le plus jeune sénateur David Rachline, on fera sans doute élire le plus jeune député européen. On a beaucoup de jeunes élus et de jeunes maires qui font leurs preuves. Le RN est un mouvement politique pour lequel les jeunes votent beaucoup. Selon les sondages, un tiers des jeunes voterait pour le RN aux européennes.

    Il y a une cohérence dans le choix de la tête de liste, d’autant que ces élections sont un peu l’épilogue de la refondation du mouvement que Marine Le Pen a lancée en 2011. Cela nous a menés au second tour de l’élection présidentielle (2017), au changement de nom du FN, à nous ouvrir à des gens de l’extérieur (issus des Républicains comme Thierry Mariani ou de la société civile comme Hervé Juvin).

    Concrètement, proposez-vous le retour aux frontières nationales ?

    Absolument. Il faut remettre des portes à la maison France pour décider qui entre et qui sort de chez nous. L’espace Schengen nous avait promis la libre circulation des biens et des personnes mais on a vu que c’était aussi la libre circulation des terroristes, des armes, des trafics. L’absence de frontière en matière économique crée aussi une absence de protection pour les entreprises et les emplois français. Nous sommes favorables à la sortie de l’Espace Schengen tout en prévoyant des dispositifs simplifiés pour les travailleurs frontaliers comme les 60 000 qui passent chaque jour en la France et l’Allemagne. C’est ce qu’on a toujours fait : le mythe de la libre circulation n’a que quelques années. La frontière n’est pas un mur ou un barbelé mais une porte, un filtre, une écluse, une limite. Mais, comme le dit Salvini, la première des frontières en matière d’immigration, c’est la dissuasion.
    C’est-à-dire ?

    Tant qu’on continuera à avoir un système de prestations sociales extrêmement attractif pour des personnes qui viennent de l’étranger, il est évident que l’immigration se poursuivra. La réponse à la question de l’immigration doit être à la fois des frontières nationales – rétablir des postes de douane alors que Sarkozy en a fermés 6500 – et une politique de dissuasion. Il faut réserver les moyens de l’Etat et la solidarité nationale aux Français tout en raccompagnant les bateaux de migrants dans les ports de départ. C’est ce que fait Salvini.

    Mais votre allié Salvini, ministre de l’Intérieur italien, ne partage pas forcément vos intérêts. Ainsi, il souhaiterait que la France accueille davantage de quotas de migrants…

    Ce n’est pas tout fait à juste. En demandant à la France d’accueillir plus, Salvini répond à ceux qui lui donnent des leçons sur l’accueil des migrants mais qui ne veulent pas en assumer l’intégralité de la charge. Par exemple, Macron avait refusé d’accueillir l’Aquarius mais accepté de prendre les migrants si l’Aquarius accostait en Espagne. Salvini pointait donc le double discours de la classe politique européenne. Avec l’environnement, l’immigration est sans doute l’un des deux grands défis majeurs de l’Europe au XXIe siècle. D’ici 2050, la population africaine va doubler. Il faut lire le très bon livre de Stephen Smith La ruée vers l’Europe. On fait face à un continent qui est en train de devenir une bombe démographique. La population africaine est très jeune et voudra ensuite aller vers des terres plus riches qu’ils considèrent – à tort – comme un eldorado : l’Europe. La seule question à se poser est : accepte-t-on cette ruée progressive vers l’Europe qui est déjà en cours ? Cela aurait d’énormes conséquences économiques, sociales, culturelles et cultuelles. L’Italie a accueilli 700 000 migrants sur ses côtes depuis 2013. Depuis que Salvini est aux responsabilités, il a fait baisser de 95% le nombre de débarquements. Cette fermeté est aussi une forme d’humanité parce qu’il a fait baisser de moitié le nombre de morts en Méditerranée.

    Entretien repris du du site Causeur.fr

    https://fr.novopress.info/214489/jordan-bardella-le-grand-risque-qui-est-en-face-de-nous-cest-la-partition-de-la-societe/

  • Autriche : le vice-chancelier dénonce le grand remplacement

    Autriche : le vice-chancelier dénonce le grand remplacement

    En Autriche, le chef du FPÖ, parti au pouvoir aux côtés des conservateurs, le vice-chancelier Heinz-Christian Strache FPÖ a expliqué que son parti lutte contre “le remplacement de population” :

    “Nous ne voulons pas devenir une minorité dans notre propre patrie”.

    Suite à la polémique alimentée par les gauchistes, Heinz-Christian Strache, lors du conseil des ministres, mercredi dernier a déclaré :

    “Nous avons été élus pour mettre fin à cette tendance nocive car les citoyens disent, à juste titre, que cette situation ne leur plaît pas et qu’ils se sentent déjà comme des étrangers dans de nombreux endroits de leur pays. Je ne me laisserai donc pas museler, les citoyens comptent sur nous !”.

    Le lendemain des déclarations de Heinz-Christian Strache, Matteo Salvini, le ministre de l’Intérieur italien, rendait visite à Viktor Orbán en Hongrie. Il a mis en garde contre le risque que l’Europe ne devienne “un califat islamique”. 

    https://www.lesalonbeige.fr/autriche-le-vice-chancelier-denonce-le-grand-remplacement/

  • Mathieu Bock-Côté: « Ce que veut dire “patriotisme inclusif” »

    Par Mathieu Bock-Côté 

    CHRONIQUE - « On ne cesse de parler d’ouverture à l’autre. Mais ne faudrait-il pas demander à l’autre de s’ouvrir à nous et d’embrasser la civilisation qu’il a décidé de rejoindre ? » écrit ici Mathieu Bock-Côté. [Le Figaro, 3.05]. On sera bien d'accord avec sa réflexion comme toujours lucide et pertinente. Nous aurions cependant envie d'ajouter que celui qui a décidé de rejoindre notre nation, notre civilisation, devra faire l'objet d'une décision d'acceptation de notre part, laquelle ne doit être ni automatique ni illimitée.  LFAR 

    « ... La peur de devenir étranger chez soi est devenue palpable ... »

    Dans sa conférence de presse du 25 avril, Emmanuel Macron a dit vouloir pour la France un « patriotisme inclusif ». La formule, qui se voulait positive, a peut-être néanmoins écorché certaines oreilles dans la mesure où elle laissait entendre que le patriotisme français, jusqu’à tout récemment, avait été « exclusif ». Doit-il connaître une mue idéologique pour redevenir moralement acceptable ? En quoi le patriotisme français d’hier et d’avant-hier échouait-il le test humaniste de l’hospitalité ? On serait en droit de poser la question à ceux qui se réclament de cette notion : que veut dire devenir inclusif ? Quels critères distinguent le bon patriotisme du mauvais ? Le patriotisme tragique du général de Gaulle était-il suffisamment inclusif ? On l’aura compris, en termes macroniens, le patriotisme français devrait passer de la société fermée à la société ouverte, ce qui n’est peut-être qu’une manière de reconduire en de nouveaux termes le clivage apparemment insurmontable entre progressistes et populistes que les premiers cherchent à imposer.

    Mais la question s’impose : inclure à quoi? L’assimilationnisme ne permettait-il pas justement d’inclure dans la nation des populations diverses qui apprenaient à dire « nous » avec elle en prenant le pli de la culture française ? Ne poussait-il pas les immigrés à s’approprier les mœurs françaises, en envoyant même des signes ostentatoires d’appartenance à leur nouveau pays ? Le patriotisme inclusif témoignerait d’un autre rapport au monde. D’ailleurs, la formule n’est pas neuve. En 2013, le rapport Tuot, qui avait suscité un certain écho médiatico-politique, avait cherché à l’imposer en plaidant pour le modèle de la « société inclusive », délivré de toute conception substantielle de l’identité française, comme si cette dernière était autoritaire et poussiéreuse. Avant cela, à la fin des années 1990, un partisan de la Third Way (troisième voie entre le libéralisme et la social-démocratie NDLR) comme Anthony Giddens avait aussi plaidé pour une conception « inclusive » de la nation, pour l’adapter à un univers mondialisé et l’ouvrir aux flux migratoires. Telle était l’orthodoxie du moment.

    Pour peu qu’on traduise ce vocabulaire propre à la novlangue diversitaire, on retrouve tout simplement l’idéologie multiculturaliste. Certes, les théoriciens les plus subtils du multiculturalisme le disent désormais compatible avec la nation, mais c’est à condition de vider cette dernière de toute substance, au point de la rendre fantomatique, comme si chaque pays devenait indifférent à sa réalité identitaire et devait même s’y arracher pour s’engager dans une nouvelle définition de lui-même. Dans la perspective multiculturaliste, le peuple historique qui formait le corps de la nation n’est plus qu’une communauté parmi d’autres dans la société plurielle. Il doit consentir à son déclassement symbolique et consentir à une forme de décolonisation intérieure. S’il le refuse, il devient dès lors le principal obstacle à la reconstruction d’une nation véritablement inclusive, dans la mesure où il refuserait d’accepter une différence déstabilisant ses certitudes. Une telle posture serait condamnable.

    De ce point de vue, le Canada, qui a inscrit le multiculturalisme dans sa Constitution, est à l’avant-garde de l’« inclusion ». Dans les semaines suivant son élection, à l’automne 2015, Justin Trudeau avait expliqué, dans un entretien au New York Times, que le Canada était un pays sans noyau identitaire propre. Les Canadiens n’auraient en commun que leur diversité et les droits qu’ils se reconnaissent mutuellement. Naturellement, il faudrait toujours donner des preuves d’inclusion supplémentaires, la diversité étant une quête infinie porteuse d’une promesse de rédemption. C’est ce qui a amené le Canada, depuis 2015, à valoriser le niqab à la manière d’un symbole d’ouverture à l’autre. C’est aussi pour cela qu’il y a quelques semaines la Commission canadienne des droits de la personne a mis à la une de son rapport annuel une fillette voilée. Il y a une hubris de la diversité. On en revient à la France.

    C’est moins un patriotisme pénitentiel, occupé à s’excuser d’avoir trop longtemps exclu « l’Autre », qu’un patriotisme viscéralement attaché à la France et à son droit à la continuité historique que semble réclamer de mille manières le commun des mortels. Si la question nationale obsède à bon droit nos contemporains, et si elle est de plus en plus indissociable de la question civilisationnelle, c’est que la peur de devenir étranger chez soi est devenue palpable. Les petits inquisiteurs qui ne voient là qu’une forme de paranoïa identitaire témoignent surtout de leur incapacité à comprendre le besoin d’une demeure à soi inscrit dans le cœur de l’homme. Le slogan mériterait d’être renversé : on ne cesse de parler d’ouverture à l’autre. Mais ne faudrait-il pas demander à l’autre de s’ouvrir à nous et d’embrasser la civilisation qu’il a décidé de rejoindre ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • L’Algérie aux Algériens. L’Afrique aux Africains. Européen maître chez toi !

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    Pieter Kerstens

    Les printemps arabes sont derrière nous et les « Révolutions » ont fané le jasmin pour aboutir à des guerres civiles en Lybie et en Syrie, orchestrées par des coalitions ayant des visées nauséabondes.

    En Algérie, l’armée a sorti la clique du dictateur Bouteflika et il semblerait que les manifestations populaires successives aboutissent à un nettoyage anticorruption. Des milliardaires comme les frères Kouninef et Issad Rebrab, ainsi que l’ex-premier ministre Ouyahia et l’actuel ministre des Finances Mohamed Loukal devraient rendre des comptes devant la Justice. Depuis 57 ans, l’Algérie était dominée par un parti unique, le FLN (Front de Libération Nationale), qui s’est accaparé tous les leviers du Pouvoir en instaurant un réel régime totalitaire et menant le pays à la ruine alors même qu’il dispose de richesses innombrables qui lui assurait une totale auto-suffisance alimentaire il y a plusieurs décennies. Possédant des ressources pétrolières, gazières, agricoles et industrielles importantes, capables d’assurer un niveau de vie acceptable pour ses 45 millions d’habitants, force est de constater que ses caisses sont vides, que le chômage touche la moitié des 15 à 25 ans et que les colons Français ont été remplacés par des travailleurs chinois qui s’emparent des marchés publics à vil prix.

    Quand Emmanuel Macron déclare que « la colonisation a été un crime contre l’humanité » et que quelques mois plus tard il rend hommage à Maurice Audin membre du Parti Communiste Algérien, il oublie de préciser que ce militant communiste avait choisi le camp des ennemis de la France. Parce que depuis le 7 janvier 1957, les militaires agissaient en toute liberté car ils étaient investis des pouvoirs de police que leur avait donné le gouvernement socialiste avec le soutien des communistes, pour mener la bataille d’Alger contre le FLN. Notre devoir de mémoire nous impose ce rappel : François Mitterrand, ministre de l’Intérieur avait aussi déclaré « l’Algérie c’est la France ! ».

    PLUS UN EURO POUR L’AFRIQUE. L’ARGENT POUR NOS HOPITAUX D’ABORD !

    De tous côtés on entend des propositions aussi variées que saugrenues pour arrêter l’immigration-invasion qui déferle sur l’Europe depuis trop longtemps et avec la complicité des eurocrates de Bruxelles. Ces euro-mondialistes sont évidemment soutenus par les instances de l’ONU, qui en 2000 avaient pondu un rapport signé par un certain Joseph Chamie, rapport qui conseillait aux gouvernements européens d’accueillir 165 millions d’immigrés extra-européens à l’horizon 2025, seule façon de palier au vieillissement des populations et de pouvoir payer les retraites futures.

     

    Les médias et les partis traditionnels nous inondent d’informations catastrophiques et exploitent la sensibilité et l’émotivité des peuples en ce qui concerne le changement climatique, la culpabilité de l’homme blanc dans les émissions de CO2, l’obligation morale de recevoir tous les immigrés victimes de luttes tribales, de guerres civiles, de famines ou de la montée des eaux, chez nous en Europe à des milliers de kilomètres de leurs maisons.

    Par ailleurs, personne ne parle des dons, des subventions, des aides diverses, des prêts ou des collectes accordés aux pays d’Afrique depuis leur indépendance.

    Cela se chiffre en milliers de milliards de dollars ! Souvent des capitaux privés, mais en majorité surtout grâce à l’argent de nos impôts. Soyons clairs : quand les budgets des Etats européens sont bénéficiaires et que leurs dettes publiques sont soutenables, pourquoi ne pas aider les misérables dans un élan de générosité ?

    Mais on assiste depuis 60 ans à une comédie grotesque qui nous montre que si l’on accorde des aides aux pays sous-développés, ceux-ci ne combattent ni les famines, ni les maladies, ne développent pas leurs systèmes éducatifs ni leurs réseaux de communications. Les occidentaux espèrent s’acheter une « bonne conscience » et la paix dans le monde, en payant des régimes corrompus et des potentats locaux qui s’empressent de virer les capitaux sur des comptes bancaires dans les paradis fiscaux ou en achetant des châteaux ou des propriétés de prestiges dans les lieux huppés de la planète, ou bien en se constituant une « cour » d’obligés.

    Alors, STOP ! Comme on assiste à la décadence, au déclin et à la décomposition de notre société à cause d’un monde métissé, recomposé, divers, hybride et multiculturel qu’on nous impose, il est maintenant urgent de réfléchir et d’agir. OUI, ce gaspillage a trop duré et ces mannes financières déversées sur le continent africain depuis des décennies n’ont servi à rien (à quelques exceptions près) si ce n’est à constater que la démographie et les populations les plus nécessiteuses ont été multipliées par 5 alors que, bien au contraire, les dirigeants

    africains devaient imposer un strict contrôle des naissances. Les défenseurs de la Planète accusent l’homme blanc de gaspillages et de consommations qui mettraient les écosystèmes en danger. Jamais un mot à propos des dérives en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud ou dans les pays arabes. Pourquoi ? Ils ne polluent pas ? Ils ne détruisent pas les forêts ni les mers ? Ils seraient, eux, parfaitement respectueux de la Nature ?

    J’ai eu la chance de parcourir une trentaine de pays de par les continents et souvent plusieurs semaines dans chacun d’entre eux ; par curiosité, pour m’instruire, pour y travailler en créant des sociétés et surtout pour essayer de comprendre leur comportement autrement qu’au travers des livres. Hors des sentiers battus et parfois dans des conditions critiques, j’ai pu constater que le réel sur place est souvent très différent de ce que les médias et le monde des pourriticards nous racontent à longueur de temps.

    EUROPE, LIBERE-TOI !

    Les plus gros pollueurs sont les Asiatiques, les Américains et bientôt les Africains. Depuis 40 ans, j’ai vu les vélos disparaître dans les grandes cités d’Asie, cycles remplacés par les mobylettes et les motos et maintenant encombrées par une multitude de voitures et de camions. Idem en Afrique. Et qui parmi les écolos ira là-bas prêcher pour qu’ils arrêtent cette course à un meilleur niveau de vie. Quel Khmer vert ira-t-il en Inde pour stopper la construction de centrales thermiques polluantes ? Quel troll scandinave brandirait-elle son panneau de grève scolaire du vendredi pour interdire la déforestation en Malaisie ? Qui, parmi les humanistes socialaud-écologistes, irait à Lagos ou à Kinshasa pour prôner l’arrêt de l’utilisation des sacs en plastique ou d’un second smartphone ?

    Au Sénégal, en Tanzanie ou en Afrique du Sud, j’ai pu voir la destruction des infrastructures laissées par les Français, les Anglais et les Boers. J’ai constaté que les nouveaux dirigeants imposaient à leurs peuples (souvent constitués de multiples tribus) le rejet des héritages culturels, industriels, administratifs et économiques dans la gestion de leur quotidien, au prétexte d’anticolonialisme et au nom de doctrines absurdes.

    Au Viêt-Nam -surtout au Tonkin- toute trace ou inscription quelconque de la présence de la France a été éradiquée et martelée, même le nom des rues. Seuls subsistent les poteaux en béton d’EDF et les vieilles locomotives diesel qui circulent cahin-caha sur des voies ferrées vétustes ; le réseau routier est lamentable. Mais la soif d’exister fait que ce pays est devenu un exportateur important de chaussures et de produits de la pêche, d’abord vers la France. Et surtout : « Ho Chu Tich muon nam ! » 1.000 ans de vie au Président HO !

    Nous n’avons pas besoin de ces donneurs de leçons, charlatans au service du Nouvel Ordre Mondial qui feraient bien mieux de balayer devant leur porte.

    La France et l’Europe disposent des capacités et des ressources indispensables à leur développement et au bien-être de leurs peuples ; mais réfléchissons quand même sur ces faits incontestables :

    *Entre 1850 et 2016, la forêt en France a progressé de 7 millions à 15 millions d’hectares.

    *Chaque année, partout dans l’Hexagone, la forêt augmente de 40 à 50.000 hectares

    *Depuis 2013, 1,5 million d’habitants ont quitté les villes pour aller à la campagne, favorisant les circuits courts

    *En France, un produit parcourt 1.500 kms avant d’atterrir dans une assiette.

    *90.000 camions convergent tous les jours vers Paris pour assurer l’alimentation de ses habitants

    *Tous les jours, 20% des automobilistes mettent plus d’une heure pour se rendre à leur travail

    *La production électrique en France vient à 75% du nucléaire, avec 16 sites et 59 réacteurs.

    *Entre 1970 et 2010, 350 stations de sports d’hiver ont dénaturé les Alpes, les Pyrénées, les Vosges et le Centre

    *Tous les ans on dénombre 1.400 festivals musicaux en France, sources de pollutions diverses

    *Pour assouvir la consommation des Européens, 90% du trafic des marchandises se passe sur mer avec des cargos de 20.000 conteneurs, qui polluent, chacun, autant que 1 million de voitures pendant 1 an.

    Il est évident par ailleurs que les intérêts des pays d’Europe ne sont pas tous identiques et qu’il est arrogant de croire que l’Homme va sauver la Planète alors que la Nature et le Soleil se rient de nos gesticulations.

    C’est pourquoi, le 26 mai, chaque Européen devra donc exprimer son choix en fonction de ses convictions.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/05/08/l-algerie-aux-algeriens-l-afrique-aux-africains-europeen-mai-6149510.html#more

  • Une explosion démographique d’un demi-milliard de musulmans risque de balayer notre civilisation

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    Une explosion démographique d’un demi-milliard de personnes dans le monde arabe menace de balayer la culture européenne, et il ressort clairement des données démographiques officielles des Nations Unies que dans quelques décennies, des masses incroyables émigreront du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, a déclaré dans l’émission Polbeat de la chaîne PestiSrácok.hu l’orientaliste Tamás Dezső, ancien doyen de l’Université Eötvös de Budapest et membre de l’Institut hongrois de recherche sur la migration (MKI).

    « Je ne vois pas quel est le projet de l’Occident pour résoudre ce problème », a-t-il déclaré en réponse aux questions d’István Stefka et Gergely Huth.
    « Pourtant il y aurait une solution », a-t-il ajouté. 
    Par exemple, selon une étude, il faudrait 88,2 milliards de dollars pour reconstruire l’Irak. 
    Or c’est à peu près le montant que l’Allemagne a dépensé en quatre ans pour soutenir les migrants.
    De telles explosions démographiques, dans l’histoire, ont toujours conduit à des conflits violents, c’est pourquoi il est très important que la Hongrie accroisse encore son budget défense.
    Cependant, en tant que scientifique, Tamás Dezső plaide pour une solution pacifique, à savoir le développement des régions touchées par le Printemps arabe.
    « En Irak, où je travaille sur une fouille archéologique, tous les jeunes qui nous aident sont sans emploi. 
    Il est compréhensible qu’ils s’en aillent, mais l’Europe n’est pas assez riche pour sauver tous les pauvres du monde.
    Ce qui est totalement incompréhensible, c’est que l’extrême gauche occidentale soutienne l’afflux musulman, alors que l’idéologie représentée par les imams radicaux est diamétralement opposée à la leur. »
    D’après un sondage bien connu, 44% des musulmans britanniques étaient favorables à l’État islamique, chiffre qui était de 27% après l’attentatdu Bataclan.
    En Occident, une bataille sérieuse se joue autour des immigrés musulmans et les partis de l’intégration perdent du terrain contre les imams extrémistes.
    Résumé (du texte écrit) : Cenator
    Pour information :

    Source du tableau : D. Tamás, Démographie et migration (en hongrois), MKI, 5.11.2018 : p. 5.
    Légende : Fig. 1. Tendances démographiques de pays sélectionnés du monde musulman.
    Colonne 1 : p. ex. Törökország = Turquie, Magyarország = Hongrie.
    Colonnes centrales : accroissement.
    A droite : âge moyen et taux de fécondité.
    Commentaire : Que peut faire par exemple un jeune Afghan de 17 ans, analphabète, sans formation, peut-être déjà père ? 
    Comme le relève T. Dezső dans l’interview, il n’a guère d’autre choix que la guerre ou l’émigration, ou peut-être les deux. 
    lesobservateurs.ch

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/05/une-explosion-demographique-dun-demi.html#more

  • Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk : Qu’y a-t-il de plus essentiel pour un pays que la souveraineté et l’enracinement ?

    Sonia Mabrouk, journaliste franco-tunisienne, anime depuis 2017, quotidiennement, sur CNews, Les Voix de l’info, émission dans laquelle elle invite régulièrement Gabrielle Cluzel (Boulevard Voltaire), Alexandre del Valle et L’Incorrect. Elle a été interrogée dans le numéro de mai de ce mensuel, dont elle fait la Une. Extraits :

  • Ramadan business

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    Si vous ignorez que le ramadan a commencé le lundi 6 mai, à 4h22, c’est que vous n’avez ni télévision ni radio, et que vous ne traquez pas non plus l’information sur Internet. Car une déferlante s’est abattue sur ce thème, dans nos médias. D’abord parce qu’il s’agit d’une fête, pour ceux qui pratiquent cette religion, ensuite parce que la période du ramadan est l’occasion de dépenser son argent, c’est devenu l’une des plus fortes périodes pour la consommation.

    La date exacte du ramadan avait été annoncée deux jours plus tôt. Pendant cette période, qui s’achèvera dans la nuit du 4 au 5 juin, les musulmans pratiquants jeûneront, ne fumeront pas, et s’abstiendront de relations intimes avec le conjoint, ceci pendant la journée c’est-à-dire du lever du soleil au crépuscule, fixé à 21 h 16.

    La France compte… combien de musulmans, au fait ? Six millions ? On ne sait pas trop, mais ce qui est certain, c’est que l’islam est désormais la deuxième religion du pays. Il représente 6 à 10 % de la population vivant sur le territoire français. 6 à 10 %, une fourchette très large, tout simplement parce qu’il est impossible – et vaguement incorrect – de recenser avec précision cette communauté. Et c’est en France que vit la plus importante communauté musulmane d’Europe.

    Une communauté où le taux de pratique religieuse est bien supérieur à celui des adeptes d’autres religions. Cette pratique favorise donc une consommation communautaire. Ramadan et ramdam ont la même origine : c’est une période où l’on fait la fête, en tout cas le soir, quand le soleil s’est couché. Les dépenses de nourriture des familles musulmanes augmentent de 30 %, à cette occasion, pour une consommation effrénée dès que le jeûne de la journée est rompu.

    Statistiquement davantage de violence, d’attentats, d’AVC, d’accidents du travail

    Nos chaînes de télévision l’ont bien compris et les messages publicitaires en direction de cette communauté envahissent nos écrans. Ce qui, soit dit en passant, est un indicateur de la situation réelle, un indicateur que nous fournit le marché, en quelque sorte. Le mois du ramadan est celui où, dans les pays musulmans, les chaînes de télévision font leurs meilleurs scores d’audience.

    Mais l’augmentation de la consommation tous azimuts, lors de la rupture du jeûne, se traduit au profit de toutes sortes de consommations. C’est par exemple le mois du plus gros chiffre d’affaires pour… la prostitution. Statistiquement les nuits de ramadan génèrent également davantage de violence que les autres nuits, une violence favorisée par le fait que les populations restent éveillées une partie de la nuit. Dans les « quartiers », la période donne lieu à des « défoulements » collectifs favorisant les incendies de voitures, les bagarres de rue. Le ramadan est également un mois où le nombre d’attentats attribués à des islamistes augmente. Mourir pendant le ramadan, dans une action visant des « mécréants », réjouit Allah, paraît-il.

    Le ramadan est enfin le mois des AVC, et celui où fleurissent les conseils diététiques, dans notre bonne presse : ne pas se bourrer de sucreries ; éviter la nourriture trop riche en graisses animales. Pendant le ramadan, les accidents du travail sont plus nombreux, souvent liés à la somnolence. Et pour échapper aux coups de fatigue, les médecins conseillent de se nourrir de légumes et de viande blanche. Mais en tout état de cause, éviter le porc…

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 7 mai 2019

    https://fr.novopress.info/214467/ramadan-business/