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immigration - Page 752

  • La Commission européenne soutient la reprise des négociations d’adhésion de la Turquie

    La Commission européenne soutient la reprise des négociations d’adhésion de la Turquie

    Voilà qui devrait faire croître les suffrages en faveur des partis euro sceptiques :

    La Commission européenne, présidée par Jean-Claude Juncker, vient en effet de prendre le contre-pied du Conseil des ministres et du Parlement européen, en se prononçant pour la reprise du processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, actuellement au point mort, et en déclarant seule habilitée à en décider.

    Porte-parole de la Commission européenne, le Grec Margaritis Schinas, qui fut député au Parlement européen sous les couleurs de la Nouvelle Démocratie (démocrate-chrétien), a en effet déclaré mercredi : « La Commission européenne soutient la reprise des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. »

    « La décision collégiale est que les négociations d’adhésion doivent avoir lieu », a-t-il ajouté, précisant : « Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, est la partie officielle qui représente ce dossier, et il soutient la reprise des négociations. »

    Ces propos interviennent quelques jours après que Johannes Hahn, le commissaire européen à la politique européenne de voisinage et aux négociations d’élargissement, avait estimé dans une interview au quotidien Die Welt qu’« à long terme, il serait plus honnête que la Turquie et l’UE s’engagent dans une nouvelle direction et mettent fin aux négociations d’adhésion », ajoutant : « La décision appartient bien évidemment aux Etats membres, mais l’adhésion de la Turquie n’est pas raisonnable dans un avenir proche. »

    Johannes Hahn, membre de l’ÖVP, le parti du chancelier autrichien Sebastian Kurz qui préside actuellement le Conseil de l’Union européenne, avait même expliqué :

    « En outre, […] le maintien des négociations d’adhésion a bloqué la mise en place d’un partenariat stratégique réaliste.Nous devrions viser un nouveau partenariat stratégique avec notre voisin, la Turquie, dans un intérêt mutuel. »

    La position affirmée mercredi par le porte-parole de la Commission européenne n’est donc pas celle de la totalité de ses membres, ni celle de la présidence autrichienne de l’UE, ni celle de l’ensemble des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE, ni même celle du Parlement européen. Fin octobre, celui avait diminué de 213,5 millions d’euros l’enveloppe proposée par la Commission pour « l’aide de préadhésion » à la Turquie, « compte tenu de la dégradation permanente de l’État de droit, de la démocratie et des droits de l’homme dans le pays ». L’argument avancé par le Parlement depuis 2016 pour exiger que les négociations restent gelées.

    La Commission européenne a l’art de s’asseoir sur les décisions de toutes les autres instances de l’Union européenne. Comme d’habitude.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-commission-europeenne-soutient-la-reprise-des-negociations-dadhesion-de-la-turquie/

  • Romain Espino sur la censure : « Les élites n’ont plus d’arguments ! »

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    Le 4e Forum de la Dissidence se tiendra le samedi 17 novembre prochain à Paris sur le thème : « Face à la censure, tous dissidents ! »
    Cet événement exceptionnel sera donc dédié au phénomène le plus brûlant de l’année 2018. En effet, la censure aura touché à peu près tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, sont rentrés en dissidence face au cosmopolitisme et à l’écroulement de la France et de la civilisation européenne.

    Parmi les intervenants : Romain Espino, porte parole de Génération Identitaire.

    Polémia : Avez-vous récemment été confronté à la censure ?

    Romain Espino : Le mouvement Génération Identitaire a subi ces derniers mois une censure massive allant de la fermeture de comptes Facebook, Twitter et Instagram jusqu’à la suppression de nos moyens de paiements en ligne, notamment sur notre site internet. Aussi, en tant que porte-parole de Génération Identitaire, mes publications sont régulièrement supprimées par Facebook, mon compte Instagram a été supprimé sans explication et ma page Tipeee a été désactivée du jour au lendemain.

    Polémia : Selon vous, l’accélération de la restriction de la liberté d’expression est-elle un aveu de la panique des élites ?

    Romain Espino : Je ne sais pas s’il s’agit de panique des élites, mais il s’agit en tout cas d’un aveu d’échec de leur part sur le fond. Sur ces questions de sécurité, d’immigration et de la la défense de l’identité, ils n’ont plus d’arguments, les Français partagent dans leur grande majorité notre point de vue. Quand on a plus l’opinion avec soi, qu’on ne convainc plus, il ne reste plus qu’a s’en prendre directement aux opposants.

    Polémia : Comment faire pour lutter contre cette censure ?

    Romain Espino : Au-delà de toutes les possibilités qui se créent chaque jour du fait de l’apparition de nouvelles plates-formes sociales etc… Poursuivre son engagement, continuer à montrer qu’on ne résigne pas, montrer que malgré la censure de certains espaces nous serons présents dans tous les autres, voilà la bonne méthode. Ils ne pourront jamais tout censurer partout, et montrer qu’au fond tout cela ne nous atteint pas et qu’il ne nous détourne en rien de notre combat, reste la meilleure stratégie.

    Polémia : Quel message adresser à ceux qui peuvent perdre espoir face à la toute-puissance apparente du système politico-médiatico-culturel ?

    Romain Espino : Qu’elle n’est qu’apparente. Comme je l’ai dit précédemment, le système s’en prend directement aux opposants et use de la censure car il a perdu sur le fond, car la majorité des Français est en désaccord avec celui-ci. Chez Génération Identitaire, nous subissons une censure acharnée, pourtant en continuant à mener des opérations efficaces, nous arrivons à capter l’attention des médias et des politiques. Le “système” aussi puissant soit-il, ne pourra que se faire écraser sous le poids du réel.

    Entretien paru sur le site Polemia daté du 4 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/212497/romain-espino-sur-la-censure-les-elites-nont-plus-darguments/

  • Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

    Hongrie : soutien aux familles, pas à l’immigration

    Katalin Novák, secrétaire d’Etat à la Famille au sein du « ministère des capacités humaines », a dévoilé le nouveau questionnaire de Consultation Nationale qui va être envoyé aux foyers hongrois. Le titre : « Défense de la famille ». Chaque question est précédée d’un bref argumentaire donnant la position du gouvernement.

    La première des dix questions a immédiatement suscité la colère de Bruxelles :

    « Etes-vous d’accord qu’on ne doit pas remédier au déclin de la population par l’immigration, mais par un soutien accru aux familles ? »

    L’argumentaire souligne que « les bureaucrates de Bruxelles » veulent résoudre le problème du déclin démographique par l’immigration, un « mécanisme permanent d’installation » et une « Agence européenne d’immigration ».

    Parmi les autres questions :

    • la maternité doit-elle être reconnue comme un emploi à plein temps pour les femmes élevant au moins quatre enfants,
    • le droit de l’enfant à un père et à une mère doit-il être inscrit dans la Constitution,
    • les jeunes qui fondent une famille, et les membres de la famille qui s’occupent de leur enfant malade, doivent-ils être davantage soutenus,
    • la protection du développement intellectuel et physique des enfants est-elle une valeur que l’État doit défendre.

    L’argumentaire de la dixième question dénonce les coupes du soutien aux familles par la coalition socialiste-libérale de 2002 et la question demande s’il faut garantir une « protection des deux tiers », à savoir inscrire dans la Constitution le soutien aux familles.

    https://www.lesalonbeige.fr/hongrie-soutien-aux-familles-pas-a-limmigration/

  • Éric Zemmour : “Salvini n’est pas Mussolini. Orban n’est pas Hitler”

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    Dans une interview donnée au journal Ouest-France, publiée mercredi 31 octobre, le président de la République s’est dit frappé par la ressemblance “entre le moment que nous vivons et celui de l’entre-deux-guerres”.

    Quand j’ai entendu ça, j’ai hésité entre deux réactions : d’abord, le côté dubitatif devant un coup tactique, que je voyais venir gros comme une maison, et en même temps, l’effarement devant tant d’ignorance“, explique Éric Zemmour.

    Il n’y a pas les méchants et il n’y a pas les gentils“, martèle Éric Zemmour.

    Salvini n’est pas Mussolini. Orban n’est pas Hitler. On sait très bien ce que veut viser Macron. C’est faux. Ils sont élus démocratiquement. Hitler a fait 30% aux élections de 1932. Si la gauche s’était alliée, Hitler n’aurait pas été appelé chancelier par le président Hindenbourg. Mussolini non plus. Staline encore moins. Je ne vois pas la comparaison. Il y a d’autres problèmes, qui peuvent se référer à d’autres situations historiques mais pas aux années 30.

    https://fr.novopress.info/212489/eric-zemmour-salvini-nest-pas-mussolini-orban-nest-pas-hitler/

  • Du djihad à la guérilla urbaine, le pas est-il franchi ?

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    C’est avec consternation que les autorités ont constaté que, malgré leurs efforts (15.000 policiers mobilisés, autant qu’au Texas pour lutter contre la vague migratoire !), les incidents du 31 octobre (s’il est possible d’appeler « incidents » des voitures incendiées, des forces de l’ordre caillassées, un centre commercial pris d’assaut), non seulement avaient eu lieu, mais s’étaient étendus à nombre de quartiers jusque-là sans histoire, et qu’ils étaient le fait de jeunes de plus en plus jeunes (treize-quinze ans), que les médias complaisants appellent des enfants. Il « n’y a eu que » 116 interpellations qui, probablement, seront sans suite. La veille, pourtant, « la purge », c’est-à-dire l’appel à s’attaquer à tout ce qui représente l’autorité et l’État, avait été lancée. Plus tôt, des rappeurs appelaient à assassiner tous les Blancs – hommes, femmes et enfants. Excusez du peu. Bien entendu, on a crié au canular. Surtout pas de vagues, les moutons doivent être égorgés sans bêler.

    Ces appels sont, en clair, des « fatwas » citoyennes, des appels, au niveau national, à la guérilla urbaine avec constitution de groupes par quartiers. Plus besoin d’attentats djihadistes, plus besoin de kamikazes, plus besoin de se radicaliser.

    Car, aujourd’hui, ce sont certains jeunes, radicalisés ou non, qui mènent le combat. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont rien à perdre et qu’ils ne croient pas aux valeurs qui rassemblent la nation. Nos peuples faits de vieux et de fatigués espèrent toujours qu’ils auront disparu avant de voir les réalités. Sauf que les prédictions se réalisent. En 40, on espérait que la guerre n’arriverait pas devant chez soi. Les habitants de Nîmes ou de Gaillac faisaient semblant de vivre comme si de rien n’était ; et puis, un jour, ils sont arrivés…

    Les djihadistes sont en train de gagner. La violence s’étend maintenant partout, dans les quartiers, à l’école, dans les rues. Leur bras armé ? Les jeunes déboussolés, livrés à eux-mêmes et sûrs de leur impunité. La nature fait naître des fauves, l’éducation, des citoyens. La théorie rousseauiste de l’angélisme est malheureusement une fable. Des dizaines de cités en France, présentant, comme le disait pudiquement en 2016 un ministre de Hollande, des « similitudes potentielles avec Molenbeek », sont, de fait, devenues des zones où ce n’est pas la loi de la République qui est en vigueur. Désormais, la cible est claire : s’en prendre à l’ordre et à la culture occidentale.

    Mais que font nos élites ? Sont-elles autistes ? Attendent-elles un embrasement pour agir ? Ou pensent-elles pouvoir se sauver, comme les aristocrates de 1789, si cela tourne mal ?

    Leurs remèdes sont toujours les mêmes. Rien qui fâche les sphères mondialistes et internationalistes : discours compassionnels, déclarations tartarinesques, réunions interministérielles, décrets et lois. Comme les concernés ne reconnaissent ni les lois ni les règles de la République, il s’agit de cautères sur une jambe de bois.

    Alors, quoi faire ? Certains, défaitistes, nous disent : c’est trop tard, l’inversion est devenue impossible. Il n’est jamais trop tard. L’exemple de l’Italie, des pays de l’Est et même des États-Unis prouve le contraire. Certes, ce ne sera pas facile, car c’est toute une frange de la population qui a fait sécession. Il faut des mesures fortes et de masse : interdiction et arrestation des manifestants qui se cachent derrière masques et foulards. Pour les récidivistes, envoi dans des camps de rétention où civisme, discipline militaire et cours tout court essaieraient, pour les moins violents, de les réinsérer dans la société.

    Tout cela demande un courage que nos dirigeants, occupés à leurs petites affaires, n’ont pas. Dans ce vide politique, l’apparition d’un gouvernement autoritaire ne peut être exclue. Si cela arrivait, nos dirigeants actuels, qui nous affirment le craindre, en seraient les premiers responsables et les vrais coupables.

    Bérenger de Montmuel

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Viols à Huddersfield : après l’omerta, le silence des médias imposé par la justice

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    Connaissez-vous Huddersfield ? Cette ville du nord de l’Angleterre fait plus parler d’elle par les résultats de son club de football que par des viols en série qui y ont eu lieu. Pourtant, l’affaire en question a défrayé la chronique outre-Manche. Tant en raison des faits eux-mêmes que de la censure qui a été exercée sur les médias.

    À Huddersfield comme ailleurs

    Ce qui s’est passé à Huddersfield n’est pas un cas isolé en Grande Bretagne. Comme le rappelle la chaine publique anglaise de radio-télévision BBC, les villes de Rotherham, Oxford, Rochdale, Derby, Banbury, Telford, Peterborough, Aylesbury, Bristol, Halifax, Keighley et Newcastle ont été le théâtre de viols en série. Les caractéristiques en sont communes : les victimes sont très majoritairement des jeunes femmes blanches de milieu populaire, les agresseurs sont des « asiatiques », terme utilisé en Grande Bretagne pour désigner des Pakistanais. La particularité des événements qui ont eu lieu à Huddersfield tient au fait que l’omerta, la loi du silence, a été imposée aux médias par décision de justice pendant le procès des agresseurs.

    Dans des affaires similaires, de nombreux obstacles ont contribué à différer la révélation des faits. Valeurs actuelles présente ainsi en mars 2018 quelques éléments de l’enquête menée par le journal The Mirror concernant des viols de jeunes femmes blanches. Il en ressort en particulier à Telford et Rotherham que « les autorités locales étaient au courant, des médecins, des policiers, des assistantes sociales ainsi que des professeurs également. Et personne pour agir ou réagir. Pire encore, les journalistes précisent que certaines autorités « ont tenté d’entraver notre enquête ». Le journal anglais évalue à un millier le nombre de jeunes femmes victimes d’agressions sexuelles, sur une durée de …40 ans. La loi du silence a ainsi non seulement différé la révélation des faits, mais a également permis que les agressions se perpétuent et se multiplient.

    Les faits à Huddersfield

    L’Examiner nous informait en mars 2017 que l’enquête à Huddersfield a commencé à la fin de l’année 2013 quand une mère a accompagné sa fille à un commissariat de Police pour dénoncer les abus sexuels dont elle a été victime. A la suite de l’enquête de la Police, pas moins de 31 personnes ont selon l’Independant été inculpées pour viols et abus sexuels. Les trois procès qui ont été organisés à partir de la fin de l’année 2017 auront permis d’établir l’abus et le viol de 15 jeunes femmes entre 2005 et 2012, dont la plus jeune était âgée de 11 ans au moment des faits. Les agresseurs identifiés et condamnés sont au final au nombre de 20.

    Loi du silence

    À partir de novembre 2017, les autorités judiciaires ont interdit toute couverture par les médias du procès des violeurs présumés, afin d’« éviter tout préjudice et de protéger les auditions présentes et à venir », nous apprend le site de la BBC. Cette mesure, peu courante, a été prise en vertu d’une Loi adoptée en 1981 (« Contempt of Court Act »). Elle a fait l’objet de nombreuses critiques outre-Manche.

    Bravant le black-out imposé aux médias, le leader de l’English Defence League a diffusé une vidéo en direct de l’extérieur du tribunal sur un compte Facebook, ce qui lui vaudra d’être incarcéré, incarcération elle-même sous le coup d’une censure imposée aux mêmes médias par la justice anglaise. Le site de Breitbart Europe nous apprend qu’il aura fallu qu’un groupe de médias anglais mène une action judiciaire pour que la censure soit enfin levée.

    150 viols moins importants qu’une main sur un genou

    Ce n’est que le 19 octobre 2018 que le juge Guy Kearl a selon The Independent autorisé les médias à évoquer l’affaire. Ce qui leur a permis de divulguer non seulement les identités des personnes condamnées, le quantum des peines, mais également le nombre d’agressions, 150, le nombre de victimes, 15, et le total des peines de prisons, 220 ans.

    Ce qui ressort de cette affaire, c’est que la censure des médias anglais révèle une fois de plus l’incapacité d’une frange de la société anglaise à évoquer le moindre fait qui puisse ternir le multiculturalisme, qui est un véritable dogme en Grande Bretagne comme sur le continent. Les autorités ont ainsi été tétanisées à l’idée de mentionner des facteurs culturels – le patriarcat, la faible considération de femmes blanches – ayant favorisé les agressions. Le site d’information en ligne Spiked souligne que la main qu’un secrétaire d’État anglais a posée sur le genou de Kate Melby, une jeune femme issue de la classe moyenne, a causé plus d’émoi dans l’opinion publique que l’abus sexuel de jeunes femmes de la classe ouvrière par des hommes d’origine pakistanaise.

    Selon l’éditorialiste de Spiked, le verdict confirme l’incapacité de la classe politique anglaise à se confronter au problème des gangs d’origine pakistanaise. A la censure des médias mise en place lors du procès des violeurs, s’ajoutent certaines réactions révélatrices : le secrétaire d’État à l’Intérieur a été vertement critiqué pour avoir mentionné l’origine des violeurs. On peut citer également une parlementaire travailliste écartée du « cabinet fantôme » de son parti pour avoir écrit un article dans le journal The Sun sur le problème des gangs d’hommes d’origine pakistanaise. Dans les articles des journaux comme dans l’expression publique, la liberté d’expression a ses limites.

    Article paru sur le site OJIM daté du 5 novembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Islamisation: « Le Monde » découvre la lune!

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    Notre numéro de novembre est en vente par Daoud Boughezala

    L’islamisation de la Seine-Saint-Denis vous sautait aux yeux ? Le Monde vient de la découvrir ! De l’Italie de Salvini à Grigny en passant par la France de Robespierre, voyagez dans le temps et l’espace grâce à Causeur

    Il était temps. Depuis que les deux reporters du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, ont coordonné une longue enquête sur l’islamisation de la Seine-Saint-Denis (Inch’allah, 2018) aux côtés de cinq étudiants en journalisme, les langues se délient. Les médias grand public découvrent la réalité, Causeur en fait tout un numéro ! Comme le résume Elisabeth Lévy« voilà deux journalistes (et leurs cinq apprentis) qui disent ce que beaucoup d’entre nous disent depuis longtemps et, non seulement ils sont reçus avec les honneurs, mais il est bien possible qu’ils réussissent là où nous avons échoué – à ébranler les certitudes d’une certaine gauche ».

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  • STÉPHANE RAVIER : « C’EST LE PREMIER QUI DÉGAINERA ET QUI SAURA VISER QUI S’EN SORTIRA »

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    Stéphane Ravier, unique sénateur du Rassemblement national, dirait-il tout haut ce que Gérard Collomb pense de moins en moins bas ? Il estime en tout cas que l’utopie du « vivre ensemble » va très mal se terminer.

    Interrogé par le mensuel L’Incorrect au jour de la passation de pouvoirs entre Gérard Collomb et Edouard Philippe, qui allait assurer l’intérim du ministère de l’Intérieur, Stéphane Ravier a réagi aux propos tenus ce jour-là par le ministre démissionnaire. Estimant que la situation dans les « quartiers » était « très dégradée », Collomb avait affirmé : « Aujourd’hui, on vit côte à côte […] Moi je crains que demain, on vive face à face. »

    Dans le numéro de novembre de l’Incorrect, Stéphane Ravier commente ces propos :

    « Donc il reconnaît que le “vivre ensemble“, c’est du pipeau. La réalité, c’est en effet qu’on vit déjà les uns à côté des autres. On se côtoie – le moins possible –, on se supporte – de moins en moins –, et on sait que ça se terminera comme dans les westerns : c’est le premier qui dégainera et qui saura viser qui s’en sortira.  »

    Des propos qui font aussi écho aux confidences livrées par Gérard Collomb en février dernier à Valeurs actuelles lors d’un entretien informel que l’hebdomadaire vient seulement de publier :

    «  Ce que je lis tous les matins dans les notes de police reflète une situation très pessimiste. Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble…  »

    A distance, le sénateur du Rassemblement national, élu dans les Bouches-du-Rhône et président du groupe RN au conseil municipal de Marseille, répond, lui  : «  La faute à qui  ?  », et assène qu’il faut maintenant «  avoir des couilles  »  :

    «  Je parle des politiques, pas des policiers bien sûr, qui n’attendent que les ordres pour agir. Il faut mettre en place le face à face avec les crapules. Il faut aller au carton  ! De façon républicaine, bien sûr, mais avec détermination.  »

    Quant à la «  mixité sociale  », Stéphane Ravier, qui annonce sa candidature à la mairie de Marseille en 2020, ne veut plus en entendre parler et fait pleinement sienne la notion de «  grand remplacement  »  :

    «  Arrêtons de parler de “mixité sociale“ quand il s’agit bien évidemment de “mixité ethnique“  !Encore qu’on en est arrivés au point où, si c’est vraiment cela que l’on veut, il va falloir faire revenir des “Souchiens“, comme on dit, tellement la population provençale a été remplacée  !  »

    Des propos qui, dans le climat actuel de plus en plus tendu, pourraient bien donner le ton de la campagne des prochaines élections européennes.,

    https://info-nations.eu/stephane-ravier-cest-le-premier-qui-degainera-et-qui-saura-viser-qui-sen-sortira/

  • VIOLENCES À L'ÉCOLE : ET SI ON PARLAIT DES VRAIES RAISONS ?

  • La Marche de la Reconquête prend forme

    96198991.pngCommuniqué de la Dissidence Française

    La mobilisation prend de l'ampleur ! Plusieurs organisations nationalistes ont répondu à notre appel au rassemblement et ont apporté leur soutien à la Marche de la Reconquête : Terre & Peuple (Pierre Vial), Alexandre Gabriac (Civitas), le Parti Nationaliste Français (Yvan Benedetti), l'Action Nationale et Radicale, les sections du Calvados et de Seine-Saint-Denis du Parti de la France, ainsi que Synthèse Nationale (Roland Hélie).

    Contre l’immigration massive et pour l'application immédiate de la préférence nationale, tous les nationalistes et patriotes français sont appelés à se joindre à nous et à participer à cette Marche de la Reconquête, pour faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et s’élancera le samedi 10 novembre 2018 à 15h, Place de la Bourse à Paris (2ème Arr.).

    http://synthesenationale.hautetfort.com/