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Après plus de cinq ans de procédure, nous venons de connaître une victoire totale devant la cour administrative d’appel de Paris.
Dès la création de Vigilance halal en 2012, nous avions défini un axe d’action judiciaire car le halal s’affranchit allègrement des lois et règlements, avec la bienveillance des autorités.
Un des points clés que nous soulevions est basé sur le fait que l’abattage halal, pourtant illégal pour raison sanitaire et de protection animale, peut se pratiquer sous forme de dérogation préfectorale. Cette dérogation est accordée par les préfectures suite à un dossier administratif.
Comme toute littérature administrative, tout semble être maîtrisé, tout est sous contrôle ! Et pourtant…
S’il est difficile pour nous de contrôler tous les éléments, l’un d’entre eux est à notre portée : c’est la tenue d’un registre des commandes spécifiques.
Sachant par des témoignages que la plupart des abattoirs qui ont demandé une dérogation ont largement outrepassé cette règle nous avons lancé une dizaine de procédures devant les tribunaux administratifs demandant communication de ce registre des commande.
Notamment pour les abattoirs d’Île de France, dont Marine Le Pen avait dénoncé l’hallalitude en 2012.
Nous avons systématiquement perdu tous nos procès, au motif spécieux que ce registre des commandes est un document commercial donc non communicable… Nous n’avions pas les moyens d’aller en appel pour tous ces dossiers, nous avons donc concentré le tir sur l’abattoir de Meaux et ceux de Seine-et-Marne car nous avions en main une vidéo de France 2, La viande dans tous ses états (à partir de 21′) montrant en caméra cachée que l’ensemble les abattages y étaient halal.
Cet appel a connu son épilogue le 18 décembre 2018, au terme de plus de cinq ans de procédure, avec une victoire totale, le tribunal confirmant le bien-fondé de notre action, condamnant l’État à nous verser 1500€ au titre des frais.
Le considérant n°3 de ce jugement rappelle que le préfet doit retirer la dérogation en cas de manquement aux obligations (dont la tenue d’un registre des commandes) et il a deux mois pour redonner une autre dérogation sur présentation d’un nouveau dossier. Il va de soi que nous allons particulièrement veiller à l’application de ce point éventuellement par l’envoi d’huissiers.
Dans le considérant n°4 il est fait état des documents fournis en tant que registre des commandes : ce sont des bilans annuels communiqués à l’administration sous forme de feuilles volantes manuscrites ou de réponses à des mails « au mieux accompagnés de tableaux ». « De tels documents ne sauraient suffire à justifier la mise en place du dispositif » ( la dérogation NDLR)
Ce n’est quand même pas très sérieux de la part de l’administration d’avoir accepté cela depuis six ans au moins. Complicité, incompétence, négligence ?
Dans ce même considérant n°4, les établissements se justifient par une remise « directe » au consommateur, ce qui pose un autre problème à savoir des flux financiers potentiellement hors fisc facilités par cette pratique.
Notre stratégie de recherche des voies de droit, basée sur des arguments scientifiques et de simple bon sens, loin de toute polémique mais affrontant le réel sur un sujet quasiment tabou se trouve validée. Nous remercions tous ceux qui ont œuvré pour cette victoire et notamment notre avocat Me Yon, ainsi que l’ensemble de nos soutiens, sans qui aucune victoire judiciaire n’est et ne sera possible.
[La meilleure moitié commence à 21:15.Thèmes abordés très divers : sa prise de conscience de la vulnérabilité de la nation française, de la valeur de la culture, de la consubstantialité de la nation à la démocratie, le conservatisme et le progressisme, le pacte de Marrakech, « l’immigration est une catastrophe », les gilets jaunes…]
« Le gouvernement craint un embrasement des banlieues (…) les policiers ne sont pas armés pour faire face comme ils l’étaient encore en 2005 »
« Ce qu’on ne supporte pas dans la nostalgie aujourd’hui, c’est la référence à une France d’avant la diversité. Cette France que vous aimez était ethniquement homogène, et si vous l’aimez parce qu’elle était ethniquement homogène, c’est parce que vous êtes un raciste. L’antiracisme dominant veut nous faire aimer la diversité à tout prix alors même qu’elle est de moins en moins aimable.
Cet antiracisme est une idéologie planétaire, qui s’est exprimée notamment dans le Pacte de Marrakech (…) Je crois que notre époque est tragique, parce qu’une évolution se produit, qui semble inexorable et qui est catastrophique »
Social / Gilets Jaunes : Un acte 6 en forme de baroud d’honneur ?
Les Gilets Jaunes entament l’acte 6 des mobilisations… des manifestations sont prévues partout sur le territoire alors que l’Assemblée Nationale a voté, dans l’agitation, une loi pour apaiser le mouvement.
Sécurité / Les revenants islamistes, le danger de 2019
Alors que l’attentat de Strasbourg a fait resurgir la menace terroriste au grand jour, le secrétaire général d’Interpol a mis en garde contre une nouvelle forme de danger : les revenants, ces djihadistes sortis de prison… Un avertissement de taille pour 2019.
Société / En France, la drogue “dure” se banalise
Crack, cocaïne et gaz hilarant… les drogues dites dures se banalisent en France avec des consommateurs de plus en plus régulier. Face à la montée du phénomène le gouvernement semble bien démuni… faute de feuille de route et de volonté politique.
Le fondateur du site Riposte Laïque, Pierre Cassen, nous présente son ouvrage « Et la gauche devint la putain de l’islam ». L’auteur brosse un portrait au vitriol d’une douzaine de personnalités emblématiques de la gauche responsables d’avoir trahi les classes populaires par leur militantisme en faveur d’une immigration majoritairement musulmane.
Tous ceux qui pensaient que LR serait capable un jour de mener une véritable politique de fermeté ont à nouveau la preuve inverse :
Un rapport de la commission des lois sénatoriale rejette toute idée d’expulsion ou d’internement des personnes signalées (…) [Le] sénateur du Cher François Pillet, rattaché au groupe Les Républicains (LR), qui a piloté le groupe de travail de la commission des lois du Sénat sur « l’amélioration de l’efficacité des fiches “S” ». Ses conclusions livrées mercredi 19 décembre prennent le contre-pied de ce que nombre de responsables politiques de droite et d’extrême droite proposent pour renforcer l’arsenal de prévention du terrorisme. (source)
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Le rapport indique donc que « la fiche S est un moyen d’investigation à faible coût humain, et pas un outil de suivi de la radicalisation ». Pour ce faire, il existe d’ailleurs un fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste, créé en 2015. En décembre, ils étaient 20 560 à être inscrit dans ce fichier et 29 973 à faire l’objet d’une fiche S, indique Le Monde. Parmi ces derniers, deux tiers sont épinglés pour radicalisation ou en raison de rapports avec des personnes radicalisées. (source)
1,8 millions de faux numéros de sécurité sociale : 80% des faux documents sont d’origine algérienne, marocaine, congolaise, et malienne. Estimation : 20 milliards d'euros de fraude par an
Le criminologue Xavier Raufer revient pour Boulevard Voltaire, sur le cas Chérif Chekkat, auteur de l’attentat au marché de Noël de Strasbourg. Quelques heures plus tard, le terroriste allait être retrouvé et abattu.
Xavier Raufer est un criminologue, essayiste, expert en questions de terrorisme Il a publié des ouvrages consacrés à la criminalité, au terrorisme et à l'insécurité urbaine.
Il participe régulièrement à diverses publications de presse ou émissions télévisées.
On lira avec intérêt l'entretien qu'il a donné à Boulevard Voltaire peu avant que Cherif Chekatt ait été retrouvé et abattu. Xavier Raufer y donne un ensemble d'informations, d'explications et de détails évidemment intéressants. LFAR
Par Xavier Raufer
Cherif Chekatt a ouvert le feu pendant le marché de Noël de Strasbourg. Comment a-t-il pu frapper dans la mesure où les points d’accès au marché de Noël étaient sécurisés ?
Cherif Chekatt arrive sur le point de contrôle situé au niveau du pont du Corbeau et de la rue du vieux marché aux poissons vers 19h40.
Au même endroit, une heure avant, une dame habitant Strasbourg m’écrit dans un mail qu’elle a été contrôlée de près. On lui avait demandé de présenter ses papiers d’identité et d’ouvrir son sac.
Lorsqu’il s’y présente, Cherif Chekatt sait qu’il est poursuivi par la police et par la gendarmerie puisqu’il a failli être arrêté le matin même. Il n’était pas présent à son domicile. Les gendarmes ont perquisitionné son appartement et ont trouvé au moins une grenade défensive, une arme de guerre très dangereuse. Si vous larguez ce type de grenade dans une pièce, elle tue une trentaine de personnes. Ils ont également trouvé une arme de poing.
À la suite de cette perquisition, les gendarmes ont fait leur boulot puisqu’ils ont publié une note d’alerte stipulant qu’un individu dangereux était en fuite. Ils ont joint sa taille, son poids, sa photographie, son patronyme et les endroits où il était susceptible de se trouver. La perquisition a eu lieu vers 6 heures du matin et la fiche en question est apparue sur les terminaux de police et de gendarmerie au plus tard à 7h30.
Le même soir vers 19h40, l’intéressé comme on dit dans les rapports de police, arrive à ce point d’où il peut accéder au centre-ville et où il est supposé être bien contrôlé et fouillé.
On ne sait pas comment, mais il passe avec une arme de poing impressionnante, un vieux pistolet d’ordonnance et un poignard. Il était donc censé être fouillé et ne pas pouvoir entrer même avec un trombone ou une épingle. Pourtant, il passe.
On peut décliner trois hypothèses pour l’expliquer. Première hypothèse, les gens censés être sur le point de contrôle ne voient plus clair parce qu’ils sont épuisés après avoir été sur des manifestations de lycéens le matin. Deuxième hypothèse, ils étaient en train de partir et ont négligé de contrôler l’individu en question. Dernière hypothèse, ils n’étaient déjà plus là.
Il était officiellement poursuivi et recherché pour un braquage qui a mal tourné. Comme vous l’avez relevé, on n’envoie pas la DGSI pour un voleur de poules. Même s’il était fiché S, comment la DGSI a-t-elle pu être intéressée par un profil comme Cherif Chekatt alors qu’il avait officiellement le profil d’un braqueur ?
Il est plus que fiché S. Un autre fichier existe. Le FSPRT est un fichier qui rassemble non seulement des personnes dont on est sûr qu’elles sont radicalisées, preuves à l’appui, mais également qu’elles sont dangereuses et ont accès à des armes ou à des outils dangereux.
Cherif Chekatt figure sur les deux fichiers. En conséquence de quoi, tout ce qu’il fait est susceptible de basculer côté crime de droit commun. Il semble que la raison pour laquelle les gendarmes voulaient l’arrêter à ce moment-là était un home jacking. Cela consiste à s’introduire dans une maison pour braquer les habitants, voler leur argent et prendre leur numéro de carte bancaire. Il était avec 3 ou 4 complices d’origine maghrébine comme lui.
Ils avaient peut-être l’envie ou le désir d’accumuler de l’argent pour pouvoir faire des attentats. On ne le sait pas pour le moment, mais nous le saurons peut-être. Ses trois complices ont été arrêtés. Ils sont entre les mains de la police.
L’individu en question est signalé depuis trois ans pour son prosélytisme. C’est un véritable gibier de prison. Il est connu comme le loup blanc parce qu’à chaque fois qu’il est en prison, il y a coups et blessures sur les dépositaires de l’autorité. Il n’arrête pas de casser la gueule aux gardiens. Il le fait toujours dans des circonstances et avec des déclarations qui montrent que c’est un islamiste confirmé.
L’islam fanatique salafiste interdit la musique, mais les guerriers ont le droit de chanter. Il a donc fait toutes sortes de déclarations sur ce qui s’appelle les anachid, les chants guerriers de Daesh. Il raconte que « les abrutis de gardiens ne comprennent pas, mais nous les chantons dans toute la prison ». Il est donc fier de son côté chahut militant, chahut islamiste à l’intérieur de la prison sur des chants de guerre qui appellent à tuer tous les infidèles. Il est clair que c’est un islamiste dangereux.
La famille Chekatt est très compliquée. Ses parents et deux de ses frères ont été arrêtés. Le père a eu plusieurs épouses successives. Il a une ribambelle de frères et soeurs. Parmi eux, un des frères aînés de Cherif est encore plus dangereux, plus sophistiqué et plus organisé. Il n’a pas encore été arrêté. La crainte actuelle est que Cherif et son frère soient ensemble. Cela renforcerait certainement la capacité de nuisance de Cherif parce qu’il s’est pris une 5,56 dans le coude. Un de ses bras est donc neutralisé.
On a du mal à imaginer qu’un homme aussi recherché et en plus blessé peut encore échapper aux forces de l’ordre…
Deux solutions sont possibles. Premièrement, il se trouve peut-être en Allemagne, car nous avons eu deux signalements de deux Allemands crédibles. Ils ont dit avoir vu un garçon qui ressemblerait à Cherif. On cherche donc de ce côté-là, mais ce n’est pas sûr.
Deuxièmement, depuis la zone où il a disparu, il peut très facilement rejoindre d’autres quartiers périphériques de Strasbourg où résident les éléments d’une importante communauté de Tchétchènes fanatisés et salafistes. Ce sont des gens redoutables dont certains sont d’anciens guerriers des guerres de Tchétchénie qui savent ce que c’est que la guérilla urbaine. D’autres sont plus jeunes comme les complices de Khamzat Asimov venu en mai dernier à Paris assassiner au nom de l’État islamique un passant au poignard dans le 2e arrondissement près du quartier de l’Opéra. Ce sont donc des garçons très dangereux.
En somme, s’il a disparu en Suisse ou en Allemagne, on finira par le retrouver. S’il est planqué avec son frère aîné et des Tchétchènes, ça ne va pas être une promenade de santé pour aller le récupérer. Voilà où nous en sommes à l’heure actuelle.
Par André Posokhow, consultant ♦ Pour Polémia, 2018 aura été l’année de la propagande et de la censure d’Etat. Elle aura été marquée entre autres par la Loi scélérate « fake news », la censure numérique et mondiale exercée par les GAFA ou encore la fermeture massive de comptes sur les réseaux sociaux et YouTube. Nous ne nous trouvons pourtant qu’au début du processus de l’effacement des libertés fondamentales que sont les libertés d’opinion, d’expression et de la presse. Les années 2019 et suivantes s’annoncent comme pires si les révoltes populaires ne renversent pas la table. C’est ce que révèle la lecture de l’objectif 17 du Pacte pour les migrations. Parmi ses 23 objectifs, l’objectif 17 (O17) est certainement celui qui constitue la menace la plus aiguë pour les libertés d’expression et d’opinion. Le danger qu’il représente et l ’idéologie totalitaire qu’il reflète doivent être particulièrement mis en exergue et dénoncés.
Liste des articles déjà publiés par Polémia sur ce texte catastrophique :
L’objectif 17 du Pacte : le pivot de la lutte contre la liberté de l’esprit
Un engagement d’élimination des « discriminations »
L’en tête de l’O17 utilise des mots de violence et se montre à la fois global, partial et hypocrite.
Il s’agit clairement d’un engagement, pour l’instant moral, des pays signataires, donc de la France.
La violence des mots et des actes
L’O17 veut que les signataires condamnent, combattent et éliminent toute forme de discrimination. Ces verbes sont l’expression d’une logique d’affrontement et à terme de guerres civiles.
Seules les discriminations et les violences à l’égard des migrants sont prises en considération
Les violences, les viols, les agressions, la guérilla même auxquels se livrent nombre d’envahisseurs sont ignorés et occultés. Ce n’est pas le sujet. Les seules victimes possibles sont les allogènes.
Les discriminations qu’il faut éliminer sont globales et vagues
Le texte s’abstient évidemment de préciser ce que sont ces discriminations contre les migrants. Ce sont des mots fourre-tout : expressions et manifestations de racisme, discrimination raciale, xénophobie, qui peuvent recouvrir n’importe quel mot et n’importe quel acte.
Ce sera à la jurisprudence des tribunaux qu’il reviendra de leur donner une signification plus précise pour condamner les opposants, « conformément au droit international des droits de l’homme », on devine dans quel sens.
L’hypocrisie de ces engagements
Les signataires s’engagent à protéger la liberté d’expression. Bravo et quel soulagement ! Mais, dit le texte, il faut que ce soit dans le respect du droit international afin de contribuer à une compréhension globale des migrations sous tous leurs aspects. Quel peut être en l’occurrence ce droit international ? Rappelons que l’OIM (Organisation Internationale pour les Migrations) a formulé l’ambition de développer un droit international des migrations.
La stratégie défensive : la répression
Donner un droit de dénonciation aux migrants
Les migrants et les communautés, nous supposons qu’il s’agit des diasporas, pourront dénoncer tout acte « d’incitation à la violence contre les migrants ». Il en découlera une sujétion des Occidentaux de souche et un renforcement de l’éclatement des pays occidentaux en populations communautarisées dressées les unes contre les autres.
Faire juger et condamner les opposants à l’invasion
Les migrants et les communautés, naturalisés ou non, pourront amener quiconque participerait à « la commission d’une infraction inspirée par la haine des migrants »à répondre de ses actes. C’est quoi la haine des migrants ? Si un citoyen français comme une majorité de ses concitoyens dit qu’il y a trop d’immigrés en France, est-ce de la haine ?
Il est ajouté que cette démarche se fera dans le respect du droit interne et du droit international des droits de l’homme. Même observation que ci-dessus, mais surtout quel droit prédominera ? A terme les différentes communautés pourraient exiger l’application de leur propre droit interne comme c’est le cas de la charia dans des villes anglaises
sur ces migrants dont la présence permet de sauver économiquement une ville italienne
Confronté aux accusations d’un autre journaliste avec qui il a travaillé, Claas Relotius a admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Ce journalistes, primé à plusieurs reprises, falsifiait depuis plusieurs années ses articles. Claas Relotius avait encore reçu début décembre le prix du Reporter de l’année pour un article sur de jeunes Syriens qui seraient à l’origine de la guerre civile qui a éclaté en 2011.
Dimanche, il a remis sa démission de l’hebdomadaire, après avoir admis avoir inventé des citations et des scènes auxquelles il n’a en fait jamais assisté. Au total, au moins 14 articles auraient été bidonnés, dont un sur un Yéménite qui a passé 14 ans sans raison à Guantanamo et un autre sur Colin Kaerpernick, joueur de football américain qui posait le genou à terre pendant l’hymne américain pour protester contre les inégalités raciales. Claas Relotius prétendait avoir interviewé ses parents.
Société / Grande concertation nationale : l’immigration évacuée du débat
C’était censé être l’une des trouvailles pour apaiser les gilets jaunes, l’ouverture d’un grand débat national sur les principaux sujets qui secoue le pays s’annonce déjà comme une mascarade. Alors que le président de la République veut tirer les lauriers de la prétendue concertation en marche, ce sont les maires qui seront mis à contribution… Pendant ce temps là, l’immigration, qui devrait être une thématique à part entière, a déjà été reléguée au bout d’un paragraphe.
Politique / La cacophonie gouvernementale
Après une reculade remarquée du Premier Ministre sur les dispositions annoncées en novembre, les mesures décidées par l’exécutif pour répondre au mouvement des gilets jaunes ont été précisées… De quoi faire encore grimper la facture…
Sécurité / Castaner s’embourbe face à la Police
Fiscalité / Taxes sur les GAFA : le casse-tête lucratif ?
Face à l’impuissance européenne, le gouvernement français communique sur sa volonté de taxer les géants du numérique… Une mesure populaire qui pourrait toutefois être bien compliquée à mettre en place dans un temps record.