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immigration - Page 864

  • Viktor Orban qualifie les réfugiés d’«envahisseurs musulmans»

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    Le dirigeant hongrois, Viktor Orban, a réaffirmé que la Hongrie n’envisageait pas d’accueillir à l’avenir de nouveaux réfugiés, car cela engendre «nécessairement des sociétés parallèles», selon lui.

    Viktor Orban a appelé le chef du SPD (Parti social-démocrate d’Allemagne), Martin Schulz, à montrer «plus de respect» pour son pays, tout en faisant allusion à sa présidence au sein du Parlement européen: «Ce qui était bon et gentil à Bruxelles — où il n’avait pas de répercussions manifestes — constitue une toute autre histoire que d’être le chef d’un parti en Allemagne et de communiquer avec d’autres pays. Nous trouvons que nous méritons plus de respect», reprend le journal Bild, en citant M.Orban.

    (…)

    Au demeurant, Victor Orban a rejeté lors de l’interview l’allégation selon laquelle la Hongrie obtenait de l’argent de la part de l’UE, mais refusait d’accueillir des réfugiés. Le soi-disant Fonds de Cohésion, dont bénéficie l’économie hongroise, ne serait pas un cadeau. «Il constitue une compensation équitable puisque nous avons ouvert notre marché à la libre concurrence. Cela n’a absolument rien à voir avec les réfugiés», a-t-il fait remarquer.

    Orban a également tenu à souligner que la Hongrie ne comptait pas accueillir de nouveaux réfugiés à l’avenir. «Nous croyons qu’un grand nombre de musulmans conduit inévitablement à des sociétés parallèles. (…) Nous ne souhaitons rien de tel. Et nous ne souhaitons pas y être forcés», a-t-il relevé.

    Et de conclure:

    Nous ne considérons pas ces gens-là comme des réfugiés musulmans, mais comme des envahisseurs musulmans

    Extrait repris du site Sputniknews

    https://fr.novopress.info/

  • Quimper : Claudine Dupont-Tingaud condamnée pour avoir dénoncé l'islamisation de la Bretagne...

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    Source EuroLibertés cliquez ici

    Pour avoir « outragé » le policier qui lui arrachait, dans le cimetière militaire de Quimper le 11 novembre 2017, la couverture éloquente de Valeurs Actuelles qui rappelait, sous l’effigie du Pape Jean-Paul II dont la statue est en passe d’être retirée d’une place publique de PLoërmel (56), ces mots de l’écrivain Chateaubriand « chassez le christianisme et vous aurez l’islam », Claudine Dupont-Tingaud, ancienne détenue politique pour avoir défendu l’Algérie Française, ancienne Conseillère Régionale de Bretagne, présidente de REAGIR, secrétaire de QUIMPER-RESISTANCE, comparaissait lundi 8 janvier 2018 à Quimper devant le Procureur de la République pour « rappel à la loi » alors qu’elle avait participé à toutes les manifestations de soutien à une police pas forcément aux ordres. Elle s’est vu imposer 400 euros d’amende !

    Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

    Ce jour-là ,11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Comment répondre aux mensonges sur la bataille de Poitiers ? (argumentaire des Identitaires)

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    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un nouveau document qui propose de répondre aux mensonges autour de la bataille de Poitiers.

    Ils disent souvent : « La bataille de Poitiers n’a pas eu lieu et si elle a lieu ce n’était pas à Poitiers et ce n’était en aucun cas pour arrêter une invasion mais tout au plus pour mettre un terme à une razzia. ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Si la négation de l’existence de la bataille de Poitiers est confidentielle et peu sérieuse, nombreux sont ceux qui cherchent à relativiser son importance. Il s’agit de nier qu’il ait pu exister une invasion planifiée de la part des troupes arabo-berbères. Les Européens doivent être les seuls, et les premiers, à qui l’on puisse reprocher une opération de conquête comme on le fait régulièrement pour les croisades dont on occulte par ailleurs complètement l’importante vocation défensive. Dans la société du « vivre-ensemble » où la question de l’islamisation inquiète le plus grand nombre, il est gênant qu’une des batailles les plus prestigieuses de l’histoire de France soit celle qui ait mis un terme à la conquête musulmane de l’Europe.

    Pourquoi c’est faux ? La bataille de Poitiers a bien eu lieu et s’inscrit dans un conflit de plusieurs décennies qui s’est achevé par la victoire définitive des Francs sur les envahisseurs arabo-berbères.

    Découvrir cette fiche-argumentaire :

    « La bataille de Poitiers n'a pas eu lieu. »

    COMMENT RÉPONDRE AUX MENSONGES SUR LA BATAILLE DE POITIERS ?

    Quatorzième argumentaire @les_ids :https://t.co/tDXhTHhccc

    — Les Identitaires (@les_ids) 27 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • MIGRANTS ET CRIMINALITÉ : CES CHIFFRES QUI TUENT

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    Une « bonne » et une mauvaise nouvelle. La « bonne » : l’ancien ministre de la Justice de Basse-Saxe, un des « Länder » de l’Allemagne, affirme, au terme d’une enquête menée au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse, et avec le concours de deux autres criminologues, que « les demandeurs d’asile sont très souvent responsables d’infractions pénales ». La mauvaise, ce sont les solutions envisagées pour enrayer cette spirale de violence et les chiffres effrayants d’une autre enquête, celle du PKS, sur laquelle s’est penchée Inès Laufer.

    Selon les auteurs, entre 2014 et 2016, le nombre de crimes violents – confirmé par les enquêtes policières – a augmenté de plus de 10 %, « 92,1 % de cette augmentation [étant] imputable aux réfugiés ». Plus de « padamalgam » qui tienne. Et ceux qui voient dans les réfugiés des familles toutes gentilles dans la détresse peuvent ravaler leur salive, les réfugiés étant souvent « des jeunes hommes dans la tranche d’âge où les gens seraient plus criminels », indique le rapport. Ils ont entre 14 et 30 ans, lit-on plus avant.

    Mieux (ou pire) : les jeunes Nord-Africains – Marocains, Algériens, Tunisiens – sont « proportionnellement plus fréquents parmi les suspects ». Ces migrants ne viennent donc pas de pays en guerre. Mais ce n’est pas tellement de leur faute, sous-entend cette enquête, car, si ces jeunes hommes deviennent si agressifs, c’est parce qu’ils « font face à un certain rejet, alors que les réfugiés sont beaucoup mieux accueillis » et qu’ils découvrent « le manque de perspective socio-économique ». En outre, ces jeunes hommes pétant de santé libéreraient leur trop-plein d’hormones dans la violence en raison du manque de femmes !

    Que préconisent donc ces éminents spécialistes pour recouvrer la paix dans leur pays ? De faire passer les Allemands à la caisse, à savoir « investir des sommes énormes pour un programme de retour » ainsi que, rapport à l’abstinence et l’absence de nounous, encourager le regroupement familial. En sus, des cours de langue, du sport ou des formations qui devraient les aider à se tenir tranquilles. On voit déjà ce que cela a donné…

    Passons, maintenant, à l’enquête de la statistique policière sur la criminalité (PKS) décryptée par Inès Laufer. En 2016, les demandeurs d’asile autrement appelés « réfugiés », en termes de criminalité donc, étaient 600 % plus criminels que les Allemands, y compris les Allemands issus de l’immigration et les binationaux. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes :

    Dans une population de 100.000 Allemands, il y a 1.913 suspects.
    Dans une population de 100.000 étrangers, il y a 6.847 suspects.
    Dans une population de 100.000 « réfugiés », il y a 13.930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l’immigration) : « Refugees welcome! – Flüchtlinge Willkommen! »

    Ces enquêtes accablantes qui révèlent au grand jour une relation évidente entre violences en tous genres et des réfugiés devraient donner un coup d’arrêt immédiat à cette mortelle politique immigrationniste, et entraîner l’expulsion pure et simple des ressortissants incriminés. Mais non ! Les zélites continuent de parler de pognon à dépenser et de prévention. Pire : un obscur et apparemment impuissant petit commissaire politique européen, le Grec Dimítris Avramópoulos, nous prévient : « Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations. »

    Rendez-vous dans un an pour d’autres chiffres aussi édifiants. Dans dix ans, eu égard aux desseins de l’Union européenne de transformer radicalement le continent, ce sera… une autre Histoire.

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-criminalite-chiffres-tuent/

  • POUR LE MIGRANT, ILS ONT TOUT PRÉVU : IL AURA SA CARTE BANCAIRE, ET LES SOUS !

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    80.000 personnes étaient enregistrées en tant que demandeurs d’asile en 2015, plus de 85.000 en 2016, 100.000 en 2017.

    Nous en avions vaguement entendu parler puis, le fil de l’actualité déversant quotidiennement son lot de nouvelles insupportables, nous l’avions oublié. C’est Bernard Monot, FN, député européen pour la circonscription Massif-Central-Centre, qui, par l’intermédiaire de sa page Facebook, nous le rappelle. Depuis avril 2016, les demandeurs d’asile bénéficient d’une carte de retrait bancaire (via La Banque postale, la Caisse d’épargne et le Crédit agricole) leur permettant de profiter de l’ADA (allocation pour demandeur d’asile), délivrée par l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) et octroyée généreusement par l’État. Service-public.fr se fait un plaisir de donner la procédure à suivre pour l’obtenir.

    On apprend, ainsi, que les étrangers de plus de 18 ans (entrés par effraction dans notre pays… un détail) en possession de leur attestation de demandeur d’asile y ont droit. Mais, attention : ils devront « avoir accepté les conditions matérielles qui [leur] ont été proposées par l’OFII ». Eh oui, après avoir vécu l’enfer sur terre en fuyant leur famille abandonnée dans un pays en guerre, certains ne trouvent pas leur hébergement gratuit à leur goût. Quant à leurs ressources mensuelles, elles ne devront pas dépasser l’équivalent du RSA. Mais quand on sait que la traversée de la Méditerranée coûte entre 4.000 et 6.000 dollars par personne (chiffre rapporté par le chef de mission à l’Organisation internationale des migrations, pour TV5 Monde), on s’interroge, pour débourser pareille somme, sur leurs revenus perçus dans leur pays d’origine…

    Le montant, maintenant. 6,80 euros pour une personne seule et par jour, soit 204 euros mensuel. 10,20 euros pour deux, et ainsi de suite jusque 37,40 euros pour dix personnes. Service-public.frne s’aventure pas au-delà de ce chiffre. 5,40 euros supplémentaires si le demandeur d’asile n’est pas hébergé. Pas de quoi faire la noce, rétorqueront les indécrottables immigrationnistes. Sauf qu’il y a cumul. Quand vous touchez l’ADA, vous êtes non seulement hébergé, mais vous avez droit « au transport, aux soins médicaux et à l’éducation ». 80.000 personnes étaient enregistrées en tant que demandeurs d’asile en 2015, plus de 85.000 en 2016, 100.000 en 2017, souligne Bernard Monot. Une courbe exponentielle que le gouvernement n’a, de toute évidence, aucune intention d’inverser.

    Il serait vain d’énumérer tout ce à quoi d’autres ont droit, les étrangers illégaux ou légaux, pendant que dix millions de Français (ou quelque chose d’approchant) tirent le diable par la queue. Pendant que la classe moyenne, chez nous, mais aussi en Europe, décline lentement mais sûrement (Le Figaro, 2 mars 2016). Pendant que nos étudiants peinent à financer leurs études ou que des milliers de familles modestes attendent des années un logement social alors que, chaque nuit, rien qu’à Paris, 35.000 migrants sont logés gratis, s’insurge Bernard Monot, parfois même depuis des années…

    Et après cette énième « insulte à la France qui travaille », comme s’émeut ce député, le gouvernement, pour qui l’argent ne manque jamais pour les immigrés, en même temps qu’il nous demande à nous de faire des « efforts », a prévu pour cette année 300 millions de plus pour en accueillir encore plus. De son côté, l’Union européenne se servira des fonds de la PAC pour en implanter encore davantage dans nos campagnes, ajoute-t-il. Nos paysans apprécieront…

    Cette ADA, aucun de nous jamais ne l’aura. Que penserait-on de parents qui légueraient leur héritage à de parfaits inconnus ? On les dirait injustes, indignes, immoraux. On dirait qu’ils ont trahi leurs enfants. Nos gouvernants ne font pas autre chose.

    http://www.bvoltaire.fr/migrant-ont-prevu-aura-carte-bancaire/

  • Les faux réfugiés, les traîtres et les Turcs

    6a00d8341c715453ef01b7c942d963970b-320wi.jpgOn se préoccupe en ce moment du retour des gens qui étaient partis en Irak et en Syrie, le plus souvent via la Turquie, rejoindre les doux humanistes de l'État islamique.

    Les réactions divergent, y compris entre ministres du même gouvernement.

    Ainsi Florence Parly, ministre macronienne des Armées, a dit tout haut ce que beaucoup de monde pense tout bas. Si ces gens meurent, de ce point de vue, l'opinion publique ne les pleurera pas.

    À l'inverse Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement macronien, invoque un désir de procès équitables. Or, cette préoccupation revient à souhaiter que ces gens qui, dans la plupart des cas ont trahi la France et combattu son armée, bénéficient de toutes les failles de notre système répressif judiciaire et pénitentiaire, inadapté à cette situation de guerre.

    Les crimes qu'ils ont commis à l'Étranger, en toute connaissance de cause, relèvent légitimement des juridictions locales.

    Dans sa lettre politique du 5 janvier, qu'il intitule "L'islam, encore et toujours" Laurent Joffrin, directeur de la rédaction et de la publication de Libération, déplore que, selon lui, "on oublie, en tout cas, de relever un paradoxe."

    En le citant ici nous espérons démontrer que l’expression "on oublie" ne s'applique pas à cette chronique.

    Voici ce qu'il écrit :

    "Ainsi ces terroristes qui n’avaient que haine et mépris envers la République française, jusqu’à prendre les armes contre elle, jusqu’à se faire les complices d’attentats ignobles perpétrés contre leurs compatriotes, découvrent soudain ses vertus. Vaincus, ils ont changé d’idée. On aurait pu penser, avec une pointe d’ironie, qu’ils auraient préféré comparaître devant un tribunal islamique… Bizarrement, ils s’en remettent maintenant à l’état de droit laïque et républicain qu’ils vouaient aux gémonies, à des tribunaux composés de mécréants, à un État français par ailleurs qualifié de raciste et de post-colonial. Cela tend à prouver que le courage des fanatiques a ses limites. Ou que la défaite est parfois mère de sagesse."

    Nous nous trouvons en présence de traîtres : ils doivent être traités comme tels.

    Or ceci intervient au moment où l’Europe est en proie à la crise migratoire, celle-ci se trouvant aggravée par la même idéologie, les mêmes pétitions de principe qui cherchent à protéger les Français, ou plutôt les ex-Français qui se sont mis au service de l'ennemi.

    Il ne faut certainement pas prendre cette simultanéité pour le fruit du hasard. Derrière les trafics de migrants et de faux réfugiés on retrouve les mêmes réseaux islamistes et, notamment, la mafia turque, qui mènent une guerre très logique pour affaiblir l'Europe.

    Nos dirigeants hyper compétents, nos élites hyper informées, nos technocrates hyper arrogants sont vraiment seuls à ne pas l'avoir compris.

    Ce 5 janvier, en conclusion d'entretiens fort ambigus avec le mégalomane Erdogan, Monsieur Macron présentait pour une immense découverte qu'il semble vouloir faire breveter au profit de sa propre politique, ce que tant d'autres avaient compris, proposé et expliqué avant lui. (1)⇓ Bravo pour l'inventeur de l'eau tiède.

    Monsieur Macron parle donc désormais d'un partenariat entre l'Europe et la Turquie : il en parle avec 10 ans de retard. On se demande aujourd'hui quel objet poursuivrait cette coopération sinon pour persister à permettre la manipulation par les dirigeants dictatoriaux et mafieux turcs des faux réfugiés et la protection des traîtres.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    6a00d8341c715453ef01b8d2cd29a5970c-320wi.jpg1 cf. "La Question turque et l'Europe" Le 2 octobre 2014 le parlement d'Ankara a voté la possibilité pour l'armée turque de pénétrer en territoire syrien ou irakien. Immédiatement, l'illusion d'une alliance entre ce pays et l'occident était à nouveau réaffirmée.
    Et pourtant les objectifs poursuivis par la Turquie dans cette guerre se sont révélés fort différents de ceux proclamés par la coalition.
    Or, depuis la candidature de la Turquie à l'Union européenne, on assiste à une offensive de propagande constante destinée à rendre ce projet présentable.
    Mais les actes concrets accomplis par le gouvernement turc contredisent, année après année, les effets d'annonce pour lesquels excellent toujours les dirigeants de ce pays que l'on présente encore comme "ami". Depuis 1987, date du dépôt de la candidature officielle, le monde a beaucoup évolué.
    La Turquie aussi : elle a vu depuis 15 ans l'apparition, la prise du pouvoir et le développement d'un parti, l'AKP de Recep Tayyip Erdogan. Aujourd'hui majoritaire, ce parti a entrepris en 2017 de faire évoluer le pays vers un régime autoritaire.
    Islamiste dans ses fondements, l'AKP et l'action du gouvernement Erdogan bouleversent l'illusoire laïcité instituée par Mustafa Kemal.••• 190 pages pages 20 euros.••• Livre à commander sur le site de l'éditeur ou en adressant un chèque de 20 euros port compris aux Editions du Trident, 39 rue du Cherche Midi 75006 Paris 

    http://www.insolent.fr/

  • Immigration : nouvelle mise en garde d’un ancien chef du service de renseignement allemand

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    Allemagne – August Hanning, ancien chef du service de renseignement fédéral allemand (BND), met en garde le gouvernement au sujet de l’accueil laxiste des immigrés.

    Dans une interview publiée par le journal Bild, August Hanning avertit :

    « Comme l’ont montré les attaques terroristes et les tentatives d’attentats ces deux dernières années, la situation sécuritaire en Allemagne est très tendue. »

    « Notre architecture sécuritaire doit être améliorée de toute urgence afin de relever les nouveaux défis. Sinon, cela risque de devenir très inconfortable pour nous en Allemagne. »

    August Hanning critique depuis des années la politique migratoire de la chancelière Angela Merkel et souligne le « lien entre la sécurité intérieure et un contrôle efficace des frontières ».
    « Tant que nous laisserons les gens entrer dans le pays sans papiers d’identité, sans des contrôles d’identité clairs, nous ferons face à un gros problème de sécurité. »

    « En Europe, l’Allemagne est la terre promise pour les demandeurs d’asile et les migrants. Et je me demande combien de temps nous pouvons continuer dans cette voie sans affronter d’importants bouleversements sociaux. »

    Des propos de simple bon sens.

    http://www.medias-presse.info/immigration-nouvelle-mise-en-garde-dun-ancien-chef-du-service-de-renseignement-allemand/85724/

  • Réflexion : Ça veut dire quoi « bien vivre ensemble » ?

    Il y a des jours où tout passe et d’autres où on se dit que c’est ras-le-bol de cette affirmation. Ainsi, on ne cesse de nous rabattre les oreilles avec le « bien vivre ensemble ». Ça veut dire quoi au juste ? Que nous sommes amenés à accepter tout comportement qui ne serait pas tout à fait le nôtre, questions vestimentaire et alimentaire ?

    Habitant dans le sud de la France, il m’est parfois bien difficile de ne pas réagir face à certaines situations, qui ne seraient acceptées nulle part ailleurs. Mais sous prétexte de « bien vivre ensemble », on accepte tout, en faisant parfois semblant de ne rien voir. C’est tellement plus facile de ne pas réagir. Ça évite les problèmes et les remises en question. Personnellement, je ne supporte pas de voir des femmes « déguisées » en fantômes noirs, dont on ne voit que les yeux. Si je ne me retenais pas, je pourrais arracher leur voile, mais, ça ne se fait pas et je me mettrais en danger car personne ne viendrait à mon secours.

    Hé bien non ! Ce n’est pas à nous à subir, mais à faire comprendre à l’autre qu’il y a des efforts à faire pour s’intégrer en bonne intelligence et être accepté. La France est un pays où dominent la générosité et la tolérance. Nous, Français de souche, de génération en génération (ne remontons tout de même pas au Moyen-âge, quoique…), sous le fallacieux prétexte de notre bon cœur et de notre intelligence, nous acceptons tout en essayant de comprendre que « l’autre » a traversé bien des frontières, a subi bien des épreuves et qu’il est juste de l’accueillir avec la plus grande tolérance.

    Cet « autre » a faim, a peur, ne sait pas encore parler notre langue (mais il apprendra) et surtout il arrive avec ses traditions, sa culture, ses habitudes et il fera venir les membres de sa famille dès qu’il le pourra, ce qui paraît tout à fait normal. Il n’est pas bon qu’un homme reste seul.

    Bien sûr, il sait que la France est un pays grand et généreux et qu’elle ne peut certes « accueillir toute la misère du monde » pour reprendre une expression utilisée par un politique qui n’était pas de notre bord, mais permettre aux plus malheureux de survivre,  dans un premier temps, puis de vivre dans un second temps, sous réserve que des efforts aient été faits pour l’intégration, ce qui n’est pas toujours facile, il faut en convenir, d’un côté comme de l’autre.

    Les difficultés économiques actuelles de notre pays doivent cependant nous inciter à de la prudence pour éviter des débordements de toute nature. Il importe également que des structures, tant sociales qu’humaines, permettent le « bien vivre ensemble » dans des régions, des départements, des villes, des quartiers, qui peuvent accueillir et accompagner les nouveaux venus. Ils sont une richesse pour notre pays quand ils arrivent avec un savoir et une bonne volonté pour vivre autrement que là d’où ils viennent, suite à des guerres, des conflits, des problèmes graves divers et variés. Ils peuvent trouver une place dans notre société sous réserve que celle-ci ait la capacité de prendre le temps d’écouter et d’intégrer qui en sera digne.

    La France n’est pas n’importe quel pays, elle qui fut Royaume et dispose d’une histoire extraordinairement riche, dont peu de pays peuvent se prévaloir. La France se distingue en tous points et mérite toute notre fierté, de la dynastie des Mérovingiens, à celle des Valois en passant par les Carolingiens et les Capétiens.

    Il reste à espérer que cette histoire de France restera enseignée dans tous les lieux d’enseignement public et privé. Nous le valons bien et la question du « vivre ensemble » ne doit pas se poser. Elle s’impose naturellement. Question de respect et d’intelligence !

    Solange Heisdorf

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/divers/2602-reflexion-ca-veut-dire-quoi-bien-vivre-ensemble