Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 867

  • Seuls les immigrationnistes ont le droit de juger

    François Lagarde, jeune magistrat administratif à Lyon, est chargé, comme tous ses jeunes collègues, du contentieux de l’immigration. 
    En 2014, il se fait élire, hors du ressort de son tribunal, au conseil municipal d’Orléans. Le maire UMP de la ville, Serge Grouard, le nomme alors délégué à la lutte contre l’immigration clandestine. A charge pour lui de s’assurer que la loi est appliquée en ce qui concerne notamment les mariages d’étrangers et la délivrance des certificats de résidence qui permettent à des étrangers d’accueillir des membres de leur famille. Rien d’anormal. 
    Mais le syndicat des avocats de France ne l’entend pas ainsi et intervient auprès du président du tribunal administratif de Lyon pour lui demander de retirer au juge Lagarde le contentieux des étrangers, au motif qu’il ne serait pas impartial. Les médias locaux et nationaux s’emparent immédiatement du « scandale » et le président du tribunal administratif de Lyon, n’écoutant que son courage, transmet le dossier à la commission de déontologie du Conseil d’Etat. Cette dernière estime alors que le juge Lagarde n’est plus apte à remplir ses fonctions. 
    Une histoire d’autant plus extraordinaire que les principaux arrêts du Conseil d’Etat, juge suprême du droit des étrangers, ont été rendus par des magistrats qui, eux, militent activement dans des associations immigrationnistes ! Ils participent un jour au colloque du Gisti ou de la Cimade et, le lendemain, prennent des décisions politiques en faveur de l’élargissement du droit des étrangers. 
    Mais eux, ce n’est pas pareil : ils sont immigrationnistes, donc ils ont le droit de juger ! 
    Jean-Yves Le Gallou, Immigration, la catastrophe. Que faire ?

  • MOUVEMENTS DE LA POPULATION FRANÇAISE : CE QUE L’INSEE NE PEUT PAS DIRE

    Les statistiques sont instructives, notamment en matière d’étude des populations. Elles apportent rarement des surprises, mais confirment les constats que beaucoup peuvent faire. Ainsi, selon les résultats d’une enquête de l’INSEE, qui vient de rendre publics les nouveaux chiffres de la population légale, entre 2010 et 2015, la ville de Paris est passée de 2.243.833 habitants à 2.206.488, soit une baisse de 1,66 % – plus de 37.000 habitants tout de même, l’équivalent d’une petite ville de province.

    Les causes en sont multiples. Le premier facteur est d’ordre démographique : moins de naissances et une population vieillissante. Le second facteur, d’ordre financier : le prix de l’immobilier, à l’achat ou à la location, est inabordable pour les classes moyennes, notamment pour les familles nombreuses, qui doivent s’éloigner de la capitale. La mairie de Paris met également en cause, aussi, les meublés touristiques et les logements inoccupés.

    Il est un autre phénomène, dont l’enquête ne parle pas, qui a une conséquence sur la pénurie d’appartements et se répercute sur leur prix : le nombre de divorces et de séparations, qui entraîne souvent la nécessité de doubler le logement pour une même famille. Certes, le divorce est parfois la seule solution quand un couple est en conflit, mais l’État ne devrait-il pas chercher à favoriser l’épanouissement de la famille ? Mais assez sur ce sujet : on entend déjà les libertaires de tout poil crier haro contre cette suggestion iconoclaste.

    Si deux arrondissements, le XIIIe et le XIVe, voient leur population légèrement augmenter, les plus fortes baisses sont dans le VIIIe(-11,10 %), le IIe (-9,61 %) et le VIIe (-6,62 %). Dans le VIIIe, qui bat les records, les loyers sont trop élevés, écartant des cadres même relativement aisés, surtout quand leur famille s’agrandit. Résultat : les bureaux se développent, les commerces s’en ressentent. Il y a aussi des prix exorbitants dans le Ve ou le VIe, à proximité de lycées de renom : l’offre scolaire a une incidence sur les prix.

    L’enquête révèle, d’autre part, que les départements du Grand Sud-Ouest sont parmi les plus attractifs de France. Ainsi, avec la LGV qui met Bordeaux à deux heures de Paris, la ville d’Alain Juppé devient, pour certains cadres, une banlieue de la capitale, quand leur profession le permet. Quoi qu’on pense du bilan du maire de Bordeaux quand il était au gouvernement, son action locale a été bénéfique. Les nombreux touristes qui y passent ne s’y trompent pas. Espérons que l’afflux de nouveaux habitants ne transformera pas Bordeaux en une ville de bobos, à l’instar de Paris !

    Toutes ces statistiques ne prennent pas en compte, ni à Paris ni à Bordeaux, les migrants, clandestins ou non, de plus en plus nombreux. Dans les rues de Bordeaux et de sa proche banlieue, à la sortie des magasins, devant les distributeurs de banque, ils font la quête – parfois les mêmes, aux mêmes endroits, depuis des mois. Si l’on s’aventure, le soir, dans le quartier de la gare Saint-Jean, on voit apparaître des silhouettes par groupes de trois ou quatre, sorties d’on ne sait où, qui pourraient paraître inquiétantes. Et ne parlons pas des camps de migrants à Paris… C’est un sujet tabou !

    Les statistiques ont leurs limites. Elles aussi subissent les contraintes de la bien-pensance.

    http://www.bvoltaire.fr/mouvements-de-population-francaise-linsee-ne-dire/

  • L’ALLEMAGNE PREND DES MESURES POUR PROTÉGER SES FEMMES DURANT LE RÉVEILLON

    La nuit du réveillon du Nouvel An 2016 était entrée dans l’Histoire suite aux agressions sexuelles de masse perpétrées au sein des villes allemandes de Cologne, située en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, et de Hambourg par des Nord-Africains à l’encontre de femmes allemandes. Un an plus tard, la police avait dû déployer de gros moyens matériels et humains afin d’empêcher que de tels événements ne se reproduisent, alors que la gent féminine évitait le centre de certaines cités allemandes. À Francfort-sur-le-Main, les forces de l’ordre avaient même placé des blindés dans les rues.

    Alors que la nuit du réveillon de 2018 approche, les autorités allemandes prennent les devants. Le ministre de l’Intérieur démocrate-chrétien (CDU) de l’État de Rhénanie-du-Nord-Westphalie Herbert Reul recommande aux femmes de ne pas se promener seules à la Saint-Sylvestre, mais en groupe, tout en affirmant que tout a été fait pour assurer la sécurité lors du Nouvel An : « Je dirai à mes trois filles : si vous en avez la possibilité, n’allez pas seules, mais en groupe », avant d’ajouter : « Quand cela devient critique, faites-vous remarquer bruyamment et si cela ne vous aide pas, appelez aussi vite que possible le 110, plutôt une fois de trop qu’une fois trop peu. » En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, 5.700 policiers seront déployés, dont 1.400 à Cologne.

    Après les agressions de 2016, le maire de Cologne, sans étiquette, élu avec le soutien de la CDU, des sociaux-démocrates du SPD et des écologistes, madame Henriette Reker, avait recommandé aux femmes allemandes de se tenir à une distance d’au moins la longueur d’un bras des étrangers, de rester en groupe et, le cas échéant, d’appeler à haute voix à l’aide. En 2017, suite aux contrôles renforcés mis en place par la police à Cologne, visant les personnes au profil nord-africain ou de type arabe lors du Nouvel An, ainsi que l’utilisation par les forces de l’ordre (dans un tweet) du jargon « Nafris » (Nord-Africains), des critiques visant ces dernières avaient vu le jour.

    Le ministre Herbert Reul précise que la police n’a pas pour objectif de surveiller plus les étrangers, mais que si des groupes déterminés d’étrangers sont visiblement suspects, cela doit être dit clairement.

    La télévision allemande retransmet habituellement le rassemblement festif de la Saint-Sylvestre qui se déroule au sein du cœur politique de l’Allemagne, à Berlin, devant la porte de Brandebourg, à quelques pas de la Chancellerie et du Parlement national, lorsque les douze coups de minuit retentissent. Cette année, pour la première fois, un domaine réservé aux femmes est érigé. Au sein de ces « zones de sécurité pour femmes », des aides formés à la psychologie de la Croix-Rouge seront à la disposition, sous des tentes, des femmes harcelées sexuellement ou qui se sentent en insécurité.

    Depuis l’ouverture des frontières aux migrants par la chancelière allemande Angela Merkel (CDU) en 2015, le visage de l’Allemagne a bien changé. Les femmes n’y sont plus en sécurité comme autrefois. Un réveillon du Nouvel An ne peut plus s’y dérouler sans que les forces de l’ordre doivent déployer des moyens importants afin d’éviter les agressions sexuelles de masse.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Le pape François et l’immigration

    Dans cette tribune du Journal de Montréal [28.12] Mathieu Bock-Côté dit des propos du pape - mieux sans-doute et autrement - la même chose que nous. [Voir article précédent]. La charge du pape François en faveur de l'immigration, au soir de Noël, ne vise en fait que l'Europe. Peut-être surtout, comme on le dit, la catholique Pologne. Mais aussi la France, sans aucun doute. Gardons présent à l'esprit qu'en matière politique, en tout ce qui touche au Bien Commun de notre patrie, nous sommes - ou devrions être - seuls souverains.   LFAR  

    Depuis quelques années, le pape François a multiplié les déclarations invitant l’Occident à s’ouvrir aux vagues migratoires.

    Entre les vrais réfugiés et les migrants économiques, il ne distingue pas vraiment : il ne veut voir qu’une misère humaine réclamant qu’on lui porte secours. Même s’il fait quelques nuances, il invite globalement les Européens à accueillir avec le sourire ceux qui entrent chez eux sans même frapper à la porte.

    Occident

    Il lui importe peu que les Européens se sentent submergés : ils doivent faire un effort supplémentaire de charité pour ne pas renier leur humanité. 

    C’est dans cet esprit qu’il a récemment comparé les migrants à Jésus et ses parents. On comprend le message : qui ferme la porte aux migrants la ferme au Christ. 

    On comprend que, pour le pape, un bon chrétien ne saurait jamais s’opposer à l’immigration massive qui transforme l’Europe démographiquement.

    Lorsqu’il est question du pape, les médias occidentaux pratiquent l’écoute sélective. Lorsqu’il parle de religion, ils s’en fichent. Mais lorsqu’il plaide pour la dissolution des frontières, ils lui donnent le titre de grand sage et nous invitent à suivre ses conseils.

    C’est qu’il radicalise le préjugé sans-frontiériste dominant chez nos élites économiques et médiatiques.

    En gros, l’Occident serait devenu riche en pillant la planète et il serait normal qu’aujourd’hui, il se fasse pardonner en accueillant sans rechigner les déshérités du monde entier. Cette vision de l’histoire est fausse et déformée, mais elle monopolise la conscience collective.

    Du haut de son magistère, le pape fait la morale sans trop s’intéresser aux conséquences pratiques de cette révolution migratoire. Il y a là une terrible irresponsabilité.

    Dans un livre essentiel paru début 2017, Église et immigration : le grand malaise, le journaliste français Laurent Dandrieu, lui-même catholique, décryptait la pensée du pape et, plus globalement, de l’Église, autour de cette question. Il observait une inquiétante indifférence de l’Église devant le droit des peuples à conserver leur identité.

    Au-delà des déclarations du pape François, on doit constater que l’immigration massive est probablement le grand enjeu de notre époque. Ce sont des masses humaines qui se mettent en mouvement.

    Le phénomène ne date pas d’hier : depuis le début des années 1980, on s’en inquiète, mais personne n’ose le maîtriser, et pour cela, il prend de l’ampleur.

    Responsabilité

    Et on aura beau sermonner les peuples occidentaux en leur expliquant que la diversité est une richesse, ils se sentent néanmoins bousculés, dépossédés. S’ils veulent bien accueillir un certain nombre de malheureux, ils ne peuvent accueillir pour autant toute la misère du monde.

    Les vagues migratoires des dernières années ont quelque chose de traumatisant. On entre illégalement et massivement en Europe. Les pays sont incapables de faire respecter leurs frontières. Leurs équilibres sociaux et culturels sont compromis. Les tensions identitaires augmentent.

    L’immigration est une question explosive. Et les irresponsables qui accusent de xénophobie ceux qui voudraient mieux la contrôler et faire respecter les frontières enveniment la situation.  

    Mathieu Bock-Côté

    Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LE SOUTIEN AU TERRORISME ISLAMISTE SUR NOTRE SOL

    trappes-1024x660.jpg

    Trappes, sa mosquée, ses salafistes

    Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…

    Selon un rapport de la commission d’enquête du Sénat publié en avril 2015, le nombre d’individus à surveiller, à cette époque-là, était de 3.000 environ. Parmi eux, près de la moitié étaient, et sont encore pour certains d’entre eux, impliqués dans les filières syriennes. Les motivations de ces jeunes hommes et jeunes femmes ayant rejoint les zones de combat en Syrie ou en Irak ont longtemps été débattues. Elles ont même parfois été raillées, comme pour exorciser une démarche qui, à certains égards, paraissait effrayante. Partis de nos banlieues et parfois de nos villages, ces djihadistes français, instruits ou pas et issus de différentes classes sociales, ont pris les armes contre leur propre pays. Beaucoup sont morts lors des combats et des bombardements de la coalition. D’autres ont survécu et cherchent désormais à rentrer au pays. C’est le prochain défi sécuritaire qui nous attend. D’autres, encore, ont été arrêtés ou faits prisonniers ; ils seront déférés à la Justice.

    Parmi ces derniers se trouvent quelques figures emblématiques de la « filière française ». Ainsi, l’Albigeois Thomas Barnouin, qui aurait été arrêté à la mi-décembre dans la région d’Hassaké, au nord-est de la Syrie, par les unités de protection du peuple kurde. Considéré comme l’un des cadres de l’État islamique en Syrie par les services de renseignement, c’est un vétéran de la nébuleuse djihadiste du Sud-Ouest, proche des frères Clain – ceux qui ont revendiqué les attentats du 13 novembre pour le compte de Daech -, qui vient ainsi d’être mis hors d’état de nuire. Deux autres Français auraient également été arrêtés, Romain Garnier et Thomas Collange. Le premier avait quitté la France avec sa compagne pour rejoindre l’État islamique, dont il était devenu l’un des principaux chroniqueurs radiophoniques francophones. Le second combattait dans les rangs de Daech depuis plusieurs années.

    Parmi les questions qui se posent, celle de l’appartenance de plusieurs de ces djihadistes français à une même ville, un même quartier, voire à un même village est récurrente. Ainsi le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs. En effet, ce département, avec plus de 150 tenants d’un islam radical suivis par les services spécialisés dans la lutte antiterroriste, figure au « Top 10 » national en nombre de radicalisés par habitant.

    Les raisons de ces concentrations inattendues sont multiples. Elles peuvent tenir, tout d’abord, à la présence d’imams ou de prêcheurs radicaux. La région de Toulouse et de ses environs vit justement sévir Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », lequel provoqua la radicalisation d’individus qui allaient, par la suite, défrayer la chronique. Parmi eux, Mohammed Merah et Thomas Barnouin. Le groupe est, ensuite, potentiellement facteur de propagation du radicalisme. Il en est ainsi du cercle familial – souvenons-nous des frères Kouachi – ou des fréquentations habituelles de la vie sociale ou cultuelle. C’est en leur sein que vont se créer des cellules actives souvent à l’origine d’attentats meurtriers. Là encore, les exemples ne sont que trop nombreux. Enfin, souvent issus du milieu de la délinquance, qui emprunte les mêmes modes d’organisation, et ayant fait des séjours répétés en prison, la radicalisation de ces individus passe également par des réseaux de circonstance. Si ce mode de fonctionnement collectif et concerté peut rendre ces personnages plus forts et plus dangereux, il les rend également, par sa visibilité, plus vulnérables. C’est notamment sur cette vulnérabilité que travaillent les services de renseignement.

    http://www.bvoltaire.fr/soutien-terrorisme-islamiste-sol/

  • Le pape François et l’immigration

    Dans cette tribune du Journal de Montréal [28.12] Mathieu Bock-Côté dit des propos du pape - mieux sans-doute et autrement - la même chose que nous. [Voir article précédent]. La charge du pape François en faveur de l'immigration, au soir de Noël, ne vise en fait que l'Europe. Peut-être surtout, comme on le dit, la catholique Pologne. Mais aussi la France, sans aucun doute. Gardons présent à l'esprit qu'en matière politique, en tout ce qui touche au Bien Commun de notre patrie, nous sommes - ou devrions être - seuls souverains.   LFAR  

    Depuis quelques années, le pape François a multiplié les déclarations invitant l’Occident à s’ouvrir aux vagues migratoires.

    Entre les vrais réfugiés et les migrants économiques, il ne distingue pas vraiment : il ne veut voir qu’une misère humaine réclamant qu’on lui porte secours. Même s’il fait quelques nuances, il invite globalement les Européens à accueillir avec le sourire ceux qui entrent chez eux sans même frapper à la porte.

    Occident

    Il lui importe peu que les Européens se sentent submergés : ils doivent faire un effort supplémentaire de charité pour ne pas renier leur humanité. 

    C’est dans cet esprit qu’il a récemment comparé les migrants à Jésus et ses parents. On comprend le message : qui ferme la porte aux migrants la ferme au Christ. 

    On comprend que, pour le pape, un bon chrétien ne saurait jamais s’opposer à l’immigration massive qui transforme l’Europe démographiquement.

    Lorsqu’il est question du pape, les médias occidentaux pratiquent l’écoute sélective. Lorsqu’il parle de religion, ils s’en fichent. Mais lorsqu’il plaide pour la dissolution des frontières, ils lui donnent le titre de grand sage et nous invitent à suivre ses conseils.

    C’est qu’il radicalise le préjugé sans-frontiériste dominant chez nos élites économiques et médiatiques.

    En gros, l’Occident serait devenu riche en pillant la planète et il serait normal qu’aujourd’hui, il se fasse pardonner en accueillant sans rechigner les déshérités du monde entier. Cette vision de l’histoire est fausse et déformée, mais elle monopolise la conscience collective.

    Du haut de son magistère, le pape fait la morale sans trop s’intéresser aux conséquences pratiques de cette révolution migratoire. Il y a là une terrible irresponsabilité.

    Dans un livre essentiel paru début 2017, Église et immigration : le grand malaise, le journaliste français Laurent Dandrieu, lui-même catholique, décryptait la pensée du pape et, plus globalement, de l’Église, autour de cette question. Il observait une inquiétante indifférence de l’Église devant le droit des peuples à conserver leur identité.

    Au-delà des déclarations du pape François, on doit constater que l’immigration massive est probablement le grand enjeu de notre époque. Ce sont des masses humaines qui se mettent en mouvement.

    Le phénomène ne date pas d’hier : depuis le début des années 1980, on s’en inquiète, mais personne n’ose le maîtriser, et pour cela, il prend de l’ampleur.

    Responsabilité

    Et on aura beau sermonner les peuples occidentaux en leur expliquant que la diversité est une richesse, ils se sentent néanmoins bousculés, dépossédés. S’ils veulent bien accueillir un certain nombre de malheureux, ils ne peuvent accueillir pour autant toute la misère du monde.

    Les vagues migratoires des dernières années ont quelque chose de traumatisant. On entre illégalement et massivement en Europe. Les pays sont incapables de faire respecter leurs frontières. Leurs équilibres sociaux et culturels sont compromis. Les tensions identitaires augmentent.

    L’immigration est une question explosive. Et les irresponsables qui accusent de xénophobie ceux qui voudraient mieux la contrôler et faire respecter les frontières enveniment la situation.  

    Mathieu Bock-Côté

    Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • « Trop de viols par les immigrés » : les femmes suédoises se révoltent

    A Malmö, les femmes suédoises ont manifesté pour protester, avant Noël, contre la vague de viols qui déferle sur leur ville. Elles ont été une centaine à descendre dans la rue pour contester le chef de la police locale et la façon dont est gérée la sécurité.

    Le dernier atroce épisode concernait une jeune fille de 17 ans violée et torturée par un gang d’immigrés.  « Il s’agit d’un crime horrible, particulièrement grave et avec une violence extrêmement brutale », a déclaré Andy Roberts, chef de la police de secteur à North Malmo au Helsinborg Dagblad. C’est le troisième cas en trois semaines, en plein centre de la ville suédoise et c’est la troisième fois en une semaine que les auteurs sont identifiés au sein de bandes d’immigrés qui arrêtent et violentent les femmes.

    La seule réponse de la police fût un laconique communiqué du responsable local :

    « Ne vous aventurez pas seules dans la ville, après le coucher du soleil. »

    Une déclaration qui a mis en colère les Suédoises. Mais non pas à cause de l’immigration invasive comme l’on pourrait le croire. Non ! à l’avant-garde dans la lutte pour l’égalité des droits cette déclaration sonne pour elles comme l’échec de toutes les politiques égalitaristes. D’où cette protestation publique de la part des féministes de Suède. Jamais le couvre-feu pour les femmes n’avait été envisagé quand la Suède était montrée comme le modèle d’intégration et de cohabitation entre toutes les cultures et les ethnies… modèle qui tombe en ruine et laisse apparaître son vrai visage conflictuel.

    Pour faire front, le porte-parole de la police locale, Anders Nilsson, a admis que son communiqué était maladroit et confus tout en précisant :

    « C’est une question de bon sens. Nous n’avertissons pas les gens de ne pas être dehors, mais de réfléchir à deux fois et peut-être de ne pas marcher seuls tard dans la nuit et d’aller plutôt avec les autres ou de prendre un taxi. »

    Car garantir la sécurité des personnes à Malmö est devenu une urgence absolue.

    A quelques mois de distance, les paroles de Donald Trump qui comparait la Suède à une poudrière sur le point d’exploser à cause de l’importante présence d’immigrés islamistes prennent une dimension prophétique. Pourtant, à l’époque, elles furent la cible de l’ironie et des contestations de la part du gouvernement suédois. Aujourd’hui, à la lumière de l’attentat de Stockholm et des nombreux viols de la région de Malmö,ces déclarations vont relues avec un autre regard et beaucoup plus de sagesse…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/trop-de-viols-par-les-immigres-les-femmes-suedoises-se-revoltent/85428/

  • LE DROIT DES FRANÇAIS À SE PROTÉGER DE L’IMMIGRATION EXISTE (L’Imprécateur)

    La Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples Autochtones, signée en 2007 par la France, permet au peuple indigène de préserver ses droits acquis, le « droit local » de la Royauté dans l’Ancien Régime, que Rabelais mentionne déjà dans Pantagruel, mais aussi César dans la Guerre des Gaules. L’indigène, ou autochtone, peut conserver sa langue, ses coutumes, ses mœurs, sa religion, ses lieux de vie, sa culture, son art, ses institutions. Il y avait dans l’Algérie française un « droit indigène » qui protégeait les musulmans. Les corses revendiquent ce droit, comme les Mahorais autochtones à Mayotte, ou les canaques en Nouvelle-Calédonie qui ont obtenu la reconnaissance de leur « droit coutumier ».

    Les mots peuvent varier d’un pays à l’autre, ou d’une période à l’autre, comme « aborigène » ou « natif » parfois préféré à « indigène » dans les pays où l’on donne à « indigène » un sens péjoratif, mais le sens profond est le même, comme dans les pays anglophones où “indigenous” désigne celui qui est de telle ou telle région du monde, parce que ses parents y sont nés.

    Prenons l’exemple de la Palestine, le nom couvrant à l’origine les actuels Israël, Gaza, Trans-Jordanie (ex-Judée, ou terre des Juifs), les anciennes Galilée et Samarie, une partie sud de la Syrie et ouest de la Jordanie. En 1895, l’administration ottomane turque y fit un recensement et trouva 69.000 juifs, 52.000 chrétiens, soit 121.000 non-musulmans, et 105.000 musulmans en y incluant les nombreux colons turcs et les migrants plus ou moins récents en provenance des pays arabes voisins. Ainsi, 5.000 des musulmans étaient arrivés entre 1870 et 1895 dans la continuité de la longue histoire de la colonisation arabe commencée en 638, quand le calife Omar venu d’Arabie conquit Jérusalem. Mais les premiers colons arabes venant eux aussi d’Arabie, n’arrivèrent officiellement qu’en 691. Puis les juifs furent sommés de se convertir à l’islam ou, s’ils restaient, de payer l’impôt islamique en étant des citoyens de seconde zone. Beaucoup préférèrent partir en exil.

    Après la conquête ottomane au IXème siècle, les arabes furent nombreux à venir de Syrie, du Liban, d’Irak, d’Égypte, etc. Attirés par la prospérité que les juifs avaient recréée en Palestine après le passage des babyloniens, des assyriens, des perses et des romains, et malgré l’état de soumission coloniale et religieuse que leur imposaient les colonisateurs arabes.

    Les seuls vrais « indigènes » (autochtones) en Palestine sont donc les descendants des 12 tribus d’Israël qui s’unifièrent dès le XIème siècle avant Jésus-Christ, des juifs dont certains se convertirent au christianisme au début du premier millénaire. Le recensement anglais réalisé en 1948 constatât que seulement 20% des arabes musulmans, environ 210.000 sur les 1.222.000 recensés, étaient de parents nés en Palestine. L’appellation « palestiniens » pour les désigner est d’ailleurs récente. C’est une invention de Gamal Abdel Nasser qui ne commença à l’utiliser qu’après 1958 pour désigner les descendants nés en Israël des colons arabes.

    Au Canada, les inuits et les indiens sont reconnus comme « autochtones » et constitués en nations, ce qui leur donne des droits particuliers, et les québécois francophones cherchent eux aussi à obtenir ce statut face à l’hégémonie anglo-saxonne. En Amérique du Sud également, il existe des nations indiennes dans plusieurs pays.

    En France, les autochtones ou indigènes sont ceux que les migrants appellent péjorativement les « souchiens » : les français « de souche ». Mais alors que les corses ou les canaques ont su créer des structures politiques pour se défendre en tant qu’autochtones, les français « de souche » ne l’ont toujours pas fait, malgré les efforts du blogueur Antonin Campana qui développe dans ses articles la notion d’autochtonie et de « grand rassemblement » des autochtones français. Il réclame l’application en France de la Déclaration onusienne sur les droits des peuples autochtones au bénéfice des français de souche. Ils pourraient ainsi défendre légalement la langue française, la culture française, l’art français, les institutions et les mœurs françaises, les coutumes françaises y compris celles issues de la christianisation de la France vieilles de 2.000 ans, en les opposant aux institutions républicaine mises au service de la colonisation musulmane arabo-africaine par l’élite mondialiste au pouvoir.

    Ne nous y trompons pas. Le mouvement migratoire actuel a été voulu et est orchestré par l’oligarchie financière mondiale, celle-là même qui a placé l’un de ses agents (formé chez Rothschild) à la tête de la France. Elle l’a déclenché avec les « printemps arabes » qu’elle a financés, afin de déstabiliser et faire tomber les régimes autoritaires qui maintenaient un équilibre laïc de la Syrie à la Tunisie avec Haffez puis Bachar el-Assad en Syrie, Saddam Hussein en Irak, Hosni Moubarak en Égypte, Muhamar Kadhafi en Libye et Ben Ali en Tunisie. Tous ces pays entrés en anarchie islamiste (Tunisie, Égypte) ou en guerre (Libye, Irak, Syrie) ont provoqué le départ vers l’Europe de centaines de milliers de migrants.

    En même temps, l’accès au pays arabes riches était verrouillé par le refus total des pays de la péninsule arabique de recevoir des migrants. Si bien que ceux-ci n’ont trouvé qu’une issue, vers l’Europe, pourtant froide et peuplée de mécréants mangeurs de porc, mais dont les gouvernements et les autorités européennes soumis à l’oligarchie mondialiste ont reçu l’ordre d’accueillir les migrants et pour la plupart s’y sont pliés, comme Merkel et Macron. Seuls ont résisté les pays de l’Europe de l’Est, de l’Autriche à la Pologne en passant par la Hongrie et la République tchèque. Ces derniers ont une expérience vécue de l’islam qui les a colonisés et occupés pendant des dizaines d’années jusqu’à l’effondrement de l’empire ottoman. Ils ne veulent plus du cancer islamique.

    En même temps, la même stratégie a été mise en œuvre pour pousser des migrants subsahariens vers l’Europe en utilisant l’islamisme et ses narcotrafiquants du Mali, du Niger, de Centre Afrique, ceux qui s’emparèrent de Tombouctou, Boko-Haram, etc., pour déstabiliser les pays de la ceinture subsaharienne. La plupart des migrants africains auraient préférer rester en Afrique, mais les pays susceptibles de les accueillir ont reçu instruction de les refuser, comme l’a dit un migrant ivoirien logé à l’hôtel Royal d’Angers au journaliste Alexandre Mendel : « On voudrait bien aller au Ghana, mais le Ghana ne nous veut pas »(Valeurs Actuelles, 21/12/2017, p. 39). Lequel migrant explique aussi qu’il n’est pas venu par l’un de ces gros canots pneumatiques neufs à 4.000 euros dont personne ne veut dire qui les leur fournit, mais en avion ! « C’est grâce à un passeport et un visa volés que je suis venu. Ce n’est même pas ma photo dessus ! Le trafiquant, contre environ 3.000 euros, t’accompagne à l’aéroport d’Abidjan où un complice, à une guérite, te laisse passer. L’escale se fait à Casablanca. Pour les Marocains et les Français, les Noirs se ressemblent tous… » Qui fournit le passeport et le visa « volés », les 3.000 euros pour le passeur alors qu’un billet Abidjan-Paris coute entre 500 et 550 euros, achète la complicité de la police de l’air et des frontières ivoirienne, puis marocaine, car il serait naïf et insultant pour eux de croire que les policiers ivoiriens et marocains sont si stupides qu’ils ne savent pas voir que la photo ne correspond pas à l’individu qui leur présente le passeport. Et quel chef d’État français a convaincu le Roi du Maroc d’organiser le passage des migrants via Casablanca vers la France ?

    On sait que les parcours de milliers de migrants syriens et irakiens ont été financés par des sociétés appartenant à George Soros, mais tous les autres ? On sait aussi que l’État français dépense plus de 400 millions par an rien que pour l’hébergement, la nourriture, l’habillement, le pressing, les cours de français des migrants. « Anzé (sic) c’est bien, ici, on nous paye tout » (un des migrants de l’hôtel Royal à Angers). Et au moins autant pour les associations qui facilitent l’accès des migrants en France. Paie-t-il aussi les voyages ? Fournit-il les visas comme il le fait en Algérie ? Rien n’est clair dans le rôle que jouent les autorités françaises dans l’immigration.

    C’est pourquoi, puisque les français autochtones ne feront rien pour arrêter l’immigration comme l’on fait les hongrois et les autrichiens, faut-il au moins qu’ils se servent de la Déclaration des Nations Unies sur les Droits des Peuples Autochtones pour exiger d’avoir le droit de défendre leur terre, leur civilisation, leur culture, leurs femmes et leurs enfants, leur religion et leurs valeurs républicaines.

    Seulement ils ne le feront pas tant que les chefs de leurs partis politiques seront incapables de faire ce qu’ont su faire les corses et les canaques, savoir « s’unir malgré leurs différences » pour obtenir de l’état républicain le droit et les moyens techniques et financiers de défendre les droits du peuple français autochtone. Nous ne demandons pas à Wauquiez, Ménard, Poisson, Dupont-Aignan, Le Pen de fusionner leurs partis, nous leur demandons de mener une action commune pour défendre la France et les français. Ils auront 65% des français derrière eux.

    L’Imprécateur

    https://www.minurne.org/

  • L’AUTRICHE AVEC LE V4 CONTRE LA RELOCALISATION DES DEMANDEURS D’ASILE

    kurc-1280x660.jpg

    Vienne voudra donc désormais, tout comme les capitales du V4, un retour aux fondamentaux de la Communauté européenne et un meilleur respect des souverainetés nationales.

    Sebastian Kurz, le jeune chancelier autrichien, l’a confirmé dans une interview donnée au tabloïd allemand Bild juste avant Noël, et c’est un joli cadeau de Noël pour tous les Européens : l’Autriche s’opposera à la relocalisation obligatoire des immigrants arrivés illégalement en Italie et en Grèce, car on ne peut pas imposer à un pays sa politique d’immigration et il faut aider les vrais réfugiés dans leur pays ou, en tout cas, sur leur continent. La position exprimée par celui qui préside à Vienne une coalition des droites incluant le parti national-conservateur FPÖ correspond exactement à la position défendue depuis plus de deux ans par les pays du groupe de Visegrád.

    Il pourrait, d’ailleurs, difficilement en être autrement au vu du programme de gouvernement signé par le parti de centre droit ÖVP de Sebastian Kurz et le FPÖ de Heinz-Christian Strache. Le FPÖ ayant pris la tête de six ministères, dont ceux de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de la Défense, ce parti qui prônait un rapprochement avec le V4 va forcément peser. Du reste, c’est en faisant de la lutte contre l’immigration et l’islamisation son cheval de bataille que Sebastian Kurz a réussi à damer le pion au FPÖ. Les deux partis sont donc désormais sur la même ligne, et c’est une ligne de droite.

    Pour ce qui est des affaires européennes, Vienne voudra donc désormais, tout comme les capitales du V4, un retour aux fondamentaux de la Communauté européenne et un meilleur respect des souverainetés nationales, avec plus de subsidiarité dans les décisions et une limitation des domaines d’influence des institutions européennes. Dans ce contexte, les propos très politiquement corrects de Sebastian Kurz dans le Bild sur la procédure de sanction lancée par la Commission contre la Pologne, au titre de l’article 7, sont surprenants, car un vote de l’Autriche contre la Pologne irait à l’encontre de ce programme. Mais il faut sans doute mettre ces propos sur le compte de la prudence du jeune chancelier qui commence tout juste à gouverner. Il n’a certainement pas oublié que l’article 7 du traité européen, qui permet potentiellement de suspendre les droits de vote d’un État membre de l’Union européenne, avait été rédigé après les sanctions inefficaces prises contre les Autrichiens en 2000 pour les punir d’avoir porté au pouvoir la même coalition qu’aujourd’hui. Au moment du vote au Conseil européen de février, il est improbable que Vienne accepte que l’on poursuive une procédure de sanction qui pourrait, plus tard, viser aussi l’Autriche. Il en va de même pour la Roumanie, dont le président europhile affirme qu’elle pourrait aussi être sanctionnée au titre de l’article 7, et encore, bien sûr, de la Hongrie contre laquelle le Parlement européen demandait, récemment aussi, une procédure de sanction au titre de l’article 7. À force de vouloir sanctionner tous les gouvernements menant une politique non conforme à l’idéologie dominante libérale-libertaire et immigrationniste, les gauches européennes (au sens large, englobant également les fausses droites dans le style des Républicains français) sont en train de vider l’article 7 de son sens et de diviser gravement l’Europe. La ligne de division est curieusement la même que pour la question de la relocalisation des migrants, et c’est une raison de plus pour que l’Autriche intègre pleinement « le camp du mal ».

    Reste à espérer une victoire de l’union des droites en Italie aux élections législatives de mars prochain. Le parti de centre droit Forza Italia de Silvio Berlusconi y est, en effet, allié à la Ligue du Nord (qui pèse autant que lui) et au parti nationaliste Fratelli d’Italia. Ces partis prônent, comme le FPÖ, un alignement sur les positions du groupe de Visegrád, aussi bien pour les questions d’immigration que pour la défense des souverainetés nationales. Cette coalition de droite est en tête dans les sondages, mais elle n’est pas sûre d’obtenir la majorité absolue.

    http://www.bvoltaire.fr/lautriche-v4-contre-relocalisation-demandeurs-dasile/