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Paul Joseph Watson - La vérité sur l'attentat du marché de Noël à Berlin (vostf)
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Immigration, répondre à la désinformation (entretien avec Jean-Yves Le Gallou)
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Attentat terroriste : Lundi sanglant en Allemagne
L’attaque contre le marché de noël de Berlin fait bien sûr la une de toute la presse allemande.
Le Berliner Morgenpost – dont la rédaction se trouve juste en face du marché de Noël sur lequel a foncé le camion – montre l’arrivée des secours et de la police, quelques instants après l’attaque. Il s’agit très probablement d’un «attentat», selon le ministre de l’Intérieur allemand. D’après le site du journal, au moins 12 personnes ont été tuées, et 48 autres blessées, dont plusieurs grièvement. Le Berliner Morgenpost rapporte que le camion a parcouru 50 à 80 mètres, renversant plusieurs stands, avant de s’arrêter, et il affirme également que l’individu retrouvé mort dans le camion côté passager est un citoyen polonais. Il s’agit peut-être du chauffeur auquel aurait été subtilisé le véhicule, immatriculé en Pologne et qui appartient à une société de Gdansk, dont le patron a déclaré que son camion revenait d’Italie et devait déposer son chargement à Berlin avant de repartir vers la Pologne.
Selon lui, le contact avec son chauffeur aurait été perdu le jour-même dans l’après-midi, et «la personne qui est sortie (de son) camion n’est pas (son) chauffeur».L’homme qui est suspecté d’avoir foncé sur la foule, a été arrêté, lui, par la police, selon le site du journal Die Welt, qui affirme, que cet individu pourrait être un réfugié d’origine pakistanaise.
Le quotidien souligne aussi que plusieurs signes pointaient le risque d’attentat contre un marché de noël depuis plusieurs jours. Alors que le journal gratuit 20 Minuten parle simplement d’un «lundi sanglant», «Blutiger Montag», qui endeuille la capitale allemande, Der Tagespiegel évoque «la peur du terrorisme» qui saisit Berlin. Et la une du site de Bild fait état d’une «alarme terroriste» à Berlin, avec une image du chauffeur présumé arrêté par la police – qu’on voit de dos, dans un véhicule des forces de l’ordre. Le tabloïd parle d’un suspect d’origine afghane ou pakistanaise, qui pourrait avoir acquis le statut de réfugié en février dernier.Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, islamisme 0 commentaire -
Robert Ménard : La vraie question - combien d’autres assassins parmi les milliers de migrants ?
Robert Ménard exprime sa compassion pour les victimes. Mais aussi sa révolte face à ce nouvel attentat qui a frappé des Européens parce qu’ils sont européens et chrétiens, à la veille de Noël. Il dénonce l’irresponsabilité de la politique migratoire et le refus de la gauche de nommer le vrai problème. Il demande une véritable politique de fermeté vis-à-vis de l’islam pour assurer la sécurité des Français.
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Ne croyez pas les médias qui vous disent qu'ils n'y a pas de terroristes parmi les immigrés
L'auteur de l'attentat au camion à Berlin est un réfugié pakistanais, arrivé en Allemagne il y a 10 mois. Il serait connu de la police pour des actes de criminalité. Le ministère allemand de l'Intérieur a affirmé ce matin qu'il s'agit bien d'un attentat.
C'est l'occasion de vous rappeler de ne pas accorder de crédit aux informations dispensées par la presse
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Merveilleux Maurras ! Que disait-il de la Grande Mosquée de Paris lorsqu'elle fut construite ?
On sait que la décision de construire la Mosquée de Paris, première mosquée construite en France métropolitaine, fut prise après la Première Guerre mondiale pour rendre hommage aux dizaines de milliers de morts de confession musulmane ayant combattu pour la France. Et manifester aux survivants la reconnaissance de leur sacrifice par le pays.
Qu'en a dit Charles Maurras le 13 juillet 1926, lors de son inauguration ? Pas un mot contre l'idée même de rendre un hommage mérité, aux combattants musulmans de la Grande Guerre. A leur propos il parle des «nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ». Il n'y a pas chez Maurras de haine raciale. Ni de haine religieuse : il ne juge pas de l'Islam en soi. Mais il sait l'antagonisme des religions et des civilisations. Et sa culture historique autant que son jugement et son intuition politique l'amènent à pressentir et signaler un danger pour la France. Presque nul, alors. Présent et menaçant aujourd'hui sur notre sol même. Maurras ne dénonce pas l'hommage rendu aux combattants, ne critique même pas le fait de construire une mosquée à Paris. Avec mesure il écrit : « Nous venons de commettre le crime d’excès ». Son texte explicite en quoi consiste cet excès. Suit le pressentiment d'une menace : la crainte que nous ayons à payer un jour notre imprudence, en ce sens criminelle ; le souhait (Fasse le Ciel !) que les musulmans bénéficiaires de notre générosité « ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. » Et nous y sommes. LFAR
« Mais s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir... Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse. »
Charles Maurras le 13 juillet 1926
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Mous Européens, pleurez et crevez !
Bernard Plouvier
Dans l’océan d’âneries dénommé Ancien Testament, il y avait au moins une phrase sensée : « Croissez et multipliez-vous ». Décérébrés par la propagande soixante-huitarde (venue des campus universitaires des USA et de leurs gourous marxistes), les Européennes ont décidé de ne plus affronter les risques de la maternité ni les aléas de l’éducation des enfants, ou le moins possible.
De ce fait, les maîtres de la grande distribution décidèrent d’importer des millions de consommateurs, en provenance d’Afrique noire et maghrébine et d’Asie, préférentiellement du Sud-Ouest… bref, une majorité de non-valeurs, mais apportant avec eux une religion de haine et de domination violente : l’islam.
Là-dessus, comme si cela ne suffisait pas au bonheur des Européens, l’été 2014, un calife autoproclamé lance de Mossoul, volée aux Kurdes, un appel au nouveau Djihâd : tous les bons sunnites, quels que soient leur âge et leur sexe doivent tuer en masse de l’infidèle… tant pis si quelques mahométans sont des victimes collatérales de ce Djihâd terroriste : il n’en iront que plus vite au paradis du sieur allah, censé reconnaître les siens.
En France, les premiers attentats datent de la fin de 2014. Au cas où les lecteurs l’auraient oublié, en décembre de cette année-là un honnête mahométan a suriné trois policiers à Joué-lès-Tours (son enterrement au carré mahométan du cimetière municipal fut l’occasion de manifestations d’hystérie méditerranéenne), tandis que d’autres honorables sectateurs du même allah menaçaient d’égorger deux Blancs à Perpignan et que divers militaires d’Europe occidentale se faisaient assassiner dans les rues de leur pays.
2015 et 2016 ont été de grands crus du terrorisme meurtrier mahométan, tandis qu’à la fin de 2016, notre bibendum élyséen faisait un premier ministre avec le titulaire de l’Intérieur et des Cultes qui avait proclamé antérieurement : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »… une promotion plutôt qu’un séjour en milieu psychiatrique, décidément notre Ripoublique est bien bonne.
Après les scores superbes de Paris (novembre 2015) et de Nice (juillet 2016), les mahométans de la Chancelière toquée d’Outre-Rhin remettent ça. Lors de la dernière Saint-Sylvestre, d’honorables sectateurs du sieur allah avaient violé une centaine d’Allemandes à Hambourg, Cologne et Düsseldorf ; un an plus tard, ils repassent le plat avec un camion bélier.
Qu’ont fait les Français, en 2015-2016, à l’occasion des meurtres en série commis par des mahométans ? Ils ont gémi et pleuré. Certains ulémas et imams nous ont assuré que « l’islam, ce n’est pas ça » ! Que le Djihâd, c’est de « tenter de se perfectionner moralement » ! N’importe quel individu sachant lire peut ouvrir le coran et admirer la dizaine de sourates traitant du Djihâd : « Quand vous rencontrerez des infidèles, tuez-les, faites-en un grand carnage » ! Les sbires du fou de Mossoul, eux, savent lire. Ils n’en ont rien à faire des lénifiantes interprétations des soufis.
Que vont faire les Teutons, administrés par la mollasse luthérienne ? Gémir et pleurer ! C’est indéniable : ce n’est plus la même qualité de Français que ceux de 1914, ni la qualité de la Wehrmacht de feu Adolf Hitler qui eut au moins le mérite de s’attaquer à la barbarie de l’époque : la citadelle de l’ignominie marxiste. Que monsieur Hitler ait ordonné d’abominables génocides, c’est indéniable et cela ternit l’héroïsme de ses soldats morts pour une certaine conception de l’Europe. Mais le contraste est saisissant entre les Européens des années 1914-1945 et leurs tristes descendants.
À force de manger du chapon à Noël, ils croient probablement qu’imiter les castrats est une bonne réponse aux conflits humains. Fatale erreur !
Pleurez, mols Européens, c’est tout ce que vous savez faire. Pleurez, avant de crever, dans la honte et le déshonneur. Car vos futurs assassins ne sont que des débiles mentaux, la lie de l’humanité.
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Journal du Mardi 20 décembre 2016 - Terrorisme / Nuit tragique à Berlin
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Avec le changement de population auquel nous assistons aujourd’hui, c’est la démographie qui finira par faire la loi
Robert Ménard déclare dans Causeur :
"[...] Je constate simplement que le peuple français, en tout cas dans le sud de la France, veut conserver ce à quoi il tient : la famille, les enfants, un paysage religieux qu’il connait… Un exemple : la crèche, à Béziers, installée dans l’hôtel de ville, est devenue en trois ans un passage obligé. La première année, 200 000 personnes l’ont soutenue ! Pourquoi ? Parce qu’elle incarne la France comme elles l’aiment. Un autre exemple : Le Puy-du-fou, sorte d’appartement-témoin de la France comme on en rêve. C’est ça que j’essaie de dire dans ce livre. Je ne suis pas réactionnaire au sens où je dirais : « Revenons cinquante ans en arrière et tout ira bien ! » Nier les progrès – dans un domaine comme la médecine par exemple – serait tout simplement stupide. Mais conservateur, encore une fois, oui ! [...]
Passons à l’entrée « Années 30 ». Pour vous, c’est « un pays imaginaire où vous déporte la gauche dès lors que vos idées lui déplaisent ». En même temps, les années de l’entre-deux-guerres posent des questions assez sérieuses, notamment sur la démocratie qui est parfois devenue la dictature de la majorité, avant de devenir dictature tout court. Quelles limites imposer, même à une majorité démocratiquement qualifiée ?
Dès que certains ne sont pas d’accord avec vous, ils vous renvoient aux années 30. À les croire, les rues de Béziers seraient peuplées de chemises brunes et on y marcherait au pas de l’oie ! Je veux bien qu’on ne soit pas d’accord avec ce que je dis – c’est tout à fait légitime – mais le renvoi aux années 30 clôt tout débat ! Par ailleurs, oui, ce qui s’est passé dans les années 30 nous interroge sur la démocratie. Mais attention de ne pas délégitimer le vote populaire quand il n’a pas l’heur de plaire aux élites… On l’a bien vu après la victoire du Brexit ou de Trump…
Selon vous, la question n’est pas la dictature de la majorité mais celle de la minorité…
Quand, en 2005, le peuple français vote contre l’Europe telle qu’on nous la propose et que, deux années plus tard, Monsieur Sarkozy et sa nouvelle majorité décident le contraire, c’est insupportable ! Il y aurait, à leurs yeux, d’un côté des gens intelligents, fins connaisseurs des dossiers, et de l’autre, la plèbe, les gueux, incapables de discernement !
Je me souviens, lors de la campagne des municipales à Béziers, les remarques de certains bourgeois qui venaient me dire : « On vous a vu à la télé, on pourrait voter pour vous, mais enfin, vous avez des ouvriers et des chômeurs sur votre liste, ce n’est pas sérieux ! » Quel mépris de classe ! Quand le peuple vote avec les élites, il est populaire ; quand le peuple vote contre les élites, il est populiste !
Votre livre compte deux entrées « Démocratie », et vous mettez le doigt sur une possible contradiction entre démocratie et démographie. On peut donc arriver à une situation où la majorité ne serait pas qualifiée. Admettons que 51% des Français décident que la France n’est plus la France…
Avec le changement de population auquel nous assistons aujourd’hui, c’est la démographie qui finira par faire la loi. Un peu à la manière de ces pays d’Afrique où les ethnies majoritaires imposent tout aux minorités. Je ne veux pas de ça pour la France ! La démocratie nécessite une homogénéité minimale. Si, demain, dans un certain nombre de villes comme Béziers, les Français d’origine immigrée votaient aussi massivement que le reste de la population, cela changerait la donne politique de façon radicale. Et de cela, je ne veux pas.
En ce cas, que peut-on faire ?
Limiter l’immigration. À un moment donné, quand l’eau monte, vous arrêtez le robinet avant d’être noyé et ensuite vous essayez de vous dépatouiller avec l’eau qui vous arrive au menton. Je propose donc qu’on ferme le robinet et qu’on se demande comment intégrer ceux qui sont déjà là. [...]
Au niveau national, à quelques mois des élections présidentielles et législatives, pour vous, l’espoir d’un changement réside dans une alliance entre les Républicains et le Front national. Est-ce un vœu pieux ou fondez-vous vos espoirs sur vos échanges avec des personnages politiques des deux partis ?
Je constate que 80% des gens qui votent Front national et 80% de ceux qui votent Républicains pensent à peu près la même chose, demandent à peu près les mêmes choses, rêvent à peu près des mêmes choses. Ils partagent les mêmes envies, les mêmes désirs et les mêmes besoins ! Du coup, j’essaie depuis des mois – sans grand succès jusqu’à présent – de réunir toute cette droite « hors les murs » mais aussi une bonne partie des Républicains et du Front national qui partagent grosso modo les mêmes idées. Quelle différence y a-t-il entre Marion Maréchal Le Pen et Thierry Mariani ? Entre Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan ? Quasiment aucune ! J’irais même plus loin, je suis persuadé qu’il y a plus de divergences entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot qu’entre la première et un certain nombre de Républicains ! Si le système actuel perdure – à la fois chez LR et le FN – c’est malheureusement à cause des logiques partisanes et des questions d’ego… [...]"
par Michel Janva
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Après Paris, Bruxelles, Nice : Berlin. Mme Merkel a-t-elle enfin compris ?
L’Histoire a montré que, face aux totalitarismes, ni l’angélisme ni la soumission n’étaient la solution.
Tragique 19 décembre.Après Paris, après Bruxelles, après Nice : Berlin.
Un camion a foncé, hier soir, dans la foule d’un marché populaire de la capitale allemande, Breitscheidplatz. Une dizaine de morts. Une cinquantaine de blessés.
Un marché de Noël, à cinq jours de la fête de la Nativité.
Le message est clair, la signature quasi certaine — à l’heure où nous publions, la police allemande dit « pencher » pour un attentat —, surtout quand, au même moment, à Ankara, un policier turc radicalisé assassinait froidement, dans le dos, l’ambassadeur russe, en hurlant son allégeance aux islamistes.
Le même jour, l’Union européenne reconduisait pour six mois les sanctions contre la Russie. Jusqu’à quand durera l’aveuglement tragique des gouvernants européens, M. Hollande et Mme Merkel en tête ? Aveuglement diplomatique qui nous a fait préférer les islamistes de Daech au gouvernement syrien et aux Russes.
Aveuglement sur les migrants, qui a conduit l’Europe à ouvrir ses portes à plus d’un million de migrants musulmans alors que l’Europe connaissait déjà des problèmes majeurs d’assimilation.
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