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immigration - Page 977

  • Voitures incendiées, policiers caillassés … : le bilan de la Saint-Sylvestre (en cours)

    Aude (11)

    Comme c’est régulièrement le cas au cours de la nuit du Nouvel an, des incendies de voiture ont occupé les sapeurs-pompiers carcassonnais pour débuter l’année 2017.

    Les secours du chef-lieu sont intervenus à trois reprises entre 0 h 30 et 2 h 30 : c’est tout d’abord à Ozanam, rue Georges-Danton, qu’ils ont été sollicités, avant de rejoindre la rue Alexandre-Guiraud, quartier La Conte, pour maîtriser un 2e sinistre.

    Les sapeurs-pompiers carcassonnais ont enfin de nouveau dû se rendre dans le quartier Ozanam, où une 3e et dernière voiture a été détruite par les flammes, rue Gabriel Fauré.

    L’Indépendant


    Morbihan (54)

    Vannes. Véhicules et poubelles incendiés lors du réveillon

    Les pompiers, aidés par la police sont intervenus plusieurs fois dans la soirée du 31 décembre, à Vannes, pour éteindre des incendies. Il n’était pas encore minuit que les pompiers ont été appelés pour intervenir rue Duplessis-de-Grenedan. Une voiture et des conteneurs poubelles étaient en feu. Lors de leur intervention, les pompiers ont été pris à partie par des groupes de jeunes qui leur lançaient des pétards. [...] Des grands conteneurs poubelles ont aussi été incendiés Toujours dans la soirée, un scooter a également pris feu rue Sonia-Delaunay ainsi que plusieurs poubelles, nécessitant l’intervention des pompiers et des policiers.

    Source


    Hérault (34)

    Mais à la vue du gyrophare, plutôt que de se ranger, le conducteur poursuit de plus belle. Et pire, selon les forces de l’ordre, l’automobiliste va les entraîner dans une véritable course-poursuite à travers les ruelles du quartier. Selon leurs témoignages, à leur passage, ils sont caillassés, des poubelles sont placées en travers pour bloquer leur progression. Ils décrivent un mouvement de foule visiblement très hostile. L’équipage, également fin connaisseur du secteur, choisit de se poster dans une rue et d’attendre le retour du suspect. Il finit par réapparaître et arrive droit sur la voiture sérigraphiée. C’est la collision. S’ensuit une interpellation musclée devant le refus d’obtempérer du chauffard.
    Et pour cause, il n’est pas titulaire du permis de conduire, vient de vider presque la totalité d’une bouteille de vodka (1,04 g d’alcool dans le sang) et de fumer quelques joints. Les fonctionnaires l’extirpent manu militari du véhicule. Le garçon se débat et, dans la manœuvre, aurait tenté de saisir le pistolet Flash-ball d’un des équipiers. Ce que le suspect démentira en garde à vue. L’un des policiers l’a alors frappé à la tête avec la crosse de son arme. Occasionnant des blessures ayant nécessité des points de suture.
    Les trois policiers ont, par la suite, déposé plainte pour violence, l’un d’eux faisant valoir une blessure au tibia. Dans la Twingo, ils saisiront un couteau à cran d’arrêt, un poing américain et 23g d’herbe de cannabis conditionnés en huit sachets. Déjà condamné pour trafic de stupéfiants et sous le coup d’un sursis en lien avec deux précédentes condamnations, ce Montpelliérain sans emploi ni domicile attitré a été déféré devant le parquet en vue d’être jugé en comparution immédiate, devant le tribunal correctionnel de Montpellier.

    Le Midi Libre


    Bas-Rhin (67)

    (…)
    1 h : Retour au Neuhof, alors que la police est alertée d’un véhicule en feu, les fourgons sont la cible de tirs tendus de mortiers. Des fonctionnaires font usage de lacrymogène et du flash-ball pour mettre fin à l’affrontement, tandis que leurs collègues, munis de boucliers, protègent les pompiers. Aucun blessé n’est à déplorer.

    1 h 15 : Alors qu’un équipage de police contrôle un jeune homme dans le quartier des Hirondelles à Lingolsheim, un automobiliste leur fonce dessus. Il sera appréhendé plus tard et placé en garde à vue.

    1 h 30 : les pompiers finissent d’intervenir au 2 rue Victor-Hugo à Schiltigheim où un balcon a pris feu au 14e (et dernier) étage d’un immeuble à la suite d’un tir de mortier, deux heures plus tôt. Les flammes se sont propagées à l’appartement. Celui-ci est heureusement vide. Cinq voisins ont été incommodés par les fumées. Ils ont tous pu regagner leur domicile après avoir été vus par des médecins du Samu. L’habitant du logement sinistré sera relogé dans de la famille. Dans le bâtiment, les riverains tiennent à souligner la rapidité et l’efficacité des pompiers et des policiers de Schiltigheim.

    nuit-de-la-saint-sylvestre-incendie-cause-par-un-mortier-de-feux-d-artifice-qui-est-tombe-au-dernier-et-14-e-etage-d-un-immeuble-rue-victor-hugo-au-quartier-es-ecrivains-1483237450 (1)

    Un peu plus tôt, dans le périmètre du quartier des Ecrivains, les forces de l’ordre ont déploré quelques jets de projectiles – notamment des bouteilles – sur leur passage ou lors de leur mission de sécurisation pour éteindre des feux de voitures.

    À suivre => http://www.fdesouche.com/805497-voitures-incendiees-policiers-caillasses-le-bilan-de-la-saint-sylvestre-en-cours

  • Le mythe de l'immigration humaniste

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sidérant d'entendre encore certains hommes politiques français nier la réalité que constitue l'infiltration des migrants par les djihadistes

    Thibault de Montbrial revient sur les attentats de Berlin dans Le Figarovox. Extraits :

    "[...] Le parcours d'Amri est consternant. Après avoir incendié le centre de réfugiés qui l'avait accueilli à son arrivé début 2011, l'intéressé a pu rester en Europe à l'issue de ses quatre années de détention en Italie ; repéré par les Allemands pour sa radicalisation, il a fait l'objet d'une surveillance pour le moins légère ; après le rejet de sa demande d'asile, il est demeuré sur le territoire européen ; enfin, après l'attentat et bien qu'il ait fait l'objet d'une fiche de recherche dans toute l'Europe, il a pu tranquillement traverser quatre frontières (Allemagne/Pays-Bas, Pays-Bas/Allemagne, Allemagne/France, France/Italie) tout en portant une arme sans être inquiété le moins du monde. Ces évènements successifs illustrent la faillite de la construction européenne en matière de sécurité, mélange d'angélisme idéologique et d'impuissance à appliquer ses propres textes. 

    Pour ce qui concerne le cas particulier des conséquences sécuritaires de la libre circulation au sein de l'espace Schengen, je suis frappé par le parallèle entre le parcours d'Amri et celui de Medhi Nemmouche fin mai 2014.

    À l'époque, l'auteur de l'attaque du musée juif de Bruxelles (4 morts) avait pu tranquillement monter dans un autocar en Belgique et n'avait été arrêté à Marseille que par l'heureux hasard d'un contrôle douanier inopiné. Il avait passé la frontière belgo/française avec une kalachnikov dans son sac sans la moindre difficulté. Trente mois plus tard, et bien que les pays intéressés aient entretemps fait application des mécanismes dérogatoires du traité de Schengen permettant de reprendre les contrôles aux frontières, l'homme le plus recherché d'Europe a donc pu lui aussi franchir quatre frontières avec une arme à feu sans être inquiété le moins du monde, et c'est là encore un contrôle inopiné qui a permis sa neutralisation.

    À chaque attentat, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Le gruyère européen est traversé de part en part par ceux qui sont venus s'y attaquer. Il est à cet égard particulièrement navrant que la réponse du Président de la Commission Européenne Jean-Claude Juncker aux derniers évènements soit d'encourager à toujours plus d'ouverture. Vient un moment où on ne peut plus s'étonner que l'irresponsabilité de tels discours renforce l'attractivité de certains populismes.

    En Allemagne, le débat s'est également focalisé sur l'accueil des migrants. Il est avéré que des djihadistes se glissent parmi ces derniers. Un principe de précaution doit-il être mis en place?

    Non seulement il est avéré que des djihadistes se glissent parmi les migrants, mais tout le monde a oublié que le programme avait été annoncé dès l'hiver 2015! En effet, les services de sécurité italiens avaient indiqué dans une note que l'État islamique allait contribuer à organiser une vague migratoire sans précédent à compter de l'été, afin d'une part de déstabiliser l'Europe par le nombre de migrants et d'autre part de permettre, par les conséquences de la submersion sur l'efficacité des contrôles, l'infiltration de ses combattants au sein du territoire européen.

    Force est de constater que le programme annoncé a été exécuté à la lettre. Outre les auteurs d'attaques ou de projets d'attaques en Allemagne rappelés ci-dessus, il faut se souvenir que plusieurs des auteurs de l'attaque du 13 novembre sont passés par la route des migrants. C'est également le cas de l'auteur de l'attaque du Thalys d'Août 2015, qui l'a détaillé récemment sur procès-verbal devant le Juge d'Instruction, ou encore de l'assaillant du commissariat du 18ème arrondissement de Paris, abattu par des policiers le 7 janvier 2016.

    Dès lors, il est par hypothèse certain que d'autres individus sont ainsi entrés en Europe par la route des migrants et qu'ils attendent des instructions et/ou des moyens pour agir.

    Dans ces conditions, je suis sidéré d'entendre encore certains hommes politiques français nier encore la réalité que constitue l'infiltration des migrants par les djihadistes, alors qu'elle a d'ores et déjà été judiciairement établie à de multiples reprises. [...]

    Près de deux ans après la tuerie de Charlie Hebdo, l'Europe est-elle prête à relever le défi de l'islamisme et du terrorisme?

    Le véritable défi qui est posé non seulement à l'Europe, mais à l'Occident, est celui de l'islamisme. Nombreux sont ceux qui évoquent encore «le terrorisme» comme s'il s'agissait d'une entité autonome. Il faut rappeler une fois encore que le terrorisme n'est qu'un moyen, mis au service d'une cause: l'islamisme, qui est une doctrine politique de conquête.

    Or, le terrorisme n'est lui-même qu'un des moyens d'action de cette doctrine. En effet, pour s'en tenir à la France, nombreux sont ceux qui, dans le monde associatif notamment, sont aujourd'hui engagés dans un combat communautariste qui a vocation à saper notre lien social. Le CCIF est par exemple aussi actif qu'habile en la matière, combinant logique victimaire, culpabilisation de notre société et revendications communautaristes incessantes. Du côté de l'UOIF, la logique et les objectifs sont régulièrement mis en lumière, comme encore récemment dans l'excellente enquête de Bernard de la Villardière diffusée sur M6 qui a en particulier mis en exergue la duplicité de certains élus locaux.

    Il faut rapprocher ces agissements des chiffres révélés par l'Institut Montaigne cet automne: 28 % de ceux qui se réclament de religion, de culture ou de tradition musulmane considèrent la charia comme supérieure à la loi de la république (avec une terrifiante proportion de 50 % chez les jeunes…). Il apparaît ainsi que le défi qui est proposé aux occidentaux par l'islamisme radical dépasse de loin la seule violence du terrorisme commis en son nom.

    Cette «guerre» peut-elle être gagnée uniquement par une politique sécuritaire? Le combat est-il également idéologique et psychologique?

    Bien entendu. C'est la nécessaire conséquence du constat qui précède. L'islamisme de conquête est loin de reposer exclusivement sur la violence. En toute hypothèse, il est essentiel de tenter d'éviter la fracture que les islamistes veulent nous imposer. Pour tenter d'y parvenir, il est absolument crucial de «réarmer» notre société sur les plans idéologiques et psychologiques. Les travaux de l'universitaire Gilles Kepel démontrent notamment que l'attirance d'une fraction de la jeunesse française pour le djihadisme repose pour beaucoup sur une quête de sens et une transcendance proposée par l'islam. [...] Ceux qui considèrent que l'Occident en général, et l'Europe en particulier, doit renier ses racines et s'accommoder d'un multiculturalisme qui gommerait ce socle millénaire commettent à cet égard une erreur stratégique calamiteuse. D'abord, ils offrent à notre ennemi l'un de ses arguments majeurs de recrutement, qui repose sur le constat de notre propre vacuité. Ensuite, et quelles que soient les intentions qui président à leurs errances, leur attitude n'est perçue que comme une faiblesse qui renforce la détermination islamiste. Enfin ils oublient que, dans la construction des individus comme celle des peuples, seule la connaissance et l'acceptation de son identité permet de se structurer et donc d'une part, de vivre selon des règles admises par chacun, et d'autre part, de tendre la main aux autres avec la confiance que confère cette solidité intérieure. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Montgenèvre, les migrants sont déposés en Mercedes Vito

    Mardi soir 27 décembre , vers 22h30 au poste frontière de Montgenèvre , un véhicule type Mercedes Vito aux vitres fumées force le contrôle, il est rattrapé dans le col de Montgenèvre par la DZ PAF zone sud , une sorte d’unité mobile de la police d’air et frontière… Au volant un « franco-malien », à l’arrière… 25 migrants entassés, la plupart d’origine africaine subsaharienne. Quelques minutes après le retour au point de contrôle, vers 00h30 un deuxième véhicule de même type est arrêté avec à l’arrière 20 migrants. Une arrestation faite à la veille de la venue du ministre de l’intérieur.

  • LA CONCORDANCE D’INTÉRÊTS ENTRE BOBO GAUCHISTES ET IMMIGRÉS

    Cédric, notre national-communiste préféré ;)

    Beaucoup encore ne font pas la jonction entre les intérêts de classe de l’internationale métropolitaine bourgeoise, défendant corps et âme le droit des femmes (à avorter d’un joli prolo qui, remplaçant le temps d’un soir le « Lucas Rochette » du 16ème arrondissement, lui aura donné pour une fois du plaisir), ceux des homosexuels citadins (jouisseurs matérialistes) et ceux des immigrés.

    Sur ces derniers, nous allons arrêter définitivement de Converser Soralement : est-ce que la problématique est sociale ou raciale ? Pléonasme, les 2 mon général !
    L’armée de réserve du Capital a pour fonction de remplacer la population prolétaire locale ; comme l’immigration ne vient plus des pays de l’Est ou de pays Latins (devenant des nouveaux eldorados avec la paix civile et la fraternité qui ne peut qu’être « ethnique » chez eux) nous accueillons ce que nous pouvons appeler gentiment des « peuples en retard technologique » n’ayant aucune notion du travail sur un long projet (donc de civilisation). Nous pouvons faire exception de certains Syriens, Irakiens, Afghans et même Kabyles appartenant à l’ancienne immigration nordique du temps de la dernière ère glaciaire, il y a plus de 6000 ans (je rappelle que l’Iran signifie « le pays des Aryens », je renvoie à l’ouvrage de Savitri Devi « Souvenirs d’une Aryenne » pour connaitre l’histoire de notre peuple). 

    L’Islam (dont « on a plein le cul », cela a été dit récemment) est Arabe et volontairement Wahhabite créant les conditions nécessaires à la confrontation entre prolétaires. Cette culture tribaliste de mentalité désertique ne doit pas être amalgamé à nos frères de longue date dont les représentants sont étrangement diabolisés (Syrie, Irak, Iran, Liban…) soit l’arc Chiite dont le Zoroastrime Perse a modifié l’esprit pour Aryaniser cette religion. Même l’Islam du Mongol Tamerlan (Turquie) se tient mieux que le sunnisme du Maghreb et du Moyen-orient.

    Pour poursuivre ma digression, les Allemands ont accueilli des Syriens et aussi avant des Turques, soit des Aryano-Mongols (les sémites Syriens étant les djihadistes que nous connaissons actuellement), la dernière attaque en date de Berlin est le fait d’un Tunisien, soit une immigration de faible qualité (voir aucune) issue d’un pays désertique. La France se chargeant d’accueillir nombre de maghrébins afin de certainement relancer la conquête spatiale et gagner davantage de prix Nobel de mathématiques. Le calcul est extrêmement brillant.

    L’Allemagne Hitlérienne respectait l’Islam authentique du temps d’autrefois, avant que l’Angleterre et l’Amérique n’en donnent le pouvoir aux sémites Saoudo-Qataris (Je renvoie là aussi le lecteur à l’ouvrage de 1943 de l’Indienne Saïda Savitri « L’Islam devant le National-Socialisme« , qui surprendra par la proximité des organisations hiérarchiques entre sociétés et du nombre immense de volontaires musulmans sur le front de l’Est).

    Pour en revenir à nos gauchistes, leur résistance à la haine vient de leur classe sociale tout simplement, après tout, le terrorisme ne tue pas plus que les accidents de la route, il ne faut surtout pas que les prolétaires reprennent le pouvoir pour renverser la table, jamais ! Jamais le prolo ne doit lui manquer de respect, jamais, au secours, pas cette petite merde qui doit rester à sa place, ne pas appeler à la guerre, à faire de l’incitation à la « haine raciale », lui qui n’a que son RSA à perdre. Et il en connait des centaines qui sont respectables et qui ont travaillé dur sans se plaindre, et qui au moins savaient rester esclaves ! A LEUR PLACE !!!

    C’est cela le nouveau syndrome de Stockholm, tomber amoureux de celui qui menace votre existence, car après tout, il est le meilleur garant de votre survie en ces temps de crises, il éteint la montée de la colère sociale du prolétariat, pour continuer à jouir de ses rentes foncières et sociales dans une « France apaisée » sauvée de la révolution in extremis… ! 

    Les réconciliateurs mettent en scène des clashs anti-racistes comme les bourgeois des métropoles dont ils sont la symétrie exacte. Leur objectif est le même : endormir le blanc, jusqu’à ce qu’il soit entièrement remplacé. Et que tout ça se fasse sans guerre, en silence, s’il vous plait.

    Si Marx vivait aujourd’hui, il remettrait le Bonnet d’âne à qui de droit ! 

    Cédric

    http://suavelos.eu/la-concordance-dinterets-entre-bobo-gauchistes-et-immigres

  • Marseille, islamo-gangstérisme : 33e accident du travail, record battu !

    On serait tenté d'écrire : A Marseille, rien de nouveau, pour paraphraser le célèbre titre À l'Ouest, rien de nouveau, d'Erich Maria Remarque. 

    Ou alors, pour paraphraser cette fois Antonio de Oliveira Salazar*, que, à Marseille, on vit « habituellement » dans le crime organisé, le monde de la drogue ayant pignon sur rue, et ayant poussé des racines solides et profondes, qu'il sera bien difficile d'arracher le jour où les pouvoirs publics voudront - enfin ! - éradiquer, partout en France, ces pègres immigrées qui se « font » jusqu'à 90.000 € par jour, dans certaines « cités » (même si c'est un peu moins dans d'autres) en vendant leur saleté de drogue.

    Mais, on s'y est fait. Pendant la vente de drogue, les achats de Noël continuent !pourrait-on dire. Un Noël, soit dit en passant, qui est maintenant, pour beaucoup, vidé de sa substance chrétienne, et remplacé par une écœurante course à la consommation et au matérialisme le plus désolant qui soit.   

    Oui, on s'y fait, on s'y est fait. Pensez donc : 33 tués, c'est presque trois par mois, alors cela finit par devenir de la routine. Bientôt, à ce rythme-là ce sera tous les jours, comme les bulletins météo, et on n'y fera même plus attention du tout.

    Le Système aura réalisé l'objectif de Salazar (mais, bien sûr, pas dans le même sens, pas dans le même esprit !) : faire vivre les Français « habituellement » dans la violence, la délinquance, la drogue et l'islamo-gangstérisme partout, tel un cancer, étendant ses tentacules de plus en plus loin de ses bases de départ. La 33e victime - dont on ne donne ni nom ni prénom : tout le monde a compris. - avait 19 ans, et a tout de même reçu quinze balles : tant qu'à faire, autant ne pas lésiner !

    Règlement de comptes dans les « quartiers nord », disent, fatalistes, les policiers du cru. Bref, rien que du devenu très banal, du très... habituel dans notre Système qui préside à l'affaissement du pays, et à son enfoncement dans tout ce qui ronge, gangrène, détruit toute société digne de ce nom... 

    * Salazar a dit un jour à Henri Massis que son objectif était de « faire vivre le Portugal habituellement ».
  • Dans le train Toulouse-Agen, lundi soir, un héros s’est levé

    Un courageux Français s’est levé pour défendre trois jeunes filles importunées par un homme de 22 ans, issu de l’immigration.

    Lundi soir, 19 h, dans le train Toulouse-Agen, un courageux Français s’est levé pour défendre trois jeunes filles importunées par un homme de 22 ans, issu de l’immigration, monté en gare de Montauban.

    Elles ne se connaissaient pas avant ce voyage entre les fêtes mais elles avaient toutes les trois échangé, fait connaissance, créé des liens. Elles avaient entre quinze et vingt-trois ans. Et chacune allait rejoindre qui une amie, qui sa famille, qui son petit ami, pour la deuxième semaine des fêtes. Elles ne se doutaient pas qu’un lien plus fort les unirait à la fin du voyage.

    Elles avaient tout de suite vu que l’individu était déplaisant, pour ne pas dire plus. Elles ont, chacune à sa façon, bien réagi, évitant d’attiser, essayant de trouver la parade, la meilleure façon de tenir, de chercher l’issue. Dire non quand il s’est imposé à côté d’elles ? Ne pas lui répondre quand il questionnait et provoquait ? Se lever toutes les trois et changer de place ? Pas facile…

    Et après ? Il devait descendre à Agen. Deux d’entre elles aussi …

    Mais avant cela, il y avait long de Montauban à Agen – plus de trente minutes à tenir avec cet individu agressif, dangereux.

    La rame de ce Téoz était loin d’être vide. Il y avait d’autres passagers. Il y avait aussi d’autres places libres mais il avait tout de suite foncé en direction de ces trois jeunes filles. Pour s’imposer. Pour en découdre. Jusqu’où ?

    Le « dialogue » dura dix très très longues minutes.

    Puis un homme de 44 ans, un Toulousain, grand, que j’imagine volontiers père de famille, comme le père de ces filles, comme moi, s’est levé.

    Il a poliment demandé aux jeunes filles si elles étaient « embêtées ». Et le « oui » a fusé ! Comme un cri, un appel au secours !

    Notre jeune Montalbanais a alors violemment insulté leur sauveur, puis s’est levé, a sorti un couteau et a poignardé ce héros anonyme.

    Les autres passagers ont alors fait leur devoir. Un interne en médecine, une infirmière, les agents de sécurité.

    Sur le quai de la gare, les policiers étaient là pour interpeller l’importuneur de jeunes filles au couteau, actuellement soupçonné de « tentative de meurtre », selon le quotidien Sud-Ouest.

    « L’individu passablement connu des services judiciaires pour des faits de violence et d’outrages, en état d’ébriété, a été en placé en garde à vue. Il est auditionné depuis ce mardi matin sur les faits qui l’ont conduit à frapper un homme de 44 ans, domicilié dans la banlieue de Toulouse, à l’aide d’un couteau. »

    Ce soir du 26 décembre 2016, on apprenait que l’auteur du triple meurtre de la Drôme avait commis une nouvelle agression « à l’arme blanche », et que le braqueur de Bordeaux serait bien l’auteur de la décapitation de Clamart.

    À Agen, dans ce train, ce ne fut « qu’ » une tentative de meurtre.

    Mais cette nouvelle guerre sans nom s’était soudain considérablement rapprochée de nous : c’était la gare de nos enfants, ces jeunes filles avaient leur âge et leur sauveur a le mien.

    En les attendant anxieusement, je croisai le coupable entre les policiers, et la victime, chemise déchirée, qui remerciait l’infirmière.

    Qu’il sache que nous sommes très nombreux, pères de famille comme lui, à le remercier, lui aussi, et à espérer avoir, le jour venu, le même courage.

    http://www.bvoltaire.fr/dominiquemonthus/dans-le-train-toulouse-agen-lundi-soir-un-heros-sest-leve,302482

  • 2 mois après la fermeture de la Jungle de Calais, les immigrés reviennent

    Dispersés à travers la France après le démantèlement de la « Jungle » de Calais, les expulsés sont en train de revenir petit à petit. Le quotidien britannique The Independent, qui a mené l’enquête, affirme même qu’il y a au moins six camps sauvages nouvellement installés dans les zones rurales du Nord-Pas de Calais, abritant chacun des dizaines de réfugiés, et attirant chaque semaine davantage de candidats au départ vers le Royaume-Uni.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html