
Les faits se sont produits vendredi 1er décembre, en plein cours d’histoire-géographie. « Tu fais trop le mac, je vais t’égorger », a lancé l’élève, à deux reprises, au collège Marguerite-Duras de Libourne.
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Les faits se sont produits vendredi 1er décembre, en plein cours d’histoire-géographie. « Tu fais trop le mac, je vais t’égorger », a lancé l’élève, à deux reprises, au collège Marguerite-Duras de Libourne.
Par Olivier Perceval
Un expert de l’élevage canin me disait un jour : « Quand un chien aboie furieusement jusqu’à mordre, c’est le plus souvent le maître qui est responsable. »
La saillie du garde des sceaux, mardi à l’Assemblée n’est-elle pas révélatrice de la panique qui s’empare aujourd’hui du patron de l’Élysée, devant la montée de la grogne de la France périphérique face à l’insécurité qui se répand dans tout le pays, fruit d’une obsession immigrationiste, et d’un échec des procédures d’intégration ?
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 308 – Novembre 2023)
La façon dont l’attaque de Crépol est traitée par le Système, ses politiciens, ses procureurs et ses médias, illustre une fois de plus cette réalité tragique : les premiers ennemis des Français de souche sont des Français de souche eux aussi. Nos premiers ennemis sont nos dirigeants et tous ceux qui les approuvent, les élisent et exécutent leurs ordres. Nos premiers ennemis sont des Blancs.
C’est ainsi que, comme à l’habitude, loin de prendre le parti des Français de souche et des règles de vie en vigueur dans une France française, le Système a pour seul souci d’empêcher que l’attaque de Crépol n’aboutisse à la mise en cause de sa politique d’immigration massive.
Le JDD. Vous avez perdu votre fils Adrien, poignardé à la sortie d’une boîte de nuit à Meylan en juillet 2018. Vous ressentiez le besoin de prendre la parole après la mort de Thomas…
Bruno et Patricia Perez. Parce que la mort de Thomas nous a inévitablement ramenés à la mort de notre fils. Ils étaient à une soirée, ils jouaient au rugby, ils étaient jeunes, ils n’étaient pas armés, ils n’avaient rien demandés et ils nous ont été arrachés. Avec des couteaux, avec des gens qui « plantent » gratuitement, à répétition. Rien que ce mot est insupportable…
(…) Sur les grands écrans de la salle d’audience du tribunal de Cherbourg défilaient les images d’une voiture entraînant de plus en plus vite un homme le bras passé dans la portière côté conducteur…
Jusqu’à ce que, ne pouvant plus courir assez vite, l’homme se trouve éjecté brutalement sur la chaussée, face sue le bitume, et y reste inanimé, le conducteur de la voiture accélérant à nouveau pour quitter les lieux.
D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se déploie en communication, mais la Macronie lutte tant contre l’immigration que nos structures d’accueil explosent.
Ainsi, ce mercredi 29 novembre, le département de l’Ain (Bourg-en-Bresse) a tranché dans le vif. Il suspend « temporairement » pour au moins trois mois la prise en charge des fameux « mineurs non accompagnés », dits MNA, qui arrivent directement sur son territoire. Le département a publié en ce sens un communiqué dont nous avons confirmé la validité auprès du service de communication. « Confronté depuis des mois à une augmentation massive d’arrivées de mineurs non accompagnés, le département de l’Ain n’est actuellement plus en capacité d’en accueillir », tranche officiellement le département. Ce n’est pas faute de bonne volonté. En 2023, le département a créé 150 places d’hébergement. Mais voilà, « le dispositif explose », explique le département qui « ne dispose plus de solutions, ni temporaires, ni pérennes ».
Le tribunal administratif a suspendu vendredi soir l’arrêté d’interdiction de rassemblement à Paris d’un groupuscule de l’ultradroite en hommage au jeune Thomas tué lors d’une fête de village dans la Drôme, estimant qu’il s’agissait d’une «atteinte grave à la liberté de manifester». (…)