Dès l’annonce d’une attaque terroriste à Bruxelles hier soir, les médias s’étaient empressés de dire que le terroriste utilisait une kalachnikov. L’affirmation était crédible puisque c’est l’arme qui circule le plus parmi les milieux de la pègre depuis plusieurs décennies, solide et bon marché.
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Intéressons-nous à l’arme du terroriste de Bruxelles
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Attentats : Il faut sortir du déni de réalité
De François-Xavier Bellamy dans Le Figaro :
Il y a quelque chose de pire que l’horreur : c’est la répétition de l’horreur. Quelque chose de pire que la terreur : c’est l’habitude. Un professeur a été tué, dans son lycée, au cri de Allah Akbar. Et le rituel reprend, déjà familier : indignations politiques, condamnations de circonstance, « crime odieux », « valeurs de la République », micros tendus, la détresse des collègues, les yeux rougis des élèves, détails de l’enquête, déplacement des autorités, « dire le soutien de la Nation », « restons unis et debout », marches blanches, minutes de silence… Combien de fois faudra-t-il subir cette répétition ?
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Attentat de Bruxelles : le terroriste abattu, qui a tué deux Suédois à la kalachnikov, était arrivé à Lampedusa en 2011, à bord d’u
17/10/2023
Selon certaines informations, Abdesalem Lassoued est arrivé à Lampedusa en 2011 à bord d’un petit bateau. Après un séjour en Italie, il s’est rendu en Suède, d’où il semble avoir été expulsé. De retour en Italie, en 2016, il a été identifié à Bologne par les services comme radicalisé : il avait exprimé sa volonté de rejoindre le djihad et de partir se battre. L’homme était surveillé par les services de renseignement. Il s’est ensuite rendu en Belgique. Il n’est pas exclu qu’hier il ait frappé deux Suédois en raison du mécontentement qu’il ressentait à l’égard du pays d’où il avait été expulsé.
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« Tuer les professeurs », un mantra islamiste qui ne date pas d’hier
Jean Chichizola
« Il faut tuer les professeurs. » La formule n’est pas de Mohammed Mogouchkov en garde à vue. Elle est vieille de 8 ans déjà. En décembre 2015, le magazine de l’État islamique en langue française Dar al-Islam (« la demeure de l’Islam ») désigne l’école de la République et ses professeurs comme une cible légitime. Or Dar al-Islam, que consultait par exemple en 2016 Mohamed Lamine Aberouz, condamné la semaine dernière à la réclusion criminelle à perpétuité pour l’attentat de Magnanville, avait deux objectifs : assurer la propagande de Daech et, surtout, séduire et recruter de nouveaux fidèles en France et dans les autres pays francophones.
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Gérald Darmanin va-t-il instrumentaliser le drame d’Arras pour régulariser des milliers de clandestins ? (MàJ)
26/09/23
Loi immigration : la majorité et les sénateurs LR seraient sur le point de s’accorder pour charger les préfets de régulariser les clandestins dans les “métiers en tension”. “Ca ne change rien, et tout le monde sortira la tête haute”
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Arras, décryptage d'un attentat islamiste qu’on aurait pu(dû) empêcher !
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En France, le nombre de coups et blessures a progressé de 65% depuis dix ans et de 350% depuis 1996
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Trois ans après Samuel Paty : l’Histoire se répète et rien ne change
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Dissuasion nucléaire, la bascule ?
par Xavier Moreau
La XXe réunion annuelle du Club de discussion Valdaï s’est tenue à Sotchi du 2 au 5 octobre. Le Club a attiré les plus grands experts dans divers domaines tels que les relations internationales, la politique mondiale, l’économie, la sécurité, l’énergie, la sociologie, les communications et autres.
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Hier Conflans, aujourd'hui Arras, demain Saint-Brevin ?
Un communiqué de Riposte laïque et de Résistance républicaine :
Le 16 octobre 2020, l'enseignant Samuel Paty était décapité, à la sortie de son collège, par un Tchetchène qui n'avait rien à faire en France. Trois ans plus tard, ce régime n'ayant rien fait de concret pour enrayer le djihad quotidien qui se déroule chaque jour en France - agressions de policiers, lynchages de Français, violences gratuites et multiplications des viols - un autre enseignant, Dominique Bernard, s'est fait égorger par un autre Tchetchène qui n'avait, lui non plus, rien à faire en France. Trois autres adultes ont été blessés lors de cette agression.