Car, même si elle ne brille pas toujours par la vigueur de ses avis et la force de ses décisions face à la racaille islamique, elle a rendu vendredi 5 novembre un jugement d’une fermeté inattendue contre l’ami voyou d’Emmanuel Macron, le Franco-Marocain Maroine (dit Alexandre) Benalla.
« Vous aviez été investi d’un certain pouvoir, réel ou supposé, et vous avez trahi la confiance qui vous avait été faite. » La présidente de la 10e chambre correctionnelle de Paris, Isabelle Prévost-Desprez, a assorti d’un ton sévère l’annonce du jugement de son tribunal.