BV - Signe des temps… Ce jeudi 13 octobre a eu lieu la quatrième journée de sensibilisation des curés et des maires de la ville de Lyon sur l’insécurité montante au sein du diocèse. Car la glorieuse et ancienne église de Lyon vit des temps troublés. Contacté au téléphone par BV, Christophe Ravinet, responsable des relations presse du diocèse, énumère les méfaits : les tags sur les murs des églises, des statues brisées, de l’argent dérobé dans les troncs dévolus à l’offrande des fidèles.
insécurité - Page 351
-
Lyon : les églises catholiques tentent de se protéger face à la montée des attaques anticatholiques dans le diocèse
-
Refus d’obtempérer à Bidart (64) : un chauffard drogué, sans permis et au volant une voiture volée, fonce sur les policiers, qui ont ouvert le feu
Les policiers du commissariat de Biarritz ont fait usage de leurs armes de service aprèrs un nouveau refus d’obtempérer sur la Côte Basque. Le syndicat Alliance réagit.
Le syndicat Alliance Police Nationale a réagi à la suite de ce nouveau refus d’obtempérer qui a eu lieu à Bidart dans la nuit de samedi à dimanche 16 octobre 2022. Les policiers du commissariat de Biarritz ont fait usage de leurs armes de service pour stopper l’individu.
-
Kherson : Échec de l’attaque ukrainienne du 15 octobre
par Sylvain Ferreira.
Ce matin, après un puissant barrage d’artillerie, deux groupes tactiques de bataillon (GTB) ukrainiens ont mené une puissante attaque au nord-est de Kherson. L’attaque a été repoussée par les forces russes en infligeant des pertes aux forces ukrainiennes : au moins 120 morts, environ 15 véhicules blindés YPR-765PRI et BMP-2 ont été détruits, ainsi qu’au moins quatre chars T-64BV.
-
« Une bande s’est mise à frapper tout le monde, pendant que les enfants étaient en pleurs » : Bagarre et rodéo sauvage à Marseille, le spectacle des enfants âgées de 4 à 10 ans stoppé par un groupe de jeunes
-
Cognac (16) : accusé d’islamophobie et menacé de mort par un parent d’élève, le professeur Stéphane Didier dénonce la lâcheté de sa hiérarchie, qui ne l’a “pas du tout soutenu”. Il a depuis quitté la région
15/10/2022
Menacé par un parent d’élève dans un collège de Cognac (Gironde) en décembre 2020, soit deux mois après l’assassinat de Samuel Paty, un professeur d’histoire géographie a témoigné au micro de CNEWS. La raison : un cours sur le IIIe Reich.
Les faits remontent au mois de décembre 2020. Soit deux mois après l’assassinat de Samuel Paty. Stéphane Didier, professeur d’histoire-géographie en zone d’éducation prioritaire a remarqué le comportement suspect d’une de ses élèves.
-
Ukraine : arrêtez le massacre ! par François Martin
Lien permanent Catégories : géopolitique, insécurité, international, magouille et compagnie 0 commentaire -
À Nantes, le père d’un étudiant lynché par une bande de jeunes tance la maire Johanna Rolland : “Je vis dans une ville où il est moins risqué de frapper des gens au hasard dans la rue que d’oublier de payer le parcmètre”
Le père de famille, dont le fils a été violemment agressé à 150 mètres de son domicile, a adressé une lettre au vitriol à Johanna Rolland.
Froide colère. Cyril Pineau, un père de famille installé à Nantes, a pris la plume lundi 10 octobre pour s’adresser à Johanna Rolland, maire socialiste de la ville. Quelques jours auparavant, son fils a été la cible d’une très violente agression qu’il a tenu à raconter, reprochant à l’édile nantais de ne pas lutter contre l’insécurité grandissante dans sa ville. « Ce samedi 8 octobre 2022, mon fils de 19 ans (…) a décidé de nous rendre visite dans notre appartement du centre-ville nantais », raconte le père de famille.
-
Île-de-France : Des individus prennent le contrôle de pompes à essence, puis revendent le carburant à plus de 3 euros le litre aux automobilistes
-
Guerre d’Ukraine – Jours 231-232 – Les dirigeants occidentaux sous-estiment le rejet qu’ils inspirent désormais dans le reste du monde
-
Ces villes moyennes autrefois tranquilles gagnées par la délinquance : classement de 400 communes les plus dangereuses
EXCLUSIF – Violence de rue, cambriolages… Le Figaro a analysé les crimes et délits dans les villes de 20.000 à 100.000 habitants. Édifiant.
Valenciennes, Douai, Lens, Roubaix, Maubeuge, Montbéliard, Agde, Arras, Auxerre ou Angoulême au coude à coude avec la bouillante Courneuve, Bobigny et Avignon pour les agressions. Il s’agit là des coups et blessures volontaires recensés à l’année, hors du cadre familial, par la police et la gendarmerie. Pour schématiser : la violence « gratuite » (hors vols), dans l’espace public, au travail, à l’école. Elle n’épargne plus les villes moyennes, même si certaines, par contraste, font figure de havres de paix. Comme Chatou, Le Perreux-sur-Marne, Gif-sur-Yvette, Vanves, Palaiseau ou Le Plessis-Robinson, avec son réseau de caméras et sa police municipale armée. Là, on recense en moyenne chaque mois à peine un fait pour 10.000 habitants.