André Bercoff dénonce un réseau de demandeurs d’asile coupable de viols de masse en Angleterre et en Ecosse. Extrait tiré de l’émission « Bercoff dans tous ses états » (Sud Radio) du 11 février 2020.
insécurité - Page 460
-
André Bercoff dénonce un réseau de demandeurs d’asile coupable de viols de masse en Angleterre (Vidéo)
Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, insécurité 0 commentaire -
L’affaire Gabriel Matzneff : pas un scandale, une chasse à l’homme…
« Certains même doivent applaudir ses éditeurs – parmi les plus prestigieux de France – qui, du jour au lendemain, semblent découvrir ce qu’ils ont imprimés et diffusés : Oh zut ! la boulette… »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Que vous inspire le scandale autour de l’écrivain Gabriel Matzneff ?
Soyons précis : ce n’est pas un scandale, mais une chasse à l’homme… Cela aurait été un scandale si on avait « découvert » que Gabriel Matzneff est pédophile, qu’il était passé à l’acte et avait tout fait pour le dissimuler comme c’est en général (toujours ?) le cas avec les prédateurs sexuels ; en ce qu’il le concerne, c’est exactement le contraire : cela fait plus d’un demi-siècle que non seulement il défend, à qui veut le publier ou l’inviter à s’exprimer, sa conception de l’amour – autant sentimentale que physique – avec les « moins de seize ans » ; jusqu’à en avoir fait le titre, pour le moins explicite, d’un de ses livres.
-
Crime et délinquance : selon la Préfecture, «près de 50% des mis en cause» à Paris sont «de nationalité étrangère»
Selon les chiffres obtenus par Le Figaro, la part des étrangers mis en cause dans les faits de délinquance a littéralement explosé à Paris. Les infractions ont augmenté de 2 % dans le ressort de la préfecture de police de Paris (PP) en 2019, alors qu’elles ont diminué de 4,7 % « en province », dans les circonscriptions rattachées à la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP).
-
L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France
Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.
Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.
-
François Bousquet : “Les antifas bénéficient d’un sentiment d’impunité et d’une complicité des médias”
À Toulouse ce 12 février, des dizaines de militants d’extrême-gauche particulièrement violents, ont tenté d’empêcher la tenue d’une conférence de François Bousquet et Robert Ménard, le maire de Béziers. Les antifas ont jeté des projectiles vers la salle et sur le service d’ordre qui devait sécuriser cet événement.
Au micro de Boulevard Voltaire, François Bousquet revient sur cette scène “surréaliste et impressionnante”.
-
"Violents, bêtes et méchants" mais surtout vrais terroristes, les soi-disant antifas ont sévi à Toulouse...
Association organisant régulièrement des conférences avec des personnalités politiques et médiatiques de droite, le Cercle des Capitouls invitait hier soir 12 février à Toulouse le maire de Béziers Robert Ménard et l’essayiste François Bousquet. Une conférence en partie perturbée en raison d’une attaque très violente d’un groupe d’activistes de gauche radicale appelé « Antifas Toulouse ».
-
Criminalité et délinquance en Ile de France : “près de 40 % des mis en cause sont des étrangers”
C’est la préfecture de police qui le dit. par ailleurs, la proportion des étrangers mis en cause ailleurs en France est également très élevée. Mais puisqu’on vous dit qu’il n’y a aucun lien entre immigration et délinquance… Et les chiffres ne précisent pas la proportion des issus de l’immigration dans les 60% restants :
D’une manière générale, tous types de crimes et délits confondus, «près de 40 % des mis en cause» dans l’agglomération parisienne sont «de nationalité étrangère», qu’ils soient clandestins ou en situation régulière, révèle la «PP».
C’est deux fois plus qu’ailleurs en France, en zone police, où les étrangers pèsent 20 % des mis en cause. La proportion est même de 47,6 % dans Parisintra-muros. Un mis en cause sur deux. Le ratio est de 12,5 % de mis en cause étrangers à la DDSP du Nord, 27,4 % dans celle du Rhône et 22,3 % dans celle des Bouches-du-Rhône.
Lors d’un procès intenté à Eric Zemmour en 2016, Jean-Pierre Chevènement, ancien ministre de l’Intérieur, avait écrit au président du tribunal :
Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la sécurité publique du ministère de l’intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées étaient imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine.
-
[Vidéo] Agriculteur mis en examen après avoir tiré sur des cambrioleurs : colère des habitants d’Ambrières
Jean-Louis Leroux, éleveur bovin d’Ambrières (Marne), est mis en examen, « soupçonné d’avoir grièvement blessé avec un fusil de chasse un jeune homme de 19 ans, issu de la communauté des gens du voyage, qui tentait, semble-t-il, de voler du carburant dans son exploitation. »
A Ambrières, village de 225 habitants, c’est l’incompréhension.
Plus d’informations ici
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, insécurité, lobby 0 commentaire -
Pompier lynché au bal du Chat Noir à Dunkerque : 6 suspects interpellés
Kevin Desmidt, 27 ans, professeur de sport et sapeur-pompier volontaire au centre de secours de Malo, a été roué de coups par plusieurs agresseurs dans la nuit du 1er au 2 février alors qu’il était en repos, en marge du bal du Chat Noir à Dunkerque (Nord).
Quatre mineurs et deux jeunes majeurs ont été interpellés par la police ce lundi dans l’agglomération dunkerquoise a annoncé le parquet de Dunkerque.
-
Grèce: des ONG accusées d’avoir attisé les troubles dans un camp de réfugiés
Luttant pour arrêter les flux migratoires vers Lesbos, le gouvernement grec déclare maintenant la guerre aux ONG, les accusant d’avoir attisé les troubles entre les habitants et les réfugiés. Les fonctionnaires disent qu’ils sont assis sur un baril de poudre.
Lorsque la nuit tombe, les lumières brillent dans le village agricole de Moria. Les plaisanteries de la police dérivent à travers la campagne d’hiver, et les hommes de la Moria – des adolescents aux aînés – se promènent jusqu’à un carrefour, gardant à tour de rôle leur village.
« C’est ce à quoi il est parvenu », explique Ioannis Mastroyiannis, président de la ville. « Nous récupérons nos vies, nos maisons et nos biens. Nous ne voulons plus que les réfugiés y mettent les pieds. Ils nous ont détruits. »
Les 1000 habitants de la Moria ont mis en place un point de contrôle sans précédent, lançant récemment des patrouilles nocturnes après que des milliers de demandeurs d’asile se soient précipités hors d’un camp voisin pour protester contre les expulsions forcées, les conditions de vie épouvantables et les retards dans les procédures d’asile.
Après des heures d’escarmouches avec des policiers qui ont également tiré des gaz lacrymogènes, certains des migrants se sont finalement retirés dans le camp à la périphérie de Moria, un endroit tellement congestionné et inhumain, qu’il a valu à l’île grecque de Lesbos la réputation d’accueillir les plus redoutés d’Europe installation pour migrants.
dw.com (article en anglais)