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insécurité - Page 458

  • Bobigny : les étranges protections municipales pour la famille d’un tueur

    9704-20200922.jpgAbdel Sadi, le nouveau maire communiste de Bobigny, s’est fait photographier avec l’une de ses administrées, une femme voilée nommée Lynda Benakouche. Cette femme n’est pas n’importe quelle intégriste islamique. Employée municipale de la ville, elle est la conjointe du tueur Christophe Soumbou, condamné en 2009 à 18 ans de prison (et libéré en juillet 2019) pour l’enlèvement, la séquestration (pendant trois semaines), la torture collective dans une cave de Bagneux, et le meurtre du jeune Ilan Halimi en 2006.

    Le « gang des barbares », dirigé par le dénommé Fofana, et dont Soumbou était l’un des trois principaux « animateurs », comportait environ 25 membres. Criminalité et prosélytisme salafiste constituaient les deux activités essentielles du groupe. Ilan Halimi, 23 ans, avait été choisi au hasard, sur le seul critère de sa judaïté, l’objectif étant d’obtenir une rançon de sa famille. Mais les barbares – comme ils s’appelaient eux-mêmes –, l’avaient torturé puis assassiné. A Bagneux, une stèle, destinée à perpétuer le souvenir du jeune homme dans cette ville, est régulièrement saccagée. Ce gang des barbares a donc des disciples, des admirateurs. Et d’ailleurs, la plupart de ses membres ont retrouvé la liberté, aujourd’hui. Selon notre pointage, seul Fofana lui-même est encore incarcéré.

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  • La répression pour tous

    La répression pour tous

    Le schéma national du maintien de l’ordre (SNMO), paru jeudi, est un document publié par le ministère de l’Intérieur. On y lit :

    «Concomitamment, il sera proposé aux journalistes des sensibilisations au cadre juridique des manifestations, aux cas d’emploi de la force et notamment aux conduites à tenir lorsque les sommations sont prononcées, ainsi qu’aux dispositions du SNMO. Il importe à cet égard de rappeler que le délit constitué par le fait de se maintenir dans un attroupement après sommation ne comporte aucune exception, y compris au profit des journalistes ou de membres d’associations. Dès lors qu’ils sont au cœur d’un attroupement, ils doivent comme n’importe quel citoyen obtempérer aux injonctions des représentants des forces de l’ordre en se positionnant en dehors des manifestants appelés à se disperser.»

    Dominique Pradalié, secrétaire générale du Syndicat national des journalistes (SNJ), s’insurge :

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  • Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Quand les allocations familiales finançaient Daech

    Lu dans Valeurs Actuelles :

    Après des mois d’investigations dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire relative à la lutte contre les fraudes aux prestations sociales, dont les conclusions ont été présentées à l’Assemblée nationale mardi 15 septembre, son rapporteur, le député UDI Pascal Brindeau, livre à Valeurs actuelles une de ses funestes découvertes. Alors qu’il se rend à Tours au Sandia (Service administratif national d’identification des assurés), dépendant de la Cnam et attribuant des numéros de sécurité sociale aux personnes étrangères ou françaises nées hors de France, Pascal Brindeau cherche à vérifier la concordance entre une liste de fausses identités mise à sa disposition par la police aux frontières et les immatriculations inscrites dans les fichiers du Sandia. Sur les 83 usurpateurs d’identité manifestes, 46 ont eu des droits ouverts en France leur permettant de toucher en moyenne 9 000 euros par an. Parmi les fraudeurs: Zakaria Asbai, dit Abu Zubair, un des fondateurs de Dae’ch… Né au Maroc mais de nationalité belge, ce combattant de l’État islamique parti en Syrie en 2013 profitait donc sans vergogne de la générosité française, via une caisse d’allocations familiales de l’Essonne…

    https://www.lesalonbeige.fr/quand-les-allocations-familiales-financaient-daech/

  • Vives tensions entre migrants et pêcheurs à Ouistreham (Calvados)

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    Le 16 septembre 2020, en soirée, de vives tensions entre des professionnels et des migrants ont éclaté au marché aux poissons de Ouistreham (Calvados), rapporte Ouest France.

    Vers 18 h 30, un différend a d’abord surgi entre Christiane Simon, gérante de l’étal du bateau Le Yaka, lorsqu’elle a demandé à un migrant, d’origine africaine, de faire moins de bruit. « Il a réagi de façon virulente et m’a parlé dans sa langue », a-t-elle déclaré aux gendarmes, qui ont dû intervenir quand la situation a dégénéré : « Des coups ont été échangés »lors de vives échauffourées.

    Une poissonnière hospitalisée et deux migrants en garde à vue

    Blessée, la poissonnière a dû être hospitalisée. D’après un témoignage, les gendarmes sont intervenus à deux reprises. « Deux ressortissants africains ont été placés en garde à vue », selon le quotidien régional, et une poissonnerie et une friterie ont subi des dégradations. Le lendemain matin, « la situation était encore tendue ».

    https://www.bvoltaire.fr/vives-tensions-entre-migrants-et-pecheurs-a-ouistreham-calvados/

  • La délinquance explose, Macron fait des phrases

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    Pendant que Macron pérore sur le « sentiment d’insécurité », les chiffres tombent + 21 % de coups et blessures, +19 % d’homicides et tentatives en janvier 2020. Ces derniers ont augmenté de 79 % entre 2009 et 2018 ! Un sentiment pour le moins fondé, donc…

    L’insécurité, c 'est le sen-tintent d'insécurité. Il faut y aller s'investir sur le terrain, faire bouger les choses », lançait Emmanuel Macron aux députés LREM qu'il recevait à l'Elysée le 11 février pour une séance de remotivation et de recadrage typiquement macronnienne. Le chef de l'État se projette en 2022 et veut occuper le terrain du RN la sécurité, l'immigration, l'islamisation (qu'il vient de nommer « séparatisme islamiste »). Mais pour cet homme chez qui le Verbe a remplacé l'action, et qui face à chaque problème dégaine un discours, le « sentiment d'insécurité » a logiquement remplacé la réalité du phénomène.

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  • Menaces de mort contre Zineb El Rhazoui – Le scandaleux silence des médias et de l’État, par Franck Deletraz

    Faudra-t-il attendre tranquillement qu’un djihadiste ou autre fou d’Allah s’en prenne physiquement à Zineb El Rhazoui pour que l’Etat se décide enfin à sévir, et que les grands médias cessent de fermer lamentablement les yeux sur le harcèlement dont cette courageuse journaliste fait l’objet ? Prise pour cible depuis des années par l’« islamophère » et ses complices, qui ne lui pardonnent pas ses déclarations récurrentes contre l’islamisation galopante de notre pays, l’ancienne collaboratrice de Charlie Hebdo a vu redoubler ces dernières semaines les appels au meurtre contre sa personne, au point de devoir lancer un appel au secours déchirant sur Twitter !

    « J’ai envie de la décapiter »

    Son « crime » ? Avoir osé évoquer le 14 septembre dernier sur LCI la polémique autour d’Imane Boune, et déclaré, à propos de cette étudiante voilée présentée de façon gratifiante par BFM TV, qu’elle était, après « enquête sur [son] environnement idéologique », « une militante islamiste, extrêmement prosélyte et radicale ». Des propos qui auront suffi à enflammer immédiatement la foule considérable des islamistes qui hantent les réseaux sociaux et valent à Zineb El Rhazoui un déferlement incessant de menaces de mort depuis des semaines. Parmi les innombrables « amabilités » citées par la courageuse journaliste, on retiendra celles-ci, particulièrement révélatrices de la barbarie que le gouvernement a laissé s’installer et prospérer en France : « Je vais la brûler cette connasse », « Poussez-la sous un train », « Qu’on lui coupe la tête à cette salope », ou encore « J’ai envie de la décapiter à coups de hache »…

    « Nous ne laisserons rien passer. Jamais »

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  • Au pays de la peine de mort réservée aux victimes innocentes

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    Rediffusion Polémia – Alors qu’un sondage récent IPSOS/Sopra donne le chiffre de 55% de Français favorables au rétablissement de la peine de mort, il nous a paru opportun d’extraire de nos archives un éditorial de Frédéric Pons paru en novembre 2007 sur le blog de Valeurs Actuelles. Rappelez-vous d’Anne-Lorraine Schmitt !

    Bouleversé par le meurtre sauvage de notre chère Anne-Lorraine, 23 ans, cet ami m’a appelé : « On devrait manifester, brûler des mosquées turques… » Je le comprends. Le meurtrier du RER D est un criminel sexuel récidiviste d’origine turque. Il était en liberté, malgré une précédente condamnation ! Faut-il brûler, manifester ?

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  • Nous aurons le déshonneur et la guerre raciale

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    Beaucoup d'observateurs ont pris conscience de la dégénérescence du tissu social et de ses risques d'implosion jusque dans la violence des armes. Mais la potentielle guerre civile à venir n'aura sans doute que peu à voir avec un quelconque « grand soir ».

    Nous aurons le déshonneur et la guerre raciale 1.jpegSi la potentialité d'une guerre civile restait de l'ordre de l'anticipation dystopique il y a dix ans lorsque je rédigeais Beyrouth-sur-Loire, elle devient désormais une option obligatoire dans toute discussion lucide sur les futurs possibles de notre pays. J'ai beau me tenir éloigné de tout l'épicerie déclinologue et survivaliste (une fascination morbide de plus), une fois débarrassé des lunettes roses du progressisme, on ne peut que constater l'état de profonde dégénérescence de notre société. Politiciens haïs et marionnettes de la finance spéculative, young leaders de la start-up nation ridiculisés par un virus grippal plus virulent que la moyenne saisonnière...  Capitaines d'industries tous vendus à la logique mondialiste et aux stock options sans frontières...

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  • Selon un sondage, 55 % des Français sont pour le rétablissement de la peine de mort

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    Rémy Mahoudeaux dans Boulevard Voltaire

    Émoi dans les chaumières cossues de la bien-pensance médiatique : les Français gavés depuis des décennies de bons sentiments sirupeux, de pathos, de tartines d’excuses sociales pour tout et n’importe quoi seraient pour la peine de mort, d’après un sondage Ipsos-Sopra/Steria pour Le Monde, la fondation Jean-Jaurès et l’Institut Montaigne. 55 % voudraient son rétablissement, soit 11 % de plus que l’an dernier. Une vague brune ! Quelle mouche a piqué ces Français ? Est-ce seulement conjoncturel, lié à une séquence de drames qu’un pouvoir inconséquent voit comme des incivilités ?

    Pas question de gloser, ici, à l’infini sur l’insécurité, son évolution, ses causes et surtout la façon dont elle serait ressentie par les Français. Le sujet n’est pas, non plus, le laxisme judiciaire ou l’absence de moyens qui interdit à la justice d’être efficace depuis plus de deux siècles.

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  • Attentat de “Charlie Hebdo” : tout ça pour ça

    Alors que le procès des attentats islamistes de janvier 2015, ouvert le 2 septembre dernier devant la cour d’assises spéciale de Paris, est entré lundi dans sa deuxième semaine, force est de constater que les journaux de 20 heures des grandes chaînes de télévision se montrent particulièrement discrets quant au déroulement de ses débats. Une discrétion qui s’explique bien sûr d’abord par leur volonté systématique de cacher à nos compatriotes le vrai visage de l’islam et la gravité de la menace islamiste en France. Mais aussi, et peut-être surtout dans le cas présent, par les propos « incorrects » qu’ont pu tenir ces derniers jours certains survivants et témoins de la tuerie de Charlie Hebdo.

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