insécurité - Page 458
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Les violences policières sont toutes des violences illégitimes.
La reconnaissance du bout des lèvres, à la fois par le pouvoir et les médias qui le servent, de l’existence de « violences policières » nous a encore offert une séquence intéressante.Quiconque suit les réseaux, s’est penché sur le travail remarquable du journaliste David Dufresne, ou a lu les articles du Monde sait à quoi s’en tenir.Encouragée par le pouvoir à utiliser une violence débridée, protégée par une justice refusant de la contrôler et de la sanctionner, la police française s’est transformée en une milice qui par la violence et l’intimidation porte gravement atteinte à la liberté constitutionnelle de manifestation.Chez les soutiens du président et en particulier les « journalistes militants » du macronisme deux sortes d’arguments ont été avancés pour le justifier.Tout d’abord que très rares (!), ces violences policières n’étaient que la réponse aux « effroyables » violences des manifestants, et ensuite que la police n’utilisait à cette occasion que la « violence légitime » dont l’État est dépositaire. -
Tout est permis contre les manifestants de La Manif Pour Tous
Alors que, hier, une centaine de bus partaient de province pour rejoindre Paris et la manifestation de Marchons Enfants, vers 8h, un bus de pèlerins au départ de Caen et à destination de Pontmain (Mayenne), où la sainte Vierge est apparue en 1871, a été attaqué par une vingtaine de personnes cagoulées qui voulaient l’empêcher de partir. Le groupe a notamment jeté de la peinture sur le pare-brise, à l’aide de pistolets de paintball, pour empêcher le départ. Le Père Laurent Berthout, curé de la paroisse de la Sainte-Trinité à Caen, indique :
“Ils ont sans doute confondu avec des bus de la Manif pour Tous, ce qui nous apparaît grave c’est cette montée de violence, nous voulons lancer un appel à la paix sociale et au respect des opinions des uns et des autres”.
Pour cette raison, le diocèse n’entend pas déposer de plainte. Sic.
A croire que ces militants LGBT ne savent pas lire : le bus mentionnait sur son pare-brise sa destination…
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Chrétiens persécutés, l’islam le premier bourreau
World Watch List 2020 présente la liste des pays où les chrétiens sont persécutés. Le pire Etat pour vivre pour un chrétien reste la Corée du Nord communiste. Mais dans le monde, le premier persécuteur du christianisme reste l’islam. Il l’est dans 23 des 34 pays où la persécution est « très importante » et dans 4 des 5 Etats où la persécution est « importante ».
Open Doors USA a publié le 15 janvier sa liste des 50 Etats dans lesquels les chrétiens sont les plus durement persécutés. Les résultats de la World Watch List 2020 se réfèrent à la période allant du 1er novembre 2018 au 31 octobre 2019 et concernent une centaine de pays.
Les chrétiens menacés par la persécution sont 260 millions, 15 millions de plus qu’en 2018.
Francesca de Villasmundo
https://www.medias-presse.info/chretiens-persecutes-lislam-le-premier-bourreau/116615/
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L’ancien directeur de la DGSE dresse le bilan de l’immigration en France
Pierre Brochand, ambassadeur de France, ancien directeur général de la Direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, intervenait il y a quelques mois lors du séminaire « Immigration et intégration » de la fondation ResPublica. Extraits de son intervention :
Sur l’accélération spontanée de l’immigration
Le mouvement de l’immigration par le droit, dans la mesure où il est auto-entretenu – l’effet devenant la cause qu’il renforce –, s’accélère spontanément sans crier gare, selon une loi mise en évidence par Paul Collier, éminent économiste d’Oxford.
En vertu de ses recherches, 10 immigrés installés en font venir 7 autres par le jeu du droit (regroupement familial, mariages, études, naturalisations) et ces 17 en appellent 12 autres, et ainsi de suite à l’infini, comme dans une pyramide de Ponzi, dont il faut bien payer un jour la note...
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Au moins cinq églises recouvertes d’inscriptions injurieuses à Bordeaux
Au moins cinq églises de la région de Bordeaux ont été recouvertes d’inscriptions injurieuses. Les inscriptions, certainement faites dans la nuit de samedi à dimanche, ont été découvertes ce dimanche matin. Les églises Notre-Dame, Saint-Paul, Sainte-Croix, Eulalie, et la basilique Saint-Seurin, ont été visées.
La mairie de Bordeaux indique qu’il « s’agit surtout de messages insultants envers le pape. » Des messages du même ordre ont aussi été trouvés sur les murs de l’ensemble scolaire Albert-le-Grand dans le quartier Saint-Genès.
Sur Twitter, le maire de la ville Nicolas Florian (LR) a fait part de son indignation. « Des graffitis injurieux ont été découverts ce matin sur les murs de plusieurs églises de Bordeaux. Je condamne ces actes avec la plus grande fermeté. Ils vont être effacés le plus rapidement possible. Une plainte est déposée pour en retrouver les auteurs. »
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Paris: situation explosive dans le bidonville de la porte d’Aubervilliers (Vidéo)
Depuis l’évacuation du camp de migrant de la porte de la Chapelle à Paris en novembre 2019, des milliers de clandestin s’entassent au niveau de la porte d’Aubervilliers. Si une évacuation est bien prévue et devrait avoir lieu avant la fin du mois, ce sont près de 2500 personnes, migrants et toxicomanes de l’ancienne « colline du crack » qui se retrouvent dans un gigantesque bidonville.
Au fil des mois, la situation s’est dégradée porte d’Aubervilliers. Désormais, près de 2500 clandestins, hommes, femmes et enfants, survivent dans des conditions inhumaines au milieu de consommateurs de crack (qui seraient environ 140) dans ce qui est devenu un véritable bidonville en bordure de périphérique, improvisé avec des tentes et des cabanons de fortune, en proie a la violence.
L’organisation France terre d’asile, qui dénonce une situation « inacceptable », hésite parfois à se rendre dans les secteurs où les tensions sont les plus vives. « La situation est désormais intenable », affirme un membre de l’association.
Promis « avant la fin de l’année 2019 » par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, le démantèlement de ce « camp de la honte » devrait finalement intervenir autour du 20 janvier. C’est en tout cas ce que le préfet de région, Michel Cadot, a assuré en inaugurant, il y a plusieurs jours, un nouveau centre d’accueil et d’examen des situations (CAES) dans le XVIIIe arrondissement de Paris.
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Pour Marine Le Pen (RN), «l’insécurité explose» et «est liée directement à l’immigration sauvage»
Après avoir annoncé sa candidature à l’investiture de son parti, le Rassemblement National, pour la présidentielle de 2022, Marine Le Pen était en Seine-et-Marne dans le cadre des municipales. La présidente du RN a mis l’accent sur la sécurité: «L’insécurité explose» et «est liée directement à l’immigration sauvage. […] Il faut donc régler ces deux problèmes ensemble», a déclaré M. Le Pen, évoquant le bilan « calamiteux » d’Emmanuel Macron.
«La violence gratuite explose partout dans des proportions qui nous font revenir […] 40 ans en arrière», tandis que les maires «font preuve d’une forme de laxisme». Concernant l’immigration, qui n’est pas une compétence municipale, elle a invité les candidats RN, une fois élus, à agir néanmoins sur «le regroupement familial» et «les délivrances de certificats d’hébergement».
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Deux djihadistes « revenants » remis en liberté en France
17/01/2020 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie :
Nicole Belloubet, ministre de la Justice, déclarait samedi 11 janvier, à propos des Français de retour du Djihad, ne plus voir « d’autre solution que de les rapatrier en France ».Cette affirmation, en contradiction avec la position du ministère des Affaires étrangères, s’explique par le risque de dispersion de ces individus en Syrie et en Irak. Les prisons irakiennes ou kurdes seraient en effet trop peu sécurisées pour garantir la détention des djihadistes. Une centaine d’entre eux seraient déjà parvenus à s’échapper de ces geôles.
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ONLI Hebdo #17 – La pédophilie et le cinéma
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Il projetait d’assassiner des identitaires : le leader du groupe islamiste Forsane Alizza est sorti de prison !
Mohamed Achamlane est donc sorti le 1er janvier de la prison de Rennes.
Mohamed Achamlane avait été condamné en 2015 à neuf ans de prison pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et « détention illégale d’armes ».
L’homme de 41 ans, qui avait fondé le groupe islamiste Forsane Alizza en 2010, aussi appelé « Les cavaliers de la liberté », a été libéré de la prison de Vezin-le-Coquet, près de Rennes, le 1 er janvier, révèle ce mercredi Ouest-France. Sa peine avait été assortie d’une période de sûreté des deux tiers et il avait également écopé d’une privation de ses droits civiques pendant cinq ans.
Au moment de l’interpellation de Mohamed Achamlane, en 2012 près de Nantes, les policiers avaient retrouvé à son domicile des kalachnikovs démilitarisées, ainsi qu’une liste qui ciblait des commerces juifs ainsi que des personnalités politiques telles que Fabrice Robert, responsable du mouvement identitaire.
Dans une tribune intitulée “Ces adeptes du djihad qui voulaient s’en prendre aux identitaires“, Fabrice Robert écrivait alors :
Convoqué par un juge antiterroriste la semaine dernière, j’ai donc pu avoir confirmation des menaces qui pesaient sur moi. D’après deux témoins, Mohammed Achamlane aurait ainsi demandé à l’un de ses militants de me contacter pour tenter de m’assassiner. Certains avaient l’air assez déterminés et disaient se tenir à disposition de l’émir autoproclamé pour agir. J’ai également appris qu’ils cherchaient à se procurer quelques adresses personnelles, notamment celle de l’animateur du site Fdesouche. Une menace à prendre au sérieux quand on découvre que des membres de Forsane Alizza travaillaient chez des opérateurs de téléphonie.