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insécurité - Page 504

  • Des Gilets jaunes blessés créent « les mutilés pour l’exemple »

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    Des manifestants blessés, appartenant pour la plupart aux « Gilets jaunes », s’étaient réunis dimanche 28 avril à Gennevilliers (Hauts-de-Seine). Ils ont décidé de créer le collectif « les mutilés pour l’exemple », en référence directe aux fusillés pour l’exemple.

    Ils réclament la vérité, la justice et l’interdiction des armes dites sublétales. Ils appellent à une grande manifestation nationale à Paris le 26 mai

  • DISSOUDRE LES ORGANISATIONS VIOLENTES ! Aidons Castaner !

  • Espagne : Vox trouble la fête socialiste – Journal du lundi 29 avril 2019

    Espagne : Vox trouble la fête socialiste

    Alors que le parti socialiste de Pedro Sanchez a remporté les élections législatives espagnoles sans obtenir de majorité absolue, le mouvement populiste Vox fait une entrée remarquée au parlement en obtenant 24 sièges. Un résultat encourageant à un mois des élections européennes et régionales en Espagne.

    Gilets Jaunes : Le gouvernement toujours sous pression

    Quelques jours après la conférence de presse d’Emmanuel Macron, les Gilets Jaunes étaient toujours dans la rue et le 1er mai s’annonce mouvementé. Face à cela, le gouvernement doit plancher pour mettre en place la feuille de route du président de la République.

    Forces de l’ordre : en plus des suicides, la menace terroriste

    Alors que Christophe Castaner inaugurait ce lundi une cellule pour lutter contre les suicides dans la Police, on apprend qu’un attentat contre les forces de l’ordre a été déjoué.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/vox-trouble-la-fete-socialiste-journal-du-lundi-29-avril-2019

  • La Pologne, refuge des familles persécutées dans les “paradis” scandinaves

    La Pologne, refuge des familles persécutées dans les “paradis” scandinaves

    Après une maman norvégienne et sa fille en décembre 2018, c’est au tour d’un père russe, émigré en Suède, à qui ses filles avaient été abusivement retirées, de trouver refuge avec elles en Pologne, où il a pu lancer une procédure d’asile. Utilisé de façon pertinente, et avec les bons relais, cette anecdote pourrait contribuer à un rapprochement entre la Pologne et la Russie, dans leur commune défense de la famille. Des détails ici, en français, et en anglais.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-pologne-refuge-des-familles-persecutees-dans-les-paradis-scandinaves/

  • Reconstruction de Notre-Dame, vitesse ou précipitation ? – Têtes à Clash n°48

    Franck Tanguy reçoit Christine Tasin, Tarik Dali, Philippe Karsenty et Roland Hureaux. Ils débattent de la reconstruction de Notre-Dame, des déclarations de Bernard-Henri Lévy sur les Gilets Jaunes et des propositions d’Emmanuel Macron pour sortir de la crise.

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n48-reconstruction-de-notre-dame-vitesse-et-precipitation

  • Tandis que le gouvernement dissout Bastion social, des groupes d’extrême-gauche s’en prennent à Finkielkraut

    Tandis que le gouvernement dissout Bastion social, des groupes d’extrême-gauche s’en prennent à Finkielkraut

    Lu dans Présent :

    Quel rapport entre la dissolution du Bastion social et l’interdiction de parole de l’Académicien Alain Finkielkraut à l’Institut d’études politiques (« Sciences po ») ? Aucun, me direz-vous. Les deux informations sont pourtant tombées en même temps : l’une révèle l’étonnante et tatillonne sévérité à l’égard d’un groupe identitaire agissant de façon parfaitement pacifique. L’autre montre l’intolérance, les menaces physiques, la violence, que font régner des groupes de gauche au sein de cet établissement public d’enseignement supérieur. Mais là, on ne parle nullement de dissolution. Pas plus qu’on ne parle de dissolution après les incroyables messages de haine et d’indécence propagés par l’UNEF, lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris (cf. l’action de l’AGRIF en cours).

    C’est qu’un usage s’est instauré – ceci depuis des lustres – qui accorde une large tolérance à l’égard de toute manifestation de violence issue des rangs de la gauche, et qui réserve les foudres judiciaires aux associations, réputées de droite ou d’extrême droite, en cas de riposte à une agression, voire même s’il s’agit de simples actions spectaculaires, parfaitement pacifiques. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/tandis-que-le-gouvernement-dissous-bastion-social-des-groupes-dextreme-gauche-sen-prennent-a-finkielkraut/

  • VOX, le parti classé à l’extrême droite qui progresse en Espagne à cause de l’immigration et de l’insécurité, veut faciliter la vente d’armes fandetv | 27/04/2019

    VOX, le parti classé à l’«extrême droite» qui progresse en Espagne à cause du chômage, de l’immigration et de l’insécurité, veut faciliter la vente d’armes. Selon les derniers sondages, la formation va rentrer pour la première fois au parlement espagnol ce dimanche avec près de 40 députés.
    – TF1, 27 avril 2019, 20h

    http://www.fdesouche.com/1198375-vox-parti-classe-a-lextreme-droite-qui-progresse-en-espagne-a-cause-du-chomage-de-limmigration-et-de-linsecurite-veut-faciliter-la-vente-darmes
  • 15 ans, violée dans le TER Marseille-Aix sans que personne n’intervienne !

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    Elle est montée à Gardanne pour se rendre à Aix, soit 14 minutes de trajet dans un train très fréquenté. C’était mercredi, en début d’après-midi, quand les collégiens vont et viennent ; pas les premières heures de la nuit, encore moins celles où des passagers énervés et avinés rentrent au bercail. Bref, le moment qu’on imagine le plus sûr de la journée, assez tranquille pour laisser une adolescente prendre le TER seule.

    Elle s’est fait violer. Personne n’a bougé, n’a tenté d’empêcher son agresseur de perpétrer son crime, n’a même tiré le signal d’alarme ou appelé les trois agents de la police ferroviaire qui se trouvaient à bord du train.

    Qu’ont-ils fait, ceux qui se trouvaient à proximité du violeur et de sa victime ? Filmé la scène avec leur portable, peut-être, avant de balancer la scène sur les réseaux sociaux ?

    Accompagnée de sa famille, l’adolescente est allée le lendemain porter plainte à la gendarmerie. « Dans les heures qui ont suivi la plainte, la brigade de recherche d’Aix a exploité les images des caméras de surveillance du TER ainsi que des gares traversées, tandis que la rame était bloquée à Gap pour permettre de procéder à des relevés d’indices », rapporte La Provence. Dans le même temps, « un dispositif de surveillance a été mis en place par la police en gare Saint-Charles, à Marseille, pour identifier le suspect filmé par les caméras du train », et bingo ! « Trahi par sa carte de métro, un jeune homme de 28 ans sera interpellé à Marseille par les policiers et les gendarmes. » Il est, aujourd’hui, en détention provisoire.

    Au moins celui-là avait-il un titre de transport… chose assez rare, si l’on en croit les statistiques régionales sur le sujet. Autre remarque : à 28 ans, on n’est plus un « jeune homme ». Dans une société où l’on prétend vouloir donner le droit de vote à 16 ans compte tenu de l’extraordinaire intelligence politique de nos jeunes, on peut considérer que 28 ans est l’âge d’une maturité accomplie !

    L’affaire suscite l’émoi, nous dit-on. C’est bien le moins. Personnellement, je pense que qualifier cela de scandale serait plus juste.

    Scandale des passagers qui se gardent bien d’intervenir d’une quelconque façon. Scandale des policiers du train qui, on le craint, ne servent à rien ! Scandale des gadgets inutiles que sont les caméras – visionnables en direct ? – et dont les images ne sont exploitées qu’a posteriori. Et scandale des syndicats qui, forcément, dénoncent les cadences infernales comme le manque d’effectifs et de moyens.

    Ainsi, le délégué Force ouvrière qui s’indigne : « On ne sait même plus ce qui se passe dans nos trains ! Notre direction ne nous a rien dit : c’est seulement par la gendarmerie, présente sur la ligne jeudi, que nous avons appris, choqués, cet acte gravissime », dit-il à La Provence. Ah bon ! Dans mon vieux cerveau à la logique archaïque, il me semblait que c’était plutôt aux agents de sécurité de savoir : 1) ce qui se passe dans les rames qu’ils sont censés surveiller, 2) d’en informer la hiérarchie !

    Même son de cloche du délégué CGT qui dénonce « la suppression de l’humain, des contrôleurs systématiques ». Et les trois agents, qui étaient dans ce même train quand l’adolescente s’est fait violer, ils jouaient à la belote ? Le même s’emporte aussi contre les caméras – 14 dans le train en question ! – car « la vérité, c’est que personne ne regarde leurs images en direct ». S’il n’y a, comme il le dit, qu’« un seul gars pour regarder 400 caméras » au PC de la gare Saint-Charles, à Marseille, c’est en effet une aberration, mais on avait cru comprendre que lesdites caméras étaient également consultable en temps réel dans le train, comme elles le sont dans les bus… À vérifier.

    Ce vendredi matin, les syndicats ont déposé « un droit d’alerte », préambule, on le suppose, à un mouvement de grève… Rien d’étonnant : quoi qu’il se passe dans ce pays, ça finit toujours par une grève.

    Marie Delarue

    https://www.bvoltaire.fr/15-ans-violee-dans-le-ter-marseille-aix-sans-que-personne-nintervienne/

  • I-Média n°247 Sri Lanka. Attentat islamiste, attentisme médiatique

     

    Sri Lanka. Attentat islamiste, attentisme médiatique

    Alors que la police locale a rapidement désigné les islamistes comme les coupables, les médias français ont été beaucoup plus prudents.

    Zapping

    BFM TV est en extase devant Aya Nakamura, la chanteuse à succès du moment. Les journalistes n’hésitent pas à glorifier son « vocabulaire ».
    Sur France 5, Samuel Laurent des Décodeurs s’humilient en direct en enchaînant les erreurs factuelles. Gênant pour un « fact checker » !

    Le rat et Loiseau

    Avec Nathalie Loiseau, la tête de liste La République en Marche, prenez une leçon de ce qu’il ne faut absolument pas faire face à la diabolisation médiatique.

    Tweets

    Les Décodeurs du Monde jouent à plein leur rôle de milice du politiquement correct en publiant un article sans aucun intérêt journalistique sur l’un des membres de la fameuse « fachosphère ». Une délation scandaleuse.

    Notre-Dame, l’inquiétude monte en flèche

    Alors qu’une loi d’exception va être mise au vote, les médias mettent largement en avant les architectes voulant moderniser la flèche de Notre-Dame.https://www.tvlibertes.com/i-media-n247-sri-lanka-attentat-islamiste-attentisme-mediatique
  • « Vivre ensemble ». Des agents municipaux pour protéger les Parisiennes

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    Par Paul Tormenen, juriste ♦ En mai 2017, plusieurs femmes habitant le nord de Paris ont lancé une pétition afin que des mesures soient prises contre le harcèlement de rue. La situation ne semble pas s’être améliorée : en témoigne l’annonce récente par le premier adjoint de la maire de Paris d’une action de « facilitation » de la circulation des femmes dans l’espace public. Si cette initiative est affligeante dans ce qu’elle illustre, des enseignements sont à en tirer.

    De mai 2017 à aujourd’hui : de charybde en scylla

    Il y a deux ans, au printemps 2017, plusieurs femmes habitant le quartier de la Chapelle, au nord de Paris, lançaient une pétition (1). Elles se plaignaient de devenir une « espèce en voie de disparition ». Elles demandaient des mesures énergiques aux pouvoirs publics pour remédier aux insultes, vols et autre incivilités. Les réactions ont été à gauche du déni outragé à la proposition d’une militante féministe … « d’élargir les trottoirs ». (2).

    Les problèmes n’étant pas résolus à ce jour, le premier adjoint à la maire de Paris a annoncé à la presse le 15 avril dernier les principales mesures d’un plan d’actions pour les « quartiers populaires ». L’élu municipal précisait une des actions visant à assurer un « espace public apaisé »: « Sur la place de la Chapelle et ses abords, (des agents de la ville) faciliteront la circulation des femmes dans l’espace public, rendue difficile par la présence en très grand nombre de jeunes hommes »(3).

    Cette annonce est passée inaperçue dans le catalogue des mesures parfois baroques pour « améliorer le quotidien des parisiens des quartiers populaires ». Elle est pourtant révélatrice tant d’un phénomène social que d’une certaine conception de la vie en société.

    Les grandes villes françaises deviennent des « hubs »

    L’origine des auteurs de harcèlement de rue au nord de Paris n’a pas été, ou fugacement, évoquée dans les différents articles que les journaux ont consacrés il y a deux ans à ce phénomène. Pourtant, les parisiens, et de nombreux français, savent que certains quartiers du nord de Paris ont été investis par une population étrangère et que les campements illégaux y prolifèrent. Ces occupations ont un but : la « mise à l’abri ». Le « tuyau » que se donnent les migrants en région parisienne est : « Il faut aller porte de la Chapelle »(4). D’incessantes mises à l’abri sont en effet organisées par la préfecture quand les clandestins deviennent trop nombreux. C’est le début d’un long parcours qui voit parfois des ressortissants de pays sûrs faire une demande d’asile en France, dans l’espoir de disparaître dans les méandres du cheminement administratif.
    Ce phénomène est observable non seulement à Paris, mais également dans les principales villes de France. Les campements illégaux sont ainsi devenus des « hubs », des centres d’attente avant la mise à l’abri dans des structures d’hébergement toujours plus nombreuses (5).
    Partant d’une intention louable, ne pas laisser des hommes et des femmes dormir dehors, l’impéritie du système d’asile et d’immigration est exploitée par des individus qui ont parcouru avant d’arriver en France de nombreux pays de culture proche de la leur, où ils auraient pu tout à loisir y déposer une demande d’asile ou de titre de séjour.

    Une politique d’inclusion promue par l’Union européenne

    Une autre réalité que la « facilitation » de la circulation des femmes dans un quartier de Paris met à jour est une certaine conception de la vie en société. Le modèle assimilationniste français a fait long feu : l’Union européenne ne le reconnait pas et prône l’intégration, qui est « un processus dynamique à double sens d’acceptation mutuelle de la part de tous les immigrants et résidents des états membres » (6). Dans le cas présent, le processus dynamique des résidents consiste à mettre en place un « accompagnement » des femmes dans certaines rues de Paris. Accompagnée, une femme ne sera pas considérée comme « facile » et pouvant faire l’objet de propositions plus ou moins salaces. Le processus est très dynamique, on le voit, mais pêche par le bilatéralisme voulu par l’Union européenne… C’est encore une fois à l’autochtone de s’adapter aux mœurs étrangères.

    Un autre choix politique aurait pu être de réprimer systématiquement les attitudes agressives et les campements illégaux et d’organiser l’éloignement immédiat des clandestins du pays. Telle n’est pas l’option retenue pour les« actions ciblées », pourtant annoncées comme étant réalisées en lien avec la préfecture de police (7). Quelques verbalisations ont tout au plus été annoncées, afin de calmer l’opinion publique (8).

     La maire de Paris insiste depuis plusieurs années sur la nécessité de « mettre à l’abri » les populations « fragilisées » attirées par les « villes monde » et d’accroître les capacités d’accueil (9).  Dans une interview en septembre 2015, elle écartait catégoriquement la thèse de l’appel d’air entraîné par la création d’un camp d’accueil porte de la Chapelle. Quatre ans plus tard, en dépit (ou à cause) de l’augmentation incessante des structures et des places d’hébergement (10), en dépit également d’une répartition administrée des demandeurs d’asile sur le territoire, la situation migratoire ne s’améliore pas. Au contraire, elle se dégrade.

    A la fin du 19e siècle, Jules Ferry avait pour ambition qu’il soit possible à une femme seule « de voyager sans péril jusqu’aux confins de Sahara » (11). Par un étonnant retournement de l’histoire, c’est dans la capitale française qu’il est parfois périlleux pour une femme seule de circuler.

    Ce que nous dit cette affaire, c’est que la figure du « migrant », présenté comme le nouveau damné de la terre, est caricaturale. Au milieu d’authentiques réfugiés politiques, toute une population interlope s’est immiscée, et elle arrive à rester sur le territoire. Elle exploite les carences d’un système dont la situation nous montre l’urgence à le réformer profondément.

    Paul Tormenen 24/04/2019

    (1) Pétition. « Les femmes en voie de disparition au cœur de Paris ». Change.org. Mai 2017.

    (2) France Info. Interview de Caroline De Haas. 21 mai 2017. Voir à ce sujet l’article de l’OJIM« Quartier la Chapelle Pajol, chronique d’un buzz médiatique ».

    (3) « Le plan d’actions de la mairie de Paris pour les quartiers populaires ». Le Parisien. 15 avril 2019.

    (4) « De l’Afghanistan à Corbeil Essonne ». Le Parisien. 22 août 2017.

    (5) Des campements ont été observés à Nantes, Rennes, Clermont Ferrand, Lyon, Strasbourg, Lille, etc.

    (6) « Assimilation, la fin du modèle français ». Michèle Tribalat. Ed. Le Toucan. 2013.

    (7) « Quartiers populaires : un nouveau plan d’actions ». Mairie de Paris. 19 avril 2019.

    (8) « Loi sur le harcèlement de rue, on a eu environ 400 amendes qui ont été mises ». France Info. 26 mars 2019.

    (9) « Il faut mener la politique pour un accueil digne des migrants ». L’Humanité. 18 septembre 2018.

    (10) «  Le Préfet souhaite la création d’un sixième centre d’accueil et d’examen des situations ». Préfecture d’Ile de France. 16 avril 2019. « La France subit-elle une immigration de peuplement ? ». Polémia. 5 janvier 2019.

    (11) Extrait de « Histoire de l’islamisation française 1979-2019 », page 57. L’artilleur. 2019.

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/vivre-ensemble-agents-municipaux-parisiennes/