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insécurité - Page 504

  • « L’hôpital qui se moque de la charité »: Macron ose interpeller Moscou sur l’usage excessif de la force !

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    Depuis sa forteresse de Brégançon, Emmanuel Macron a eu le culot de demander au Quai d’Orsay de manifester son fort mécontentement auprès du Kremlin après les manifestations d’opposition qui, depuis plusieurs samedis, perturbent la capitale russe.
    Dimanche, en effet, un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a adressé à Moscou un communiqué dans lequel « la France rappelle son attachement à la liberté d’expression dans toutes ses composantes, y compris celle de manifester pacifiquement et de participer à des élections libres et transparentes ». Dans un tweet émanant de France Diplomatie, la langue s’est faite plus virulente encore : « La France condamne ces interpellations et l’usage excessif de la force qui les a entourées ».
    La police moscovite, en effet, venait d’interpeller 600 manifestants, mais si elle ressemble comme à un frère à sa collègue parisienne, dans son uniforme de Ninjas, on l’a vue employer des méthodes bien plus orthodoxes que celles que M. Castaner a adoptées pour calmer les Gilets jaunes.
    À Moscou, pas de LBD bien que la manifestation n’eût pas été autorisée, qui réclamait l’ouverture aux candidats de l’opposition des élections locales prévues le 8 septembre prochain.
    Le communiqué français a du faire sourire Vladimir Poutine. En 36 samedis jaunes, la police française n’a-t-elle pas interpellé plus de 15.000 gilets jaunes, procédé à 8.700 gardes à vue, blessé 4.190 manifestants, dont 24 ont perdu un œil ou une main ? N’y a-t-il pas eu douze morts sur les fameux ronds-points de la liberté ? Un bilan qui aurait dû faire tomber un gouvernement dans un pays où règne la démocratie.
    Alors, n’est-ce pas un peu osé de critiquer Moscou pour ces interpellations ? N’est ce-pas l’hôpital qui se moque de la charité, qui oublie un peu vite ces mois jaunes pendant lesquels gendarmes et policiers ont réprimé comme jamais un mouvement social d’une ampleur inégalée ?
    J’ignore si Vladimir Poutine a tancé Emmanuel Macron sur la manière dont il a voulu mater la rébellion jaune, lors de leur déjeuner à Brégançon. Mais j’ose espérer que notre Président est resté très modeste sur le sujet.
    De dures batailles l’attendent à la rentrée. Demandera-t-il à son ami Castaner de lancer des milliers de grenades de désencerclement et autres lacrymo contre ceux qui vont descendre dans la rue contre les lois à venir : retraite, PMA et autres inventions laremiennes qui ne plairont pas forcément à la majorité des Français ?
    Oui, septembre et octobre seront chauds. L’Élysée recevra-t-il quelques injonctions du Kremlin ?Floris de Bonneville pour bvoltaire.fr
    Sur le même thème lire aussi: 
    ➜ «L'hôpital se fiche de la charité» : Moscou ironise sur les condamnations des arrestations en Russie

    https://www.peupledefrance.com/2019/08/macron-ose-interpeller-moscou-usage-excessif-force.html

  • Immigration, violence, insécurité à Nantes et partout en France. « Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve » [L’Agora]

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    Des mômes se font frapper, taillader à la sortie des bars.
    Les petites racailles se flinguent pour contrôler le marché de la drogue, les migrants déferlent, squattent, errent, rodent, agressent, et déferlent encore, les roms cambriolent à tout va.
    La société multiculturelle, à Nantes et ailleurs, tient toutes les promesses des Cassandre et pourtant, personne ne semble prendre la mesure de la chute.
    La chute, certains attendent qu’elle advienne, comme un grand soir, avec un black-out électrique et l’arrêt des trains et des avions.
    Pourtant la chute a déjà eu lieu, et ce qui subsiste, ce sont des mouvements du corps, des réflexes nerveux, tels ceux du chat que la voiture a percuté.
    Ce policier qui demande les papiers de la dame parce qu’elle a mis deux roues dans la voie de bus, mais qui n’est pas en bas du lycée squatté par des centaines de clandestins.
    Ce jeune qui s’engage dans l’armée par tradition et instinct et qu’on envoie combattre les islamistes payés pas le chômage en France.
    Ces impôts payés de toutes parts, sur la moindre activité, collectés mécaniquement et aussitôt déversés à une foule d’improductifs, haineux parfois, comme des fauves indomptables, venus eux-mêmes s’enfermer dans la cage dorée.
    Ces ministres et ces élus, qui n’ont à la bouche que la République, quand le champagne finit de rincer les mets les plus fins.
    La chute est en cours. 
    D’autres pans de l’édifice s’amoindriront et s’effondreront.
    C’est une étrange expérience de vivre cela autrement que de regarder la carte et les récits lointains de la chute de Rome.
    Dans la chute nous ne sommes pas moins que nous-mêmes.
    Nous avons appris que le pantin étatique, s’il reste fort en apparence quand il déploie ses zombies, est faible de ce qui seul justifie son existence, la sécurité commune.
    Déjà les gens qui ont compris s’organisent en solidarité.
    Bientôt les espaces de relâchement de l’ancien ordre nous mettrons face à notre nécessaire réorganisation, locale dans un premier temps.
    Déjà les temps durs forgent une jeunesse qui ne veut plus subir.
    Une jeunesse qui ne se laisse pas faire et qui se bat, un peu pour rien, mais au moins pour montrer qu’elle n’est pas dégénérée et faible.
    Tous les dogmes qui ont mené à cette situation sont battus en brèche.
    La société multiculturelle ne pouvait exister que sur un ordre policier très dur assisté d’une justice non moins sévère.
    C’est le modèle américain, et certains de nos amis semblent encore en rêver, comme un moindre mal, en adulant les chefs étrangers réputés couillus et brutaux.
    La justice et la police forment un duo solide pour combattre ceux qui se lèvent en parallèle de ses manquements, en aucun cas pour faire tenir l’édifice hasardeux du vivre ensemble.
    “Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve” .
    Wilfried Van Liempd
    Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2019, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

  • Fusillades aux USA : ce n’est pas l’arme qui tue mais son utilisateur

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    « Lorsque le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt… » Cette maxime de la sagesse chinoise illustre bien des réactions médiatiques devant l’actualité. Au lieu de chercher les causes, et notamment les plus profondes, on désigne en boucle le coupable immédiat qui, direct ou par ricochet, appartient au clan du mal, défini par la pensée dominante. Préjugé idéologique et réponse pavlovienne sont les deux mamelles de la désinformation dans ce qu’on appelle, dans l’illusion de l’habitude, les démocraties occidentales.

    Les deux « fusillades de masse » qui ont eu lieu récemment aux États-Unis, l’une au Texas à El Paso, l’autre à Dayton dans l’Ohio, et qui ont fait plus de 30 morts, en sont un bon exemple. Le coupable désigné est d’abord l’arme, comme si c’était elle qui tuait et non l’assassin. Et dans un second temps, puisque les auteurs sont blancs, et les victimes au Texas, des hispaniques, le président Trump est pointé du doigt, d’abord parce qu’il est favorable à l’amendement constitutionnel garantissant aux Américains le droit de porter une arme, et ensuite parce que ses discours contre l’immigration illégale auraient incité les « suprémacistes » blancs à agir.

    Le « doigt », ici, est la liberté du port d’armes et sa conséquence, le nombre d’armes en possession des citoyens américains. Les chiffres sont, effectivement, impressionnants : il y a 300 millions d’armes pour 330 millions d’Américains, soit près de 90 armes pour 100 habitants, contre 15 en France.

    La suggestion du président Trump selon laquelle la présence d’un homme armé et capable de réagir aurait pu limiter le nombre des victimes au Bataclan avait paru grotesque, voire monstrueuse. C’est, cependant, la rapidité de la riposte armée qui réduit le nombre des morts, à Dayton… ou à Marseille, quand les militaires ont abattu un terroriste à la gare Saint-Charles. La possession et l’utilisation des armes sont, dans notre pays, à la fois très réglementées et fortement dissuadées, même pour ceux qui ont un port d’armes de service.

    Ce n’est pas l’arme qui tue mais son utilisateur. Qu’il faille donc en contrôler la délivrance apparaît nécessaire. Le profil ou les antécédents d’un individu devraient servir de critères. Cela restreindrait le port d’armes aux États-Unis mais l’étendrait en France. L’augmentation des agressions et des meurtres à l’arme blanche (deux tiers des vols avec violences) dans notre pays justifierait que davantage de Français soient armés. Mais les contextes sociologique et culturel jouent un rôle essentiel. Aux États-Unis, ceux, très nombreux, qui soutiennent la liberté du port d’armes ne sont pas seulement des républicains soumis à la propagande et aux pressions de la National Riffle Association. Ils défendent un principe constitutionnel qui montre à quel point la mentalité américaine issue de l’histoire s’oppose à la française. Les Français appartiennent à un pays créé par un État. Celui-ci revendique le rôle de protecteur des individus et veut assurer le monopole de la sécurité.
    Aux États-Unis, la société a été construite du bas vers le haut, et l’État fédéral n’est lui-même que l’union des États fédérés. C’est la raison pour laquelle les Américains considèrent que la sécurité, la préservation de la liberté des individus doivent être l’objet de la participation de tous. On est là aux antipodes de la pensée française qui se méfie de la privatisation de la sécurité publique.

    Toutefois, cette opposition se trouve relativisée par une évolution qui n’est pas forcément un progrès. D’une part, la fiction et l’information, qui connaissent une diffusion sans cesse plus large et plus rapide, habituent à la violence des deux côtés de l’Atlantique. D’autre part, la mondialisation et le nomadisme qu’elle encourage multiplient les affrontements communautaires et les confrontations culturelles. Ici, c’est un enfant allemand qui est poussé sous un train par un réfugié érythréen, là, c’est un Australien qui tire sur des musulmans dans deux mosquées de Nouvelle-Zélande. Ce ne sont pas les discours hostiles à l’immigration qui tuent, mais l’immigration elle-même, les frustrations et les antagonismes qu’elle suscite. Elle aussi doit être contrôlée !

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/fusillades-aux-usa-ce-nest-pas-larme-qui-tue-mais-son-utilisateur/

  • Le migrant qui a poussé un enfant et sa mère sous un train avait illustré des brochures sur l’intégration réussie des étrangers…

    Pic Shows: Habte Araya was used in a brochure promoting successful integration; The African man facing murder charges for pushing an eight-year-old German boy under a train in Frankfurt had previously been used as a poster boy promoting successful integration.
    Photo du criminel dans une brochure sur l’intégration des immigrés en Suisse

    Lu dans Metro.uk (traduction C-I) :

    « L’homme accusé d’avoir tué un garçon de 8 ans en le poussant sous un train à Frankfort a figuré dans une campagne de promotion de l’intégration réussie.
    Habte Arya, 40 ans, originaire d’Érythrée mais vivant en Suisse, a été arrêté pour avoir poussé l’enfant et sa mère sur les rails d’une station à Francfort.

    Le père de trois enfants est également accusé d’avoir poussé une autre femme, âgée de 78 ans, qui a réussi à s’empêcher de tomber devant le train qui arrivait. 
    Il a ensuite pris la fuite, mais a été arrêté par d’autres passagers qui l’ont retenu jusqu’à son arrestation. En 2017, Araya a été photographié dans une brochure publicitaire de l’Agence suisse d’assistance aux travailleurs et aurait déclaré aimer « presque tout ce qui concerne la Suisse ».
    […] La police n’a pas été capable de trouver le motif d’Araya pour avoir poussé l’enfant ».

    Au hasard, la haine anti-blanche ?!
    Une haine si forte qu’elle n’est pas entamée par tout ce que les pays d’accueil lui ont offert.

    suisse francfort
    Habte Arya sur une brochure

    http://www.contre-info.com/

  • Gilets jaunes, mort de Steve, G7: Christophe Castaner plus que jamais sous pression

    c.castaner.jpgDepuis huit mois, les appels à la démission du ministère de l'Intérieur se multiplient. De plus en plus critiqué pour ses déclarations hâtives et sa mauvaise gestion du maintien de l'ordre, Christophe Castaner continue d'avoir la confiance de l'exécutif. Jusqu'à quand ?
    Combien de temps encore Christopher Castaner peut-il tenir ? La question se pose après huit mois de tension sociale durant lesquels le ministre de l'Intérieur a connu plusieurs déconvenues en multipliant les faux pas.
    Et l'agenda de la rentrée s'annonce à hauts risques pour le locataire de la place Beauvau, avec l'encadrement du G7 à Biarritz et les conclusions de la réflexion lancée sur le maintien de l'ordre attendues pour septembre.
    "Castaner démission!" Au fil des manifestations des gilets jaunes, le ministre de l'Intérieur est devenu l'une des cibles principales des slogans scandés par les cortèges mobilisés chaque samedi. De l'oeil de Jérôme Rodrigues au dos de Geneviève Legay, il est tenu pour responsable des violences policières présumées.
    Christophe Castaner commet un nouvel impair, selon ses détracteurs: il décore des responsables de police, soupçonnés d'être à l'origine de violences, dont le commissaire divisionnaire à Nantes, Grégoire Chassaing, qui a donné l'ordre du gazage de jeunes le soir du 21 juin ou le capitaine Bruno Félix, intimement lié à l’enquête sur le décès de Zineb Redouane à Marseille, pour laquelle il a été auditionné.
    Un ministre "totalement dépassé" selon Christian Jacob (LR), avec "un rapport extrêmement affaibli avec la populationd'après Alexis Corbière (LFI): les appels à la démission se multiplient à gauche comme à droite de l'échiquier politique.
    [...]
    En savoir plus sur bfmtv.com
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  • L’urgence de couper les têtes pourries de la Police nationale

    L’urgence de couper les têtes pourries de la Police nationale         Author: Pierrick Tillet 
    En trente-huit semaines de soulèvement Gilets jaunes, une attitude fort différente des forces de l’ordre a été observée selon qu’elle émanait de la Police nationale ou de la Gendarmerie, la brutalité répressive de la première s’opposant à un certain sens de la mesure et du discernement chez la seconde.

    La Police nationale française, un corps créé par le Maréchal Pétain

    La Police nationale française telle que nous la connaissons n’a pas une si longue existence. Elle a été créée par un décret du Maréchal Pétain le 14 août 1941, sous le régime de Vichy
    Sa première mission fut de procéder aux arrestations arbitraires de Juifs, de communistes et de résistants supposés…
    Contrairement à la Gendarmerie nationale composée de militaires (qui fut formée en 1791 par l’Assemblée nationale révolutionnaire pour remplacer la Maréchaussée trop liée à l’Ancien régime), la Police nationale est composée de fonctionnaires civils rattachés au ministère de l’Intérieur. 
    Les Compagnies républicaines de sécurité (CRS) et les Brigades anti-criminalité (BAC) dépendent de la Police nationale. 
    Crées le 8 décembre 1944, les CRS ont commencé par s’illustrer dans la répression des grandes grèves de 1947. 
    La BAC fut fondée en 1994 avec pour mission de contrôler les « milieux délinquants de voie publique » (entendez surtout les “quartiers” dits sensibles qui commençaient à ruer dans leurs brancards).
    Si l’on observe les interventions des forces de la Police nationale actuelle au fil de sa courte existence, il est clair que la mission dite de « maintien de l’ordre public » est un aimable euphémisme dissimulant mal une défense acharnée et sans nuance du régime qui assure les commandes de l’État à un moment donné de l’Histoire. 
    (On notera qu’à la création de la Police nationale en avril 1941, ses membres prêtaient serments au régime du Maréchal Pétain et non à la République.)

    Aucune révolution possible si l’on ne neutralise pas la police du régime renversé

    En bref, la police est une institution répressive au service d’un pouvoir en place. Et qui ressemble furieusement au pouvoir qui la dirige et qui déteint dangereusement sur elle quand il est pourri de la tête. 
    Auquel cas la police nationale devient une vulgaire milice. 
    En bref, pas de révolution possible, pas de création d’un monde d’après vivable, si l’on ne neutralise pas d’abord la police qui a défendu jusqu’au bout le régime détestable et détesté dont elle dépend étroitement. 
    Lorsqu’une police nationale devient une vulgaire milice au service d’un régime corrompu, elle doit être d’urgence neutralisée.
    Est-il nécessaire de dresser une nouvelle fois le portrait du régime corrompu, mafieux, sans le moindre scrupule qui préside aujourd’hui aux destinées de la France ? 
    Est-il nécessaire de rappeler l’attitude obséquieuse, menteuse, parjure des chefs de la Police nationale actuelle lorsqu’ils furent appelés à témoigner devant la commission d’enquête du Sénat à propos de l’affaire Benalla ? 
    Voulez-vous que l’on repasse en boucle les actions violentes et veules de quelques commissaires ou troupes zélés en mal de décorations castanériennes précipitées ?
    S’ils veulent mener à bien leur révolution, les Gilets jaunes devront prendre acte de ce problème incontournable et envisager de dissoudre l’actuelle hiérarchie de la Police nationale. 
    Attendre que les personnes composant l’actuelle hiérarchie policière s’amendent en cas de changement de pouvoir est peine perdue. 
    Le sens du devoir n’est pas le privilège de ces serviteurs corrompus, alors qu’il semble l’être encore quelque peu dans les rangs des militaires de la Gendarmerie.
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/lurgence-de-couper-les-tetes-pourries.html
  • André Bercoff : « Il faut quand même rappeler que le Ku Klux Klan ne date pas de Donald Trump ! »

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    Quatre fusillades en une semaine aux États-Unis, dont deux en moins de 24 heures, qui ont causé 29 morts. Le Monde de lundi titre : « Le terreau du terrorisme d’extrême droite aux États-Unis, c’est le trumpisme. » Réaction d’André Bercoff au micro de Boulevard Voltaire.

    https://www.bvoltaire.fr/andre-bercoff-il-faut-quand-meme-rappeler-que-le-ku-klux-klan-ne-date-pas-de-donald-trump/

  • «Gilets jaunes» : 288 enquêtes de l’IGPN pour présomption de «violences policières»

    Dans un entretien accordé à Libération, la directrice de l’Inspection Générale de la Police Nationale Brigitte Jullien affirme que la «police des polices» a ouvert 288 enquêtes pour présomption de «violences policières» depuis le début de la mobilisation des «gilets jaunes», qui date du 17 novembre 2018.

    «142 (d’entre elles) ont déjà été retournés au parquet. A cela, il faut ajouter environ 150 enquêtes administratives qui vont ou ont été ouvertes», a déclaré la directrice de l’IGPN, Brigitte Jullien.

    «Une des questions désormais est d’ailleurs de savoir si c’est à l’IGPN de traiter tous les dossiers judiciaires, en se substituant à l’échelon local», a-t-elle ajouté. «Certes, nous sommes un service spécialisé, mais sur des dossiers de contestation de l’usage de la force, avec des blessures légères, ne pourrait-on pas imaginer confier l’enquête à des brigades de PJ classiques ?»

    La cheffe de l’IGPN en a également profité pour récuser l’expression de «violences policières», qui n’est pas adaptée aux enquêtes en cours, selon elle. «Quand on entend, par exemple dans les médias, qu’une enquête judiciaire a été ouverte pour présomption de ‘violences policières’», on s’émeut forcément parce que ce n’est pas exact juridiquement», a-t-elle déclaré. «En réalité, les enquêtes sont ouvertes en raison d’une présomption d’usage illégitime de la force, parce que des tiers, et ils en ont parfaitement le droit, ont porté plainte pour dénoncer ce qu’ils ont estimé être une disproportion». […]

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/1246083-gilets-jaunes-288-enquetes-de-ligpn-pour-presomption-de-violences-policieres

  • Notre sursaut, ce sera quand les assassins d’enfants seront lynchés par le troupeau…

    Fait divers sur un alpage suisse le 26.07.19
    Un promeneur et son chien s’approchent d’un troupeau de vaches qui s’énervent, chargent, piétinent à mort le chien et envoient le promeneur à l’hôpital…
    « Hou ! les méchantes vaches ! » s’écrient les bien-pensants.
    « Non, dit la psy des animaux : ces vaches se sont senties menacées et ont voulu protéger leurs veaux, quoi de plus normal ? D’ailleurs elles peuvent confondre les chiens  avec des loups… »
    J’ajoute sur FB « Bravo les vaches ! »
    Olala !!! autre levée de boucliers de la part des mêmes bien-pensants… Alors je surenchéris « Souhaitons que quand elles seront attaquées par des loups elles sachent les piétiner tout aussi bien »… Olalalalalala… souhaiter que des vaches piétinent des loups… Walt Disney doit se retourner dans sa tombe !
    Pas de doute : je suis loupophobe… Oui.
    L’histoire de petit garçon massacré, que nous dit-elle ?
    Ben, que la mère n’a pas été capable de protéger son veau… 
    Malgré tout ce qui s’est passé et se passe quotidiennement, inconsciente de la réalité, elle est allée dans un espace à risque sans prendre les précautions élémentaires, c’est-à-dire rester loin du bord du quai, tenir l’enfant fermement par la main et observer constamment les personnes autour et surtout derrière soi…
    Mais oui ! on en est là : comme les bodyguard dans les films, comme quand on entre quelque part on repère les sorties de secours.
    Et que dire du troupeau ?
    Ont-ils attrapé l’agresseur, l’ont-ils lynché, jeté à son tour sous un train ?
    Ils ne sont pas encore allés si loin mais, quand même, ils l’ont poursuivi et il a été arrêté !
    C’est un début.
    Les rassemblements fleurs, bougies,  peluches,  poèmes… persistent, il n’y a pas encore d’ « expéditions punitives », ça viendra.
    Les témoins ont des cauchemars pendant lesquels ils continuent à entendre les hurlements des victimes…
    Le nombre de témoins et de victimes croit, les cauchemars aussi et fatalement des plombs vont finir par péter.
    L’assassin s’en est pris à une autre femme mais celle-ci s’est débattue… ça aussi c’est un bon début.
    L’idéologie suicidaire qui voudrait nous empêcher de nous défendre en nous confisquant nos armes s’étend aussi aux vaches auxquelles on coupe les cornes !
    Comment cela se serait-il passé en Israël ?
    L’assassin n’aurait pas fait deux pas, qu’il aurait été plaqué au sol car la survie est un combat de chaque instant.
    Tout le monde fait son service militaire et chacun est garant de la survie des autres.
    Enfin, « une certaine presse » conseille aux parents d’inscrire leurs enfants aux « sports de défense ».
    Sommes-nous foutus ? Non, non.
    Souvenez-vous du dicton italien :  « Ne réveillez pas le chien qui dort » car n’importe quel Yorkshire peut se réveiller en pitbull et il y a en chacun de nous un pitbull qui sommeille. 
    Un chat ne sort ses griffes que quand il se sent menacé…
    Nous n’en sommes encore qu’au « ça n’arrive qu’aux autres »
    Patrick Jardin militerait-il s’il n’était pas révolté par l’assassinat de sa fille ?
    Comment en sommes-nous arrivés là ?
    Simple : si le bouvier n’est pas là pour défendre son troupeau, le troupeau se défend lui-même.
    Si l’Etat ne défend pas son peuple, le peuple finit par se défendre soi-même.
    Alors, un jour ou l’autre comme l’a prédit le président Hollande  et le ministre Collomb et le je ne sais quoi Buisson : la cocotte explose et nous nous réveillons dans la guerre civile promise.
    Les Européens ont su s’imposer dans le monde entier et aujourd’hui ils ne savent même pas protéger leurs gosses sur les quais des gares…
    Qui va venir nous aider ?
    Non, pas les Américains car ils sont eux-mêmes enlisés jusqu’au cou dans leurs emmerdes…
    Les Russes ? non, eux non plus…
    Qui alors ? Ben, les Chinois, pardi !
    Ils ont investi des milliards dans nos ports, aéroports, meilleures terres arables et vignobles !
    Ils n’en vont en aucun cas permettre le saccage ni la faillite !
    D’ailleurs, ils haïssent autant les « muzz » que les « black »…
    Leurs réseaux sont implantés dans toute l’Europe et des membres de leurs communautés sont eux aussi victimes des mêmes assassins.
    En Chine ils en sont aux « camps de rééducation », à la « sinisation » et au « contrôle des religions ». Vite fait, bien fait…
    Anne Lauwaert